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"Qu'est ce qui vous fait bander ?" : l'excellente réponse de Teddy Riner à Yann Barthès
Transcription
00:00 *Bruit de la télé*
00:02 *Bruit de la télé*
00:04 Oh non mais c'est pas vrai...
00:06 Mais comment on va s'en sortir ?
00:08 *Bruit de la télé*
00:10 Allez, sois raisonnable, hein ?
00:12 Maintenant il faut arrêter !
00:14 Eh, sans déconner, vous savez pas ce qu'on me dit dans mon oreillette, mes petites beautés ?
00:16 Il me demande d'arrêter mon concours de perruques.
00:18 Mais vous, vous en voulez encore ?
00:20 *Bruits de "ouais"*
00:22 J'ai dit, vous en voulez encore ?
00:24 *Bruits de "ouais"*
00:26 Ah, si vous en voulez encore, on continue alors !
00:28 Enfin Cyril,
00:30 ça fait 7h50 que l'émission a démarré !
00:32 Clarisse, vous ça passe pas ?
00:34 Non, ça passe pas, frérot.
00:36 Eh, vous êtes sortis avec combien de meufs ?
00:38 100 personnes, ouais, t'imagines les herpès, tout ça ?
00:40 Hier, Nabila était en dédicace dans cette librairie parisienne.
00:42 Tout le monde va bien ?
00:44 Et elle eut un petit mot pour ses fans
00:46 qui avaient bravé le mauvais temps.
00:48 Tout le monde va bien ?
00:50 Oui ! Vous êtes venus à même la pluie ?
00:52 C'est gentil.
00:54 Des fans, donc, qui sont venus à même la pluie.
00:56 Pourquoi tu me vois à travers comme ça ?
00:58 Je te regarde comme je veux.
01:00 À un moment, faut arrêter,
01:02 soit on se parle plus,
01:04 tu fais comme si j'existais même plus,
01:06 comme moi je fais là, on se calcule plus.
01:08 Soit, en face de Camille,
01:10 tu m'écartes tellement
01:12 que, ouais, tu es devant moi,
01:14 je suis obligée de te regarder,
01:16 parce que tu me dégoutes, tu l'es pas assez,
01:18 à un moment, je me lève, et là, tu me donnes déjà la gerbe,
01:20 tu vois, c'est trop.
01:22 Maintenant, toi Aurélie, je veux pas faire genre,
01:24 mais voilà, moi je peux pas te voir,
01:26 pour moi, y a une déguise.
01:28 Moi non plus, je t'aime pas en fait,
01:30 et elle est là, oui, je pars et tout,
01:32 c'est une grosse perte.
01:34 J'ai déjà tout le monde, j'ai arrêté de te parler, y a pas de soucis.
01:36 Mais si je veux te regarder, je te regarde,
01:38 je m'en fous.
01:40 Tu me regardes comme une *****, tu sais tout,
01:42 tu es une *****, tu regardes comme je *****,
01:44 tu es une grosse bip bip bip,
01:46 et tu es une bip, et pas de te faire bip.
01:48 Non, toi, ta bouche, tu me maquerasses pas, s'il te plaît.
01:50 Non, non, toi, tu fermes ta bouche, tu me maquerasses pas.
01:52 Non, j'ai pas été, j'ai été brochée.
01:54 Non, j'ai pas été, on a tout su, on m'a dit qu'il y a un moment donné.
01:56 On a tout su.
01:58 Non, toi, tu me maquerasses pas, toi, ferme ta bouche.
02:00 Bouffonne pas.
02:02 C'est toi la bouffonne.
02:04 Comment est-ce qu'on fait dans ces cas-là ? On laisse forcément des zones dans l'ombre,
02:06 sous silence ?
02:08 Non, j'essaye de jouer carte sur table,
02:10 j'ai tout dit, je me suis dit si je le fais,
02:12 je le fais entièrement ou je le fais pas.
02:14 Ce qui est bien, c'est quand vous inventez des mots.
02:16 Un petit côté mot tordu.
02:18 Bah en fait, ouais, j'ai mis, voilà,
02:20 des mots qui me passaient par la tête,
02:22 mais c'est vrai que quand j'oublie un mot,
02:24 j'invente un mot.
02:26 La Mélanie 2000, qu'on peut applaudir, Mélanie, qui est là.
02:28 Mélanie qui sera évidemment notre chroniqueuse aujourd'hui.
02:34 Regardez-moi ça, c'est clair, c'est du bon matos.
02:38 Vous avez tout gagné,
02:40 vous êtes la superstar du judo mondial,
02:42 je vais être un peu trivial,
02:44 qu'est-ce qui vous fait encore bander, Teddy Riner ?
02:46 Ma femme.
02:48 (rires)
02:50 ♪ Rock for me ♪
02:51 ♪ ♪ ♪

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