• l’année dernière
TPMP : Gilles Verdez et Matthieu Delormeau se brouille au sujet de Johnny Hallyday
Transcription
00:00 de quelqu'un d'il y a 15 ou 20 ans. Aujourd'hui, on ne peut plus faire ça. Johnny Hallyday,
00:04 si je peux me permettre, je ne suis pas d'accord. Que vous parliez de la santé d'un chef d'État,
00:09 d'un président parce qu'il a un sacro-sac de la France, exactement, c'est obligatoire.
00:12 Mais Johnny Hallyday, il faut le laisser, le pauvre, ça a beau être la plus grande
00:15 star de France, oui mais non. C'est une icône. Et alors ? Tout le monde s'intéresse à sa
00:20 santé. Tout ce qui touche Johnny Hallyday, ça devient une sorte de mythe français.
00:24 Je suis désolé, sa santé nous préoccupe et on a envie, la France veut qu'il guérisse.
00:28 Si vous voulez le laisser tranquille et laisser se combattre sa maladie seul,
00:31 je pense qu'il sera beaucoup plus content Johnny.
00:33 Mais c'est impossible. Passe-moi le relais, je vais me le faire. Parce que là, ce que tu dis,
00:40 c'est grave. Il y a des gens de sa famille, peut-être sa fille n'est pas au courant,
00:44 peut-être des cousins. Je me souviens de Pascal Sevran pour te donner un exemple,
00:47 qui avait caché son cancer jusqu'à la fin à sa mère parce qu'il savait qu'elle ne le supporterait
00:51 pas. Il y a des gens autour de lui qui ne le savent pas. Peut-être que sa fille, Jade,
00:54 ils lui ont caché pour qu'elle aille mieux et qu'elle ne soit pas dépressive. Comment tu peux
00:57 dire des bêtises pareilles ? C'est une information nationale. Mais non, c'est pas à nos politiques.
01:01 Il ne défend pas le destin de la France. Mais non, pas du tout.

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