Fou rire après un lapsus coquin dans Tout le monde veut prendre sa place

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Fou rire après un lapsus coquin dans Tout le monde veut prendre sa place
Transcript
00:00 *Générique*
00:24 Si tu ne te sens pas prêt,
00:25 Non.
00:26 *Musique*
00:28 Bah faudra attendre un petit peu encore.
00:29 *Musique*
00:30 Soit.
00:31 *Musique*
00:32 Ok.
00:33 *Musique*
00:34 C'était mes limites, je préférais arrêter et puis voilà.
00:35 *Musique*
00:36 Bon, Thomas.
00:37 *Musique*
00:38 Je te souhaite bonne chance, bon courage.
00:39 *Musique*
00:40 Merci.
00:41 *Musique*
00:42 Et puis j'espère te revoir.
00:43 *Musique*
00:44 Allez.
00:45 *Musique*
00:46 Merci beaucoup.
00:47 *Musique*
00:48 A bientôt Thomas.
00:49 *Musique*
00:50 Merci.
00:51 *Musique*
00:52 Vous êtes arbitre de foot.
00:53 *Musique*
00:54 Voilà.
00:55 *Musique*
00:56 C'est aussi un métier à risque.
00:57 *Musique*
00:58 Et...
00:59 *Applaudissements*
01:00 C'est le lapsus réveillateur.
01:01 *Applaudissements*
01:02 Je suis désolé.
01:03 *Musique*
01:04 Bah donc elles vous ont servi quoi de cobaye ?
01:05 *Musique*
01:06 Madame, j'étais sûre que vous sortiriez ce mot là.
01:07 *Musique*
01:08 Est-ce que vous pouvez comprendre qu'un jour, un moment, vous avez une innovation.
01:09 *Musique*
01:10 Effectivement, les premières patients, on peut dire que ce sont des cobayes.
01:11 *Musique*
01:12 Il y a des gens qui essuient les plâtres des innovations.
01:13 *Musique*
01:14 C'est assez français aussi.
01:15 *Musique*
01:16 C'est assez français.
01:17 *Musique*
01:18 C'est assez français.
01:19 *Musique*
01:20 C'est assez français.
01:21 *Musique*
01:27 C'est assez français aussi de se mettre en colère.
01:29 *Musique*
01:30 Mais là, il y a un ras-le-bol particulier quand même.
01:31 *Musique*
01:32 Oui, non, il disait aussi, sous Hollande, on l'a dit, sous Sarkozy, j'ai eu l'occasion de faire pas mal de campagnes pour la présidentielle en tant que chroniqueur ou dans des émissions de télé ou de radio.
01:43 *Musique*
01:44 Le français est quand même râleur, c'est ce qui fait un petit peu l'ADN du pays.
01:47 *Musique*
01:48 Prêtez-moi de mettre en avant le drapeau 974 de la résistance.
01:53 *Musique*
01:55 Voilà.
01:56 Attends, attends, attends.
01:57 *Musique*
01:58 Voilà la résistance.
01:59 La séance est suspendue.
02:00 Réal, voilà le symbole.
02:02 Micro coupé, séance suspendue.
02:05 Emmanuel Macron entend la colère des gilets jaunes. Il veut répondre en même temps aux défis écologiques et économiques.
02:11 Il propose que les taxes s'adaptent aux fluctuations des prix du carburant pour en limiter l'impact et lance une grande concertation sur le terrain.
02:18 Je souhaite que partout sur le territoire, cette décision de concertation puisse être déclinée et que partout sur nos territoires, sur les réseaux sociaux aussi, ce débat puisse se tenir.
02:32 Et que toutes les associations intéressées puissent, y compris localement, y participer.
02:38 Personne n'est légitime pour représenter l'ensemble de l'action des gilets jaunes. Donc là, aujourd'hui, on est là pour apporter la première parole et pour le premier contact avec le gouvernement.
02:46 Et comment vous allez organiser ça ?
02:48 Alors Emmanuel Macron, voilà, ça peut être son porte-parole, hein, si c'est le résultat qui compte, hein, mais on verra bien.
02:54 Vous attendez quoi concrètement aujourd'hui ?
02:55 Alors on attend simplement de pouvoir rentrer chez nous parce qu'il pleut. Voilà, merci.
02:58 Merci.
02:59 Merci beaucoup.

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