Claire Chazal se confie sur sa rivalité avec Laurence Ferrarri
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00:00 - Je me souviens de l'époque de Laurence Ferrari, on vous avait demandé alors comment c'était cet été, vous aviez répondu "c'était de bons journaux d'été". C'était une petite pique, non ?
00:09 - Alors, je reconnais que je ne regarde pas beaucoup les journaux l'été, parce que je pars à loin, je ne suis pas en France...
00:15 - Oui, mais alors là vous les aviez regardés, puisque vous les aviez trouvés bien pour l'été.
00:18 - Oui, oui, je les ai un peu regardés, mais en plus, c'est pas vrai, parce qu'il peut se passer, il y a souvent une très forte actualité l'été.
00:25 - Non, allez, allez...
00:28 - C'est un peu votre façon de faire, vous êtes toute en douceur, mais vous ne vous laissez pas faire, vous ne pouvez pas nous dire que c'était innocent comme remarque.
00:35 - Sûrement pas. On va l'admettre.
00:39 - Il y a eu quelques années plus tard...
00:41 - Il y a de l'inconscient et sûrement pas, oui.
00:43 - Il y a eu quelques années plus tard la guerre des vestes blanches lors de la soirée présidentielle, souvenez-vous, des robes blanches.
00:50 - Oui, c'était les robes, oui.
00:51 - Vous aviez l'habitude de mettre du blanc le dimanche soir, elle a voulu en mettre aussi. Non mais, qu'est-ce qui s'est passé ?
00:56 - C'était Flatter, le blanc, je dis, moi j'ai peur rien.
00:59 - Il y avait deux infirmières, on leur avait dit un hôpital de jour, je sais pas, non ?
01:04 - Non, non, c'était pas mal, moi je trouve.
01:06 - Mais c'était pas mal, bien sûr.
01:07 - C'était harmonieux au moins.
01:08 - Oui, il y avait aussi le fameux tirage au sort pour savoir qui allait annoncer le nom du président, ça avait été tragique tout ça.
01:14 - Vous l'avez vécu.
01:15 - C'est une période un peu révolue. Avec Gilles Boulot.
01:17 - Oui, ça se passe beaucoup mieux.
01:19 - Ça se passe vraiment bien.
01:20 - Très bien.