• l’année dernière
Découvrez la première apparition télé de Jenifer !
Transcription
00:00 -Stéphane de Groot, mesdames, messieurs.
00:05 Alors, c'est marrant.
00:07 Vous vivez en Belgique et vous venez à Paris pour travailler.
00:10 Un peu comme les kamikazes, finalement.
00:12 -Oh !
00:13 -Ouais.
00:14 -Par les temps qui courent, l'aigle noir, comme nous avons toujours imaginé la chanson
00:20 avant de connaître la vraie histoire de cette chanson, c'était pour nous l'aigle des heures
00:24 les plus sombres de notre histoire.
00:26 Et l'histoire peut se recommencer.
00:28 Et on aura l'occasion, justement, de vous entendre dans cet album absolument magnifique.
00:32 -Voilà.
00:33 Et juste pour finir ma phrase, ne vous laissez pas finir.
00:34 -Ah si, Baudric !
00:35 -C'est que, vu que l'histoire...
00:36 -Je sais que tu es une femme sensible avec beaucoup de retenue.
00:43 Et Yann Alric, quelque part, t'a aidé à faire ça.
00:47 Yann Alric, t'as pas été dans ton côté à toi aussi.
00:50 Vous avez eu une espèce de tension tous les deux qui a fait quelque chose de magnifique.
00:55 Vraiment.
00:56 -C'est sa première télévision, elle est là devant vous ce soir.
01:01 C'est le challenger des grandes chanteurs, mademoiselle Jennifer Bartoli !
01:05 -Après dans le tango pur, moi ce que j'aurais aimé un peu plus, c'est une position assise.
01:22 Mais encore une fois, c'est très bien.
01:24 Tout va bien.
01:25 -C'est un grand plaisir de vous accueillir.
01:26 -Merci beaucoup.
01:27 -Bon alors, qu'est-ce qui vous émeut comme ça ?
01:28 Qu'est-ce qui vous fait pleurer comme ça ?
01:29 -Ce qui m'émeut, c'est que je savais que cette semaine, c'était une semaine de changement
01:36 et d'aventure.
01:37 Et même pour moi, un prime quand même très différent parce que là, j'avais envie d'être
01:42 quelqu'un d'autre que je suis d'habitude.
01:44 -13 ans quand même, Jennifer.
01:46 Vous étiez un bout de chou 13 ans.
01:48 -Ouais, déjà là, je venais d'avoir 13 ans.
01:50 -Mais quelle voix, déjà !
01:51 -Mais quel look !
01:52 -Avoir plus de souvenir de l'eau, on se souvient de la voix.
01:53 -Mais ça, quoi, ça fait une année en même temps.
01:56 -Il y a une assurance, déjà.
01:57 -Non mais j'étais vraiment pas bien.
02:00 -Vous avez récemment déclaré, Laurence, que vous ne supportiez plus les vannes sur
02:05 votre physique.
02:06 -Bah, oui.
02:07 -Non mais je comprends.
02:08 Alors ça, non.
02:09 -Bref, fais ce que tu veux.
02:10 -Ça, non.
02:11 -Fais ce que tu veux.
02:12 Fais ce que tu veux.
02:13 -Non, non, ça, non.
02:14 -Vous êtes un ballon.
02:15 -Un quoi ?
02:16 -Un ballon.
02:17 -Un ballon.
02:18 -Moi, je change en rien.
02:19 -Vous êtes un ballon.
02:20 -Un ballon.
02:21 -Un ballon.
02:22 -Moi, je change en rien.
02:23 -Ah ouais, non.
02:24 Non, ça, non.
02:25 -C'est la physique, ça te fait dire.
02:26 -Non, non, non, non.
02:27 -La physique, tu peux pas...
02:28 -Bah, voilà.
02:29 C'était Laurence Bocconi.
02:30 -Elle a les yeux révoltés.
02:31 Elle a le regard qui tue.
02:32 Elle a tué la première.
02:33 Elle m'a touché, c'est foutu.
02:34 -Comme chaque semaine, on prend des nouvelles de la famille royale, le prince Harry était
02:52 en voyage au Lesotho et en Afrique du Sud pour une visite humanitaire.
02:56 Il a participé à un match de polo pour lever des fonds et tout avait bien commencé.
03:00 Sauf qu'au bout de quelques minutes, le prince Harry tombe, mais alors comme une bouse.
03:08 -Merci beaucoup.
03:09 -Moi aussi, j'ai hâte de le finir.
03:10 -Merci à vous.
03:11 -Merci.
03:12 -Serge Lama !
03:12 *Rires*

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