Pour son premier match après le départ de Mikautadze, Metz a inscrit deux beaux buts dans le nul obtenu contre Reims. Pour le coach László Bölöni, son équipe n’avait pas besoin d’être libéré de l’influence de son ancien buteur.
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00:00 en se tenant compte de leur effectif.
00:06 Je crois que le match nul, lequel on a obtenu aujourd'hui,
00:11 on ne l'a pas arraché, on l'a obtenu aujourd'hui,
00:14 je crois que c'est bien.
00:19 Ils vont entendre des joueurs, mes joueurs, de ma part,
00:23 ils vont entendre des choix, des défauts, des froids,
00:28 des critiques et des encouragements aussi,
00:33 positifs et négatifs, comme toujours.
00:37 Je crois que le match nul, on a largement mérité.
00:41 On n'a pas eu vraiment une chance de, je ne sais pas,
00:47 vraiment d'avoir envie de défendre le résultat.
00:53 C'était un match avec un bon niveau, à mon avis,
00:57 avec un bon rythme élevé, avec des actions rapides,
01:03 avec des exploits techniques intéressants
01:07 et avec 4 buts phénoménaux.
01:11 Ça ne libère pas, ça ne libère pas.
01:13 Ils n'ont pas été emprisonnés par Mikotaze, pas du tout.
01:16 La porte est ouverte pour tout le monde, pour qu'il marque des buts.
01:19 Tu le marques si tu peux.
01:21 Quand tu ne peux pas, Mikotaze t'a marqué, tant mieux.
01:24 Non, non, non, il ne se libère personne.
01:26 Mikotaze n'a pas pris un otage personne.
01:28 Et nous non plus, on n'était pas en otage.
01:31 Merci beaucoup. Au revoir.