TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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00:00 Non mais il y a un problème fondamental, c'est que la France insoumise, elle ne défend pas les idées de gauche qui devraient être des idées de partage, des idées de redistribution.
00:10 Donc elle est perdue dans ses propres arguments. Il y a une haine du riche qui est développée en France. Moi je ne comprends pas, j'ai vécu 5 ans aux Etats-Unis.
00:18 Quand tu t'assoies dans un avion et que tu es à côté d'un mec qui a réussi, la discussion s'engage autour de "combien tu fais ?", "combien tu fabriques ?" parce qu'en anglais c'est "make".
00:28 C'est "combien tu fabriques ?", "how do you make ?", "how much do you make ?".
00:32 Tu es sûr qu'il ne t'a pas dit comment ça va mec ?
00:34 Non mais c'est une culture. La culture c'est "combien tu fabriques ?", "combien tu fais pour l'économie ?" et en France on a tout un tas de types qui t'expliquent que "bah non, c'est jamais assez, il y a toujours des aigris".
00:47 Moi je trouve ça terrible.
00:48 Qu'est-ce que tu penses là des mecs de la France insoumise qui fracassent ? Bernard Arnault qui a donné 10 millions d'euros, comme ça du jour au lendemain il a dit "je donne 10 millions d'euros". Il n'avait pas à faire.
00:56 C'est pire que des gugus. Ces mecs-là, je te dis, ils sont à court d'arguments, ils sont gênés par la générosité. Oui, effectivement, donc aujourd'hui ils ne savent plus quoi dire.
01:07 J'aimerais qu'on ait un autre gugus dans un instant, Gilles Vernez. Je pense qu'il est d'accord avec ses amis.
01:12 Pas mes amis mais je suis d'accord.
01:14 Oui mais toi tu es insupportable. Je vais te dire, là tu vas m'insupporter. Fais-le, mais tu vas m'insupporter. C'est insupportable.
01:21 Je pourrais lui répondre.
01:22 Non mais je ne sais pas que tu pourrais lui répondre. Tu pourrais lui défoncer la gueule.
01:25 Non mais je te le dis.
01:27 Dans la bonne humeur.
01:28 Pascal.
01:29 Alors deux choses. Moi je pense que c'est de la com, de la part de lfi. Il y a très peu d'actualité en ce moment.
01:32 Il faut sortir une punchline.
01:34 Oui mais à un moment il vaut mieux fermer sa gueule que dire des conneries.
01:37 Ils sont en train de chuter dans les sondages.
01:39 Bernard Arnault, ce n'est pas son argent. Il faut peut-être le rappeler à ceux qui nous regardent. Bernard Arnault, on dit c'est l'homme le plus riche du monde, mais il n'en dispose pas de son argent, de la totalité de son argent.
01:47 On voit la tête de 2 milliards. 10 millions d'euros, c'est une somme considérable. L'État verse 15 millions d'euros de son côté aussi au resto du cœur. Et Total Energy qui est la première capitalisation en bourse.
01:57 5 millions.
01:58 5 millions.
01:59 Et Crédit Mutuel aussi donne de l'argent.
02:00 Non, non, non.
02:01 Attends, attends. Après, j'aimerais... Les gars. Delphine, vous êtes...
02:04 Et Total Energy. Non, moi aussi je veux défoncer Gilles si c'est possible.
02:07 Ah d'accord. Vas-y.
02:08 Je ne viens pas commencer encore.
02:09 Laisse-le parler. Laisse-le parler et après on le défoncera.
02:13 Non, non, attends. On va laisser le gugusse parler là.
02:15 Donc toi, tu es d'accord avec tous ceux qui critiquent Bernard Arnault qui a donné 10 millions d'euros. Déjà, qu'est-ce que tu as donné toi ? Qu'est-ce que tu as donné toi ? Par des leçons toi aussi.
02:22 Qu'est-ce que tu as donné ? A part la bague que je t'ai donnée à Fatou. Qu'est-ce que tu as donné ? Vas-y. Vas-y.
02:26 Merci de me donner la parole. Je vais vous dire. Moi, quand je donne, je n'en fais pas et pas sur la place publique. C'est ça qui me gêne. C'est ça qui me gêne.
02:34 C'est pour inciter les autres à donner.
02:36 Voilà.
02:37 Et d'ailleurs, le fait qu'il l'ait dit, ça fait boule de neige. Ça fait un appel d'air.
02:40 Exactement.
02:41 Tu vois, Gilles, franchement.
02:43 Mais je lui ai dit deux mots.
02:44 Oui, mais tu as dit deux mots de connerie.
02:46 Donc écoute, c'est quand même beaucoup.
02:47 C'est parce que Bernard Arnault m'a donné que Bernard Arnault...
02:48 Oui, on a compris. On a compris. Oui. Non mais alors voilà. Donc déjà, là, j'ai l'argument. Derrière, ça fait boule de neige. Tout le monde a donné.
02:53 Donc déjà, ton premier argument, allez. À la poubelle. Allez, merci. Deuxième.
02:57 Je ne suis pas d'accord avec eux sur la manière dont ils disent parce que c'est un peu méprisant Bernard Arnault. Mais moi, la médiatisation me gêne.
03:03 Non mais ça y est. Ça, on l'a réglé.
03:04 Alors parlons aussi de la défiscalisation. On sait très bien que quand Bernard Arnault...
03:07 Oui, 67%.
03:08 C'est que dalle pour lui.
03:09 C'est très bien. Là, OK.
03:10 Mais c'est rien du tout pour lui.
03:11 Il a déjà répondu. Il a déjà répondu.
03:13 Attends, attends, attends. Laissez-le parler.
03:14 Non, mais il a répondu cet argument.
03:16 Mais j'ai rien dit encore.
03:17 Sur l'opération.
03:18 Je n'ai rien dit encore.
03:19 Mais même si c'est...
03:20 Même quand tu dis rien, on ne peut plus te berrer.
03:22 Il a déjà répondu en disant qu'il ne ferait pas de défiscalisation sur le don.
03:26 Mais je sais que...
03:27 Bravo. Bravo.
03:28 Mais il faut bien même...
03:29 Donc il ne fera pas de défiscalisation. Voilà.
03:30 Et même si.
03:31 Mais même si c'est de la comme.
03:33 Même si c'est de la défiscalisation.
03:35 On s'en fout.
03:36 Il est en train de sauver les restos du cœur.
03:38 Et on a tous envie que les restos du cœur continuent d'exister.
03:40 Enfin franchement.
03:41 Qui t'a sauvé, toi ?
03:42 Plus en plus de gens qui ont besoin.
03:43 Qui t'a sauvé, toi ? Par une fourmi.
03:44 Enfin, c'est de la folie.
03:45 Quand je donne, je ne le dis pas. Je ne vous le dirai pas.
03:47 Mais ne le dis pas.
03:48 Pourquoi il le dit comme ça, lui ?
03:50 Ça ne va pas faire un appel d'air. Ça va faire autre chose.
03:52 Pourquoi il le dit comme ça ? C'est ça qui me gêne.
03:54 Moi, ça, ça me gêne.
03:56 Non mais ça, tu vois.
03:57 En fait, non non.
03:58 Je te connais, en fait.
04:00 Quand tu n'as plus d'argument, tu avances ton visage.
04:02 Tu crois que tu vas me faire peur.
04:03 Tu ne fais peur à personne.
04:04 Non, je te dis.
04:05 Tu ne fais peur à personne.
04:06 Tu ne fais peur à personne.
04:07 Je te dis.
04:08 Mais ce n'est pas la peine.
04:10 Ce n'est pas la peine de t'avancer.
04:11 Ce n'est pas la peine de t'avancer.
04:13 Et de en redire la même chose que ce que tu as dit il y a deux minutes.
04:15 Terminé. Fin du débat.
04:16 On t'a expliqué pourquoi il avait médiatisé le truc.
04:17 Merci. Delphine.
04:18 En fait, j'ai dit trois mots.
04:20 Oui, mais trois conneries.
04:21 Trois conneries.
04:22 Heureusement qu'aujourd'hui, il y a encore des hommes riches, des gens qui ont réussi leur vie,
04:27 qui ont trouvé le bon filon, qui acceptent de rester en France avec leur entreprise.
04:31 Donc ça, déjà, c'est quelque chose.
04:32 Il faut quand même soutenir ces gens-là.
04:33 Elle a raison.
04:34 Ensuite, s'il n'avait pas donné, le gars, il dormait tranquille.
04:36 On ne parlerait même pas de lui.
04:37 Sauf qu'il a donné et que tout le monde dit, proportionnellement, c'est vraiment indécent.
04:40 C'est comme 30 centimes sur un salaire.
04:42 Sauf que dans la réalité de la réalité, c'est quand même 10 millions.
04:46 Exactement.
04:47 Et avec 10 millions, c'est combien de repas ?
04:49 Ça se produit 1 euro.
04:50 Mais 10 millions, c'est combien de repas ?
04:52 C'est fantastique.
04:53 Il n'y a rien d'autre à dire.
04:54 Arrête un peu.
04:55 Tu sais quoi ?
04:56 Tu as voulu faire le malin, tu es tombé dans le ravin.
04:57 Merci.
04:58 De toute façon, tout ce discours est basé sur l'hypocrisie et la haine des riches.
05:04 Eux, les premiers, sont des riches à une autre échelle.
05:07 Moi, ce que je n'aime pas avec ces gens-là, c'est qu'ils passent leur temps à taper sur les riches.
05:09 Mais les députés de la France Insoumise qui gagnent 6 000 balles,
05:11 Jean-Luc Mélenchon qui a une fortune supérieure à 1 million d'euros, rend l'argent, mec.
05:14 Et qui voyage en business.
05:15 Si tu veux qu'on partage de l'argent, mets tout le monde dessus.
05:17 Il voyage en business ?
05:18 Bien sûr qu'il prend la business, Jean-Luc Mélenchon.
05:19 Il y a une photo de lui en train de voyager en business.
05:21 Il dit "je voyage en business class parce que c'est confortable, etc."
05:23 Fais croquer, alors.
05:24 Bien sûr.
05:25 Fais croquer.
05:26 Fais croquer, c'est trop long.
05:27 Non, non, c'est un rigolet.
05:28 Non, non, mais je te le dis.
05:29 Jean-Luc Mélenchon, il voyage en business.
05:30 Il dit "je voyage toujours en business class parce qu'à mon âge, vous comprenez, c'est compliqué, etc."
05:33 Bien sûr.
05:34 Mais c'est une immense hypocrisie.
05:35 Enfin, je veux dire, ils sont totalement à court d'arguments.
05:37 Pardon, Gilles, mais c'est...
05:39 Cardo, tu commences à m'emmerder.
05:40 T'as un truc en concierge.
05:41 C'est bon.
05:42 Non, mais j'ai rien dit.
05:43 C'est mon petit protégé.
05:45 Vas-y, bravo, Jacques.
05:46 Vas-y, t'as dit des choses agréables lundi, mais alors là, je crois que c'est fini.
05:52 Non, mais Gilles, je t'adore.
05:53 Non, mais je le fais pas exprès.
05:54 Non, mais il n'y a pas de problème.
05:55 Je le fais pas exprès.
05:56 Mais on a droit de débattre quand même du fait que Bernard Arnault a l'air d'être le sauveur de la France et des restos du cœur.
06:01 Je comprends que ça t'agace, mais je voudrais dire un truc.
06:03 Heureusement qu'il l'a pris.
06:05 D'ailleurs, tout le monde s'est réveillé.
06:07 Le gouvernement s'est réveillé avant lui.
06:09 Quand bien même ce serait de la défiscalisation.
06:11 C'est juste le gouvernement qui lui a tombé.
06:12 Mais non, mais voilà.
06:14 Mais Gilles, pourquoi il y a cette culture-là qui consiste à systématiquement vouloir critiquer des gens qui gagnent de l'argent,
06:20 qui ont du succès et qui donnent de l'argent à des gens qui en ont besoin ?
06:24 Est-ce que c'est un problème ?
06:25 La société, elle restera toujours comme ça ?
06:27 La société, elle a pas de problème.
06:29 Soit c'est la COVID du Nord, soit c'est le libéralisme.
06:32 C'est un débat.
06:33 C'est un débat, ben oui, mais peut-être que la société à laquelle tu rêves, l'utopie, où tout le monde serait riche, ça n'existe pas.
06:39 Donc il y a un moment donné où aussi il faut regarder les choses concrètes.
06:43 Il y a des riches qui donnent pour des gens qui en ont besoin.
06:46 Ils défiscalisent, tant mieux pour eux.
06:48 Moi aussi je défiscalise.
06:49 Ah ben non, là il a dit que non.
06:50 Ah ben non, ben arrêtez alors.
06:51 Il défiscalise ou pas ?
06:52 Il a dit que non.
06:53 Mais où est le problème ?
06:54 Il a dit que non et c'est pas là le problème.
06:55 Mais lui, lui, il dit que oui.
06:56 On a parlé de Jean-Luc Mélenchon il y a un instant.
06:58 Vous avez dit qu'il voyage en business.
06:59 Effectivement, on a la photo de Jean-Luc Mélenchon.
07:01 Et regardez, eh ouais, Jean-Luc, eh ouais.
07:03 Non, non, mais c'est pas du tout une vanne, les gars.
07:05 Et regardez ce qu'il a dit derrière, Jean-Luc Mélenchon.
07:07 Regardez ce qu'il a dit derrière pour dire, il a dit, eh ouais, je voyage en classe affaires, j'ai passé l'âge d'aller me faire briser le dos à la classe économie.
07:14 Non, mais sérieux ?
07:15 C'est pas du tout une vanne, hein.
07:16 Il est le député européen alors qu'il testait les futurs sièges qu'il équiperont la classe affaires.
07:19 Ils vous mettent comme des sardines là-dedans.
07:21 C'est une honte.
07:22 Le transport aérien, les trois quarts du temps est extrêmement désagréable.
07:24 Ne me dites pas le contraire, ajoutez Jean-Luc Mélenchon.
07:26 Alors Jean-Luc Mélenchon, c'est un génie.
07:27 Parce qu'il ne va pas dire, non, je vais y aller, je vais faire comme tout le monde.
07:30 Non, non, il va critiquer.
07:31 Vous n'avez pas rien à dire contre ce qu'ils font.
07:32 Il va dire, vous n'avez rien à dire contre ce qu'ils font.
07:34 C'est donc pour ça que je prends la classe affaires.
07:35 Je prends la sardine, c'est pour ça que je vais dans le cuir.
07:37 Non mais c'est un génie.
07:39 Dis-nous, avant que Desiraldine défonce Gilles, tu voulais nous donner ton avis.
07:42 Je ne peux que me réjouir.
07:44 Alors me réjouir, non, parce que je ne suis pas content que les restos existent encore 38 ans après.
07:47 Donc je ne me réjouis pas.
07:48 Mais 10 millions d'euros, c'est 10 millions de repas.
07:50 Donc lui, il les a donnés.
07:51 Peut-être l'appel d'air comme on a dit.
07:53 D'autres vont le donner.
07:54 Et pour en revenir aux déclarations des députés qui critiquent, j'ai envie de leur dire,
07:57 comme ils remettent ça en perspective avec le SMIC, moi je remets ça avec leur salaire.
08:00 Ils prennent 80 000 euros, comme tu as dit Guillaume, 80 000 euros à l'année.
08:04 Ils prennent 5 000 euros net sans les primes, sans les avantages.
08:07 Le salaire médian c'est 1 800, le SMIC c'est 1 300.
08:10 Donnez la différence à toutes les associations.
08:12 Donnez la différence, il vous reste 3 000 balles.
08:14 À toutes les associations.
08:15 Par rapport aux Français, il en reste 3 000 balles.
08:17 De 1 500 à 3 000 balles.
08:18 Tous les mois, donnez aux associations.
08:19 Comme ça vous pourrez critiquer Bernard Arnault.
08:22 Je trouve que c'est facile de critiquer un mec qui va donner 10 millions de repas.
08:24 Les restos, ils sont en galère.
08:25 T'auras une deuxième chance, tout à l'heure tu étais très mauvais.
08:28 C'est gentil, merci.
08:29 T'auras une deuxième chance.
08:30 Tout le monde m'a défoncé la gueule, y compris vous, et j'ai été très mauvais.
08:32 Je ne peux que faire pire.
08:34 T'auras une deuxième chance Gilles, tu verras.
08:36 Juste Géraldine.
08:37 Non Gilles, je ne vais pas être méchante.
08:38 Ah c'est bien.
08:39 Ça m'étonne de vous.
08:40 J'ai l'impression que tu es un peu aveuglé par ton idéologie,
08:45 pleine de bons sentiments, un peu mielleuse, faussement démagogique.
08:50 D'abord la première chose, je ne t'ai pas entendu.
08:52 Je ne t'ai pas entendu quand Bernard Arnault a donné 100 millions pour la reconstruction de Notre-Dame.
08:56 On ne l'a pas entendu nulle part.
08:57 On n'a pas entendu la France Insoumise non plus.
08:59 Défiscalisé.
09:00 Alors, je fais un appel à ton banquier.
09:02 Ils sont moqués, tu crois qu'il lui parle encore ?
09:04 Est-ce que tu n'as jamais rien optimisé ou défiscalisé ?
09:07 Je ne pense pas.
09:08 J'espère que tu as vraiment le cul propre parce que tout le monde…
09:13 Moi je n'irai pas vérifier en tout cas.
09:14 Je ne le sens pas.
09:17 Les gens modestes ou les gens très riches, tout le monde veut essayer de se débrouiller,
09:21 d'essayer de faire des petites économies, de se par-ci par-là.
09:24 Donc en fait, c'est vraiment un faux procès, encore une fois,
09:26 et c'est juste ton idéologie qui te matrixe complètement le cerveau.
09:29 Et puis on aime mieux s'être matriqués.
09:31 Est-ce que tu gagnes le SMIC, Gilles ?
09:33 Non, je suis bien placé pour le savoir.
09:36 Est-ce que tu gagnes le SMIC ?
09:37 Non.
09:38 Et alors ?
09:39 Pourquoi tu ne donnes pas la différence ?
09:40 Je donne, à qui je veux donner, je ne vous dirai pas.
09:43 Pourquoi tu ne me donnes pas la différence ?
09:45 Moi je ne fais pas ma publicité.
09:47 Tu fais la même chose, tu fais la même inverse, tu dis.
09:51 Mais vous êtes dupes de l'AR, qui s'affiche comme le sauveur de l'environnement.
09:54 Nous on est dupes.
09:55 Attends, ça fait des...
09:56 Arrête.
09:57 Non mais Gilles, si tu crois...
09:59 S'il te plaît, ne va pas sur le terrain de la duperie.
10:01 Non mais vraiment, je te le dis.
10:02 Pas toi, Gilles Verdez, s'il te plaît.
10:03 Si Gilles Verdez dit qu'il va donner 100 000 euros au resto du cœur,
10:05 tu crois vraiment que ça va faire appel d'air ?
10:07 On n'a pas arrêté de dire que c'était l'homme le plus riche du monde.
10:09 On n'a pas arrêté de dire que c'était l'homme le plus riche.
10:11 Il ne va pas rester dans ce débat.
10:12 Il se terre quand la France a crève de faim.
10:14 Il donne 10 millions d'euros.
10:15 Mais vous en faites, le héros de la France, c'est ce qu'il veut.
10:17 Mais arrête un peu.
10:18 Il n'aurait plus de rien donné.
10:19 Il n'en a rien à foutre avec le héros de la France.
10:21 Il n'en a rien à foutre.
10:22 Il n'en a rien à foutre.
10:23 Il n'est pas de bêtise.
10:24 Non mais même si il est dupe ou pas dupe, le résultat est là.
10:26 Il y a des gens qui en ont besoin.
10:27 Et c'est l'argent.
10:28 Les restos du cœur, on en a besoin.
10:29 Toi le résultat, c'est que tu fais chier tout le monde mais que tu fais rien.
10:32 Et pourquoi il y a un débat ?
10:34 Pourquoi il y a un débat ?
10:35 Parce que les gens s'interrogent ?
10:36 Parce qu'il y a des gugus.
10:37 Non, il y a des gugus qui ont soulevé le débat.
10:39 Des gugus qui font rien.
10:40 C'est encore tes amis de la France Insoumise.
10:42 Ce ne sont pas mes amis.
10:43 Ce sont tes amis.
10:44 Ce ne sont pas mes amis.
10:45 Ce ne sont pas mes amis.
10:46 Ce ne sont pas mes amis.
10:47 Ce ne sont pas mes amis.
10:48 Non, ce n'est pas mes amis.
10:49 Tes potes, tes potos.
10:50 Allez, merci.
10:51 On va voir le sondage.
10:52 C'est un génie.
10:53 Oui, voilà, voilà, voilà.
10:54 Non, voilà, tes gugus encore une fois.
10:56 Et fais 20% à moi tout seul.
10:58 Bravo Gilles.
10:59 Bravo, bravo.
11:00 Merci.
11:01 Il y a trois personnes qui t'ont un peu dit.
11:03 On dirait un compte des chiffres des élèves.
11:05 ♪ ♪ ♪