Plus on est de fous plus on rit. Des passionnés de transports en commun font revivre la mémoire des anciens bus et cars de notre territoire. Et peuvent même les remettre en circulation. Découvrez l'Histobus dauphinois à l'occasion des journées du patrimoine. Sur les lieux d'un accident de voiture, lors d'un incendie, une coulée de boue, un accident chimique, pendant des émeutes, ou une évacuation, on ne pourrait pas se passer des sapeurs-pompiers. Depuis le mois d'avril, le Sdis 38 a un nouveau patron, le colonel Jérôme Petitpoisson. Il est l'invité de ce JT. Et puis youpi les Bruleurs de loup ont remporté mardi soir leur premier match de la saison de Ligue Magnus de la saison. Grenoble a croqué les aigles de Nice, 5 buts à 0. Le début d'une longue série de victoire on l'espère pour le nouveau capitaine sacha treille et ses coéquipiers.
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00:09 Plus on est de fous, plus on rit.
00:11 Des passionnés de transport en commun font revivre la mémoire des anciens bus et cars de notre territoire
00:16 et peuvent même les remettre en circulation.
00:19 Découvrez l'histobus d'Ofinois à l'occasion des Journées du Patrimoine.
00:24 Sur les lieux d'un accident de voiture, de bus éventuellement,
00:27 lors d'un incendie, une collée de boue, un accident chimique pendant des émeutes ou une évacuation,
00:31 on ne pourrait pas se passer des sapeurs-pompiers.
00:34 Depuis le mois d'avril, le SDIS 38 a un nouveau patron,
00:38 le colonel Jérôme Petitpoisson, il est l'invité de ce JT.
00:43 Et puis, youpi, les Brûleurs de Loue ont remporté mardi soir leur premier match de la saison de Ligue Magnus.
00:51 Grenoble a croqué les aigles de Nice, 5 buts à 0.
00:54 Le début d'une longue série de victoires, on l'espère,
00:57 pour le nouveau capitaine, Sacha Treil et ses coéquipiers.
01:01 Bonsoir à tous, bienvenue dans ce JT du mercredi 13 septembre 2023.
01:06 Du lundi au vendredi, à partir de 18h, l'essentiel de l'actualité du Grand Grenoble.
01:11 L'Isère s'apprête à renouveler ses sénateurs.
01:15 La préfecture a officialisé les 9 listes lundi.
01:18 Tous les sortants tenteront leur chance le 24 septembre.
01:21 Sauf le socialiste André Valigny, qui après 26 ans en tant que député puis sénateur, ne sera pas candidat.
01:27 On retrouvera donc en tête de la liste d'hiver droite les républicains Michel Savin et Frédéric Puissa.
01:33 Didier Rambaud de la majorité présidentielle avec la liste d'hiver centre.
01:37 Une liste d'union de la gauche avec en tête Guillaume Gontard.
01:40 Mais aussi une liste d'hiver gauche où on retrouvera le président de la métropole, Christophe Ferrari.
01:44 Et une liste France insoumise avec les chirolois Alban Rosa.
01:47 Enfin deux autres listes d'hiver droite. Une pour le Rassemblement national et une deuxième liste d'hiver centre.
01:52 À charge pour les grands électeurs de ne retenir que 5 sénateurs pour notre département.
01:57 La commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faite aux enfants organise sa prochaine réunion publique à Grenoble.
02:06 C'est ce jeudi de 16h30 à 18h30, salle Macalou au World Trade Center.
02:10 Des rencontres pour engager un dialogue entre les victimes, les proches et les acteurs de terrain.
02:15 Pour sensibiliser à l'appel à témoignage, il est encore possible de s'inscrire sur le site civise.fr.
02:21 Chaque année, 160 000 enfants subissent des violences sexuelles.
02:26 Grenoble et ses transports en commun, une grande histoire d'amour.
02:30 Pour certains, c'est même une passion. Comme pour les bénévoles de Standard 216, liste aux bus dauphinois.
02:36 Toute l'année, dans leurs locaux à Pont-de-Clé, ils retapent et bichonnent des anciens modèles.
02:41 Et à l'occasion des Journées du patrimoine, samedi et dimanche, ils dévoileront au public des véhicules avec le retour d'un véhicule emblématique, l'Inabadreddin.
02:53 C'est l'une des plus belles pièces de liste aux bus dauphinois.
02:57 Cet ancien véhicule de l'armée de l'air est né au tout début des années 50 et a entièrement été restauré pour être identique à ceux utilisés dans le Dauphiné.
03:08 Mais en 2021, l'autocar a eu une casse-moteur. Pour en installer un nouveau, le coût s'élève à 26 700 euros que l'association espère obtenir grâce à un financement participatif.
03:22 "Il y a eu un très gros travail de carrosserie parce que le véhicule était dans un bâtiment en région parisienne.
03:29 Donc il a fallu reconstruire une partie de l'arrière, traiter le châssis, tous les éléments mécaniques dessous, l'arbre de transmission, c'était tout à revoir.
03:41 Alors la chance qu'on avait, c'est qu'il avait tout son vitrage, donc on a eu juste à faire vérifier les ouvertures des fenêtres, mais autrement les pare-brises étaient en place, on a eu une chance inouïe."
03:53 Mais malgré la remise à neuf et un entretien régulier, il peut encore arriver de pédaler dans la choucroute avant de pouvoir remettre les gaz.
04:02 Pourtant à l'époque, l'autocar était en bonne voie pour rejoindre les montagnes.
04:07 "Il n'y avait pas de direction assistée, donc il fallait sortir les bras.
04:11 On ne s'imagine pas qu'aujourd'hui un véhicule comme ça pouvait monter à l'Alpe d'Huez, monter les 21 virages, les descendre aussi parce qu'il faut monter mais il faut descendre aussi.
04:21 Et puis ça c'est des véhicules où il faut vraiment passer les vitesses au régime, donc faire le double débrayage, ce qu'on ne fait plus actuellement sur les véhicules."
04:30 Et ce qui donne à l'engin un côté si exceptionnel, c'est aussi son nom.
04:35 "Chausson c'est une marque qui a été très très très développée entre le milieu des années 40 et jusqu'au milieu des années 60.
04:44 C'était vraiment le premier constructeur français, il y a une période c'était aussi le premier constructeur européen au milieu des années 50 et c'était le quatrième constructeur mondial.
04:54 Ça paraît fou mais c'était comme ça.
04:56 Alors c'est important d'avoir ce véhicule-là et nous on a la chance, on a toute la gamme Chausson.
05:02 Il y avait cinq modèles différents, on les a les cinq.
05:05 Et il n'y a pas un musée en France qui a les cinq véhicules."
05:08 L'association standard 216 du musée Istobus dauphinois détient aussi entre ses murs bien d'autres joyaux de l'histoire des transports en commun de la région grenobloise.
05:19 L'entrée pour Istobus sera gratuite samedi et dimanche de 13h30 à 20h.
05:25 Une participation de 1 euro sera demandée pour les balades mais ça ne vous coûtera rien pour vous y rendre.
05:31 Puisqu'à l'occasion des journées du patrimoine, les trams et bus du réseau MTag seront gratuits samedi.
05:37 C'est pas ce que aura Saint-Antoine-l'Abbaye pour la part de la fondation du patrimoine.
05:45 Ils étaient lauréats cette année, lauréats Iserois.
05:48 La commune va se voir remettre un chèque de 500 000 euros pour la restauration de l'abbaye.
05:53 C'est le montant maximum. Fin des travaux prévus en 2030.
05:57 10 ans de voyage dans le petit train de la Mûre, c'est ce que vient de remporter la 100 000ème passagère de la plus belle ligne des Alpes pour elle et sa famille.
06:08 Tiffen qui n'avait jamais emprunté le petit train avait validé son ticket le 26 août à midi.
06:12 Et comme les heureux élus sont originaires de la Matésine, ils ne devraient pas avoir trop de problèmes pour profiter à fond de leurs récompenses.
06:20 Pour les autres, le petit train est en fonction du mercredi au dimanche jusqu'au 5 novembre.
06:24 Des eaux turquoises du lac de Monténard scellent en ce moment un peu plus verte.
06:29 De la piscine Jambon à Grenoble, il n'y a qu'un plouf.
06:32 Les bassins sont fermés aux baigneurs depuis le 27 août.
06:34 Et comme l'an dernier, la municipalité a décidé de recycler l'eau pour le nettoyage des espaces publics et des airs de jeu.
06:39 Après évacuation du chlore, ce sont cette année 300 mètres cubes d'eau qui ont été captés pour être stockés dans une bâche spéciale.
06:45 D'où seront alimentés les balayeuses et autres véhicules de la propreté urbaine.
06:49 La bâche pourrait être de nouveau remplie si la météo le permet.
06:52 Élémentaire, l'eau mais aussi le feu font partie du quotidien des sapeurs-pompiers.
06:59 Plus qu'une profession, un sacerdoce qui réclame tous les courages des hommes et des femmes qui officient sous votre direction.
07:07 Colonel Jérôme Petitpoisson, bonsoir.
07:10 Vous êtes depuis le printemps dernier directeur du SDIS 38, le service départemental d'incendie et de secours.
07:18 Merci d'avoir accepté notre invitation.
07:20 Pour les sapeurs-pompiers, c'est comme pour les médecins, il n'y a pas de temps mort, il n'y a pas de grandes vacances.
07:26 Comment s'est passé l'été ?
07:28 Jérôme Petitpoisson, directeur du SDIS 38, le service départemental d'incendie et de secours.
07:30 J'ai réuniqué un peu moins en enfer que l'an passé.
07:32 Vous l'avez vu, on a bien évidemment eu un printemps un peu plus arrosé.
07:36 On a traversé l'été avec quelques incendies de végétaux, bien évidemment bien moins catastrophiques que ce que l'ISER a pu connaître l'an passé.
07:45 Notamment l'an passé avec l'incendie qui s'était produit à Vaurep.
07:50 Cette année, on a quand même eu, alors ça nous concerne un peu plus, parce que même si vous vous rayonnez sur tout le département,
07:56 il est vrai qu'on se concentre un petit peu plus sur la métropole.
07:59 Il y a eu un feu important à Mélan.
08:03 Il y a eu un feu conséquent dans un centre commercial à Mélan, qui a été assez visible, avec plusieurs cellules commerciales
08:10 qui ont pris successivement feu durant cet après-midi.
08:13 Pour revenir sur les feux de végétaux, c'est 190 feux sur l'ensemble du département sur cet été, depuis le printemps,
08:20 avec quand même un effet un peu de surchauffe à la fin du mois d'août.
08:24 Vous l'avez vu, on attendait avec impatience l'eau, les pluies.
08:29 Et juste avant la fin août, on a eu 2-3 journées où le département a été placé en risque très sévère,
08:35 avec des feux de 510, qui ont pris de l'ampleur sur le Vercors, sur Chauranche et sur Gélonnais,
08:42 avec 2 feux qui ont dépassé 5 hectares.
08:46 Et puis ces derniers jours, en septembre, le début septembre a été beaucoup plus sec qu'habituellement,
08:54 à tel point que la préfecture a maintenu le risque accru.
08:57 Certaines zones de la métropole, comme le parc des Vouillants, sont interdits d'accès.
09:02 Comment vous vous préparez quand il y a des interdictions comme ça ?
09:06 Vous êtes particulièrement prêts ? Il y a des effectifs qui sont mobilisés, des équipements également ?
09:12 Il y a deux sujets. Il y a tout d'abord les indicateurs qui nous permettent de relever ces journées.
09:16 On a connu en Isère cette année 2 journées très sévères,
09:19 c'est-à-dire sur ces jours-là qu'on a eu les incendies les plus conséquents.
09:22 16 journées en risque sévère jusqu'au plus d'aujourd'hui.
09:26 Hier soir, on était encore en journée sévère.
09:29 Lorsque ces journées sévères arrivent, en lien avec la préfecture,
09:32 on essaye de conseiller les collectivités pour prendre des dispositions,
09:36 pour limiter les conséquences d'éclosion d'un incendie.
09:38 C'est le cas aux Vouillants, sur la métropole, où il y a des restrictions d'accès
09:43 pour limiter l'éclosion et limiter également les conséquences d'une éclosion.
09:47 Donc nous, on se prépare aussi en donnant des éléments d'indication sur le niveau de risque
09:51 sur lequel le territoire de l'Isère va être touché.
09:55 Et après, on met bien évidemment des effectifs, je dirais, sur le terrain,
10:00 au profit du département, comme d'ailleurs, quand on a un risque très sévère à l'extérieur,
10:05 on envoie des renforts dans les zones de France, voire du Canada,
10:09 parce qu'on a envoyé également des renforts au Canada cette année,
10:12 pour prévenir ou pour participer à la lutte contre les feux d'émer.
10:16 On essaye de faire ça aussi, parce que la stratégie française,
10:19 c'est la lutte contre les feux naissants.
10:21 Seuls deux feux ont dépassé 5 hectares cette année.
10:23 L'objectif, c'est d'essayer de mettre le paquet, si je puis dire,
10:26 lorsqu'un feu démarre, pour qu'on évite qu'il prenne de l'ampleur.
10:30 En mettant un gros dispositif, il faut plus vite pour éviter qu'il dérape en feu un peu catastrophique.
10:37 Vous l'avez dit, des effectifs sont partis au Canada.
10:40 Est-ce que pour des sapeurs-pompiers isérois, qui sont peu confrontés à des énormes feux,
10:46 ils en reviennent avec quelle impression ? Est-ce qu'ils sont bien préparés pour aller affronter tout ça ?
10:50 La stratégie de lutte est différente selon les pays.
10:54 Ils en reviennent aussi avec beaucoup d'expérience qu'on peut mettre à profit du département.
10:58 Les Canadiens travaillent plus avec des stratégies de forestage.
11:02 On fait des parts de feu, on coupe dans le végétal pour que quand le feu arrive,
11:06 il y ait des parts feu, des zones de non-brûlés,
11:08 ce qu'on fait moins dans notre stratégie de lutte en France.
11:11 Donc on en revient aussi avec de l'expérience.
11:13 Puis quand on arrive, c'était des détachements d'une centaine de sapeurs-pompiers à chaque fois,
11:17 qui de juin à août ont été envoyés au Canada.
11:20 Les Isérois étaient présents dans un dispositif national.
11:24 On est accueillis et on est aussi briefés pour s'adapter aux procédures opérationnelles de nos collègues canadiens.
11:31 Et a contrario, est-ce qu'il y a des sapeurs-pompiers étrangers qui peuvent venir sur le territoire, notamment en Isère ?
11:38 C'est plus rare. La France est généralement un pays plutôt contributeur au mécanisme eurotéen de protection civile
11:44 sur les moyens aériens ou sur les troupes au sol.
11:47 Mais l'an passé, par exemple, le mécanisme européen a fait venir des pompiers de Pologne, d'Allemagne,
11:52 de différents pays de l'Europe, en France, en Gironde, mais pas que, sur différents espaces du territoire national.
11:58 On a parlé de la piscine Jambon il y a quelques minutes. L'eau va être utilisée pour les nettoyages urbains.
12:04 Est-ce que pomper l'eau des piscines municipales pourrait atteindre les incendies ?
12:07 À votre connaissance, ça s'est déjà fait ?
12:09 Ça peut se faire de façon exceptionnelle. Le feu de forêt remonte vers le nord, prend de l'ampleur.
12:15 On est encore sur du feu de végétaux dans le département, même si le risque augmente.
12:19 On est très préoccupés, nous, par l'usage de l'eau au quotidien, comme on est sur la même source que l'eau potable.
12:25 Quand un incendie prend de l'importance, très vite, on bascule sur l'usage de l'eau grise.
12:29 A l'instar de ce que vous avez montré pour Grenoble, on peut le faire sur des plans d'eau naturels,
12:33 on peut le faire sur les réseaux d'irrigation, pour essayer d'éviter de consommer la ressource d'eau potable.
12:38 Pour lutter contre l'incendie, on va aller sur d'autres types de sources, et donc pourquoi pas des piscines.
12:43 L'été a été particulièrement chaud aussi du fait des violences urbaines.
12:49 Les sapeurs-pompiers sont aussi pris pour cible. Comment vous gérez ça avec vos équipes ?
12:55 On a un système déjà de coordination d'intervention avec les forces de l'ordre.
12:59 La singularité de ce qui s'est passé sur l'épisode de fin juin, début juillet,
13:04 c'est que ça a touché tout le territoire départemental, et pas simplement la métropole, l'agglomération.
13:10 On a des procédures de coordination avec les collègues de forces de l'ordre,
13:15 pour faire des points de rassemblement et intervenir lorsque les violences urbaines sont en place,
13:19 sous "escorte", sous protection.
13:22 On renforce notre dispositif pour avoir un peu plus d'effectifs et finalement se surveiller entre nous.
13:28 Ça s'est plutôt bien passé, même si malheureusement on a déploré des jets de pierres,
13:32 des choses plutôt dommageables, avec des grosses pierres qui ont été jetées dans nos véhicules,
13:38 notamment sur Grenoble, et qui auraient pu conduire à des drames.
13:41 Ça doit être difficile à accepter pour des sapeurs-pompiers qui disent "moi je viens aider les gens,
13:45 et on me canarde avec des pierres".
13:47 Il n'y a pas de résignation, il n'y a pas de fatalité, c'est pas forcément accepté.
13:51 Mais par contre, on se prépare à ne pas sur-réagir dans nos comportements, dans nos propos,
13:57 laisser la situation apaiser, et revenir à l'essentiel de ce pour quoi on vient,
14:01 c'est-à-dire protéger les biens et les personnes.
14:04 On a malheureusement sur l'agglomération une certaine expérience,
14:08 et les pompiers iséraux sont expérimentés.
14:10 Le phénomène nouveau qui s'est passé à l'été, à fin juin, début d'été,
14:14 c'est le fait que ça a touché des territoires jusqu'alors non touchés par les violences urbaines.
14:20 Justement, combien de sapeurs-pompiers osent dire, je crois qu'il y a 80% de volontaires ?
14:26 Alors nous sommes dans l'établissement public 5200, 870 pompiers professionnels,
14:32 4200 sapeurs-pompiers volontaires, et 250 personnes administratives et techniques.
14:37 Donc le gros de l'effectif, effectivement, sont les sapeurs-pompiers,
14:40 avec comme vous l'avez dit, 80% de pompiers volontaires et 20% de pompiers professionnels.
14:46 C'est toujours un métier qui fait rêver les petites filles et les petits garçons ?
14:48 Je l'espère, en tout cas on a des candidats.
14:51 On a plutôt eu les effets post-Covid dans la crise de l'engagement, on va dire, mais ça repart.
14:57 Et donc, comme vous me donnez le micro et la chance de pouvoir m'exprimer,
15:01 je peux dire que nos casernes sont ouvertes aux vocations,
15:04 à la fois pour découvrir ce que ça peut être au travers du volontariat.
15:07 Vous prenez des stagiaires de 3e ? C'est la saison !
15:10 On prend aussi des stagiaires de 3e, alors on ne les emmène pas en intervention,
15:13 mais on les prend dans nos casernes.
15:14 Et d'ailleurs, il va y avoir des nouvelles casernes aussi, un gros plan de développement de casernes ?
15:18 Ça a déjà été évoqué, je pense, présenté aussi par la présidente du conseil d'administration.
15:22 Il y a un très gros plan d'investissement qui s'ouvre devant nous, avec près de 70 millions de travaux.
15:28 Et l'agglomération grenobloise est bien concernée avec plusieurs gros projets,
15:32 Saint-Martin d'Air, Sessiné-Parisais, Grenoble, qui sont dans ce plan.
15:37 Merci beaucoup, colonel Jérôme Petitpoisson.
15:39 Je rappelle que vous êtes le directeur du SDIS38.
15:42 Merci.
15:43 Le feu et la glace, mardi soir, c'était le premier match de la saison à domicile.
15:47 Pour les Brûleurs de l'eau à Pôle-Sud, les Grenoblois recevaient les aigles de Nice
15:51 et fêtaient aussi les 60 ans du club en présence d'anciens joueurs.
15:55 Score sans appel, 5 buts à zéro en faveur des Grenoblois.
15:59 Peut-être un peu vexé de leur défaite à Sergie samedi dernier.
16:03 C'est une victoire importante pour l'équipe.
16:05 Ça fait du bien, tu sais, après la dernière partie à Sergie.
16:09 Devant nos partisans comme ça, première partie, ça fait du bien.
16:13 De voir qu'on a bien figuré, qu'on n'a pas donné de but contre,
16:17 je crois que c'est important et on a bien fait ça.
16:20 Avec toujours des Canadiens aussi.
16:23 Pour son prochain match, Grenoble se déplacera aux Pays-Basques
16:26 pour affronter Angleterre vendredi soir.
16:29 Comment marier le beau et l'utile?
16:32 Élément de réponse à l'occasion de la nuit du designer qui fait son retour à Grenoble
16:36 jeudi au World Trade Center.
16:38 Plus de 30 exposants sont attendus, de plus en plus soucieux
16:40 de proposer de nouvelles solutions d'usage.
16:43 Soucieux de leur impact économique, socio et environnementaux,
16:46 des expos, conférences et échanges illustreront ses pratiques et spécificités régionales.
16:53 Miel de montagne, calling Marianne Ojos et Parmi.
16:58 Ils seront tous là jeudi soir à partir de 18h
17:01 pour le concert de rentrée de l'Université Grenoble-Alpes
17:04 concocté par Retour de Seine.
17:06 Rendez-vous sur le campus à Saint-Martin d'Air,
17:10 sur la pelouse du nouveau bâtiment Muse, ses places centrales.
17:14 L'entrée est libre, ouverture de la soirée à 18h avec des animations avant les concerts.
17:20 A 19h20 ce mercredi, un nouveau Si on parlait.
17:24 Ce soir, Lucille Dailly reçoit Johanna Vigneron, danseuse acrobate,
17:27 désormais professeure et entrepreneuse à la barre de son studio,
17:31 l'envolée pole dance à Jier.
17:33 C'est un peu comme chez les sapeurs-pompiers.
17:35 Nathalie Lopizzo, une artiste qui transforme votre vision au kaléidoscope,
17:39 une symphonie de couleurs tranchée dans un art vif.
17:42 Lou Fouque est onirique, qu'elle expose en ce moment au Vogue à Fontaine.
17:45 Quant à Elisa Elissa Lefebvre, elle transpire pour votre cardio,
17:48 mais à votre bon cœur, avec la SPTT, elle organise la Grenobloise,
17:52 une course solidaire au cœur de Grenoble ce dimanche.
17:55 Si on parlait, c'est à revoir jeudi à midi 20.
17:58 Retour de l'actu dans une heure et en replay sur télégrenoble.net.
18:01 On se quitte avec le clip de Jemé alias Jérémie Chevrier.
18:05 Le guitariste chanteur grenoblois proposera jeudi soir à Lomperaj
18:08 une release party pour découvrir son projet folk électro pop,
18:12 avec aussi en première partie Kroon.
18:14 Excellente soirée à tous.
18:16 ...