Bertrand Deckers fait le bilan du passage de Charles III à Paris !

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Transcript
00:00 Est-ce que le roi Charles et Emmanuel Macron se kiffent ou est-ce que c'est Tommy ?
00:02 Non, non, si, si, il y a une vraie amitié.
00:04 Ah, vraiment ? Genre, ils se kiffent de ouf ?
00:06 Oui, oui, si, ils s'apprécient vraiment.
00:08 D'ailleurs, on a vu, c'est reproché par la presse d'ailleurs,
00:10 Emmanuel Macron ne cesse de toucher le roi à trois reprises, quatre reprises,
00:14 et à aucun moment le roi…
00:16 Il a le droit de toucher le roi ?
00:16 Non, normalement non, parce que le roi est couronné, c'est une figure sacrée.
00:20 Pour les Anglicans, il est chef de Dieu sur Terre.
00:22 Et qui ?
00:23 Chef de Dieu sur Terre ?
00:24 Oui, il est l'incarnation de Dieu, puisqu'il est chef de l'Église anglicane.
00:28 C'est à ce titre-là que normalement on ne peut pas le toucher.
00:31 Mais croyez-moi qu'il aurait fait ça avec Élisabeth II,
00:33 dans la seconde, il aurait compris sans qu'elle n'aurait rien formé,
00:36 que…
00:37 Ah oui, il se serait fou !
00:38 Il se serait directement retiré.
00:41 Vas-y, qu'est-ce qui t'arrive ? Vas-y !
00:44 Tchès, elle se tape de ouf Élisabeth !
00:47 Et donc, ils se kiffent vraiment, parce que moi je sens que c'est Tommy, moi.
00:50 Moi je sens que Charles il n'est pas comme un ouf, des fois il va être genre…
00:53 Il y a une vraie amitié, on rappelle quand même que le président…
00:56 C'est qui le plus fort entre Charles et Emmanuel Macron ?
00:59 Le plus fort d'un point de vue ?
01:00 Genre en taulier ?
01:03 En bras de fer.
01:04 En bras de fer ?
01:05 Non mais en taulier, c'est qui le plus taulier des deux ?
01:07 C'est qui, voilà, quand ils vont au restaurant, c'est qui qui paye ?
01:09 [Rires]
01:12 C'est le plus riche, le roi !
01:15 C'est le plus riche, ça dépend qui habite.
01:17 C'est le roi, genre le roi…
01:18 Non mais c'est qui qui a le dessus sur l'autre ?
01:21 Si ça arrivait maintenant, forcément que c'est le président qui paye…
01:24 Non mais genre, est-ce qu'il y a plus de respect ?
01:26 C'est une drôle de question !
01:28 Ah ouais, j'ai envie de savoir !
01:29 C'est pas ça celle d'après !
01:30 Genre, est-ce qu'il met un coup de pression à l'autre ?
01:32 Charles.
01:33 Charles, ouais, Charles.
01:33 C'est diplomatique tout ça, c'est diplomatique, c'est des tactiques.
01:36 Faire du bon.
01:37 Charles est très riche, oui, c'est vrai que Charles est…
01:39 C'est Charles qui paye le plus.
01:40 Dieu bénisse.
01:41 Dis-moi, pourquoi Emmanuel Macron il a choisi Versailles ?
01:45 Emmanuel Macron il a choisi Versailles parce que Versailles c'est une vitrine.
01:49 Et Emmanuel Macron, il voulait vraiment que ça en jette.
01:53 Et je… alors c'est très critiqué Versailles, Cyril.
01:56 Mais ce que l'on peut peut-être apporter dans ce débat où on dit
01:58 "c'est un peu honteux, Versailles, na na na",
02:00 c'est que ça n'a rien coûté du tout.
02:02 Le palais il est mis à la disposition des grandes réceptions de la République.
02:05 Je reçois à toi.
02:06 Attention, oui.
02:08 Alors, et donc…
02:09 Alors voilà, et ça a marché.
02:11 Alors, il a fait un discours, Charles.
02:12 Oui.
02:12 Hein ?
02:13 Français.
02:13 C'est ça ?
02:13 Français.
02:14 Mais…
02:14 Il a fait un discours.
02:15 Est-ce que je voulais peut-être un tout petit peu dire ?
02:16 Ça a marché, Cyril, le fait de sortir Versailles.
02:19 Vous savez quoi ?
02:19 Parce qu'hier, comme j'étais sur place,
02:20 je suis un peu inquiété, j'ai un peu posé des questions.
02:22 250 journalistes ont demandé pour être accrédités uniquement pour Versailles.
02:26 Et parmi ces 250 journalistes, la grosse majorité étaient internationaux.
02:30 Et beaucoup de journalistes du Moyen-Orient.
02:33 Et pourquoi du Moyen-Orient ?
02:34 Parce que c'est Versailles qui les fascine.
02:36 C'est ni Emmanuel Macron, ni Charles III.
02:38 C'est les ors qui allaient être déployés sous la galerie des glaces.
02:42 On sait quand même que la population du Moyen-Orient,
02:43 quand elle voyage, elle a les moyens.
02:45 C'est elle qui va dans les gros groupes LVMH, Dior, Chanel.
02:48 Donc je pense qu'il va vraiment y avoir des retombées économiques
02:51 aussi en matière d'images.
02:53 Tu rêves.
02:55 Alors les invités, ils semblaient tous très très contents de cette soirée.
02:58 C'était une soirée, c'était diva.
03:00 Bon, j'y allais.
03:00 Après, on va parler de la bouteille de vin parce que ça va être le débat du jour.
03:03 À 2500 boules, la bouteille de vin, je peux te dire ?
03:05 2 800.
03:07 772.
03:08 2 700.
03:08 2 800 boules, la bouteille de vin, frère, t'aurais dû en voler une.
03:11 Mais Cyril !
03:13 Il fallait en ramener ça, il a tout pris.
03:15 Il fallait ramener le carton.
03:16 [Applaudissements]
03:19 T'as même pas foutu de me ramener un carton de 6.
03:21 On va parler de Charles, il a même vu Anne Hidalgo.
03:24 Il a vraiment du temps à perdre lui.
03:25 Non mais sérieux, il aurait pu venir nous voir aussi, c'était pareil.
03:28 Pourquoi tu l'as pas invité, toi, Charles III ?
03:30 Tu sais pourquoi ?
03:31 Pourquoi ?
03:31 Parce que de là où j'étais mis, Charles III, il mesure 15 cm.
03:34 Non, je suis sûr que c'est vrai.
03:35 Totalement, il était loin.
03:36 C'est vrai, t'as vu Charles III.
03:37 J'avais voulu moi lui parler, mais on m'a dit qu'il ne bouge pas.
03:39 Alors justement, on va parler de la folle soirée de Berckrand-Eckert dans un instant.
03:42 Et puis le débat du jour des bouteilles de vin à 2772 euros,
03:45 servies aux 160 invités lors du dîner.
03:47 Il paraît que c'était quoi ? C'était un cadeau ?
03:49 Déjà, ils étaient 150, il y a 10 personnes qui ne se sont pas présentées.
03:52 Et en effet, c'était un cadeau, ça a été offert.
03:54 Ça fait 28 000 boules déjà qui ont été jetées.
03:56 Elles sont où les 10 bouteilles ?
03:57 C'est des fausses polémiques.
03:58 On va voir ça.
03:59 Mais toi, tu défends l'indéfendable.
04:01 Qui sont les 10 personnes qui ont snobé ?
04:02 Il a dit comme la gaffe, il vient de nous donner des leçons.
04:05 Le roi, il en est où ? Il est où ?
04:06 Le roi, pour l'instant, il vient de quitter un entretien avec Emmanuel Macron au palais de l'Ilysée.
04:10 Et il va rejoindre l'ambassade de Grande-Bretagne pour une réception.
04:13 Mais pas du tout de l'ordre de hier.
04:15 C'est une réception vraiment...
04:16 Il doit être éclaté.
04:17 Non, ils n'ont pas arrêté une minute.
04:20 Ils n'ont pas arrêté pour déjeuner.
04:21 Il en a chié.
04:22 Regarde la photo.
04:23 Le roi, il est au bout de sa vie.
04:27 C'est un fait de dîner, ça.
04:28 Le roi Charles, donc...
04:30 Attends, tu nous as dit il y a un instant qu'il n'y avait pas 160 personnes,
04:33 mais 150, c'est qu'il y a 10 personnes qui ont planté.
04:34 Il y aurait 10 personnes qui vont planter, en tout cas, qui ne se sont pas présentées.
04:38 Alors, tu veux que je te dise ? Je les kiffe.
04:39 Je ne sais pas qui sont ces 10 personnes, mais bravo.
04:40 Ça, pour moi, c'est du panache.
04:42 On a parlé notamment de Christine Scott Thomas, qui était attendue.
04:46 On a attendu, attendu. Elle n'est jamais venue.
04:48 J'adore. Je suis fan.
04:49 Voilà, Christine Scott Thomas est incroyable.
04:51 C'est hyper inélégant.
04:52 Elle n'a pas le temps.
04:53 C'est génial. C'est du panache, ça.
04:55 T'as invité à Versailles.
04:56 Il y a Macron, il y a le roi Charles.
04:58 Il est en train de regarder Lens, Lévis.
05:04 C'est magnifique.
05:05 C'est du panache, ça.
05:06 Bravo, Christine Scott Thomas.
05:07 Par contre, tu peux venir ici quand tu veux.
05:09 Voilà.
05:10 Et donc, il y avait des bouteilles de vin.
05:11 On va en parler dans un instant, mais juste avant, on va revenir sur ta journée.
05:14 La folle soirée de Bertrand Dekers.
05:15 19h15, donc tu es au château de Versailles.
05:17 Le problème, c'est que Bertrand pensait être le seul journaliste envoyé là-bas.
05:20 Mais non.
05:20 Regarde.
05:21 - C'est qui, les gens qui sont là ?
05:26 Pourquoi ils sont si prêts ?
05:28 Et ce monsieur-là, je crois qu'il est du château.
05:31 Il y a la dame de l'Élysée que je vois là.
05:34 - Alors, c'est vrai que toi, t'étais très loin.
05:39 Ils ont peur. Ils ont eu peur.
05:40 - Ils sont 12 cm.
05:42 Ils sont arrivés en retard, déjà.
05:43 Résultat, quand ils sont arrivés, nous étions en pub.
05:46 Je ne les ai pas vus.
05:47 Ils arrivent en retard, ils sont tout petits.
05:48 Elles ne portent pas de couronne.
05:49 Deux billes à dame.
05:50 J'ai pleuré.
05:51 - Non, je sais. Ah ouais.
05:52 Peur pour un oui, pour un non, toi.
05:55 - Elles ne portent pas de couronne.
05:56 - Elles devaient porter un diadem.
05:57 Normalement, visite d'État, tu portes un diadem.
05:58 - Elle n'a pas porté de diadem, Camilla.
06:00 - Non.
06:01 - Elle n'a pas porté de diadem.
06:02 Comment ça se fait ?
06:03 - Alors qu'en Allemagne, elle en a porté un.
06:04 On pense que c'est pour ne pas trop "éclipser" Brigitte Macron.
06:08 - Ah ouais.
06:09 - En Allemagne, elle est allée voir qui ?
06:11 - En Allemagne, elle est allée voir le président allemand.
06:14 - Fulcoun.
06:15 - Le chancelier.
06:17 - Elle est meilleure en Angleterre qu'en Allemagne.
06:20 - Elles sont très élégantes, en tout cas.
06:22 - C'est une robe Christian Dior, avec un petit manteau.
06:25 - Elle est venue en décapotable, Camilla ?
06:27 - Cap.
06:28 - C'est sûr.
06:29 - Non mais, c'est ça.
06:30 Il y avait un...
06:31 - C'est l'affarure de sa fille, Elisabeth Dior.
06:33 - Par contre, il y avait une soirée chauve-souris après.
06:35 - Ce qui est drôle, c'est qu'elle a demandé au dernier moment
06:38 d'ajouter cette fameuse cap que vous voyez,
06:39 parce que le roi a demandé à l'issue du dîner
06:41 pour aller faire une promenade dans les jardins du château.
06:43 - Il paraît qu'elle était comme ça tout le dîner.
06:45 C'est énorme, sans déconner.
06:48 - C'est énorme, la robe chauve-souris, c'est très beau.
06:50 - La cap est tombée.
06:51 - Emmanuel et Brienne, ils sont frais, c'est la vérité.
06:53 - Ils sont tous de la même taille.
06:55 - Et Charles, je trouve, c'est fou.
06:56 Et Charles, Dieu bénisse, il est très frais.
06:58 - Et après, ce matin, elle souligne le baisement.
07:00 Emmanuel Macron a vraiment fait un baisement à la reine.
07:02 Il mettait parfait le dos, parfaitement droit,
07:04 parfaitement incliné.
07:06 "So French", il dit là.
07:07 - Je vois qu'elle a kiffé, là.
07:08 Je vois qu'elle a kiffé.
07:09 Ça l'a décoiffé.
07:10 Premier duplex de Bertrand, 19h21.
07:13 On passe à l'antenne, donc je lui ai logiquement posé
07:15 des questions géopolitiques.
07:16 Regardez.
07:17 - T'es beau gosse, tu vas pécho, tu penses là-bas.
07:19 C'est qui, la meuf ?
07:20 Tu peux lui demander son Insta pour Raymond ?
07:22 Il y a des cums, un peu.
07:23 Il est beau gosse, lui, j'aime bien.
07:24 Est-ce que tu peux nous chanter un petit coup de...
07:26 (Il chante en allemand.)
07:28 (Rires)
07:29 - Oui, oui, oui, je sais.
07:31 (Applaudissements)
07:34 - Donc là, ils sont pas encore arrivés.
07:35 Tu vas leur raconter le dîner et tout ça.
07:37 Et 19h51, t'es en panique.
07:38 Tu sais pas quand il sera de retour à l'antenne
07:40 et tu fais donc appel non pas à Robin,
07:42 le rédacteur en chef adjoint de l'édition,
07:44 mais à Roba.
07:45 Regardez.
07:46 - Roba, tu m'entends ?
07:48 Il faut allumer le micro, me dit Roba.
07:50 J'ai pas de retour, moi.
07:51 - Roba.
07:52 Vous voulez dire, est-ce qu'il me voit, quoi, tu vois ?
07:54 - Roba.
07:55 - Roba, comment est-ce que je te préviens
07:56 quand ils arrivent, tout comme on te fait, moi ?
07:57 Tu me vois à l'écran ?
07:59 - Roba.
08:00 - Donc je fais des...
08:01 Quand je magique, c'est que voilà.
08:02 (Rires)
08:03 (Applaudissements)
08:08 - Alors, Laurent Harrier, lui, il est excité
08:10 comme un morpion au mondial de la moquette.
08:12 Ca, c'est 19h59.
08:14 Et il fait des signes, Bertrand, à la caméra,
08:16 pour nous prévenir, mais en fait,
08:17 on était partis complètement sur un autre sujet.
08:19 Regardez.
08:20 (Rires)
08:21 - Ah, voilà, voilà, voilà, voilà, voilà.
08:23 (Musique)
08:30 Alors, c'est...
08:31 Et voilà la Bentley Royale.
08:34 (Musique)
08:38 La Bentley Royale, on le voit, regardez,
08:40 elle est juste derrière moi, 6,60 m.
08:43 Regardez, voilà, elle est...
08:45 Je n'ai pas de micro.
08:47 Mais je n'ai pas de micro.
08:49 (Applaudissements)
08:53 - Alors, attends.
08:55 Hé, la Bentley, on se bat.
08:57 - Je n'irai plus jamais.
08:58 - Hé, 11 millions, la Bentley.
08:59 11 millions.
09:00 - Elle est à 6,60 m.
09:01 Elle est entièrement sécurisée.
09:02 C'est incroyable, Cyril, parce que j'ai eu une photo
09:04 que j'ai eu l'occasion de prendre quasiment couché
09:06 sur la voiture, parce qu'il n'y avait personne.
09:08 La voiture, elle était toute seule.
09:09 Elle était stationnée dans un endroit.
09:10 Il n'y avait aucun, aucune sécurité autour de cette voiture.
09:13 - Pourquoi tu n'as pas pris la voiture et le vin ?
09:15 - J'ai voulu, figure-toi,
09:16 j'ai voulu taguer TPMP sur la voiture.
09:18 - Ah, ouais, c'est un peu trop.
09:19 - Hé, vas-y, hé, c'est un ouf, lui.
09:21 Alors, 20h10, le roi est passé.
09:23 On n'a pas pris Bertrand en duplex.
09:24 Je ne vous cache pas que sa déception était immense,
09:27 mais il gardait espoir, regardez.
09:29 - Cyril est alerté que c'est trop tard.
09:33 S'il veut reprendre, il nous demande de rester jusqu'à 30.
09:36 Donc, encore 20 minutes.
09:38 - Dis-moi, Nidalgo, elle est maire de Versailles ?
09:41 - Parce que c'est en travaux, je vois.
09:43 - Versailles est un chantier permanent.
09:46 - Ah, ouais, ouais, comme Daniel.
09:48 C'est l'heure de rendre l'antenne.
09:50 21h14, alors là, à ce moment-là, Bertrand est seul.
09:53 Il n'y a plus de lumière au château, plus de journalistes,
09:55 plus d'invités, plus personne.
09:56 - Mais non !
09:57 - Il est seul, l'âme en peine, regardez.
09:59 C'est la tristesse absolue.
10:00 - C'est génial.
10:01 - À vous tous tout de suite, c'est Magellon.
10:03 (applaudissements)
10:05 (brouhaha)
10:07 (brouhaha)
10:10 (brouhaha)
10:13 - Ça me fait mal au cœur.
10:15 (brouhaha)
10:17 (brouhaha)
10:19 (musique douce)
10:22 (musique douce)
10:25 (musique douce)
10:28 (musique douce)
10:31 (musique douce)
10:33 (applaudissements)
10:35 - Alors...
10:36 (applaudissements)
10:39 Les chéris, on vous a dévoilé le menu de l'incroyable dîner.
10:42 Le dîner, donc, était très bon.
10:44 Mais dis-moi, est-ce que...
10:46 Donc, tout le monde a mangé, Dieu bénisse, bien, tout ça ?
10:49 - Il paraît que tout le monde a mangé.
10:50 - Toi, t'as mangé quoi, là-bas ?
10:51 - Rien, rien du tout, même pas de bouteille d'eau.
10:53 - Quoi, rien ? T'avais rien, là-bas ?
10:54 - Non, rien du tout.
10:55 - T'es rentré comment, en RER ?
10:56 - Je suis rentré à pied.
10:57 - Non.
10:58 - Non, je sais pas.
10:59 - Dis-moi, c'était une race.
11:00 - Je suis resté très, très, très longtemps.
11:01 - Mais c'était tranquille, rien de mort.
11:03 - Et Charles, t'as pas vu Charles ?
11:05 - Non, Charles ne m'a pas vu.
11:08 Moi, je l'ai vu comme ça, voilà, mais lui, il ne m'a pas vu.
11:10 - Alors, t'es content, quand même ?
11:11 - Oui, je suis quand même...
11:12 - C'est bien, combien ?
11:13 - Oui, je suis content.
11:14 - Bien...
11:15 [Musique]

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