Retrouvez le replay des derniers kilomètres de la 1ère étape de la CRO Race du 26/09/2023.
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00:00 14,6 km à parcourir pour cette première étape de la Cro-Race.
00:03 C'est l'équipe de choc que vous retrouverez dans la foulée juste après l'arrivée,
00:07 bien sûr avec Franz Spiron et toute sa bande.
00:10 Nous on se prépare pour un sprint, normalement, c'est ce qu'on attend,
00:13 même si là c'est en train de grimper un petit peu.
00:16 On aperçoit toujours les trains des équipes.
00:18 Ineos Gronadiers menée notamment par Luke Plapp, le champion d'Australie.
00:22 On a aussi vu le train de la Jayco Alula à côté.
00:25 Et puis des coureurs qui commencent à être un petit peu en difficulté.
00:27 Martin Pedersen pour la Little Trek qui est ici.
00:31 On aperçoit aussi des coureurs qui ont fait leur travail,
00:33 comme Price Pedersen pour l'équipe Barhain-Victorious ou le Dossard 4 également.
00:38 Et là évidemment il ne faut plus, j'allais dire, qu'Ethan Aiter soit là.
00:42 Et en même temps le Dossard 11 est là.
00:43 Vous l'avez vu ? Dans les toutes dernières positions.
00:45 Vous l'avez vu Claire ? Oui.
00:46 Ah bah très bien, bravo, c'était un excellent placement.
00:49 Il est là.
00:50 Non mais on vient d'entamer une petite route,
00:52 enfin une plus petite route un peu sinueuse.
00:54 C'est bien et bonne implication.
00:58 En tout cas on a vu que le train en plus d'Ineos Grenadiers est vraiment tout devant.
01:02 Non mais je ne pique pas, je suis quasiment sûre que c'était Ethan Aiter juste derrière.
01:09 Il va falloir se placer aussi parce que le final, Pierre Roland, va être assez particulier.
01:14 On a été un peu décortiquer le final.
01:17 Là les coureurs ont tourné sur la droite.
01:19 Ils sont dans une partie très technique.
01:21 Il va y avoir pas mal de petits virages.
01:23 Ils vont alterner des parties techniques et des parties un petit peu plus rectilignes.
01:28 Mais le final, les 5-6 derniers kilomètres sont assez rectilignes.
01:33 Il y a juste un rond-point à 1 km selon certaines sources, à 700 m selon d'autres.
01:40 Mais il y a un rond-point.
01:42 Le rond-point, ils doivent faire le tour de ce qu'on voit.
01:46 Ils doivent faire le tour.
01:47 Normalement, on pourrait couper. Mais on va voir ce que l'organisateur aura décidé.
01:53 Mais certainement qu'on va couper ce rond-point à 700 m.
01:56 Et puis après, c'est une grande ligne droite avec quelques courbes.
01:59 Donc rien de dangereux, rien de significatif.
02:04 L'arrivée est complètement plate.
02:06 C'est tout plat.
02:08 On a fini avec les difficultés.
02:09 Là, les coureurs ont avalé les derniers faux plats.
02:11 Maintenant, c'est tout plat et on reprend un petit peu de vent favorable.
02:15 Parce que depuis un bon moment, les coureurs avalent vent de face.
02:19 Mais on ne va pas très vite.
02:20 Là, la situation est figée.
02:22 Ils ne devraient pas avoir d'attaque.
02:24 Les équipes ont pris position à l'avant.
02:27 Et ça va rester comme ça certainement un petit moment.
02:30 L'équipe Noix aussi qui remonte.
02:31 On voit que certains de leurs casques, on rappelle qu'Alexander Christophe
02:34 est dans les rondes de cette formation.
02:37 Vous l'avez bien vu là, Ethan Heiter, Christophe, sur le plan précédent.
02:40 C'est bon, je valide.
02:41 Vous aviez l'œil bien plus aiguisé que moi au premier coup d'œil.
02:44 Mais il est bien dans les dernières positions.
02:46 Le Dossard numéro 11.
02:48 Et c'est Elia Viviani, Dossard 13, qui est en queue du train d'Ineos Grenadiers.
02:53 Toujours ce suspense à savoir qui va être lancé entre ces deux coureurs.
02:57 Et Olo Kometa également qui remonte.
03:01 Sur la droite là-bas, toujours la Jaikwa Ola emmenée par Christopher Juliensen.
03:06 Et on voit Alexander Christophe là en deuxième position pour l'équipe Noix.
03:11 Voilà maintenant, c'est clairement la guerre de places.
03:14 Tout le monde a pris sa place.
03:15 Ça va être très compliqué pour les coureurs qui sont en 50, 60ème position.
03:19 Le remonte est encore sur cette route.
03:21 Donc pour Ethan Heiter, c'est vraiment très compliqué.
03:24 On voit que tout le monde garde sa place.
03:25 Tout le monde prend le maximum de place sur la route.
03:27 Surtout que là, Pierre disait qu'un coureur pouvait être laissé à côté d'Ethan Heiter.
03:32 Là, je n'ai pas l'impression qu'il y en ait un.
03:34 On n'a laissé personne.
03:36 On n'a laissé personne.
03:37 En plus, on voit toutes ces parties techniques.
03:39 Là, ça étire le peloton.
03:40 Après, on va peut-être récupérer une plus belle route à un moment donné qui va permettre
03:46 à Heiter de remonter.
03:47 Il a souvent l'habitude de faire ça, de remonter vraiment dans le final.
03:50 On va voir.
03:51 Mais c'est sûr que là, on n'a laissé personne à côté d'Ethan Heiter.
03:55 Il va se débrouiller tout seul.
03:57 Ça a été tout droit.
03:58 Ça tire tout droit.
03:59 On a failli louper le virage là pour deux ou trois coureurs, notamment le coureur de
04:04 Eolo Kometa.
04:05 On voit bien le Dossard 11 là.
04:06 Toujours plus de doute.
04:08 Encore un petit peu à l'ASM, c'est Anzolane Zeu qui est la champion des Pays-Bas Esport
04:20 du contre la montre.
04:21 Contrairement à des courses World Tour ou des courses un peu plus renommées avec une
04:26 grosse start list au départ, comme on l'avait par exemple au Luxembourg.
04:28 Là, le niveau n'est pas très homogène.
04:31 Il y a quand même des équipes qui sont, il faut le dire, qui sont continentales, qui
04:35 n'ont pas l'habitude de courir comme ça avec un peloton de niveau international.
04:38 Rester à l'arrière, c'est aussi à un moment donné se retrouver en danger, se retrouver
04:42 dans une cassure, sur une relance, sur une petite bosse, un long faux plat.
04:47 Donc honnêtement, c'est quand même dangereux de rester à l'arrière comme le fait Ethan
04:50 Heiter depuis tout à l'heure.
04:51 Pour la Bahrein Victorious, bien sûr, on protège Matai Mohoric.
04:55 On va peut-être lancer aussi Mathes Govekar pour le Slovene de cette équipe qui a fait
05:02 la Vuelta, lui qui a terminé 4e de son championnat national cette année également.
05:07 En tout cas, on imagine qu'on va lancer un coureur aussi.
05:10 On aperçoit Quinzaï, 25, son maillot de champion des Etats-Unis, qui est remonté.
05:20 Antoine Tolouc, là, de Sars 21.
05:27 Alors regardez, Ethan Heiter qui passe sur le côté.
05:32 Il va aller nous faire le sprint, vous allez voir.
05:35 Il va nous sortir un truc du chapeau.
05:37 Est-ce que ce n'est pas plus angoissant de remonter, après on n'est pas à sa place
05:41 mais surtout pas moi, mais de remonter à 11 km de l'arrivée comme ça tout le peloton
05:45 ? C'est pas dangereux en plus.
05:47 On n'a pas tout vu, il a peut-être eu un petit incident, un petit quelque chose.
05:51 C'est étonnant de le voir tout seul.
05:53 Mais bon, c'est sa manière de faire, c'est sa marque de fabrique à lui.
05:58 C'est un coureur atypique.
06:01 Je ne serais pas surpris quand même de le voir, ces derniers kilomètres tout droit,
06:06 rectiligne, se faire amener par ses équipiers.
06:10 Donc il faut quelqu'un descendre ? Non, c'est lui qui va revenir au contact.
06:13 Là, ça ne roule pas en vrai.
06:16 Il est quand même dans une équipe renommée, une équipe à qui on laisse la place, qui
06:20 est souvent groupée à l'avant.
06:21 Et honnêtement, c'est simple de rouler à l'avant.
06:23 Quand il fait partie d'une de ces équipes, il n'y a quand même pas grand monde qui
06:27 vient lui prendre.
06:28 Pourquoi vous dites ça ? Parce qu'on se parle ?
06:29 Non, parce qu'on lui laisse la place.
06:30 C'est parce que collectivement, on est à l'avant.
06:31 Parce qu'on est respecté.
06:32 Collectivement, on est à l'avant.
06:33 Donc il y a un respect des autres.
06:36 Il y a des équipes pour qui c'est beaucoup plus compliqué.
06:40 Donc c'est d'autant plus presque incompréhensible de le voir.
06:46 Tout à l'heure, on l'avait vu remonter, on avait parlé des bidons.
06:48 Il était remonté à la hauteur de ses coéquipiers.
06:49 Là, il s'est laissé une fois de plus reculé à l'arrière.
06:51 Comme le dit Pierre, il va certainement revenir.
06:55 On va sûrement le voir dans l'emballage final.
06:57 Mais voilà, tout ça fait que c'est quand même des efforts inutiles.
07:02 Et en plus de ça, il prend des risques parce que là, il peut se passer n'importe quoi.
07:04 Un coureur qui tombe, on voit bien, ça frotte quand même énormément.
07:08 C'est droite, gauche, petite route.
07:10 Il prend quand même le risque à un moment donné de se retrouver dans une cassure due
07:13 à une chute ou autre chose.
07:14 Et si cet effort le galvanisait un petit peu ?
07:19 C'est possible, une petite décharge d'adrénaline, de se sentir un peu en danger.
07:24 En tout cas, c'est sûr que ça ne lui plaît pas de rouler devant comme ça, en rang d'oignon,
07:31 comme ils font toutes les équipes.
07:33 On les voit, Ineos, Barre, Ineolo, J-Ko Aloula dans l'ordre.
07:37 Ce n'est pas quelque chose qui lui correspond.
07:39 Donc voilà, il a besoin de cette adrénaline.
07:44 Pour avoir couru avec Brian Coquart, il était un petit peu pareil.
07:48 Ça lui est arrivé de nous dire "Vous ne vous occupez pas de moi, mais par contre à
07:52 2 km, je serai dans vos trous".
07:54 Donc voilà, Brian, il passait à des endroits où personne ne passe.
07:59 Il se faufilait, ça ne lui coûtait pas d'énergie.
08:02 Au contraire, c'était un peu comme un boost, comme s'il emmagasinait de l'adrénaline.
08:07 Et puis après, il délivrait tout ça dans son sprint.
08:10 Mais c'est vrai qu'on joue un peu avec le feu.
08:13 S'il y a une chute sur une route peu large comme il y a actuellement, on est bloqué,
08:18 on ne peut pas passer.
08:19 Et puis voilà, les chances de victoire et aussi les chances de classement général
08:22 parce qu'on est à 10 km de l'arrivée.
08:23 Si on prend une cassure trop importante, c'est terminé pour le classement général.
08:28 C'est aussi la raison pour laquelle on voit J-Ko Aloula, on se questionne pourquoi il
08:31 roule.
08:32 C'est que Eddie Dunbar, le leader de la J-Ko, sait pertinemment qu'il a une très
08:40 grande chance, une réelle chance de l'emporter.
08:42 Et il ne prend aucun risque.
08:43 Ce serait dommage de prendre une cassure, de perdre 15 secondes et de terminer cette
08:47 course avec trois secondes de retard sur le premier dû à cette cassure.
08:52 Donc voilà, on se protège en étant à l'avant.
08:56 Quand on a l'ambition pour le classement général, en tout cas, on se doit de se mettre
09:00 à l'avant.
09:01 Oui, mais il y a des coureurs qui n'y arrivent pas.
09:02 C'est tout.
09:03 C'est contre nature et c'est trop difficile.
09:05 Et puis de toute façon, à l'avant, il n'y a pas de la place pour tout le monde.
09:08 Donc voilà, il faut des coureurs.
09:10 Il faut des montcoutiers.
09:11 Il faut des tanateurs qui traînent à l'arrière du peloton.
09:14 On voit bien les six coureurs de l'équipe Ineos présents avec le dossard 13 d'Elia
09:22 Viviani notamment.
09:23 Si on décortique le train d'Adria Mobile, puisque ça avait l'air de vous intéresser,
09:27 mon cher Pierre, c'est Tourk qui a l'air en dernière position.
09:31 Ça ne veut pas forcément dire encore quelque chose à 8 kilomètres.
09:34 Voilà, le coureur le plus jeune de ce peloton d'ailleurs.
09:37 Il a 18 ans.
09:38 Et là, ça roule.
09:39 Autant que tout à l'heure, on voyait que ça ne roulait pas très vite.
09:41 Là, ça fait 2-3 kilomètres.
09:42 Ça accélère avant un changement de direction.
09:45 Ça roule quand même très vite pour garder sa place.
09:47 On parlait d'Eddy Dunbar pour la Jayco.
09:51 Il a bien reculé aussi dans le peloton.
09:52 Je l'ai aperçu au petit garbarit de l'Irlandais.
09:56 Et souvent, le peloton accélère avant des changements de direction, avant des routes
10:03 plus étroites pour maintenir les positions à l'avant.
10:07 C'est une guerre de positionnement.
10:09 Et là, on voit bien dans la boule qui est au milieu, on voit bien que ça peut casser
10:13 aussi à n'importe quel moment, qu'il faut remonter.
10:15 Quand on est dans cette boule, on peut vite se retrouver derrière aussi.
10:18 S'il y a une chute au milieu, à l'arrière, ça ne peut pas passer.
10:21 Entre le muret et le fossé qui est tout petit, c'est ça l'intérêt d'être à l'avant.
10:28 Vraiment, c'est le 45 pour la Jayco qui se prépare à sprinter.
10:34 C'est Diabiani qui est en Stewart.
10:39 C'est bien Campbell Stewart, c'est incroyable ça !
10:43 C'est pas comme si je l'avais dit.
10:45 C'est comme si on avait travaillé un petit peu.
10:48 Il y a bien Thylian Fink, c'est un pour Adria Mobile également, qui vient d'être maintenant
10:55 en dernière position de ce train.
10:56 Et c'est lui qui est normalement le sprinter dans cette formation.
11:00 Chute ! Oh là là, une énorme chute ! Dans les toutes
11:02 premières places du peloton, on n'arrêtait pas d'en parler depuis tout à l'heure.
11:05 C'est le champion des Etats-Unis, Queen Simons, qui est par terre.
11:11 Là, on a le courant des Holocométas.
11:15 Il y a un autre courant de Little Trek ici.
11:18 Et c'est Mauritsch qui est tombé.
11:20 6 km, on en parlait justement.
11:23 Une chute à cet endroit-là, ça peut être préjudiciable pour le classement général.
11:27 On voit son peu qui plie.
11:28 Il va falloir remonter pour Matai Mauritsch, le tenant du titre de cette
11:32 course.
11:33 Il y a un équipier qui l'attend juste devant.
11:34 Vous l'avez vu où, Queen Simons, Pierre ?
11:36 Alors, je l'ai peut-être avec un Adria Mobile.
11:39 Le maillot est très ressemblant.
11:42 Moi, je ne l'ai pas aperçu.
11:44 Mais là, par contre, on va prendre les diamants.
11:45 Il y a le trottoir.
11:46 C'est dans les premières positions là-bas, du côté de l'équipe.
11:51 Ineos en a eu chaud.
11:52 C'est un maillot de Trek.
11:55 C'est un Trek, mais ce n'est pas Queen Simons.
11:58 Qu'est-ce qui s'est passé entre les Ineos ?
12:01 C'est le Hello Holocometa qui tombe en premier.
12:05 L'Ineos, on est passé au travers.
12:07 Regardez l'avantage d'être devant.
12:10 On est passé au travers.
12:13 Et regardez, Ethan Haighter, il est là à droite.
12:15 Donc lui, il n'est pas tombé, mais il va être clairement bloqué à l'arrière.
12:18 L'épaule pour le couloir de Holocometa, elle était bien arrachée.
12:21 Maurice, il va s'infliger une poursuite pour revenir à l'arrière du peloton.
12:32 Il ne va pas perdre de temps.
12:33 Il a un équipier.
12:34 Il y avait la voiture aussi.
12:35 On ne va pas faire de barrage.
12:36 Ça continue de frotter.
12:37 Mais le problème, c'est que la voiture n'était pas vraiment dans la file.
12:40 Faire attention quand même aux amendes.
12:43 On le sait aujourd'hui, c'est de moins en moins toléré le fait de revenir derrière
12:45 sa voiture.
12:46 Et comme l'équipe Ineos était au complet devant.
12:50 Elle n'a pas été inquiétée.
12:52 La voici qui vient de prendre la tête du peloton en attendant, messieurs, en attendant
12:56 de voir si Maurice va rentrer.
12:57 En effet, en attendant de voir le comportement de sa voiture, comme vous dites.
13:00 Et regardez, une OX qui est en train de remonter.
13:02 Toujours Alexander Christophe à la fin de ce train.
13:05 Également, ça chamboule tout.
13:07 Je peux vous dire que maintenant, ça va rouler à bloc.
13:10 Devant, l'équipe Ineos, elle est passée au travers.
13:12 Je peux vous dire qu'elle va tout faire pour qu'il n'y ait personne qui remonte au moins
13:15 jusqu'à 3 kilomètres.
13:16 Et là, c'est très long.
13:17 C'est très long.
13:18 Il y a cette ligne droite.
13:19 Il est là, Maurice.
13:20 Il est rentré, mais il y a des cassures derrière.
13:23 Il est obligé de faire l'effort tout seul maintenant.
13:25 Regardez à quel point il est fort, Maurice.
13:27 Il double tout le monde.
13:28 Personne ne peut prendre sa roue.
13:29 Un cœur d'étape sur le Tour de France cette année, on le rappelle.
13:32 Apollini.
13:33 Il fait ça tout seul.
13:35 Il va bien, Maurice.
13:38 Il s'inflige une poursuite, mais il nous montre qu'il est en grande forme.
13:42 S'il n'arrive pas à rentrer, on va relever des coureurs de son équipe.
13:48 Du peloton.
13:49 4 kilomètres de l'arrivée.
13:50 Ça va être difficile quand même.
13:53 Et puis là-bas, il y a encore un autre groupe qui est en train de se constituer.
13:57 On va faire relever un coureur ou deux, un minimum, de cette équipe.
14:03 Après, il y a eu des coureurs par terre aussi.
14:06 Il y a eu des coureurs de cette équipe barègne qui n'ont pas forcément été au sol, mais
14:11 qui ont été gênés.
14:12 Et puis on a roulé.
14:13 On a roulé toute la journée.
14:14 On a eu un bon tournage.
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15:35 Et en contre-in sur la ligne.
15:37 Les secondes avec Matej Mauric.
15:40 Magnus Scheffield en tête pour la Ineos Grenadier.
15:45 Oh là là là là là !
15:46 Avec Miho Levic qui est en train d'essayer de le ramener au train.
15:50 L'objectif maintenant c'est de limiter la casse.
15:52 Si on veut encore jouer le général c'est d'essayer d'arriver à aller à 15, 20 secondes.
15:56 Mais essayer de ne pas dépasser les 30 secondes.
15:58 Mais là on l'a compris, on ne le fera pas.
15:59 C'est Andrea Petit-Trobonne, le coureur des Holocométas, qui les accompagne.
16:03 Ah ouais, on ne voit même plus le peloton.
16:05 On n'a même plus aucun point de mire.
16:06 Il n'y a plus de coureur, il n'y a plus rien.
16:07 Ah ça doit être dur mentalement pour Mauric.
16:09 Qui venait vraiment avec de grosses ambitions.
16:13 41 secondes !
16:14 Ça augmente !
16:15 Mauric, j'ai l'impression qu'il est résigné.
16:17 Il est complètement résigné.
16:19 Il est quand même sur une allure énorme.
16:21 Allez, 1,8 km.
16:22 40 secondes annoncées déjà.
16:24 Ça va faire toute la minute à l'arrivée.
16:25 Queen-Simons il est là, Pierre.
16:27 Parce que tu en parlais tout à l'heure.
16:28 Il est là en 10, 12ème position.
16:30 C'est un vrai sprinté, Queen-Simons.
16:32 Et une belle pointe de vitesse.
16:34 Queen-Simons.
16:35 J'ai vu Campbell-Stewart.
16:37 Il est bien là pour la J-Color.
16:38 Regarde, il est là à gauche.
16:39 En plus, il a un équipier juste devant lui.
16:41 Là, ça va être décousu.
16:42 On va voir des vagues de partout.
16:44 Les Ineos sur la gauche de l'écran.
16:46 Ils sont bien organisés.
16:47 Ils sont loin, mais ils sont bien organisés.
16:49 Pour Alexander-Christophe, ça va pas mal aussi.
16:54 Le coureur du No-X, les maillots orange et rouge.
16:58 C'est un peu le contre-épaule entre les coureurs.
17:00 La flamme rouge, dernier kilomètre.
17:02 Déjà la flamme rouge.
17:03 Il reste le roue loin.
17:05 Viviani qui s'est fait de la place carrément
17:07 avec le coureur Andresson pour DSM.
17:10 Il a voulu garder la roue de son coéquipier qui est devant.
17:14 On continue à remonter avec Lucro,
17:16 qui est en train de remonter.
17:17 Toujours pas des Tainiter.
17:18 Pour l'instant, on va jouer Elia Viviani dans ce final.
17:20 Dernier rond-point maintenant.
17:21 C'est tout droit.
17:23 Et c'est Connor Zwift qui roule pour Viviani.
17:28 Ça emmène fort.
17:29 Ça fait loin quand même.
17:30 Il a pris la tête très tôt.
17:32 Il reste au moins 500 mètres.
17:34 Voilà, c'est quelques courbes.
17:36 On a Alexander-Christophe en 4ème position.
17:38 Je pense que c'est Andresson, le coureur de DSM,
17:40 dans la roue d'Elia Viviani.
17:42 Ça va partir.
17:43 Elia Viviani qui va être lancée pour essayer d'aller s'imposer.
17:45 Il y a plus d'un an qu'il n'a pas gagné Elia Viviani.
17:48 Pour l'instant, il est toujours en tête sur ce sprint.
17:50 Elia Viviani toujours avec Andresson à côté.
17:52 Attention, il va être remonté.
17:54 Non, victoire d'Elia Viviani.
17:56 Ça faisait un an, dernière victoire, c'était ici, sur la Cro-Race.
17:59 En 2022, Ethan Aiter n'a pas joué du tout le sprint du côté de cette formation.
18:04 C'était pour l'ancien champion d'Europe.
18:06 Donc victoire d'Elia Viviani pour l'équipe Ineos Grenadiers.
18:10 Et on l'a dit, Matei Mauric a perdu du temps aujourd'hui.
18:13 Il y a déjà 20 secondes qu'on a passé la ligne.
18:16 Pas loin d'une minute sur la ligne pour Mauric.
18:19 C'est sûr, il est à moitié en train de se relever.
18:21 Donc c'est fait.
18:23 Ethan Mauric va perdre du temps aujourd'hui.
18:25 300 mètres encore.
18:26 N'oubliez pas, l'équipe de choc, bien sûr, dans quelques instants,
18:29 avec Franck Spiron qui vous attend déjà.
18:31 On va juste attendre le passage de Mauric.
18:33 Parce que là, c'est le classement général, encore une fois, avec le dossard.
18:35 Un sur le dos pour Mauric, qui est résigné,
18:38 qui a pris un coup sur la tête aujourd'hui, en plus d'avoir subi une chute.
18:42 Il va falloir tout repenser ce soir.
18:45 Plus de 50 secondes, en tout cas, entre 48 et 50 secondes de retard.
18:49 Donc, sans compter les bonifications, bien sûr, des Bia Viviani acquises aujourd'hui à l'arrivée.
18:54 Voilà ce qu'on pouvait faire tout de suite.
18:56 L'équipe de choc, donc, avec Franck Spiron.
18:59 Maintenant, merci Christophe, merci Pierre.
19:01 On se retrouve à 15h demain.
19:03 Merci Claire.
19:06 On vous attend dans l'équipe de choc.
19:07 On a plein de choses à vous annoncer.
19:09 Les Droits TV, par exemple, le nouveau coach marseillais,
19:12 ou encore un invité, Thiago Lensouas, Adrien Thomasson,
19:14 qui sera avec nous.
19:15 C'est tout de suite, juste après la pub.
19:16 On est prêts.
19:17 Salut !
19:18 [Musique]