Michel Sardou était l’invité du 20H de Ruquier, à l'occasion de sa tournée événement "Je me souviens d'un adieu", en partenariat avec BFMTV.
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00:00 - Et les plus grands tubes, ils seront là ? - Oui, oui.
00:02 - Mais il y a plus que 20 plus grands tubes, c'est ça le problème avec Michel Sardou.
00:06 - Mais on a trouvé un moyen, il y a un mashup, il y a un truc, vous verrez, j'arrive à tout caser.
00:12 J'arrive, j'arrive.
00:16 - Est-ce qu'il y aura le France, par exemple ? - Oui.
00:18 - Ah, très bien. - Une partie du France.
00:20 - Comment ça, une partie du France ? - Ah oui, pas en entier.
00:22 - Ah oui ? - Je le dis tout de suite, pas en entier.
00:25 Parce qu'il y a d'autres trucs avant, il y a d'autres choses, j'ai fait une mise en scène particulière, c'est ça qui m'inquiète d'ailleurs le plus.
00:34 C'est pas de remonter sur scène, c'est de savoir si mes idées sont pour le spectateur, vont faire de l'effet au spectateur.
00:41 - Mais c'est quoi vos idées ? On peut avoir un petit avant-goût ?
00:44 - C'est compliqué à vous expliquer, c'est en 4 dimensions, on arrive dans l'intelligence artificielle.
00:51 - Vous n'êtes pas un hologramme, ce sera bien vous qui serez sur scène, Michel.
00:54 - J'aime pas les hologrammes. - Vous n'êtes pas venu encore de spectacle en hologramme ?
00:58 Vous n'êtes pas allé voir un spectacle en hologramme ? - Non mais j'en ai fait un avec Sinatra.
01:01 - Avec Sinatra ? - Oui, en hologramme.
01:04 Moi je chantais en duo avec lui. - On n'a pas un vrai contact, évidemment.
01:09 - Tandis que là, ce qu'on voit, c'est vrai.