05/10/2023 - Le 6/9 de France Bleu Paris en vidéo - Vidéo Dailymotion

France Bleu Paris et sa région

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00:00:00 Sur l'appli ici, tous les réseaux et sur France 3.

00:00:03 Bonjour, bonjour, c'est jeudi aujourd'hui.

00:00:06 Allez, allez, du courage France Bleu Paris CELSIS 9 qui vous accompagne tous les matins jusqu'à 9h.

00:00:11 Mélodie Pépin, Aude Raseau, bonjour !

00:00:13 Bonjour Romain !

00:00:14 Un coup d'œil sur le calendrier.

00:00:15 Je regarde quand même le calendrier parce que 5 octobre, vu la météo que nous avons,

00:00:19 c'est important de voir à quelle date il est aujourd'hui.

00:00:22 Nous sommes donc le 5 octobre, jeudi aujourd'hui, il est 7h.

00:00:25 Avant de faire un point sur la météo, un point sur la route.

00:00:33 Tous les quarts d'heure, on fait la route ensemble.

00:00:35 La route, ça va ce matin.

00:00:36 En revanche, vos transports, il y a des difficultés.

00:00:38 La ligne 9, il y a des mesures de régulation à la porte de Montreuil.

00:00:42 Donc, le trafic est perturbé et des travaux sur la ligne 4.

00:00:46 Le trafic est interrompu entre Montparnasse, bienvenue, et Bagneux, Lucie, au brak.

00:00:51 La météo, Mélodie, pour aujourd'hui.

00:00:54 Il y a un petit peu de brouillard, de brume ce matin.

00:00:56 Mais le soleil arrive.

00:00:58 Oui, ce sera encore une belle journée.

00:01:00 La fraîcheur toujours au réveil, qui nous rappelle qu'on est en automne quand même.

00:01:03 5 degrés à Fontainebleau ce matin.

00:01:05 7 à Pontoise, 10 à Paris.

00:01:07 Et cet après-midi, on est toujours autour des 19-21 degrés.

00:01:09 Et oui, ce matin, on parle d'un naufrage.

00:01:21 Vous sortez la musique du Titanic pour repasser l'anniversaire de Cat Winslet ?

00:01:24 PSG a coulé hier soir.

00:01:26 Il s'est pris en pleine face un iceberg.

00:01:28 Newcastle.

00:01:29 On peut continuer sur la métaphore, mais ce n'est pas la peine.

00:01:32 C'est déjà assez dur comme ça, la défaite.

00:01:34 4 buts à 1 pour ce deuxième match de Ligue des champions.

00:01:38 La plus lourde défaite en face de poule de l'histoire moderne du PSG.

00:01:42 Bruno Salomon, c'est une grosse claque.

00:01:44 Oui, en effet.

00:01:45 Et on peut même parler de naufrage collectif pour ce PSG qui a été en dessous de tout.

00:01:50 A commencer par Luis Enrique, qui s'est trompé dans sa composition d'équipe.

00:01:55 L'entraîneur espagnol a voulu jouer le panache en alignant 4 attaquants face à Newcastle.

00:02:00 Tactique osée qui n'a pas marché.

00:02:03 Et Oukilian Mbappé a été fantomatique.

00:02:05 On attend d'ailleurs de l'attaquant star d'être un leader sur le terrain.

00:02:09 Là, il s'est tout simplement caché et n'a frappé qu'une seule fois au but.

00:02:13 Dans les déceptions, il y a aussi Ousmane Dembélé qui lui a bien tenté, mais qui

00:02:18 a tout raté.

00:02:19 Et défensivement, le capitaine Marquinhos a pris le bouillon, l'eau, il a craqué.

00:02:24 Et il a vu son PSG se liquéfier avec lui face à des Anglais agressifs, intenses dans

00:02:29 tout ce qu'ils entreprenaient, portés par un public extraordinaire.

00:02:33 Avec cette gifle, le PSG s'est fait quand même remettre à sa place celle d'une équipe

00:02:38 en construction et qui va devoir batailler sérieusement pour se qualifier pour les huitièmes

00:02:43 de finale de la Ligue des Champions.

00:02:45 Et au classement, pas trop d'impact Paris.

00:02:47 Et deuxième à un point derrière Newcastle, le leader désormais.

00:02:52 Allez, on va sortir la tête de l'eau avec les jeunes qui sauvent l'honneur.

00:02:55 Pour le PSG, les moins de 19 ans ont battu Newcastle 1-0.

00:02:58 En Ligue des Champions des U19, ils sont deuxièmes eux aussi de leur poule.

00:03:02 Ça méritait d'être dit.

00:03:03 7h02, on fait le bilan.

00:03:04 Ce matin dans le nord de Paris, ça fait un an aujourd'hui que les craqueurs ont été

00:03:09 chassés du square Forseval.

00:03:10 Oui, dans le 19ème, au petit matin, le 5 octobre 2022, des colonnes de policiers évacuent

00:03:16 des centaines de toxicos, les pelleteuses arrachent les tentes.

00:03:19 Les consommateurs de craque ont fait vivre un enfer aux riverains parisiens mais aussi

00:03:24 aux habitants d'Aubervilliers, de Pantin.

00:03:26 D'ailleurs, un mur a été érigé entre Paris et la banlieue.

00:03:29 Et dans le quartier, un an après, ça va mieux.

00:03:32 C'est ce que nous dit le maire socialiste de Pantin, Bertrand Kern.

00:03:35 Les toxicos ne sont pas revenus mais les riverains, eux, restent très marqués.

00:03:40 La page n'est pas complètement tournée parce que le traumatisme a été très fort, très

00:03:44 violent et à un tel point que des fois, malheureusement, vous savez, vous avez des SDF qui viennent

00:03:50 sur le quartier ou sur Pantin et qui dorment dehors.

00:03:53 Et eux, tout de suite, ils ont l'impression que c'est des consommateurs de craque qui

00:03:56 reviennent alors que ce n'est pas le cas.

00:03:58 Donc le traumatisme a été très fort.

00:04:00 Il ne faut pas le sous-estimer.

00:04:01 Et puis vous savez, vous avez derrière cette crise économique avec l'inflation qui est

00:04:05 très forte, les revenus des populations populaires qui n'ont pas beaucoup augmenté et donc

00:04:09 vous avez des effets collatéraux maintenant sur les commerces.

00:04:12 Il y a notamment un KFC qui serait sur le point de fermer.

00:04:15 Vous avez un intermarché qui serait sur le point de fermer qui ne se sont pas remis de

00:04:19 la crise des consommateurs de craque parce qu'à ce moment-là, ils ont une perte de

00:04:23 chiffre d'affaires très très importante et depuis, le client n'est pas complètement

00:04:27 revenu.

00:04:28 Et le préfet de police de Paris fera le bilan aussi ce matin sur France Bleu Paris et France

00:04:34 3 Paris Île-de-France.

00:04:35 Laurent Nunez, notre invité, à 8h15 parce que ces consommateurs de craque n'ont pas

00:04:40 disparu.

00:04:41 Ils ont simplement été déplacés encore une fois.

00:04:43 Ils errent dans d'autres quartiers, notamment le 18ème ou autour de la gare du Nord.

00:04:48 Et on vous attend, vous avez la parole bien sûr ce matin.

00:04:50 Quelle est pour vous la priorité numéro 1 en termes de sécurité ? Vous pouvez échanger

00:04:55 directement avec le préfet tout à l'heure.

00:04:57 0 à 42 30 10 10.

00:04:58 Rendez-vous à 8h15.

00:04:59 Le préfet de police qui a une mission, objectif, zéro délinquance pour Paris 2024.

00:05:05 Deux opérations coup de poing contre la drogue.

00:05:08 Hier à Villepinte, un point de deal a été démantelé.

00:05:11 9 personnes interpellées pour 5 kilos de cannabis.

00:05:14 Et à Garges-les-Gonesse dans le Val d'Oise, un important point de revente du quartier

00:05:18 de la Muette a été démantelé aussi.

00:05:20 8 personnes en garde à vue.

00:05:22 A Montage-au-Lit maintenant.

00:05:23 Pas une semaine sans incident au lycée Jean Rostand.

00:05:26 Tirs de mortier mardi matin.

00:05:29 Tentatives d'incendie.

00:05:30 Des jets de pierre aussi.

00:05:31 Depuis la rentrée, le personnel et le millier d'élèves est confronté à ces violences

00:05:35 de jeunes perturbateurs.

00:05:37 Les profs ont exercé leur droit de retrait, Morgane Leclerc refait.

00:05:41 Une proviseure adjointe visée à la jambe par des tirs de mortier.

00:05:44 C'est totalement inacceptable.

00:05:46 Et récurrent déplore Hauteman Nasrou, vice-président de la région en charge des lycées.

00:05:50 Il promet donc plus de moyens pour limiter les incidents de la part selon lui d'une petite

00:05:56 minorité.

00:05:57 Des caméras ont été déployées dans ce lycée.

00:05:58 D'autres vont l'être dans les toutes prochaines semaines autant qu'il le faudra.

00:06:01 Nous déployons aussi des brigades régionales de sécurité qui sont installées maintenant

00:06:04 dans l'établissement.

00:06:05 Elles sont déjà venues au moment d'autres incidents il y a quelques semaines et qui

00:06:08 vont rester jusqu'aux vacances de la Toussaint.

00:06:09 Parce que là, les incidents effectivement se sont multipliés et donc elles sont là

00:06:13 tant que le calme ne sera pas revenu.

00:06:14 Des solutions d'urgence saluées mais pas suffisantes pour Vincent Smith, prof d'anglais

00:06:19 depuis 27 ans ici et responsable du syndicat Sud Education.

00:06:23 On préfère qu'il y ait des gens qui soient là de manière plus durable et qui soient

00:06:28 formés aux questions éducatives, aux interactions avec les jeunes.

00:06:32 On compte sur des initiatives plus nettes de l'éducation nationale pour nous donner

00:06:37 des perspectives d'avenir.

00:06:38 Que les jeunes qui arrivent, qui sont plein de bonne volonté, ils ne repartent pas aussitôt

00:06:41 parce qu'ils ont eu une rentrée horrible avec des tirs de mortier dans tous les sens

00:06:44 alors que l'année démarrait très bien.

00:06:46 Ramener le calme passe par plus d'effectifs, lance-t-il, alors que l'établissement en

00:06:50 a au contraire perdu depuis la crise sanitaire.

00:06:53 Hier matin, un élève de 17 ans récemment exclu du lycée a été interpellé pour le

00:06:59 tir de mortier.

00:07:00 Deux lycées de Seine-Saint-Denis ont été évacués la semaine dernière pour des histoires

00:07:04 de punaise de lit, repérées et traitées.

00:07:08 48 heures de désinsectisation à chaque fois.

00:07:11 Les retraites complémentaires pour ceux qui ont travaillé dans le privé seront revalorisées

00:07:16 de 4,9% à compter du 1er novembre.

00:07:19 Une hausse qui correspond au niveau de l'inflation.

00:07:22 Un accord a été trouvé cette nuit entre les organisations syndicales et patronales.

00:07:27 Et puis on termine par cette nouvelle information qui va tomber à 11h ce matin.

00:07:35 Il va falloir revoir les livres de Géo Romain.

00:07:39 On aura la nouvelle altitude du Mont Blanc, comme tous les deux ans.

00:07:43 Le Mont Blanc va être mesuré, ça risque de changer.

00:07:46 En 2021, le sommet du Mont Blanc pointait à ? Est-ce que vous avez une idée ?

00:07:50 - Je sais pas, moi quand j'étais petit ça devait être 3807 mètres, quelque chose comme ça.

00:07:54 - 4809, 10 ?

00:07:56 - 4807 mètres.

00:07:59 - Oui, je dis oui, bingo, 4807 mètres, virgule 81 précisément.

00:08:05 Ça c'était en 2021 et le glacier avait déjà fondu de presque 100 mètres.

00:08:10 - On va regarder ça alors et on vous tient au courant sur France Bleu Paris.

00:08:14 - 11h, on connaîtra l'altitude du Mont Blanc.

00:08:17 La météo en attendant au-dessus de chez nous.

00:08:19 - Je suis sûr que si on se met au-dessus de la tour Eiffel, on pourrait presque le voir là.

00:08:22 Vu le ciel que nous avons sur l'île de France depuis ces derniers jours, avec un ciel dégagé,

00:08:27 même si aujourd'hui c'est vrai qu'on pourrait avoir un léger voile,

00:08:31 le ciel qui pourrait retrouver quelques nuages.

00:08:33 Mais là ce matin, ce qui est à noter c'est la fraîcheur, 4 à 11 degrés.

00:08:38 Dans le secteur de Fontainebleau, on a relevé 4 degrés au réveil,

00:08:41 à Rambouillet 6, à Province 7, à Versailles 8, à Paris et Boulogne, 11 degrés.

00:08:47 Les températures cet après-midi sont dans les mêmes valeurs qu'hier, 19 à 21 degrés.

00:08:52 À Saint-Denis et Paris, 19, à Courbevoie et Créteil, 21 degrés.

00:08:57 Soufflez un peu parce qu'on va avoir encore chaud ce week-end.

00:09:00 J'ai jeté un oeil sur les prévisions de Météo France,

00:09:02 on va dérouler le programme de ces 7 prochains jours.

00:09:04 Et autant vous dire que l'automne n'est toujours pas là.

00:09:08 7h09 sur la route, à 7h10, 0142 30 10 10, pas de gros soucis sur les autoroutes de la région,

00:09:16 juste les ralentissements habituels, en revanche dans vos transports.

00:09:19 Il y a des personnes sur les voies à la gare du Nord, donc ça ralentit le RER D,

00:09:23 entre Aurilaville et Corbeil-Essonne, entre Goussainville et Melun également.

00:09:27 Attention donc si vous prenez la ligne D du RER qui peut être perturbée ce matin.

00:09:31 Et la ligne 4 interrompue jusqu'à dimanche, entre Montparnasse-Bienvenue et Bagneux-Lucy-Aubrac.

00:09:36 Il y a des travaux, probablement l'automatisation de cette ligne 4 qu'on attend depuis de nombreux mois.

00:09:42 7h09, France Bleu Paris, on s'appelle en cas de problème.

00:09:46 Le 6 9, France Bleu Paris, Romain Ambro.

00:09:50 Le numéro je vous le redonne, inscrivez-le, enregistrez-le, je ne sais pas, mettez-le sur le frigo,

00:09:55 avec du stabilo, quelque chose, 0142 30 10 10, ou alors vous l'enregistrez dans votre téléphone,

00:10:01 parce qu'avant 8h, vous allez nous passer un petit coup de fil pour remporter 100 euros de carburant.

00:10:06 Tous les jours on booste votre pouvoir d'achat, tout au long de ce mois d'octobre, on a décidé de vous faire plaisir.

00:10:11 Bonjour toute l'équipe !

00:10:12 Bonjour !

00:10:13 Fabien Emo avec vous, l'actualité des réseaux, et il y a beaucoup de choses à dire d'ici 7h30.

00:10:18 J'ai avec moi la vidéo de la semaine, elle a été filmée hier au Conseil de Paris.

00:10:22 Anne Hidalgo a confondu un personnage de la mythologie grecque avec une marque de pneus.

00:10:28 Restez avec nous, je vous dévoile ça à 7h25.

00:10:31 L'échantillé avec vous, Thomas Etcheverry.

00:10:34 Oui, figurez-vous qu'à Versailles, on casse des moulins.

00:10:37 Alors pourquoi ? On n'a pas le vent à Versailles, ou alors on a été traumatisés par Don Quichotte.

00:10:42 Eh ben non, on veut faire de la place pour les Jeux Olympiques, et je vous explique tout ça dans les prochaines minutes.

00:10:46 Les travaux, c'est tous les jours, c'est quoi le chantier ? À 8h moins 20.

00:10:49 Et puis à vos côtés, chaque jour, les entreprises franciliennes, le bien manger, le chef Thierry Marx,

00:10:55 nous rejoignent dans 5 minutes pour vous parler d'un label avec de bons produits,

00:10:59 Bleu Blanc Coeur, c'est dans les codes ici.

00:11:02 Mais avant ici, c'est France Bleu Paris, ici on parle d'ici grâce à Robin Bernot,

00:11:06 qui a son micro, tout bleu, et qui part à votre rencontre en ce jeudi matin.

00:11:09 Bonjour Robin !

00:11:10 - Salut Romain, bonjour tout le monde, et surtout ici on parle avec vous, on vient vous rencontrer,

00:11:14 on discute ensemble, et on va changer un peu les idées ce matin, on va pas se mentir,

00:11:18 j'ai la une de l'équipe sous les yeux, avec un Mbappé qui se gratte la tête comme nous,

00:11:22 on pouvait se gratter la tête lorsqu'on était appelé au tableau pour réduire cette équation à 2 facteurs,

00:11:27 2 inconnus, la désillusion, écrit le parisien, l'équipe, pardon, en rappelant le score,

00:11:33 bon je vous le redonne pas, 4-1 hier face à Newcastle, bref,

00:11:37 on va vite se changer l'idée, on va passer à autre chose, et ce matin,

00:11:40 France Bleu installe son studio en direct du Val-de-Marne,

00:11:43 c'est là qu'on va vous retrouver tout au long de la matinée,

00:11:45 on est à Alfortville, 13 degrés sont affichés actuellement sur le tableau de bord de la voiture que j'ai prise

00:11:51 pour venir ici à Alfortville, je suis vraiment au bord de la scène, et pourquoi on vient ici ?

00:11:55 Parce qu'on a un champion de France dans le Val-de-Marne, et on en est fier,

00:11:58 il s'appelle William, il a été sacré ce week-end, champion de France des fleuristes,

00:12:03 il y avait un grand concours qui était organisé, c'était la 51ème édition,

00:12:07 il y a plein de fleuristes qui sont venus de partout, de Normandie, de Bourgogne, du Nord, de Bordeaux, de Perpignan,

00:12:12 bref, partout, et le gagnant, et ben il est chez nous, dans le Val-de-Marne, c'est William,

00:12:17 et on va le découvrir ensemble ce matin, on va aller discuter avec lui,

00:12:20 on va aller dans sa boutique, savoir un petit peu comment ça s'est passé,

00:12:22 et surtout voir ce qu'il propose dans sa boutique, qu'on va peut-être se faire un petit bouquet test,

00:12:27 voilà, se dire le bon bouquet à faire pour être sûr de pas faire d'erreurs,

00:12:30 parce que Romain, l'équipe autour de la table, vous qui nous écoutez dans la voiture, dans le camion,

00:12:34 est-ce que vous connaissez la signification un petit peu des couleurs, des fleurs ?

00:12:37 - Alors là... - Bon, simple, si je vous dis rouge...

00:12:40 - Ça c'est pour l'amour ! - Bien sûr, ça c'est l'amour, ça c'est le grand amour !

00:12:45 Si je vous dis... Tiens, violet.

00:12:48 - Violet ? L'espoir ? - Non, non, Romain, non, c'est pas l'espoir, l'espoir c'est le vert, enfin.

00:12:55 - Mais j'espérais... - Le vert, c'est l'espoir !

00:12:57 - La mort ? - La mort !

00:12:59 - Merci Mélodie, vous êtes joyeuse ! - Mélodie toujours là pour mettre l'ambiance !

00:13:04 - Ça va, vous, la tromperie ? Non, pas du tout ! Violet, c'est la paix, la douceur, la générosité,

00:13:09 l'humilité, c'est tout vous ça Romain, le violet !

00:13:13 Je vous demande, pourquoi vous rigolez tous ? Le jaune, c'est quoi ?

00:13:16 - Le jaune, c'est l'amitié ! - C'est l'amitié, non ?

00:13:18 - Non, l'amitié, jaune.

00:13:20 - Alors ça peut souvent aller ensemble, hein, cocu et amitié, mais non, c'est pas ça,

00:13:24 c'est luxe, gloire, succès, prospérité, lumière et soleil, boys and girls,

00:13:28 c'est un peu fou le jaunant, mais bon, on va en discuter, je sens que vous avez des lacunes ce matin,

00:13:33 donc rendez-vous tout à l'heure, un petit peu avant 8h, soyez bien avec nous.

00:13:36 - On est donc à Alfortville pour rencontrer ce champion de France, fleuriste,

00:13:40 et il s'avère, hasard du calendrier, qu'aujourd'hui, c'est la Sainte Fleur !

00:13:46 - Ah ! - C'est le hasard !

00:13:49 - Ah, c'est pas fait exprès, non ? - Alors, bonne fête aux fleurs,

00:13:52 la fleur de Fabien qui est sa moitié qui s'appelle Fleur, c'est une bonne fête,

00:13:55 et c'est aussi la fête des violettes, des violaines, des myrtilles,

00:13:59 Capucines qui travaillent avec nous, donc toutes les personnes qui s'appellent Fleur

00:14:04 ou qui ont un nom qui se rapproche à une fleur, bonne fête à vous, 7h13.

00:14:08 France Bleu Paris, on en apprend des choses le matin, vous avez fait le bon choix,

00:14:12 on vous accompagne, 7h14.

00:14:14 Ici Matin, revient dans un instant.

00:14:21 [Musique]

00:14:47 Le 6/9, tous les jours, toute l'année, réveillez-vous sur France Bleu Paris.

00:14:53 Nous sommes jeudi, aujourd'hui le 5 octobre, France Bleu Paris, il est 7h15.

00:14:57 L'heure de l'écoute ici, sur France Bleu Paris, on se préoccupe des bons produits.

00:15:04 [Musique]

00:15:11 Petit Charles Trainet ce matin pour saluer l'arrivée de Thierry Marx,

00:15:14 notre chef cuisinier étoilé parisien. Bonjour Thierry.

00:15:16 Bonjour.

00:15:17 Merci d'être avec nous, vous êtes un fervent défenseur du label Bleu Blanquer,

00:15:20 pour ne pas dire l'ambassadeur, le porte-parole, vous attachez une attention toute particulière

00:15:25 au bien manger, au bon, au respect de l'environnement, au respect animal également.

00:15:29 Comment vous êtes retrouvé dans cette aventure Bleu Blanquer ce label ?

00:15:32 La rencontre avec Pierre Veil, il y a 22 ans maintenant, Bleu Blanquer, un livre,

00:15:37 Tous Gros Demain, qui nous parlait déjà des problèmes de cette alimentation à deux vitesses,

00:15:44 donc comment avec le monde agricole on allait pouvoir résoudre ce problème

00:15:48 et définir ce qu'était un bon produit, son impact social, environnemental et nutritionnel.

00:15:53 Et c'est parti comme ça, mieux nourrir les sols, pour mieux nourrir les animaux, mieux nourrir les hommes.

00:15:58 Et puis aujourd'hui, 22 ans, les produits sont bons, et surtout des millions de familles

00:16:05 nous font confiance parce que c'est bon pour tous, c'est-à-dire que vous trouvez ça dans des épiceries

00:16:10 assez luxueuses, mais en même temps chez vos états ailleurs et dans les supermarchés.

00:16:15 Et ça, c'est l'essentiel de faire bon pour tous.

00:16:17 Ça devient un vrai casse-tête Thierry Marx de faire nos courses au supermarché,

00:16:20 parce que les étiquettes, on en voit plein, chacun, parfois c'est le produit de l'année,

00:16:25 parfois c'est le bien manger, le Nutri-Score, mais là, ce label, on rappelle bien que ça n'est pas un label bio,

00:16:31 mais ça garantit vraiment les produits, l'agriculture respectueuse de l'environnement.

00:16:36 - C'est une agriculture régénérative, on fait très attention au sol, pas d'intrants lourds dans les sols,

00:16:43 bien-être animal, mieux les nourrir pour qu'ils soient en bonne santé, et pour mieux nourrir les hommes,

00:16:48 c'est 7000 agriculteurs aujourd'hui qui ont défini cela, et ils vivent mieux d'ailleurs en tant que paysans

00:16:53 aujourd'hui parce que leur rémunération est bien meilleure.

00:16:56 - On est tous là à scruter les prix, est-ce que c'est plus cher justement de mieux rémunérer ?

00:17:02 - Oui c'est plus cher, mais non, c'est pas plus cher, c'est-à-dire que comme ça a un impact sur votre santé,

00:17:08 ce que vous mangez, finalement vous dépensez moins dans des problématiques de santé parce que vous mangez mieux.

00:17:14 Alors mangeons un tout petit peu moins, payons un tout petit peu plus cher, mais le prix n'est pas la valeur des choses,

00:17:19 et puis repartons sur cette idée de l'économie de la qualité.

00:17:23 Ce qui a tué beaucoup notre agriculture et notre santé aussi, c'est le fait qu'on ait cru au low-cost en disant le tout pas cher.

00:17:29 Ça c'est les années 70, vous renoncez à la qualité, on vous fait des petits prix.

00:17:33 Ça a oxydé complètement notre agriculture, ça a beaucoup abîmé notre alimentation, donc aujourd'hui c'est repartir.

00:17:41 Alors ça se fait pas en claquement de doigts, Bleu Blancœur c'est 22 ans de travail,

00:17:44 et aujourd'hui ils sortent des produits depuis une dizaine d'années maintenant qui sont exceptionnels.

00:17:48 - Mais il y a une diversité incroyable, parce que là moi j'ai le lait, donc on le remarque avec le petit logo Bleu Blancœur,

00:17:54 la petite fleur pour la terre, les animaux et les hommes, on retrouve des œufs également, il y a la crème fraîche, du foie de morue ?

00:18:01 - Oui, et du pâté, vous avez vu. Beaucoup de gens nous rejoignent dans Bleu Blancœur parce qu'on a une obligation de résultat.

00:18:07 C'est-à-dire que ce qui n'est pas le cas du bio, et je ne dis jamais de mal du bio,

00:18:11 parce que heureusement qu'il y a des gens qui ont porté le bio dans les années 70,

00:18:14 mais aujourd'hui le bon, le Bleu Blancœur, on a une obligation de résultat, on est très regardé,

00:18:19 l'OMS a beaucoup regardé nos produits Bleu Blancœur, et aujourd'hui ils nous disent, c'est ça la santé globale,

00:18:24 la santé de la terre, la santé des animaux, pour la santé des hommes.

00:18:28 - Thierry Marx qui nous guide en ce moment, et qui plus est avec les prix, c'est le pouvoir d'achat,

00:18:33 est-ce qu'on peut faire de bons petits plats pour pas cher, vous qui êtes chef,

00:18:38 parce que c'est vrai que quand on va au restaurant maintenant, ça représente un budget,

00:18:42 à la maison il faut juste prendre le temps de cuisiner, parce que parfois même les plats préparés coûtent plus cher finalement au kilo.

00:18:48 - Alors non, encore une fois, je ne veux pas vous prendre à contre-pied à chaque fois,

00:18:53 dans le pouvoir d'achat il y a le pouvoir, déjà il faut se dire que la cuisine du quotidien, y compris la mienne,

00:18:59 c'est plutôt de l'assemblage, on va regarder un petit peu, on va garder un peu de lentilles,

00:19:03 ensuite on va casser un oeuf, on va mettre un oeuf dur avec, et puis une poignée de salade,

00:19:07 et finalement ça nous a fait un plat suffisamment bon, donc dans le pouvoir d'achat il y a le pouvoir,

00:19:11 et de se dire, attention je ne suis pas un dindon, quand je vois une crème au chocolat,

00:19:16 où il y a en gros 2% de chocolat dedans, il y a 8% de lait en poudre qui est du lait fracturé,

00:19:21 le reste c'est des gélifiants et des aromatiques chimiques, et bien il n'y a pas de raison que ça prenne 16%.

00:19:28 Il vaut mieux acheter un yaourt fleur de ferme chez Bleu Blanquer,

00:19:31 et puis de mettre un petit peu de confiture dedans, ou un petit peu de crème de marron,

00:19:35 et vous voyez que vous allez dépenser moins d'argent, vous mangez mieux, et vous protégez votre santé.

00:19:39 Manger c'est simple, c'est plaisir, bien-être, santé, et il faut insister là-dessus,

00:19:43 au moment où le diabète de type 2 explose, notamment chez les mineurs.

00:19:47 Et ça se fait justement dès le plus jeune âge, avec les enfants, les grands-parents,

00:19:50 il faut que ce soit ludique la cuisine.

00:19:51 Et puis avant la naissance, il y a une étude clinique qui va sortir,

00:19:55 qui va prouver que les mamans qui consomment Bleu Blanquer,

00:19:58 ont un lait maternel qui est de meilleure qualité.

00:20:01 J'en dis pas plus, parce que la conférence de presse c'est vendredi,

00:20:04 mais il y a une étude clinique, donc ça veut dire que c'est fait sur plusieurs années,

00:20:08 avec des médecins et des référents qui sont des référents compétents.

00:20:11 - Merci Thierry Marx de nous avoir alertés ce matin.

00:20:13 C'est bien de faire une petite piqûre de rappel,

00:20:15 parce que c'est vrai qu'on peut imaginer que les chefs sont dans leur cuisine,

00:20:19 à vivre dans leur restaurant un peu déconnectés.

00:20:21 Vous vous attachez une importance vraiment au terrain, à la proximité.

00:20:24 - Et je vous dis pourquoi je le fais avant de vous quitter,

00:20:27 c'est parce que si nous continuons comme ça, nous n'aurons plus de mangeurs.

00:20:31 Donc il n'y aura plus d'histoire de chef ou de chef étoilé.

00:20:33 Il faut protéger les mangeurs.

00:20:35 Aujourd'hui, on a un trop grand nombre de consommateurs qui consomment tout et n'importe quoi.

00:20:40 Donc il faut ramener des mangeurs.

00:20:41 Et surtout dans un pays où il y a 8 millions de gens à l'aide alimentaire,

00:20:44 et c'est installé une alimentation à deux vitesses.

00:20:47 Une alimentation pour les gens qui vont bien, et tant mieux.

00:20:49 Mais une alimentation aussi pour les gens qui sont en grande difficulté au milieu du mois.

00:20:53 - Merci Thierry Marx, chef parisien et bleu-blanc-cœur,

00:20:56 qu'on voulait mettre à cœur ce matin, de partager sur France Bleu Paris.

00:21:00 Passez une belle journée et bon courage, vous partez bosser là ?

00:21:02 - Exactement.

00:21:03 - C'est le speed, bon courage, c'est le coup de feu.

00:21:05 Bonne journée, merci d'être passé ce matin, 7h20.

00:21:07 Météo du jour avec de belles éclaircies, un léger voile cet après-midi.

00:21:12 Mais c'est bel et bien encore une belle journée.

00:21:14 Après la fraîcheur de ce matin, 19 à 21 degrés les températures cet après-midi.

00:21:18 Montreuil et Paris 19, à Versailles et Boulogne 20, à Créteil et Courbevoie 21 degrés.

00:21:24 Sur la route, que se passe-t-il à cette heure-ci ?

00:21:27 Au nord de Paris, attention à ce poids lourd en panne.

00:21:29 Sur la francilienne extérieure, la N104 au niveau de Villiers-le-Sec.

00:21:32 Le bouchon remonte jusqu'à Mareille en France.

00:21:34 Et à Bretigny-sur-Orge, il y a un accident sur la N104, la francilienne intérieure.

00:21:40 Donc l'autre côté, voitures et poids lourds qui sont impliqués dans cet accident.

00:21:44 Allez, on continue à faire la route avec vous.

00:21:46 0142 30 10 10.

00:21:48 Et on va jeter un oeil sur les réseaux sociaux avec Fabien Emo, juste après ce succès.

00:21:53 Johnny Clegg et Savuka, Scatterlings of Africa sur France Bleu Paris.

00:21:56 7h21, bon réveil.

00:21:58 [Générique]

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00:25:36 La musique que vous aimez tous les matins pour vous tirer du lit sur France Bleu Paris

00:25:40 avec Johnny Clegg, Scatterlings of Africa, 7h25.

00:25:43 Le PSG, c'est le sujet le plus commenté sur les réseaux sociaux depuis hier.

00:25:47 Fabien Emo, vous avez scrotté ça pour nous ?

00:25:49 Oui, plus de 100 000 messages ont été postés sur X, anciennement Twitter.

00:25:53 Et voici l'ambiance qui règne ce matin sur ce réseau social.

00:25:56 [Générique]

00:25:58 C'est la gueule de bois.

00:25:59 Certains supporters se sont lâchés, comme JP de Boulogne-Biancourt.

00:26:02 4-1, ce n'est pas un score de foot mais de tennis, il démarquant le deuxième set.

00:26:06 Léo de Paris, dans le 13ème, a tweeté « Newcastle a transformé le PSG en meubles Ikea ».

00:26:11 On s'est fait démonter.

00:26:13 Au moins le message est clair.

00:26:15 Fred de Bagnolet a écrit « Mbappé a frappé qu'une seule fois au but en 90 minutes.

00:26:20 Avec ce genre de prestation, il n'est pas prêt d'user ses chaussures ».

00:26:23 Après ce match, le joueur du PSG, Warren Zaïre Emery, a pris la parole.

00:26:29 Je vous propose d'écouter ce qu'il a dit.

00:26:31 Ce n'est pas un match raté, après je pense qu'on a fait beaucoup d'erreurs.

00:26:34 Oui, je te confirme.

00:26:36 Il ne faut pas être un spécialiste.

00:26:38 Il a utilisé la langue de bois.

00:26:40 Si ce n'est pas un match raté, c'est que le PSG peut faire pire encore.

00:26:43 Vivement dimanche contre Rennes.

00:26:45 On va débriefer ça avec Bruno Salomon, avec Romain Bédoux que ce matin,

00:26:49 toute l'équipe des sports de France bleu parie.

00:26:51 Fabien, on change de sujet.

00:26:52 Hier, l'application SNCF Connect a joué avec les nerfs des internautes franciliens.

00:26:56 En effet, hier, le site de réservation de l'application SNCF Connect

00:26:59 était saturé à l'ouverture des ventes des voyages pour les fêtes de fin d'année.

00:27:03 La SNCF a enregistré une hausse de 230% de connexions.

00:27:08 Résultat, tout a planté en mode…

00:27:10 Voilà, c'était la même merde.

00:27:13 Vous avez été nombreux à vous plaindre sur les réseaux.

00:27:15 Jérôme de Nanterre a posté « Impossible d'obtenir un billet pour un TGV à destination de Lyon.

00:27:20 C'est inouï ! »

00:27:21 Dont le nom, TGV inouï.

00:27:23 D'autres se sont plaint des tarifs trop élevés encore, comme Luc.

00:27:27 Pour un départ à Montparnasse à destination de Pau,

00:27:29 la SNCF lui proposait un billet à 604 euros.

00:27:32 Capture d'écran à l'appui.

00:27:34 604 pour faire quoi ? Paris-Pau ?

00:27:36 Paris-Pau, c'est pas de Pau.

00:27:38 Pour ce prix, Luc, partez au Maldives, c'est mon conseil.

00:27:41 Mais bon, la SNCF a annoncé sur ses réseaux sociaux que le bug était enfin résolu.

00:27:46 L'appli ne devrait plus dérailler.

00:27:48 Ça, c'est la bonne nouvelle.

00:27:49 Moi, je l'ai fait hier soir.

00:27:51 Et ça a fonctionné.

00:27:52 Merci Romain.

00:27:53 Cette semaine se déroule le Conseil de Paris.

00:27:55 On vous en parle sur France Bleu Paris.

00:27:56 Il y a une séquence qui est beaucoup relayée ces dernières heures.

00:27:58 Je crois que c'est la séquence de la semaine.

00:28:00 Le Conseil de Paris, voilà, pour résumer un petit peu.

00:28:02 Le Conseil de Paris se réunit 4 à 10 fois par an pour débattre, voter, échanger.

00:28:06 Cette semaine, depuis mardi, les conseillers et les conseillères parisiens se retrouvent tous les jours à l'hôtel de ville de Paris.

00:28:11 Et ce qui est bien, c'est que tout le monde peut suivre le Conseil de Paris sur Internet, car tout est filmé.

00:28:16 Et hier, Anne Hidalgo s'est fait remarquer, elle a confondu le roi Midas,

00:28:20 qui changeait le plomb en or dans la mythologie grecque, avec la marque de pneu Midas.

00:28:25 Écoutez cette séquence.

00:28:27 Cette séquence a été réalisée sans trucage.

00:28:29 Le roi Midas, chers collègues, il transformait tout ce qu'il touchait en or.

00:28:34 Vous êtes l'exact contraire, vous êtes l'anti-Midas.

00:28:38 Tout ce que vous touchez, y compris l'or des Parisiens, ce bijou qui est notre capitale, vous le transformez en plomb.

00:28:46 Je n'ai plus de voiture, donc je ne sais pas du tout à quelle référence de Midas vous faites ici.

00:28:52 Ça doit être culturel.

00:28:54 Je vole, Jacques !

00:28:56 C'est ce qui s'appelle un naufrage en live sur Internet.

00:28:59 Si je peux donner un conseil à Anne Hidalgo, pour la suite du Conseil de Paris,

00:29:02 c'est de passer vraiment chez Midas et de chausser ses pneus neige pour éviter de déraper à nouveau.

00:29:06 Désolé, je fais ce que je peux pour l'aider.

00:29:10 Allez, belle journée et surtout, on reste connecté.

00:29:12 Merci Fabien.

00:29:13 L'actualité des réseaux France Bleu Paris, 7h29.

00:29:16 Dans une minute, vous allez entendre des supporters très énervés après le match du PSG.

00:29:21 A tout de suite.

00:29:23 Ici, Matin, revient dans un instant.

00:29:26 Ce soir sur France 3, Sophie Croce, une flic à la recherche de son fils.

00:29:33 Mon job, c'est de savoir si vous êtes en état d'exercer votre travail.

00:29:36 Vous pensez que je suis dangereuse ?

00:29:38 Une mère qui n'abandonnera jamais.

00:29:40 C'est à propos du lieutenant Croce.

00:29:42 Il y a un problème ?

00:29:43 Face à toutes les attaques...

00:29:46 Ecoute, cette femme m'a cataloguée depuis le début, elle n'est pas objective.

00:29:49 Une femme sur tous les fronts.

00:29:52 Si tu continues comme ça, tu vas droit dans le mur.

00:29:54 Pourquoi ? Parce que je suis ta femme ?

00:29:56 Sophie Croce, seule contre tous, mais plus déterminée que jamais.

00:30:00 Ce soir, 21h10, sur France 3 et en intégralité sur la plateforme France.tv.

00:30:05 Cette série est disponible en audio description.

00:30:09 [Musique]

00:30:19 France Bleu Paris, ici on parle d'ici.

00:30:23 Jeudi 5 octobre, France Bleu Paris, bon réveil à vous.

00:30:25 Il est 7h30.

00:30:26 Attention au nord de Paris, ce poids lourd en peine sur la Francilienne extérieure à Villiers-le-Sec.

00:30:31 Il y a un accident sur la Francilienne intérieure au niveau de Bretigny-sur-Orge.

00:30:35 Dans vos transports, la ligne 4 et le RER D, perturbés.

00:30:39 La météo, eau de raseau, copier-coller, comme hier ?

00:30:43 Effectivement, c'est à peu près comme hier.

00:30:45 On prend les mêmes et on recommence.

00:30:46 Le soleil, la fraîcheur le matin et 19-20 degrés un peu partout dans la région cet après-midi.

00:30:52 Le PSG a donc pris une grosse claque hier soir.

00:30:56 Une énorme claque.

00:30:57 Naufrage, déculottés, débâcles, déconfitures.

00:31:01 Vous appelez ça comme vous voulez, mais perdre 4 busins à Newcastle.

00:31:04 Ce n'est pas joli, joli.

00:31:06 Les supporters parisiens étaient ulcérés en sortant de St-James Park.

00:31:11 On s'est fait éclater, on a pris une fessée ce soir.

00:31:14 Mbappé n'a pas fait un bon match, il y en a plein qui n'ont pas fait un bon match.

00:31:17 Mais c'est global.

00:31:18 T'as vu les mecs en face ?

00:31:19 Ils avaient la rage, ils couraient, ils avaient la babe, ils avaient un public de folie.

00:31:22 Ils cavalent dans tous les sens, ils se jettent sur tous les ballons.

00:31:25 Nous on est arrivé à revenir à 3-1 et on se refait des petites passes en arrière.

00:31:28 Les gars, c'est la Coupe d'Europe, il faut bouger.

00:31:31 Si tu veux aller plus loin, si c'est pour passer des passes de coups,

00:31:34 et puis après se faire sortir, ce n'est pas la peine, on en a marre.

00:31:36 On prend l'avion, on se lève à 5h du matin pour aller prendre l'avion,

00:31:39 pour arriver à Montchester, louer une voiture, venir ici, repartir.

00:31:43 On prend des journées, on fait du...

00:31:45 Et quand tu vois ce qu'il y a sur le terrain, ça fait pitié.

00:31:47 Voilà, très énervé ce supporter parisien.

00:31:50 En même temps, c'est vrai que Kylian Mbappé a été fantomatique,

00:31:53 que le coach, Louis Sénéryqué, a été dépassé tactiquement, il le reconnaît lui-même.

00:31:57 Et puis jamais, jamais le PSG n'avait suivi une telle défaite en face de poule de Ligue des Champions.

00:32:02 Au classement, heureusement, heureusement, Milan et Dortmund se sont neutralisés,

00:32:07 match nul, zéro partout.

00:32:09 Ça nous permet de limiter un peu la casse et de pointer à la deuxième place de cette poule.

00:32:13 - 7h32, dans l'actualité également cette question,

00:32:15 quelle réponse a porté aux émeutes du début de l'été ?

00:32:18 - Emmanuel Macron avait promis une réponse,

00:32:21 mais 3 mois après ces violences urbaines, 3 mois plus tard,

00:32:24 elle n'est pas là, cette réponse.

00:32:25 Un conseil national de la refondation se tient aujourd'hui,

00:32:28 justement sur le sujet.

00:32:30 Les élus, les maires sont conviés, ils sont en première ligne.

00:32:33 Bonjour Philippe Riau.

00:32:35 - Bonjour.

00:32:36 - Vous êtes le maire communiste de Grigny dans l'Essonne.

00:32:39 Vous allez demander quoi, Elisabeth Borne ?

00:32:41 C'est quoi, s'il y en a une, la mesure numéro 1 pour ne pas revivre ces émeutes ?

00:32:46 - On va se le dire, il n'y a pas de baguette magique,

00:32:49 c'est une approche globale qu'il faut avoir.

00:32:51 Avec, s'il y en a une, c'est la question de la doctrine policière.

00:32:56 S'il n'y a pas la mort de Nahel, il n'y a pas les émeutes.

00:33:02 Et donc la doctrine policière est au cœur du sujet,

00:33:05 même s'il faut réhumaniser un certain nombre de services publics.

00:33:08 Je pense aux éducateurs spécialisés,

00:33:10 je pense à la protection judiciaire de la jeunesse,

00:33:12 je pense aux réseaux sociaux,

00:33:14 je pense à la question du regard global que l'on a sur une société qui est fondamentalement violente.

00:33:20 - Et ça va déboucher sur quelque chose, ce Conseil National de la Refondation, selon vous ?

00:33:24 Ou est-ce que c'est du blabla tout ça ?

00:33:26 - Bah écoutez, non, sérieusement, il faut qu'on se parle, il faut qu'on écoute,

00:33:31 mais il faut qu'on ait le courage de poser tous les sujets.

00:33:34 Et je note qu'à part la responsabilité des parents, à part les réseaux sociaux,

00:33:39 à part quelque chose comme ça, la question de la doctrine policière,

00:33:43 l'abrogation de la loi de 2017, une IGPN indépendante,

00:33:46 les moyens pour les fonctionnaires de police, en matière de formation mais aussi de salaire,

00:33:50 ou la question de l'utilisation des armes, est un sujet qui n'est pas débattu.

00:33:54 Et donc, aux mêmes causes, les mêmes effets, si tout ça n'est pas revu,

00:33:59 on sera victime de nouveau de phénomènes de ce type-là.

00:34:04 Donc il faut avoir le courage politique d'affronter ces questions-là,

00:34:07 comme toutes les autres, qui sont importantes pour sortir de ce sujet qui est très grave.

00:34:13 - Et je vous repose la question, du coup, Philippe Riau, vous y croyez vraiment,

00:34:16 à ce Conseil National de la Réfondation, pour répondre à toutes ces questions ?

00:34:20 - Écoutez, il a été convoqué mardi pour jeudi.

00:34:24 Nous sommes tous très étonnés de ce coup d'accélérateur.

00:34:27 Nous nous préparions tous au comité interministériel des villes,

00:34:30 qui devait apporter une réponse globale au quartier populaire,

00:34:33 quand bien même les émeutes, deux tiers des émeutes...

00:34:35 - Juste une précision, il a été reporté, ce comité dont vous parlez,

00:34:39 il s'était prévu pour lundi ?

00:34:41 - Il s'était prévu pour lundi, ça fait un an qu'on l'attend,

00:34:44 ça fait un an qu'on tend la main au gouvernement pour travailler.

00:34:47 Nous travaillons avec Elisabeth Borne, avec quelques ministres,

00:34:51 et là, du jour au lendemain, on nous dit "votre truc, il est mis de côté,

00:34:54 c'est une date ultérieure et il y a un CNR post-émeute que personne n'avait vu venir".

00:34:58 Il y a eu des arbitrages du président de la République, dont actes,

00:35:02 mais c'est très rapide, une convocation du mardi pour le jeudi.

00:35:05 Donc oui, nous attendons des choses, parce que la société a besoin

00:35:08 que nous apportions des réponses concrètes, globales,

00:35:13 avec, encore une fois, au cœur des sujets, je pense, la question de la doctrine policière.

00:35:17 Il n'y a pas que ça, mais si on n'a pas le courage politique de faire ça,

00:35:20 les mêmes causes produiront les mêmes effets.

00:35:22 - Voilà, un peu de scepticisme, on l'entend ce matin.

00:35:25 Merci à vous, Philippe Riaud, d'avoir été en direct sur France Bleu Paris,

00:35:28 maire communiste, maire PCF de Grigny, dans l'Essonne.

00:35:31 - Et la sécurité, c'est LE sujet du jour sur France Bleu Paris,

00:35:34 puisque le préfet de police de Paris est notre invité.

00:35:37 Laurent Nunez va nous rejoindre à 8h15, et si on l'invite, c'est parce que,

00:35:41 il y a un an tout pile, les policiers et les pelleteuses débarquaient

00:35:45 au Square-Forceval, tout au nord-est de Paris,

00:35:47 pour déloger les consommateurs de craques.

00:35:50 Pendant des mois, ces toxicomanes ont fait de la vie des habitants un cauchemar,

00:35:53 que ce soit dans le 19ème, à Pantin et à Aubervilliers, juste à côté.

00:35:57 - Et un an après, le traumatisme est encore bien présent.

00:36:00 - Oui, Stéphanie Benoit, par exemple, n'a pas oublié.

00:36:03 Elle est partie, carrément, elle a revendu son appartement d'Aubervilliers,

00:36:06 et elle y pense encore, à ces centaines de toxicomanes

00:36:09 qui vivaient, justement, sous ses fenêtres.

00:36:11 - C'est une population qui se déplace beaucoup,

00:36:14 notamment la rencontre des riverains et des commerçants les plus proches,

00:36:17 de façon à pouvoir s'adonner à la mendicité,

00:36:20 pas toujours de façon très diplomate et douce.

00:36:23 Donc, ça a été des moments d'extrême violence,

00:36:26 des scènes assez abominables auxquelles on assiste quotidiennement.

00:36:30 Donc, grand soulagement d'avoir quitté tout ça,

00:36:34 bien que ce camp ait été démantelé en octobre 2022.

00:36:37 Ça laisse des traces.

00:36:38 On a pris des automatismes.

00:36:40 Même après le démantèlement, je continuais de contourner ce site.

00:36:44 Je savais pertinemment qu'il n'était plus là.

00:36:46 C'est des habitudes, donc on contourne.

00:36:48 On ne sort plus sans être en hypervigilance.

00:36:51 Il y a des heures où on ne sort plus du tout.

00:36:53 Je préfère tirer une croix sur ce secteur

00:36:55 et vivre plus sereinement ailleurs.

00:36:57 - Et pour les habitants qui sont restés, ils nous le disent,

00:37:00 l'évacuation reste un énorme soulagement,

00:37:03 mais ils ont bien conscience aussi que ça ne fait que déplacer le problème.

00:37:07 Ils croisent encore des toxicomanes pas très loin.

00:37:09 On interrogera là-dessus le préfet de police de Paris, Laurent Nunes,

00:37:11 donc à 8h15.

00:37:12 - Oui, 0142 30 10 10.

00:37:14 Pour réagir, vous pouvez l'interpeller directement.

00:37:17 C'est quoi le problème de sécurité ?

00:37:18 Numéro 1, selon vous, la drogue, le trafic, peut-être des chauffards, la route.

00:37:23 0142 30 10 10, on vous attend.

00:37:25 - On termine avec cette bonne nouvelle pour 13 millions de retraités.

00:37:29 Les retraites complémentaires du privé seront revalorisées de 5% à partir du mois prochain.

00:37:34 Ça correspond à l'inflation.

00:37:35 Un accord a été trouvé cette nuit entre les syndicats et les gestionnaires du régime Agirc-Arco.

00:37:41 Un point météo, Romain, encore du soleil.

00:37:45 Aujourd'hui, c'est sympa quand même en ce moment.

00:37:47 - Oui, de belles éclaircies.

00:37:48 On est content, oui, nous, d'avoir du soleil.

00:37:51 Certains attendent quand même de la pluie.

00:37:53 On pense aux agriculteurs, à toutes celles et tous ceux qui cultivent.

00:37:56 Parce que là, les légumes d'automne, ce n'est peut-être pas encore pour tout de suite, tout de suite.

00:37:59 - Oui, et puis je pense que la pluie, ce n'est pas pour tout de suite non plus.

00:38:01 - Non. J'ai regardé Météo France.

00:38:02 Visiblement, dans les 7 prochains jours, nous n'aurons pas de pluie.

00:38:05 C'est du soleil qui se profile là jusqu'à la semaine prochaine, jusqu'à jeudi prochain.

00:38:09 Et côté température, 25, 26 degrés pour ce week-end.

00:38:14 Et on a des 27 degrés qui se profilent pour la semaine prochaine.

00:38:17 Là, pour aujourd'hui, on est sur du 19, 21 degrés cet après-midi, avec un léger voile nuageux.

00:38:23 Vraiment pour chipoter et pour venir cacher le soleil.

00:38:26 7h38.

00:38:27 Sur la route 0142 30 10 10, nous vous accompagnons tous les matins, tous les quarts d'heure, des points réguliers.

00:38:33 Ville Yelsek, poids lourd en peine sur la Francinienne extérieure.

00:38:36 Un accident grave au niveau de Villepeinte, avec trois voitures et une moto qui sont entrées en collision.

00:38:41 Attention si vous êtes dans le secteur.

00:38:43 A Bretigny, là c'est une voiture et un poids lourd.

00:38:46 Et puis, et puis, la ligne 4, perturbée.

00:38:48 Il y a des travaux.

00:38:49 Le trafic est interrompu jusqu'à dimanche, sachez-le.

00:38:52 Entre Montparnasse, bienvenue, et Bagneux, Lucie, au Brac, pensez-y.

00:38:56 Vous savez en quoi, ça va être compliqué au moment du changement.

00:38:59 Si vous aviez prévu de prendre la ligne 4, n'hésitez pas à pianoter sur l'AERATP, le site internet, pour anticiper votre trajet.

00:39:06 France Bleu vous accompagne, on fait la route ensemble.

00:39:09 Alexandra vous attend en cas de problème.

00:39:10 0142 30 10 10.

00:39:12 Avant 8h, on joue ensemble.

00:39:20 France Bleu Paris, c'est la radio qui booste votre pouvoir d'achat tout au long de ce mois d'octobre.

00:39:24 Avec à gagner des caddies de course, des factures de vêtements, des factures de loisirs, des parcs d'attractions.

00:39:30 On va tout faire pour vous faire plaisir.

00:39:31 Là, aujourd'hui, c'est du carburant.

00:39:33 100 euros de carburant, c'est simple.

00:39:35 Vous allez faire le plein et ensuite vous nous envoyez la facture.

00:39:37 C'est nous qui payons.

00:39:38 On sort le carnet de chèque.

00:39:39 0142 30 10 10.

00:39:41 Peut-être pour vous, ce très beau cadeau.

00:39:43 Avant 8h, on joue ensemble.

00:39:44 Avant 8h également, le sosie vocal et physique de Jacques Brel nous rejoint.

00:39:48 T'as voulu voir Vesoul et on a vu Vesoul.

00:39:51 T'as voulu voir Onfleur et on a vu Onfleur.

00:39:53 T'as voulu voir Hambourg et on a vu Hambourg.

00:39:55 J'ai voulu voir Envers, on a revu Hambourg.

00:39:57 Il s'appelle Arnaud Ascoille.

00:39:59 C'est vraiment troublant.

00:40:00 Vous allez l'entendre.

00:40:01 Il va peut-être pousser la chansonnette ce matin sur France Bleu Paris.

00:40:05 Et vraiment, vraiment, c'est assez déroutant.

00:40:07 Il sera à l'Olympia dimanche.

00:40:09 Les avances, 7h39.

00:40:10 On va ni à Vierzon ni à Vesoul.

00:40:12 Mais à Saint-Cyr-l'Ecole avec vous ce matin, Thomas Echeberry dans le 78.

00:40:16 C'est quoi ce chantier 8h moins 20 ?

00:40:18 C'est le rendez-vous pour mieux comprendre les transformations dans la région.

00:40:21 Et pour le Grand Paris Express, pour les logements, pour les Jeux Olympiques,

00:40:24 il faut parfois faire de sacrés aménagements.

00:40:26 Et c'est le cas dans les Yvelines.

00:40:28 Oui, effectivement, la ville du Roi-Soleil est en pleine transformation.

00:40:31 On sait qu'elle recevra les épreuves d'équitation et de cross-country.

00:40:34 Mais qui dit épreuve dit journaliste, bien sûr, pour suivre l'événement.

00:40:37 Et ces journalistes, il faut bien les mettre quelque part.

00:40:39 Alors pour ça, il a fallu faire un petit peu de place, juste à côté.

00:40:42 Et pour ce faire, on détruit donc un moulin qui datait des années 30 ?

00:40:45 Oui, c'est le moulin de Saint-Cyr.

00:40:47 Alors dit comme ça, on imagine la petite tour, vous savez, très bucolique,

00:40:50 avec ses ailes, ses tulipes, juste à côté.

00:40:52 Il ne manque plus que l'odeur des herbes de Provence du coffee shop.

00:40:55 On se croirait du côté de la Hollande.

00:40:57 Mais non, pas du tout. C'est un bâtiment assez standard, en longueur,

00:41:00 on dirait presque une usine.

00:41:02 Et on parlait même de verrues dans le paysage versaillais.

00:41:04 C'est pour vous dire à quel point il était apprécié, ce bâtiment.

00:41:07 Autant vous dire qu'il n'y avait pas grand monde avec son mouchoir au début de sa destruction.

00:41:11 Il y a plusieurs maires du passé qui ont essayé même de s'en débarrasser ces dernières années.

00:41:14 Donc les géos, c'était limite l'excuse.

00:41:16 Comment fait-on, Thomas, pour détruire un tel bâtiment ?

00:41:19 Parce qu'un moulin, c'est quand même grand, c'est à une belle ampleur.

00:41:21 On sort les bulldozers, tout simplement.

00:41:23 Et il ne faut pas s'endormir, parce qu'il faut quand même venir à bout d'un immeuble de 4200 m²

00:41:27 et de 21 m de haut.

00:41:29 Ça se fait sans trop de difficultés, parce qu'il faut dire que le bâtiment est laissé à l'abandon depuis 1936.

00:41:33 Donc ça fait quand même un bail.

00:41:35 Limite, vous faites une petite piche nette, ça commence à s'effriter.

00:41:37 Ça permettra en tout cas d'offrir une vue plus dégagée sur le château de Versailles

00:41:41 et redonner sa perspective d'antan.

00:41:43 Et puis ça fera un peu plus de place au tramway 13, qui passe juste à côté.

00:41:46 Et bien sûr, aux fameuses trébunes de 35 000 places

00:41:49 qui accueilleront les fans d'équitation pour Paris 2024.

00:41:51 Et donc aux journalistes aussi, puisque vous en parliez ?

00:41:53 Oui, cette semaine effectivement que sera établi le centre de presse pour les Jeux Olympiques.

00:41:57 Ça donnera la possibilité aux reporters d'accéder directement aux épreuves.

00:42:01 Et puis une fois que la flamme sera éteinte, que la compétition tant attendue sera terminée,

00:42:05 et bien c'est l'héritage qui va prendre le relais

00:42:08 avec un nouvel écoquartier pour les habitants de Versailles et de Saint-Cyr l'école,

00:42:11 dont les premiers logements devraient être livrés à partir de 2025.

00:42:15 Mais d'ici là, quand vous verrez, ou quand vous visiterez le château de Versailles,

00:42:19 ou quand vous verrez tout simplement les journalistes à la télé pendant l'épreuve,

00:42:23 et bien vous ne pourrez plus vous dire "c'est quoi ce chantier ?"

00:42:25 Avec la destruction donc de ce moulin, ce matin, dont on voulait vous parler.

00:42:30 Le moulin s'appelle comment ?

00:42:31 Le moulin de Saint-Cyr.

00:42:32 Le moulin de Saint-Cyr, tout simplement, il n'a pas de nom.

00:42:34 C'est quoi ce chantier tous les matins, 8h ?

00:42:36 Il n'en a plus en tout cas.

00:42:37 Il n'y a plus de nom.

00:42:38 Capote.

00:42:39 7h42, France Bleu Paris.

00:42:40 Robin Barneau à vos côtés tous les matins.

00:42:46 France Bleu part à votre rencontre.

00:42:48 Direction le Val de Marne.

00:42:49 Robin, 7h42, où êtes-vous ?

00:42:51 Que faites-vous ?

00:42:52 Je suis au bord de la Seine à Alfortville ce matin et je viens de rencontrer Pascal.

00:42:55 Bonjour Pascal.

00:42:56 Bonjour.

00:42:57 Comment ça va ce matin ?

00:42:58 Très bien, je suis de bonne humeur, tout va très bien.

00:43:00 Je viens faire un petit tour à la pêche, histoire de me détendre un petit peu, 2-3 heures.

00:43:04 C'est ce que j'allais vous dire, je viens de vous croiser.

00:43:06 Je vous ai vu au loin avec des grandes cannes, je me demandais ce que c'était de la pêche.

00:43:09 C'est drôle parce qu'on en parlait déjà hier un peu après 8h.

00:43:12 J'ai croisé des pêcheurs devant l'Assemblée Nationale.

00:43:14 Ça pêche de plus en plus dans la Seine ?

00:43:17 Oui, tout à fait.

00:43:18 Malgré la pollution un peu extérieure, il y a beaucoup de poissons dans la Seine.

00:43:24 Donc c'est intéressant de venir s'amuser, de les pêcher et de les remettre à l'eau.

00:43:28 C'est pas mal comme activité.

00:43:29 Vous faites ça avant d'aller bosser ?

00:43:31 Non, pas du tout.

00:43:32 Aujourd'hui, je ne travaille pas.

00:43:33 C'est pour ça que je suis venu faire un tour ce matin et j'en profite.

00:43:35 Vous êtes d'Alfortville ou vous venez d'ailleurs ?

00:43:37 Pas du tout, je suis de Paris.

00:43:38 Et du coup, vous sortez un petit peu de Paris, vous remontez un peu la Seine ?

00:43:41 Oui, tout à fait.

00:43:42 Parce que moi, je pêche plutôt le carnassier.

00:43:45 Là, c'est l'hiver, donc les poissons blancs vont commencer à hiberner, à se cacher un petit peu.

00:43:53 Donc les carnassiers se mettent à mordre un petit peu plus, sont plus en activité.

00:43:57 Et il y a moyen de toucher de beaux poissons.

00:44:00 Et comment vous connaissez Alfortville ?

00:44:02 C'est par habitude ?

00:44:03 C'est à force d'habiter la région ?

00:44:04 Vous avez découvert un peu au hasard ?

00:44:06 Ça fait avec les copains.

00:44:08 À force de pêcher à droite à gauche, on se donne les spots.

00:44:12 Et puis, on vient faire un tour comme ça ponctuellement.

00:44:15 On fait un petit peu tous les spots.

00:44:16 Ça dépend des jours, ça dépend de la météo, ça dépend de la hauteur de l'eau.

00:44:20 On choisit en fonction, avec l'espoir, de peut-être ce jour-là toucher un joli poisson.

00:44:26 Et est-ce que c'est comme en Dordogne, dans le Périgord, on partage les bons spots ?

00:44:29 On le sait, dans le sud-ouest, les spots à champignons, en général, on ne les partage pas trop.

00:44:32 Est-ce que pour la pêche, ça se partage un peu ?

00:44:34 Non, là, ici, ça se partage.

00:44:36 Parce qu'encore une fois, c'est histoire de pêcher un beau poisson et puis on les remet à l'eau.

00:44:40 Donc, voilà, ce n'est pas pour les consommer.

00:44:42 Ce n'est pas « je vais garder mon coin comme les champignons pour en ramasser le plus et puis les amasser, les manger ».

00:44:48 Non, là, c'est vraiment partager un moment, venir se faire plaisir, se changer les idées par rapport au travail de tous les jours.

00:44:54 Et c'est quoi le plus gros poisson que vous avez pêché ?

00:44:56 Là, pour l'instant, le plus gros poisson que j'ai pris, c'est un cendres qui faisait presque 1 mètre et qui faisait un petit peu moins de 10 kilos.

00:45:04 Écoutez, je vous souhaite une bonne pêche, une bonne journée et amusez-vous bien.

00:45:08 Merci beaucoup, bonne journée à vous aussi.

00:45:10 Merci Robin. On vous retrouve à Alfortville dans le prochain quart d'heure, puisque ce matin, vous êtes sur place, là, dans le Val-de-Marne.

00:45:15 Vous avez prévu de rencontrer un champion, champion de France, qui est sur place.

00:45:20 Mais de quoi ? Promis ! Réponse avant 8h, sur France Bleu Paris.

00:45:23 Ici, Matin, revient dans un instant.

00:45:30 Le 6/9.

00:45:33 Ici, c'est France Bleu Paris.

00:46:02 Jeudi 5 octobre, France Bleu Paris, les 8h moins le quart.

00:46:05 Une valse à trois temps, tu sors pas encore de temps, tu sors pas encore de temps de se pierder les tours du côté de l'amour, comme c'est charmant une valse à quatre temps.

00:46:14 Alors, non, Arnaud Ascoy n'est pas brel, mais à l'entendre, c'est vrai qu'on pourrait presque y croire, presque son retour sur scène à brel, à l'Olympia.

00:46:23 Notamment dimanche, 16h, c'est le rendez-vous à ne pas rater. Bonjour Arnaud Ascoy.

00:46:27 Eh bien, bonjour. Merci de me recevoir, en tout cas.

00:46:30 On est vraiment ravis de vous accueillir ce matin, parce que je ne vous cache pas que lorsque j'ai écouté les extraits de vos spectacles, c'est déroutant.

00:46:38 Déroutant, et même physiquement sur scène, il y a quelque chose, tant dans la mimique, que dans la gestuelle, que dans le physique.

00:46:44 Vous le travaillez ? C'est quelque chose que vous avez travaillé ?

00:46:47 C'est-à-dire que Jacques Brel, c'est un cocktail un peu complexe. C'est effectivement une voix, une présence, une gestuelle, un physique, des arrangements magnifiques.

00:47:02 Il faut réussir à allier un petit peu tout ça.

00:47:06 Comment vous vous êtes rendu compte que vous aviez finalement autant de similitudes avec Jacques Brel ?

00:47:13 Depuis que je suis adolescent, on me pointe du doigt, on m'accoste, on m'aborde, on me demande si je suis de la famille de Jacques Brel, etc.

00:47:21 Ce qui n'est pas le cas, il faut bien l'avouer.

00:47:24 Et puis, il y a maintenant dix ans, je me suis retrouvé un petit peu par hasard avec un CD de Jacques Brel entre les mains.

00:47:30 Là, j'ai pris le temps de l'écouter et là, ça a été vraiment la révélation.

00:47:35 Je me suis aperçu que ma voix se calait assez facilement sur la sienne.

00:47:39 Mais vous faisiez de la chanson avant ?

00:47:40 Pas du tout. Je devais être ingénieur dans l'aéronautique. J'ai été inspecteur de police en PJ pendant 15 ans à Paris.

00:47:48 On a Laurent Nunez qui arrive, le préfet de police de Paris. Vous allez vous croiser.

00:47:53 Puis, détective privé. Et voilà, j'ai découvert ensuite Jacques Brel.

00:47:58 C'est plus Jacques Brel qui vous est tombé dessus finalement que vous qui êtes allé le chercher ?

00:48:01 J'ai l'impression qu'effectivement, il a essayé de me rattraper un petit peu toute ma vie et il a fini par réussir.

00:48:07 Est-ce que ce n'est pas compliqué de se confronter à une telle star ?

00:48:11 Parce qu'il faut y aller quand même. Parce que Brel, on touche là au mythe.

00:48:14 Il y a forcément la comparaison.

00:48:17 Oui, inévitablement. Les gens ont toujours un petit peu un a priori en disant "Ah non, Jacques Brel, on ne touche pas".

00:48:25 Donc, on se heurte toujours un petit peu à cet a priori.

00:48:29 Et finalement, quand on arrive à faire venir les gens dans la salle, ils sortent.

00:48:34 Ils sont comme vous disiez tout à l'heure, ils sont bluffés.

00:48:37 Ceux qui l'ont déjà vu disent "Voilà, j'ai la chance de l'avoir revu ce soir".

00:48:40 Ceux qui ne l'ont jamais vu disent "Voilà, j'ai réussi à réaliser l'un de mes rêves, c'est-à-dire de voir Jacques Brel sur scène".

00:48:48 Donc, pour moi, évidemment, je comprends que c'est bluffant, que c'est impressionnant, que c'est tout un tas de choses.

00:48:54 Mais bon, pour moi, on ne peut plus naturel, on va dire.

00:48:57 - Et le 9 octobre, ce dimanche, c'est le moment où on célébrera la disparition, les 45 ans de la mort de Jacques Brel.

00:49:05 - Nous, on est effectivement à l'Olympia le dimanche 8 octobre, à 16h, et Jacques Brel est mort le 9 octobre 1978.

00:49:14 - Les tubes de Jacques Brel sur scène, véritablement, ce ne sont que les chansons de Brel que vous interprétez ?

00:49:19 Il n'y a pas de chansons à vous ?

00:49:20 - Non, il n'y a que des chansons à moi.

00:49:22 Et c'est ce que je dis toujours, j'ai quand même la chance d'interpréter 18 tubes, ce qui est quand même rare au cours d'un concert de reprise comme ça.

00:49:30 Voilà, c'est que des petites pépites qui s'enchaînent.

00:49:34 - Et la chance donc pour nous, en Ile-de-France, de voir Jacques Brel sur scène à l'Olympia, ça doit faire quelque chose de voir ses lettres rouges ?

00:49:40 - Ah, je ne les ai pas vues encore, mais je vais les découvrir dimanche matin.

00:49:44 - Samedi ? Dimanche matin, oui.

00:49:46 - Et oui, évidemment, c'était mon rêve depuis le départ.

00:49:49 J'ai commencé il y a 10 ans, le producteur m'a demandé quel était mon rêve.

00:49:53 Je lui ai dit de refaire le dernier Olympia de Brel à l'Olympia.

00:49:56 Et puis voilà, il m'a dit je vais tout faire pour t'emmener jusqu'à l'Olympia.

00:50:00 Donc j'ai la chance d'être accompagné par Roland Romanelli au piano et à l'accordéon,

00:50:04 donc qui a accompagné Barbara pendant plus de 20 ans, Jean-Philippe Audin au violoncelle.

00:50:08 Et puis voilà, il y a cet osmose entre nous trois qui fait qu'on y croit.

00:50:14 - Puis José, ce matin, vous demandez de pousser une petite chanson de Brel.

00:50:19 Je sais que c'est toujours compliqué quand on est chanteur à 8h moins 10,

00:50:22 on n'a pas chauffé la voix, mais je ne sais pas, Amsterdam ou Mathilde ?

00:50:26 - Eh bien écoutez, allons-y.

00:50:29 Dans le port d'Amsterdam, il y a des marins qui chantent

00:50:34 les rêves qui les hantent au large d'Amsterdam.

00:50:39 Dans le port d'Amsterdam, il y a des marins qui dorment

00:50:43 comme des oriflames le long des berges mornes.

00:50:49 Dans le port d'Amsterdam, il y a des marins qui meurent

00:50:53 plein de bières et de drames aux premières lueurs.

00:50:57 Mais dans le port d'Amsterdam, il y a des marins qui naissent

00:51:02 dans la chaleur épaisse des longueurs océanes.

00:51:07 - Merci, merci beaucoup Arnaud Asseoye. - Avec plaisir.

00:51:10 - Un extrait de ce spectacle, l'Olympia.

00:51:13 On vous dit quoi merde ? Pour dimanche, c'est ça ?

00:51:16 - Et je ne dis surtout pas merci.

00:51:18 - Mais non, surtout pas.

00:51:20 Mais on était ravis ce matin de vous avoir avec la promesse brelle,

00:51:23 ce spectacle dont on voulait impérativement parler sur France Bleu Paris.

00:51:27 C'est une très belle journée. - C'est très gentil, merci à vous.

00:51:30 - 8h moins 10, la météo pour aujourd'hui avec du beau temps malgré les quelques nuages.

00:51:34 Le voile nuageux qui va filtrer le soleil cet après-midi,

00:51:37 mais ça reste très agréable. Les températures les mêmes qu'hier,

00:51:40 19 à 21 degrés à Paris 19, à Versailles et Boulogne 20, à Créteil 21.

00:51:45 8h moins 10, vos conditions de circulation,

00:51:48 tous les quarts d'heure on vous accompagne.

00:51:51 Les transports ligne 4 RER D perturbés,

00:51:54 à Villepeinte sur la Francilienne extérieure,

00:51:56 il y a trois voitures et une moto impliquées dans un accident.

00:51:59 Attention si vous êtes dans ce secteur et Bretigny-sur-Orge,

00:52:02 la Francilienne intérieure, toujours cette voiture et ce poids lourd en difficulté.

00:52:07 8h moins 10, c'est parti pour le pouvoir d'achat.

00:52:10 France Bleu a décidé de vous faire plaisir tout ce mois d'octobre

00:52:13 avec tous les jours des cadeaux à gagner.

00:52:15 Et là aujourd'hui c'est 100 euros de carburant.

00:52:17 Pour jouer, vous répondez à cette question, c'est l'événement du jour sur Netflix.

00:52:21 Notre gentleman cambrioleur préféré reprend du service,

00:52:25 c'est Lupin, saison 3, vous n'avez pas pu échapper à ces affiches un petit peu partout.

00:52:30 Et comme à chaque fois, on a droit à de belles vues de Paris pour cet événement.

00:52:34 Version carte postale, alors il n'y a pas de punaise de lit,

00:52:36 mais il y a les rues de Montmartre, il y a la place Vendôme

00:52:39 et dans les Yvelines on retrouve le château de Thoiry.

00:52:42 Mais quelle est donc la vedette, le rôle principal ?

00:52:46 Qui interprète Lupin ? Est-ce que c'est Jean Dujardin ?

00:52:49 Est-ce que c'est Omar Sy ? Ou est-ce que c'est Robin Bernot ?

00:52:52 01 42 30 10 10.

00:52:55 Robin, il doit être étonné que je l'ai mise dans les propositions, n'est-ce pas ?

00:53:00 - Écoutez, c'est tout à fait possible, j'étais approché.

00:53:03 - C'est votre côté filou, effectivement.

00:53:05 J'ai cru comprendre que vous étiez au casting.

00:53:07 - On est très heureux de vous avoir d'ailleurs.

00:53:08 - Omar Sy, Jean Dujardin ou Robin Bernot.

00:53:10 C'est Roi 1 42 30 10 10.

00:53:13 Qui est la vedette de cette nouvelle saison de Lupin ?

00:53:15 Vous avez la bonne réponse.

00:53:16 Peut-être pour vous les 100 euros de carburant.

00:53:18 Le temps de nous appeler, Angèle sur France Bleu Paris.

00:53:21 Bonne chance !

00:53:22 Comme la météo en novembre

00:53:25 Comme une étincelle dans une pompe à essence

00:53:29 Comme un accord fait dans le silence

00:53:33 Rien n'a plus de sens

00:53:37 Comme le mauvais temps en vacances

00:53:41 Comme le vert de Troc qui rend indécents

00:53:45 Comme la fin du monde qui attend

00:53:49 Rien n'a plus de sens

00:53:53 J'ai essayé de tenir

00:53:57 Oublier que j'ai peur de l'avenir

00:54:02 C'est pas toujours parfait

00:54:04 J'ai parfois des regrets

00:54:06 Quand tout est à l'arrêt

00:54:10 Je ne veux pas vous mentir

00:54:14 La vie sans vous est triste à mourir

00:54:18 C'est que je t'y ai vraie

00:54:21 Et si on la pouvait, on se retrouverait

00:54:27 Comme un con qui dit ce qu'il pense

00:54:31 Comme penser à nous de compte

00:54:34 Elle me manque

00:54:35 Comme à la fin d'une romance

00:54:39 Rien n'a plus de sens

00:54:43 J'ai essayé de tenir

00:54:47 Oublier que j'ai peur de l'avenir

00:54:51 C'est pas toujours parfait

00:54:53 J'ai parfois des regrets

00:54:55 Quand tout est à l'arrêt

00:54:59 Et je ne veux pas vous mentir

00:55:03 La vie sans vous est triste à mourir

00:55:07 C'est que je t'y ai vraie

00:55:09 Et si on la pouvait, on se retrouverait

00:55:16 Quand on pourra fêter en grand

00:55:20 Quand on aura retrouvé l'important

00:55:24 Quand ce sera fini d'attendre

00:55:28 Tout prendra du sens

00:55:32 J'ai essayé de tenir

00:55:36 Oublier que j'ai peur de l'avenir

00:55:40 C'est pas toujours parfait

00:55:42 J'ai parfois des regrets

00:55:44 Quand tout est à l'arrêt

00:55:48 Et j'ai essayé de tenir

00:56:09 Oublier que j'ai peur de l'avenir

00:56:13 C'est pas toujours parfait

00:56:15 J'ai parfois des regrets

00:56:17 Quand tout est à l'arrêt

00:56:21 Et je ne veux pas vous mentir

00:56:25 La vie sans vous est triste à mourir

00:56:29 C'est que je t'y ai vraie

00:56:31 Et si on la pouvait, on se retrouverait

00:56:38 Angèle, plus de sens sur France Bleu Paris, 7h56

00:56:42 C'est l'événement, la saison 3 de Lupin

00:56:44 Notre gentleman cambrioleur qui est de retour

00:56:47 Avec dans le rôle principal

00:56:49 La question posée à Beaucresson à Baya, bonjour

00:56:52 Bonjour

00:56:53 Qui incarne Lupin à l'écran ?

00:56:56 Omar Sy

00:56:58 Vérification

00:56:59 Se faire cambrioler est une expérience désagréable

00:57:03 Et ce, afin de vous éviter les aléas d'une surprise

00:57:07 J'ai pris la décision de vous prévenir à l'avance

00:57:10 Que je m'apprête à dérober votre perle noire

00:57:12 Vous en connaissez beaucoup, vous, des braqueurs

00:57:15 Qui vous invitent à leur caisse ?

00:57:16 T'es vraiment cinglé, Hassan

00:57:18 Ah oui, je pense que c'est bel et bien le rire d'Omar Sy

00:57:22 On l'entend bien en tout cas

00:57:23 Lupin, saison 3

00:57:25 Omar Sy dans le rôle vedette

00:57:27 Avec plein d'images de Paris, de Montmartre, de Vendôme

00:57:29 On trouve même le château de Thoiry dans les Yvelines

00:57:31 Bahia, ça valait le coup de jouer, de tenter votre chance

00:57:33 Vous avez vu, première fois que vous jouez avec nous

00:57:35 Et c'est la bonne réponse

00:57:36 Ah bah c'est super, je vous remercie

00:57:38 On garde votre numéro

00:57:39 Et tout à l'heure, 17h40, vous êtes peut-être notre grande gagnante

00:57:42 Va peut-être falloir garer l'ambulance

00:57:44 Puisque vous êtes ambulancière

00:57:45 C'est ça, mon travail exactement

00:57:47 Regardez mon travail là

00:57:49 Restez pas très très loin de la radio ce soir

00:57:51 17h40 avec Eric Batzia

00:57:53 Bonne journée, à bientôt dans les ambulances

00:57:55 Merci à vous, excellente journée, au revoir

00:57:57 Au revoir

00:57:59 Dans 3 minutes 8 heures, on va revenir sur le PSG

00:58:02 Et la déculottée, hier soir en Ligue des Champions

00:58:04 Mais avant, Robin Barnault à vos côtés comme chaque jour

00:58:06 7h57, Robin, on vous retrouve dans le Val-d'Ormarne ce matin

00:58:10 En effet, ce matin, je suis à Alfortville

00:58:12 Et je viens de rentrer dans une boutique qui sent bon

00:58:14 Qui est très colorée

00:58:15 Je suis chez un fleuriste, et pas n'importe lequel

00:58:17 Je suis ce matin chez William Sautil

00:58:19 Bonjour William

00:58:20 Bonjour

00:58:21 Alors si je suis chez vous ce matin, c'est pas pour rien

00:58:23 C'est parce que vous êtes un champion

00:58:25 Champion de France des fleuristes

00:58:27 Expliquez-nous, qu'est-ce qui s'est passé ?

00:58:28 C'était ce week-end, il y avait un grand concours qui était organisé, c'est ça ?

00:58:31 Eh bien oui, je ne saurais même pas vous dire ce qui s'est passé

00:58:33 Tellement c'est passé vite

00:58:34 Et oui, entre samedi et lundi, il y a eu à Tours

00:58:39 Pendant le salon Nova Flore, la Coupe de France des fleuristes

00:58:42 La 51ème, organisée par la Fédération des fleuristes de France

00:58:47 Et à l'issue de 5 épreuves interminablement compliquées

00:58:52 J'ai été déclaré champion de France des fleuristes

00:58:56 Et alors, qu'est-ce qu'il fallait faire ?

00:58:58 Vous avez présenté plusieurs compositions, il y avait peut-être un petit peu d'impro

00:59:01 On vous a lancé des défis, comment ça s'est passé ?

00:59:04 Eh bien c'est exactement ça en fait

00:59:06 Il y a eu une épreuve que je devais préparer en amont

00:59:09 Donc pendant tout le mois de septembre, j'ai travaillé quasiment tous les jours

00:59:13 Pour la réaliser, la refaire et tout ça

00:59:16 Et je suis venu à Tours avec ma structure et mes fleurs

00:59:20 Et la première épreuve c'était ça

00:59:22 Pendant 4 heures, j'ai dû la fleurir, l'embellir, la sublimer

00:59:25 Et à l'issue de ces 4 heures là, comme dans Top Chef et tout ça

00:59:32 Stop, on lâche tout, on lève les mains

00:59:35 Et le lendemain dimanche, par contre, c'était autre chose

00:59:38 Là c'était les épreuves dont je n'avais pas connaissance avant

00:59:42 Alors j'avais une petite idée de ce qui allait tomber

00:59:44 Parce que chez les fleuristes, on fait toujours des sujets assez précis

00:59:47 Des bouquets, des compots piqués, des bijoux

00:59:51 Et là on a découvert les sujets, l'intitulé spécifique

00:59:56 Et on avait un timing pareil, avec un décompte final

01:00:00 Et on lâche tout à la fin de l'épreuve

01:00:03 Ces compositions, on va les partager sur francebleu.fr

01:00:05 On va mettre l'adresse aussi ici à Alfortville

01:00:07 Et on va continuer de discuter avec vous ce matin

01:00:09 Parce que j'aimerais en savoir un peu plus sur vous

01:00:12 Et aussi parler de votre double casquette

01:00:13 Parce que vous êtes fleuriste, mais pas que

01:00:15 On va en parler dans un instant

01:00:18 Ici matin, revient dans un instant

01:00:22 Ici matin, revient dans un instant

01:00:26 [Musique]

01:00:31 [Musique]

01:00:34 Ici c'est France Bleu Paris

01:00:59 Jeudi 5 octobre, France Bleu Paris

01:01:02 Il est 8h

01:01:04 [Musique]

01:01:07 Au nord de Paris, un poids lourd en panne

01:01:10 Sur la Francilienne extérieure, à la hauteur de Villiers-le-Sec

01:01:13 Attention, entre les Piel et Louvre et Athenville

01:01:15 Vous mettez 50 minutes

01:01:17 Pas de ligne 4 aussi, entre Montparnasse-Bienvenue et Bagnolussi-aux-Bracs

01:01:20 Jusqu'à dimanche, il y a des travaux

01:01:22 La météo, Mélodie Pépin

01:01:24 Un petit peu de brouillard ce matin, mais le soleil arrive derrière

01:01:27 Encore une belle journée

01:01:29 Quelques frissons aussi ce matin

01:01:31 Avec ces températures en 5° seulement à Fontainebleau

01:01:34 7 à Pontoise, 10 à Paris

01:01:36 Et puis cet après-midi, on va retrouver 19° à Paris

01:01:38 20 CRJ, 21° la maximale pour Vicry-sur-Seine

01:01:41 Et notre invité ce matin, le préfet de police de Paris

01:01:44 Laurent Nunez, notre invité à 8h15

01:01:46 Oui, qui va devoir rendre des comptes, faire le bilan sur le krach à Paris

01:01:49 Ça fait un an, jour pour jour

01:01:51 Que les centaines de krakers du square Forceval dans le 19ème

01:01:55 Ont été évacués, mais des toxicos qui n'ont pas disparu de la capitale

01:01:59 Simplement déplacés, encore une fois

01:02:02 Et ça fait 30 ans que ça dure

01:02:04 Alors dans le quartier du 19ème et à Pontin, à Aubert-Villiers

01:02:07 Ces krakers ne sont pas revenus

01:02:10 Ce qui est plutôt une bonne nouvelle pour les riverains traumatisés

01:02:13 Par ce qu'ils ont vécu, Sarah Tuché-Reyre

01:02:15 Aujourd'hui, la vie a repris presque normalement

01:02:18 Aujourd'hui, les bancs du square sont occupés par des sans-abris

01:02:21 Accrochés au grillage le long de la pelouse

01:02:23 Un panneau indique qu'une réhabilitation paysagère est en cours

01:02:26 Djamel tient un café côté Pontin

01:02:28 Oui, ça a changé, quand ils étaient là, ça s'est terrassé pratiquement vite

01:02:31 Depuis qu'ils sont partis, on commence à reprendre petit à petit

01:02:34 Véronique Phil prend le métro à la station Porte de la Villette

01:02:36 C'était quand même un camp où il y avait énormément de consommateurs de krak

01:02:40 Donc on avait tous les gens qui étaient très très abîmés

01:02:43 Qui cherchaient par terre les petits morceaux blancs

01:02:45 Avec les pantalons baissés, etc.

01:02:47 Les femmes amochées

01:02:48 Et là, je suppose qu'ils ont été poussés un peu plus loin

01:02:51 Donc il y en a beaucoup moins, voilà

01:02:53 Sur le même trottoir, une jeune femme timide arrive

01:02:55 Ça, ils ne sont pas vraiment éloignés, de toute façon

01:02:57 Là, normalement, je ne devrais pas être de ce côté de la rue

01:03:00 Je devrais être de l'autre côté, mais j'ai peur

01:03:02 Je me sens vraiment pas en sécurité

01:03:03 Le tunnel piéton qui passe sous le périph' est toujours mûré

01:03:06 Pour le maire de Pontin, Bertrand Kern, sa réouverture sera cruciale

01:03:09 Il ne faut pas la louper

01:03:10 Il faut qu'elle soit vraiment en liaison entre Pontin et Paris

01:03:13 Et non pas une fracture ou une espèce de no-man's land

01:03:16 Que les gens passeraient très très vite

01:03:18 Parce que c'est plus court de passer par là

01:03:20 Il faut vraiment qu'on travaille sur quelque chose

01:03:22 Qui, au niveau urbain, soit de qualité

01:03:24 Un autre point fait débat

01:03:25 La construction d'un funérarium à demi enterré

01:03:27 Sous le square soutenu par la ville de Paris

01:03:30 Contesté par le maire de Pontin

01:03:32 Le krach !

01:03:33 A Paris, est-on condamné à vivre avec ?

01:03:35 Et de manière plus générale, la sécurité ?

01:03:37 Votre sécurité !

01:03:39 Quelle est votre priorité ?

01:03:41 Venez le dire au préfet ce matin

01:03:43 0142 30 10 10

01:03:45 On attend vos appels et on vous donne la parole dans 10 minutes

01:03:47 Et quel bilan 3 mois après les émeutes

01:03:49 Qui ont secoué la région et la France

01:03:51 Après ce tir policier mortel à Nanterre

01:03:53 Nahel, 17 ans, tué

01:03:55 Des jours d'émeutes, d'incendies

01:03:57 Des écoles dédruites, des maisons d'élus

01:03:59 Attaquées à la voiture bélier

01:04:01 Les maires seront justement autour de la Première Ministre

01:04:04 En fin de journée

01:04:05 Pour le Conseil National de la Refondation

01:04:08 Sur France Bleu Paris

01:04:09 Le maire de Grigny, Philippe Riau, dit attendre

01:04:11 Des réponses concrètes et globales

01:04:14 8h04, un porté disparu ce matin

01:04:16 J'ai nommé le PSG

01:04:18 Les joueurs fantomatiques hier

01:04:20 Sur la pelouse de Saint-James-Parc

01:04:22 C'était ahurissant

01:04:24 En dessous de tout, les parisiens

01:04:26 Kylian Mbappé dans ses chaussettes

01:04:27 Et à l'arrivée, cette gifle

01:04:29 4 buts à 1 pour Newcastle

01:04:31 C'est un deuxième match de Ligue des Champions

01:04:34 Qu'attaque

01:04:35 Alors forcément, quand on a fait le déplacement

01:04:37 Dans le nord de l'Angleterre

01:04:38 On l'a très mauvaise

01:04:40 Ecoutez ces supporters du PSG

01:04:42 Dépités, déjà

01:04:44 Dégoûtés parce que depuis les années qu'on vient

01:04:46 Tous les ans on se dit ça va être mieux

01:04:48 De mieux en mieux

01:04:49 Mais en fait j'ai l'impression que c'est de pire en pire

01:04:51 On s'est fait bouffer sur le terrain

01:04:53 On s'est bouffé dans les tribunes

01:04:54 Inexistants

01:04:55 On arrive à revenir à 3-1

01:04:56 On se dit peut-être que

01:04:58 Et à 4-1, la 4-1

01:05:00 Je suis dégoûté

01:05:01 Trop d'erreurs techniques

01:05:02 Physiquement on s'est fait manger

01:05:04 On a bien vu qu'ils couraient deux fois plus vite que nous

01:05:06 Et puis tactiquement on n'a pas su réagir

01:05:08 Donc on a été en dessous à tous les niveaux

01:05:10 Quel est le joueur qui t'a le plus déçu toi ce soir ?

01:05:12 Dans l'attitude je dirais Mbappé

01:05:14 Ça doit être le leader, ça doit être celui qui remet tout le monde

01:05:16 Et à part regarder ses chaussures, j'ai pas vu grand chose

01:05:19 C'est que le début de saison, faut pas non plus être trop défaitiste

01:05:22 Mais effectivement on ressent encore comme les années précédentes

01:05:25 Dans la mentalité, dans l'attitude, on n'y est pas

01:05:27 Et retour à la maison maintenant pour les 2100 fans du PSG

01:05:31 Qui ont fait le déplacement

01:05:33 Côté classement le PSG reste deuxième

01:05:35 De sa poule à un point Newcastle

01:05:37 Il va falloir débriefer maintenant ce naufrage collectif

01:05:40 Pour rebondir dimanche

01:05:42 Et déplacement à Rennes pour le PSG

01:05:44 Pour la 8ème journée de Ligue 1

01:05:46 8h05, France Bleu Paris, c'est la radio au grand coeur

01:05:48 Qui est partenaire des Restos du Coeur

01:05:50 Et c'est inédit dans l'histoire des restos

01:05:52 Le mois prochain, ils vont devoir refuser des bénéficiaires

01:05:55 Non mais les Restos du Coeur affichent complet

01:05:57 1 300 000 bénéficiaires, c'est 200 000 de plus

01:06:00 En un an, les restos ne sont pas taillés humainement

01:06:04 Pour faire face à cette crise brutale et massive

01:06:07 Les mots du délégué général des Restos

01:06:09 Il y aura donc du monde refusé à partir du mois prochain

01:06:12 Les restos donneront aussi moins en quantité

01:06:15 Et dans ce contexte, un peu de pouvoir d'achat grappillé

01:06:18 Pour les retraités du privé

01:06:20 Leur pension complémentaire va être revalorisée

01:06:23 De 4,9% à partir du 1er novembre

01:06:27 Pour rattraper l'inflation, Cyril Ardaud

01:06:29 L'accord a été trouvé dans la nuit

01:06:32 Entre les syndicats et les organisations patronales de la Gercarco

01:06:35 Absolument, et c'est une bonne nouvelle

01:06:38 Pour les personnes concernées

01:06:40 Près de 5% de revalorisation à la fin du mois

01:06:43 Ça devrait faire une vraie différence

01:06:45 Pour 13 millions de retraités

01:06:48 Cette part complémentaire représente tout de même

01:06:51 Entre 20 et 60% de la pension totale des bénéficiaires

01:06:55 Autre bonne nouvelle, la suppression

01:06:57 Entre décembre et avril du MALUS

01:07:00 C'est une décote de 10% qui s'applique pendant 3 ans

01:07:03 Aux salariés qui refusent de travailler un an de plus

01:07:06 Alors même qu'ils avaient atteint l'âge légal de départ

01:07:09 Et cotisé suffisamment longtemps

01:07:11 Le bonus pour ceux qui ont travaillé quelques années supplémentaires

01:07:14 Lui, est conservé

01:07:15 La Gercarco verse chaque année près de 90 milliards d'euros

01:07:19 Une manne financière sur laquelle l'or nul état

01:07:22 Qui aimerait bien prélever entre 1 et 3 milliards par an

01:07:25 Au titre de la solidarité entre les régimes

01:07:27 Sur ce point, syndicats et patronales

01:07:29 Sont main dans la main pour dire non

01:07:31 A la pension de cette caisse complémentaire

01:07:33 Merci Cyril Ardot, les organisations présentes autour de la table

01:07:36 Se sont dites pour la plupart satisfaites

01:07:38 L'accord trouvé dans la nuit doit à présent être signé

01:07:42 D'ici mercredi prochain, c'est la date butoir

01:07:45 Allez, si on regarde une petite série ce soir

01:07:47 Venez, je vous invite à la maison

01:07:49 Parce que c'est l'événement du jour sur Netflix

01:07:51 Notre gentleman cambrioleur

01:07:53 Préféré reprend du service

01:07:56 Se faire cambrioler est une expérience désagréable

01:08:00 Et ce, afin de vous éviter les aléas d'une surprise

01:08:03 J'ai pris la décision de vous prévenir à l'avance

01:08:06 Que je m'apprête à dérober votre perle noire

01:08:09 Vous en connaissez beaucoup, vous, des braqueurs qui vous invitent à leur caisse ?

01:08:13 T'es vraiment cinglé, Hassan !

01:08:15 Lupin saison 3 avec Omar Sy

01:08:18 Toujours dans le rôle principal au milieu d'un pari

01:08:20 Carte postale, pas de craque, pas de travaux

01:08:22 Et pas de punaise de lit

01:08:24 Vous savez que vous avez dit "Venez à la maison"

01:08:27 Il y en a qui vont prendre au mot, on va être nombreux

01:08:29 Va falloir pousser les meubles

01:08:31 Oh écoutez, c'est pas grave, on s'assera par terre

01:08:33 On commandera des pizzas

01:08:34 Sur le lit, en haut de l'étagère et puis yallah

01:08:36 Allez, la météo !

01:08:38 De belles éclaircies tout au long de la journée

01:08:40 Même si un léger voile nuageux, c'est vrai

01:08:42 Sera bel et bien présent sur la région parisienne

01:08:45 Les températures ce matin, c'était frais

01:08:47 Notamment dans le secteur de Fontainebleau

01:08:49 On a relevé 4 petits degrés aux abords de la forêt

01:08:52 A Milly la forêt, 5 degrés

01:08:54 A Rambouillet, aux abords de la forêt, 6 degrés

01:08:57 Et après ça se réchauffe, en ville notamment

01:08:59 A Nemours, 7, à Évry-Courcour, un 8

01:09:01 A Saint-Denis, 10, à Paris-Boulogne, 11 degrés

01:09:04 Ça c'est du passé, c'était ce matin au réveil

01:09:06 Ce qui nous attend pour cet après-midi

01:09:08 19 à 21 degrés pour la capitale, 19

01:09:11 Une porte qui soutient votre pouvoir d'achat

01:09:13 Avec ces factures qui ne cessent de grimper

01:09:15 Et c'est pour ça qu'on a décidé de booster

01:09:17 De payer vos factures tout au long de ce mois d'octobre

01:09:20 Mais on n'attend pas une semaine

01:09:22 On n'attend pas la fin du mois d'octobre pour le faire

01:09:24 On le fait tous les jours

01:09:25 100 euros de carburant à gagner tout à l'heure

01:09:27 A 17h40 avec Eric Bastien

01:09:29 Mais pour être dans la sélection, il faut nous appeler

01:09:31 01 42 30 10 10

01:09:33 Le pouvoir d'achat, c'est son dada

01:09:35 David Kolsky, les bons plans

01:09:37 On ne pouvait pas garder ça pour nous

01:09:38 Exactement, avec une exposition gratuite ou pas chère

01:09:41 Ça dépend l'âge qu'on a pour profiter de Van Gogh au musée d'Orsay

01:09:45 Et puis je suis sûr que vous aimez la couture Romain

01:09:47 Vous avez un côté un petit peu couturière, non ?

01:09:49 Moi, je ne manque jamais de prendre un petit fil

01:09:52 Et de faire effectivement un petit peu de couture

01:09:53 Pourquoi ?

01:09:54 Parce qu'on va aller au PUC des couturières

01:09:56 Ça se passe également là, cette fin de semaine

01:09:58 Et puis on va parler de la journée paralympique

01:10:00 L'occasion de faire du sport et de découvrir le sport autrement

01:10:03 Du côté de la place de la République

01:10:05 Et tout est gratuit en plus

01:10:06 Donc forcément, on aime !

01:10:07 Rendez-vous dans une demi-heure à 9h20

01:10:10 D'ici là, on va revenir sur la débat clière du PSG face à Newcastle

01:10:14 4-1, autant vous dire que Romain Bédouc n'a pas bien dormi

01:10:18 Rendez-vous dans une grosse vingtaine de minutes sur France Bleu Paris

01:10:21 0142 30 10 10, on réagit à la sécurité, à l'actualité ce matin

01:10:25 Et on fait le point avec le préfet de police

01:10:27 Laurent Nunez qui sera notre invité à 8h15

01:10:30 Le krach, la sécurité des JO, le plan de circulation

01:10:33 Et puis toutes vos questions

01:10:34 Oui, venez, 0142 30 10 10

01:10:37 On a le krach de Bondy à Kylian Mbappé

01:10:39 On a le krach de France Bleu Paris, c'est Romain Barnault

01:10:41 Qui chaque jour, avec son micro France Bleu, part à votre rencontre

01:10:45 Direction Alfortville ce matin

01:10:47 Robin, vous êtes donc dans le Val-de-Marne à 8h11

01:10:49 Effectivement, toujours ici à Alfortville

01:10:52 Nous sommes chez un fleuriste, nous sommes à la boutique Bruno's Brésil

01:10:56 Avec William Sautil qui a été sacré champion de France des fleuristes ce week-end

01:10:59 C'est-à-dire numéro un en France, c'est pas rien

01:11:02 On est toujours avec vous William

01:11:03 Comment vous êtes devenu fleuriste ?

01:11:05 C'est quelque chose que vous vouliez faire depuis tout petit

01:11:07 Ou ça a été un changement de carrière ?

01:11:09 Alors oui, pas spécialement

01:11:10 En fin de compte, je voulais devenir...

01:11:12 Je voulais travailler dans la science, je voulais devenir scientifique

01:11:14 Donc j'ai un cursus, j'ai un bac scientifique

01:11:17 Mais en première année de licence, je me suis posé beaucoup de questions

01:11:22 Et il se trouve que ma famille est fleuriste

01:11:25 Donc je connaissais un petit peu le métier

01:11:27 Cette boutique a été fondée en 1947 par mon arrière-grand-père

01:11:31 Puis ma grand-mère, puis ma mère

01:11:33 Donc depuis tout petit, je suis dans les fleurs

01:11:35 Et du coup, à l'issue du baccalauréat, je me suis dit "Tiens, je vais essayer"

01:11:39 Donc je suis allé travailler chez un fleuriste à Antony

01:11:43 Et en même temps, je suis allé dans une école à Paris

01:11:46 Et en fin de compte, j'ai adoré ça

01:11:49 Donc j'ai poursuivi la carrière dans l'art floral

01:11:53 En faisant un CAP, un brevet professionnel et un brevet de maîtrise

01:11:56 Et alors, ce qui est assez drôle, vous parlez d'école

01:11:58 Et aujourd'hui, c'est votre double casquette

01:12:00 Parce que vous n'êtes pas tout le jour dans cette boutique

01:12:01 Vous êtes aussi prof

01:12:02 Exactement, le hasard a voulu qu'à l'issue de mon brevet de maîtrise

01:12:06 L'école dans laquelle j'ai tout appris

01:12:09 Recherchait un professeur de science

01:12:11 Et ayant quelques bases en science

01:12:16 On m'a proposé de devenir professeur en science pour les CAP

01:12:20 Et de fil en aiguille, on m'a proposé de devenir professeur en art floral

01:12:24 En technique florale

01:12:25 Et voilà, maintenant, deux jours par semaine

01:12:27 Je suis professeur à l'école nationale des fleuristes de Paris

01:12:31 Qui est dans le 19ème arrondissement

01:12:32 Exactement, rue Hasard

01:12:34 Et alors là, je viens de vous rencontrer dans la boutique

01:12:36 Il y a quelques instants

01:12:37 Vous étiez en pleine mise en place

01:12:38 En train de récupérer des bouquets

01:12:39 Vous rentrez de Rangy, c'est ça ?

01:12:41 Exactement, je me suis levé avant le soleil

01:12:44 Pour aller chercher les fleurs dont j'ai besoin

01:12:48 Pour alimenter la boutique et servir mes clients

01:12:52 Là, on est à fond dans la saisonnalité

01:12:53 On en parle souvent dans la cuisine

01:12:54 Mais chez les fleuristes, j'imagine que c'est pareil

01:12:56 Qu'est-ce qui marche bien en ce moment ?

01:12:58 Si je dois faire un petit bouquet

01:13:00 J'ai envie de faire plaisir à un ou une amie

01:13:02 Qu'est-ce que vous me conseillez ?

01:13:03 Alors en ce moment, on va utiliser pas mal les fleurs de production française

01:13:08 Les fleurs du Var par exemple

01:13:09 Donc on a des très beaux tournesols

01:13:11 On a tout ce qui va être ce qu'on appelle des célosis

01:13:15 Après, on n'a pas que ça

01:13:17 On a des fleurs qui ne sont pas de saisonnalité

01:13:20 Et on a accès, avec Rangis, à toute l'année

01:13:23 Des roses, des lisses qui sont merveilleuses

01:13:25 J'ai des nérines qui sont super belles

01:13:27 C'est les fleurs que j'étais en train de faire quand vous êtes arrivés

01:13:30 Donc qui sont un petit peu roses au-dessus aux roses rouges je dirais

01:13:34 Et vous étiez en train de couper les pieds, c'est ça ?

01:13:37 Oui, parce que chaque fleur doit être mise à l'eau

01:13:39 Chaque fleur a sa manière d'être traitée

01:13:42 Et on les met dans les vases avant de pouvoir faire les bouquets

01:13:45 Merci William de nous avoir accueillis ce matin

01:13:47 William Sautil, on vous retrouve ici boutique Bruno's Breezy à Alfortville

01:13:52 On va mettre l'adresse, on va mettre toutes les infos sur franceblog.fr

01:13:55 J'vous souhaite de passer une bonne journée et de bonnes compositions

01:13:59 J'espère que ça se dit

01:14:00 Merci beaucoup et à très bientôt

01:14:02 Merci Robin, bravo à ce champion de France

01:14:04 Parmi toutes les régions, c'est donc à Alfortville, William

01:14:07 Qui est champion de France des fleuristes Cocorico

01:14:10 C'est une fierté francilienne, 8h14

01:14:13 Ici Matin, reviens dans un instant

01:14:18 Le 6/9 France Bleu Paris

01:14:21 Ici, le 6/9 France Bleu Paris

01:14:24 Le 6/9 France Bleu Paris

01:14:46 Ici, on parle d'ici

01:14:49 Jeudi aujourd'hui le 5 octobre, vous écoutez France Bleu Paris 8h15

01:14:52 L'invité, le préfet de police de Paris

01:14:54 Sur France Bleu ce matin, crack, sécurité, des JO, le plan de circulation

01:14:59 Il répond à toutes vos questions, 01 42 30 10 10

01:15:02 Laurent Nunez, bonjour

01:15:04 Préfet de police de Paris, donc vous êtes en charge de notre sécurité à Paris

01:15:08 Mais aussi en petite couronne

01:15:10 Et ça fait un an aujourd'hui, un an que vous avez évacué les craqueurs

01:15:14 Du square Forceval, Porte de la Villette dans le 19ème

01:15:17 Pour toi, ils sont toujours là, aérés, éparpillés

01:15:19 Dans le 18ème, dans le 19ème, ou même autour de la gare du Nord

01:15:23 Est-ce que c'est un échec ?

01:15:25 Non, c'est pas du tout un échec

01:15:27 L'objectif qui m'avait été fixé, c'était de démanteler d'abord le camp de Forceval

01:15:31 Vous vous souvenez, ce camp où se regroupaient plusieurs centaines de consommateurs de crack

01:15:35 Et évidemment des trafiquants qui venaient leur vendre du crack

01:15:38 Et autour de cette zone, il y avait énormément de violence

01:15:40 Énormément de violence, d'agression, vous vous souvenez quoi

01:15:43 Un monsieur avait été même agressé, il était décédé quelques jours plus tard

01:15:48 Donc il y avait des faits extrêmement graves

01:15:50 Donc nous avons démantelé ce camp

01:15:52 Et effectivement, les consommateurs cherchent à reconstituer un lieu de consommation massif à ciel ouvert

01:15:58 En permanence, effectivement

01:16:00 Comme vous dites, ils errent dans le Nord-Est parisien

01:16:02 Et je déploie un dispositif policier et de gendarmes mobiles exceptionnels

01:16:07 Pour éviter qu'il y ait cette reconstitution d'un camp

01:16:10 De la consommation de ciel ouvert

01:16:13 Donc évidemment, on a démantelé le camp

01:16:17 Et on disperse ces consommateurs qui essaient de se réimplanter en permanence

01:16:22 - Mais votre objectif, c'était pas d'évacuer le camp, votre objectif c'était d'éradiquer le crack

01:16:27 - Oui, mais éradiquer le crack, ça veut dire plusieurs choses

01:16:29 D'abord, moi je déploie un dispositif policier de voie publique qui est exceptionnel

01:16:32 J'ai chaque jour entre 100 à 800 fonctionnaires de police ou militaire

01:16:36 Des gendarmes mobiles qui sont déployés sur le Nord-Est parisien

01:16:39 Ce qui est exceptionnel

01:16:40 Pour éviter qu'un point de cristallisation se crée

01:16:44 - Donc on n'a plus de point de cristallisation, mais on les a dispersés

01:16:49 - Non, mais on a beaucoup moins de consommateurs qui sont dispersés

01:16:52 Et que l'on disperse très régulièrement dès qu'ils s'implantent à un endroit

01:16:57 Et que les riverains nous signalent, on est sur 100 à 150 consommateurs

01:17:01 Forceval, à certains moments, c'était 800 consommateurs qui étaient regroupés

01:17:06 Et puis surtout, on interpelle beaucoup de modus, des trafiquants

01:17:09 Depuis le début de l'année, depuis 2023, on a 357 trafiquants qui ont été interpellés

01:17:18 L'année dernière, c'était 250 sur toute l'année

01:17:22 Donc on interpelle beaucoup de trafiquants

01:17:23 - Interpellés et ensuite ils deviennent quoi ?

01:17:25 - Ils sont condamnés

01:17:26 Vous savez, quand on interpelle un trafiquant, c'est qu'on a constaté l'action de transaction

01:17:29 Et la procureure de Paris nous suit, il fait un travail remarquable également

01:17:33 Et généralement, ils sont condamnés plusieurs années

01:17:35 Et quand ils sont en situation irrégulière à l'issue, ils sont évidemment reconduits

01:17:38 Mais ce que je veux vous dire, c'est qu'il faut que vos auditeurs et téléspectateurs comprennent bien une chose

01:17:43 C'est qu'en termes d'action policière et répressive, ce que vous dites que c'est un échec

01:17:47 On ne peut pas faire plus que ce qu'on fait

01:17:48 - Non, je vous pose la question

01:17:49 - Et ce qu'on fait, c'est très bien

01:17:50 C'est-à-dire qu'on est présent, on disperse, on rassure et on interpelle les trafiquants

01:17:54 Après, ce qui reste sur la voie publique et qui pose ces nuisances que je comprends parfaitement pour les riverains

01:18:00 Ce sont des consommateurs

01:18:01 Ce sont des consommateurs qui ont besoin d'un traitement sanitaire, social

01:18:06 - Non, mais ce ne sont pas mes policiers qui vont les prendre en charge de ce point de vue-là

01:18:10 Moi, je ne demande pas à des médecins de démanteler des trafics de stupéfiants

01:18:14 Donc, ce qu'on fait, on est au maximum de ce qu'on peut faire

01:18:16 Mais je veux en même temps rassurer, on va continuer, on restera présent tant qu'il y aura des consommateurs

01:18:21 - Alors, on va demander à Christophe qui nous a appelé

01:18:23 - Si le dispositif sanitaire et social ne monte pas plus en charge, j'y reviendrai parce qu'il y a beaucoup de choses qui sont faites

01:18:27 Mais si on ne va pas plus loin, si on ne va pas plus fort, on ne réglera pas définitivement le problème

01:18:32 Et pour reprendre votre expression, on n'éradiquera pas définitivement le krach

01:18:35 - Christophe qui nous appelle au 01 42 30 10 10 justement

01:18:39 On va lui demander s'il est rassuré par ce que vous venez de dire

01:18:43 Christophe qui habite autour de Stalingrad

01:18:46 Bonjour Christophe, déjà, bonjour

01:18:48 - Bonjour

01:18:50 - Et vous, vous avez des toxicomènes autour de chez vous ?

01:18:53 - Alors, ce qu'on va faire Christophe, c'est qu'on va...

01:18:58 Christophe, on ne vous entend pas à côté téléphone, on va vous rappeler

01:19:01 Visiblement, il dit qu'on déplace les crackers et qu'il faudrait peut-être réfléchir à une autre solution pour résoudre le problème

01:19:08 - Christophe a raison, il a raison, il faut l'autre solution

01:19:14 Encore une fois, la réponse, c'est que ces gens doivent être pris en charge

01:19:18 On ne peut pas laisser des gens qui sont...

01:19:20 - Vous deviez travailler un plan de coordination avec l'ARS, avec les élus

01:19:25 - On travaille avec les élus, on travaille avec l'ARS, on travaille avec d'autres services de l'État pour cette prise en charge sanitaire et sociale

01:19:30 Je fais partie de cette coordination, je l'impulse, mais je ne suis pas responsable de toutes les actions

01:19:36 - Mais on en est où alors ? On en est où d'un plan, une échéance, quelque chose ?

01:19:41 - Pour ce qui est de la police et de la justice, le travail, il est fait, on va le continuer

01:19:46 Et le résiduel, c'est maintenant une prise en charge sanitaire et sociale qui doit monter en puissance

01:19:51 Alors il y a des actions qui ont été lancées, attention, je ne dis pas que rien n'est fait, au contraire, beaucoup de choses sont faites

01:19:56 Vous savez, les consommateurs de crack, il y en a 610, au moment où on se parle, qui sont accueillis toutes les nuits

01:20:02 dans des dispositifs de prise en charge sanitaire et sociale

01:20:04 Il y a encore très peu de temps, c'était 200 places, on est passé à 610

01:20:08 Il y a des prises en charge en milieu hospitalier aussi qui ont augmenté, on est passé de 35 à 50

01:20:13 Mais ce dispositif, il doit encore monter en puissance

01:20:15 - Vous êtes toujours contre les lieux de consommation encadrés ?

01:20:19 - Ecoutez, il y en a un qui est à Tite, il y en a un qui est expérimenté, à la Riboisière

01:20:25 Moi je n'ai pas à me positionner là-dessus, c'est une décision politique

01:20:28 Je ne crois pas que ce soit la solution du tout au problème

01:20:31 La solution au problème, elle est que ces consommateurs de crack maintenant, qui errent dans les rues, soient pris en charge au plan sanitaire et social

01:20:37 Mais je veux rassurer Christophe et d'autres riverains, parce que le quartier de Stalingrad, on y passe tout le temps

01:20:41 C'est compliqué, surtout le soir, sur la place sur Stalingrad, sur les caisselles

01:20:45 - Alors justement, demandons-lui parce qu'il est avec nous

01:20:47 - C'est compliqué, on y passe tous les soirs pour disperser des consommateurs qui se regroupent

01:20:50 - Christophe, dans le quartier de Stalingrad à Paris, votre quotidien, bonjour

01:20:53 - Bonjour Christophe

01:20:54 - Bonjour, alors en fait moi j'habite du côté de la place Connaille-Fabien

01:20:58 Mais c'est vrai que dès qu'on se déplace vers Stalingrad ou vers le boulevard de La Chapelle

01:21:02 Il y a de nombreux crackers, il y a de nombreux drogués

01:21:06 On voit des personnes qui t'y tuent, qui sont complètement en mode zombie

01:21:10 Et c'est pas rassurant du tout, parce qu'ils agressent les passants

01:21:13 Enfin, on n'est pas du tout en sécurité quoi

01:21:17 - Et quand c'est comme ça, vous appelez la police, vous laissez faire, vous changez de trottoir, quel est votre quotidien réel ?

01:21:23 - En fait, le quotidien réel, c'est qu'on cherche pas non plus les ennuis

01:21:29 Et le réflexe effectivement, c'est d'éviter les problèmes

01:21:33 Donc c'est d'aller plus loin, c'est de changer de trottoir

01:21:36 Oui effectivement, c'est de bouger complètement

01:21:38 - Et puisque le préfet de police est avec nous, quelles questions aimeriez-vous lui poser Christophe ?

01:21:42 - En fait c'est simple, aujourd'hui le camp a été démantelé, je suis d'accord

01:21:46 Mais ça a juste déplacé le problème

01:21:49 Le problème, il a été sur Aubervilliers, il était sur Pantin, il revient sur Paris

01:21:54 Le problème il circule, mais il n'est pas réglé

01:21:57 Après, peut-être que le préfet de police devrait s'allier à d'autres pouvoirs

01:22:06 Pour régler définitivement le problème

01:22:09 Effectivement, le préfet de police, il n'est pas médecin

01:22:12 Mais se coordonner avec des services hospitaliers pour aider les consommateurs à régler le problème

01:22:20 Là, ça permettrait peut-être d'éradiquer le souci

01:22:24 - Bonnes ou mauvaises idées Christophe ?

01:22:26 - Merci Christophe

01:22:28 Ce que dit Christophe, c'est qu'effectivement ça dure, 30 ans que ça dure

01:22:32 Il y a eu la colline Ducrac, on a évacué aussi les jardins Eole

01:22:35 Maintenant le square Fort-Séval

01:22:37 Et aujourd'hui ce sont des riverains qui sont obligés de changer de trottoir

01:22:39 - Ou de déménager parfois

01:22:41 - D'abord, sur le constat en termes de solutions qui est fait, moi je partage

01:22:48 Il faut qu'il y ait une meilleure coordination avec d'autres acteurs qui soient en capacité de prendre en charge ces personnes

01:22:53 Je vous redis, la police, on est pied au plancher, on ne pourra pas faire plus

01:22:56 - Mais il y a quoi comme action ? Qu'est-ce qui se passe ?

01:22:58 - Les actions c'est de prendre en charge ces personnes, il y a des actions sanitaires ou sociales

01:23:01 Ce sont des gens qui peuvent être hospitalisés, il faut ouvrir des places

01:23:05 Il faut qu'il y ait un dispositif de prise en charge de ces personnes pour les sortir de leur...

01:23:08 - Il y a un plan ? Il y a un objectif ?

01:23:10 - Ecoutez, ce n'est pas de ma responsabilité

01:23:12 Ce n'est pas de ma responsabilité

01:23:14 Moi, ce que je souhaite c'est que les autres acteurs montent en puissance

01:23:16 C'est le cas, ils sont en train de monter en puissance

01:23:18 Et il n'y a qu'à ce moment-là qu'on éradiquera définitivement le problème

01:23:21 Qu'il n'y aura plus de consommateurs

01:23:23 Maintenant, ce que dit Christophe, votre auditeur, est exact

01:23:27 Effectivement, je ne peux pas vous laisser dire, si vous voulez, qu'on a déplacé le problème

01:23:31 Le mot n'est pas exact

01:23:33 - Vous l'avez dit pourtant tout à l'heure

01:23:35 - Non, non, je vous ai dit, on a démantelé un camp

01:23:37 Et on a des consommateurs en nombre plus réduit qui cherchent à le reconstituer

01:23:41 Pourquoi ? Parce que c'est là que les trafiquants viennent les trouver

01:23:44 Il faut que vous expliquiez, je me permets d'expliquer à vos auditeurs et aux téléspectateurs

01:23:48 Pourquoi ces gens dans la rue se regroupent à des endroits ?

01:23:50 C'est parce que c'est là que les trafiquants, qui exploitent cette détresse sociale, sanitaire

01:23:55 C'est là que les trafiquants les retrouvent

01:23:57 Et nous, nous les dispersons en permanence

01:23:59 - Avec 800 policiers

01:24:01 - Oui, les grosses journées, on peut monter jusqu'à 800

01:24:04 Et on a au minimum 100 à 150 policiers et gendarmes qui ne font que ça toute la journée

01:24:09 - Et tous ces policiers, ils vont rester après les JO ?

01:24:12 - Mais ils resteront tout le temps, tant qu'il y aura des consommateurs

01:24:14 Tant que Christophe croisera des consommateurs errants sur les rues

01:24:18 Dont certains, je le confirme, peuvent avoir un comportement agressif

01:24:21 Dont certains peuvent avoir un comportement agressif

01:24:23 Tant qu'ils seront là, nous serons là

01:24:25 - 014-23010, pour réagir et poser vos questions ce matin

01:24:28 Laurent Nunez, le préfet de police de Paris

01:24:30 - Votre problème aussi, Laurent Nunez, c'est que ça fait tâche pour les JO, tous ces craqueurs

01:24:33 Et les sans-abri aussi, qu'on évacue

01:24:37 - Oui, c'est un problème que nous sommes en train de régler

01:24:41 Et puis pour les JO, comme vous le savez, pour les JO olympiques

01:24:44 On aura quand même un dispositif policier et de gendarmerie

01:24:47 Qui sera renforcé et qui sera augmenté significativement

01:24:50 On aura du bleu partout, dans Paris, en Petite Couronne

01:24:54 Donc le souci, c'est pas tant les JO, moi je ne sais pas

01:24:57 Je ne me positionne pas dans l'action que je mène

01:24:59 Et dans l'action que me demande de mener le ministre

01:25:01 Pour lutter contre la délinquance à Paris, en Petite Couronne

01:25:03 Et pour lutter contre le trafic de stupes

01:25:05 Par rapport aux JO, c'est une action permanente

01:25:07 Ça sera l'héritage des jeux

01:25:09 Le but c'est de régler définitivement les problèmes

01:25:11 On ne se positionne pas que par rapport aux JO, évidemment

01:25:13 - Est-ce qu'il y a des évacuations vers la province

01:25:17 Qui montent en puissance depuis le printemps

01:25:19 Justement pour faire place nette en vue des JO ?

01:25:23 - Alors, non, c'est pas pour faire place nette

01:25:25 D'abord, c'est pas de ma compétence, je tiens à le dire

01:25:28 C'est le préfet de région, Ile-de-France, qui gère cela

01:25:30 Évidemment, la préfecture de police l'accompagne

01:25:32 Dans la mise en œuvre opérationnelle

01:25:34 Il y a effectivement des prises en charge

01:25:36 Qui sont effectuées de migrants

01:25:38 Qui sont effectuées en province

01:25:40 Mais c'est pour pouvoir répondre à la demande

01:25:44 - Rien à voir avec les JO ?

01:25:46 - Rien à voir avec les JO, petit 1

01:25:48 - Coïncidence de calendrier ?

01:25:50 - Concernant les consommateurs de crack aussi

01:25:52 L'essentiel sont les migrants, mais pour les consommateurs de crack aussi

01:25:54 L'ARS a fait un travail qui a permis

01:25:56 De trouver des places d'hospitalisation

01:25:58 En province, il ne s'agit pas de déplacer les gens

01:26:00 Il s'agit d'offrir, d'être en capacité

01:26:02 - Combien ?

01:26:04 - On a une cinquantaine de places

01:26:06 Je parle des consommateurs de crack

01:26:08 On a une cinquantaine de places qui sont en province

01:26:10 D'hospitalisation

01:26:12 - Donc on a déplacé une cinquantaine de toxiques en province ?

01:26:14 - Non, on n'a pas déplacé

01:26:16 On augmente notre capacité de prise en charge de ces personnes

01:26:18 Voilà, c'est ça qui est important

01:26:20 On a une cinquantaine de places à Paris

01:26:22 On en a une cinquantaine en province

01:26:24 Ce sont des gens qui sont hospitalisés pour sortir de l'addiction

01:26:26 Et c'est comme ça qu'on réglera le problème

01:26:28 Quand on sortira ces personnes de l'addiction

01:26:30 D'un point de vue policier et de justice

01:26:32 Je redis qu'on est au maximum de ce qu'on peut faire

01:26:34 On continuera à disperser les gens

01:26:36 On continuera à interpeller des trafiquants

01:26:38 - Et combien de sans-abri

01:26:40 Et de migrants ont été

01:26:42 Pris en charge en province ?

01:26:44 - Ecoutez, je sais

01:26:46 Ce sujet n'est pas de ma compétence

01:26:48 Je préfère ne pas en parler, je vous dirai des bêtises

01:26:50 - Un mot sur la sécurité

01:26:52 Des Jeux Olympiques

01:26:54 - Vous êtes quand même attendue au tournant

01:26:56 Elle vous inquiète cette cérémonie d'ouverture ?

01:26:58 - Non, il n'y a pas d'inquiétude particulière

01:27:00 Ça demande un gros travail

01:27:02 C'est un événement assez exceptionnel

01:27:04 Une cérémonie d'ouverture

01:27:06 Qui se déroule en plein air

01:27:08 Ça ne s'est jamais fait

01:27:10 - Est-ce qu'on a une idée de la jauge ?

01:27:12 - Non, pas encore

01:27:14 Parce qu'on y travaille

01:27:16 Il y aura plusieurs centaines de milliers de personnes

01:27:18 Sur la cérémonie d'ouverture

01:27:20 - Vous êtes plutôt sur le comptage en bas

01:27:22 - On est sur 100 000

01:27:24 Au quai bas

01:27:26 Les spectateurs payants du Cojo

01:27:28 Et puis on est en train de travailler à la jauge

01:27:30 Sur les quais hauts

01:27:32 Il y aura plusieurs centaines de milliers de personnes

01:27:34 Mais on l'affinera

01:27:36 La jauge, ce n'est pas d'un coup de baguette magique

01:27:38 On est encore en train d'y travailler

01:27:40 Par rapport aux capacités d'encadrement policier

01:27:42 Mais surtout par rapport aux entrées

01:27:44 Sorties du public d'un certain nombre de périmètres

01:27:46 C'est ça qui compte pour éviter les mouvements de foule

01:27:48 - Laure Mugniez, une dernière question

01:27:50 Peut-être concernant un sujet

01:27:52 Qui préoccupe pas mal de France Iliens

01:27:54 En ce moment, les punaises de lits

01:27:56 Qu'est-ce que vous pouvez faire

01:27:58 Vous préfet de police de Paris ?

01:28:00 - Ce n'est pas dans les compétences du préfet de police

01:28:02 De gérer ces problèmes sanitaires

01:28:04 - Ça l'a été dans les années 50-60 ?

01:28:06 - Oui, oui

01:28:08 Il y a très longtemps, effectivement

01:28:10 Le préfet de police, il n'y avait qu'un préfet

01:28:12 Qui s'occupait de toutes les thématiques

01:28:14 Celle-ci n'est pas de mon ressort de compétences

01:28:16 - Merci beaucoup, Laurent Mugniez, d'avoir été avec nous ce matin

01:28:18 Le préfet de police de Paris

01:28:20 Répondez à vos questions sur la sécurité

01:28:22 - Et notamment à 295

01:28:24 Vous savez qu'ici, on tient le décompte

01:28:26 - Nous aussi, nous aussi

01:28:28 - 295 jours avant cette cérémonie

01:28:30 C'est vrai

01:28:32 Unique au monde

01:28:34 Première fois qu'elle sera hors d'un stade

01:28:36 Ce qui demande beaucoup plus de sécurité

01:28:38 C'est vrai qu'on a quand même un paysage magnifique

01:28:40 À Paris et qu'on aura l'occasion

01:28:42 De vous réexpliquer avec Thomas Joly

01:28:44 Notamment ce qui est en train de se préparer

01:28:46 Et de se charger de cette cérémonie d'ouverture

01:28:48 8h29, vous écoutez France Bleu Paris

01:28:50 La radio des Bleuins

01:28:52 Demain, il y a rugby

01:28:54 Ici matin, revient dans un instant

01:28:56 Ici matin, revient dans un instant

01:28:58 Ici matin, revient dans un instant

01:29:00 Boulevard de la Seine

01:29:02 C'est samedi à 11h30

01:29:04 On compte sur vous parce qu'on a un très grand acteur

01:29:06 Qui est notre invité, Patrick Chenet, présent au cinéma

01:29:08 Et surtout au théâtre, en ce moment au théâtre Montparnasse

01:29:10 Dans le Mystère Senny, Patrick Chenet est coupable ou non coupable ?

01:29:12 - J'espère qu'il est coupable

01:29:14 Mais je ne suis pas sûr

01:29:16 - En tout cas vous le saurez samedi à 11h30

01:29:18 Avec Léa Landeau et Yvan Allouin avec qui on passera à la table

01:29:20 On compte sur vous

01:29:22 Soyez là samedi 11h30

01:29:24 Jean-Noël Miranda reçoit Patrick Chenet

01:29:26 Samedi à 11h30

01:29:28 Et c'est sur France 3 Paris, Ile-de-France

01:29:30 Cette semaine, je vous emmène dans les dédales

01:29:34 D'un hub parisien méconnu

01:29:36 Celui de Saint-Michel

01:29:38 Deux lignes de métro et deux lignes de RER

01:29:40 30 millions de voyageurs chaque année

01:29:42 C'est considérable et vous allez le découvrir

01:29:44 Dans l'émission "Une histoire peu banale"

01:29:46 Rendez-vous ce samedi dans Paris Go

01:29:48 Rendez-vous Gare Saint-Michel pour Paris Go

01:29:52 Ce samedi à 12h35 sur France 3 Paris, Ile-de-France

01:29:54 France 3 Paris, Ile-de-France

01:29:56 Nous sommes jeudi le 5 octobre

01:30:16 France Bleu Paris, 8h30

01:30:18 Attention sur la route

01:30:20 Ville et le sec, poids lourd en panne sur la France

01:30:22 Il y a une extérieure, on en est à une heure

01:30:24 De temps de parcours entre Épiel et Louvre

01:30:26 Et Athinville, prudence

01:30:28 La météo, eau de raseau, on a encore un joli soleil ce matin

01:30:30 Oui, soleil, fraîcheur

01:30:32 Et puis cet après-midi, 19, 20 degrés

01:30:34 Un peu partout en Ile-de-France

01:30:36 Le récap du 6/9 France Bleu Paris en 3 minutes

01:30:38 On entendait ce matin des supporters du PSG

01:30:40 Un petit peu comme Romain Bédouc dans 5 minutes

01:30:42 Très énervés

01:30:44 Ils sont comme nous, ils sont tombés de leur chaise

01:30:46 Sidérés quand ils ont vu le niveau de nos parisiens

01:30:48 Hier à Newcastle

01:30:50 On s'est fait déculoter 4 buts à 1

01:30:52 On s'est fait éclater

01:30:54 On a pris une fessée ce soir, mais c'est global

01:30:56 T'as vu les mecs en face ? Ils avaient la rage

01:30:58 Ils couraient, ils avaient la babe, ils avaient un public de folie

01:31:00 Nous on est arrivés à 1-3-1

01:31:02 Et on se refait des petites passes en arrière

01:31:04 Ça fait pitié

01:31:06 La déconfiture des parisiens à Newcastle

01:31:08 On décrypte effectivement tout ça dans un instant

01:31:10 Avec Romain Bédouc

01:31:12 Avant ça, on écoute cet appel du maire de Grigny

01:31:14 Sur France Bleu Paris

01:31:16 C'est le communiste Philippe Riau, on est dans l'Essonne

01:31:18 Il participe aujourd'hui au Conseil National

01:31:20 De la Refondation pour tenter

01:31:22 De trouver des réponses aux émeutes

01:31:24 De cet été dans les banlieues

01:31:26 Oui nous attendons des choses, parce que la société

01:31:28 A besoin que nous apportions

01:31:30 Des réponses concrètes, globales

01:31:32 Avec encore une fois

01:31:34 Au coeur des sujets, je pense, la question de la doctrine policière

01:31:36 Il n'y a pas que ça, mais si on n'a pas

01:31:38 Le courage politique de faire ça

01:31:40 Les mêmes causes produiront les mêmes effets

01:31:42 Sur la sécurité, on avait aussi dans nos studios

01:31:44 A l'instant le préfet de police de Paris

01:31:46 On est un an après l'évacuation

01:31:48 De ce camp de consommateurs

01:31:50 De Crac, Square Force Val

01:31:52 Dans le nord-est de Paris

01:31:54 Et Laurent Nunez répondait à cet auditeur

01:31:56 Christophe, il dit lui qu'on voit toujours

01:31:58 Des toxicomanes, que le problème a été

01:32:00 Déplacé, pas résolu

01:32:02 Christophe a raison, il a raison

01:32:04 Il faut l'autre solution

01:32:06 Mais alors c'est quoi l'autre solution ?

01:32:08 Mais c'est que ces gens doivent être pris en charge

01:32:10 Vous savez, les consommateurs de Crac, il y en a 610

01:32:12 Au moment où on se parle

01:32:14 Ils sont accueillis toutes les nuits

01:32:16 Dans des dispositifs de prise en charge sanitaire et sociale

01:32:18 Il y a encore très peu de temps

01:32:20 C'était 200 places, on est passé à 610

01:32:22 Il y a des prises en charge en milieu hospitalier aussi

01:32:24 Qui ont augmenté, mais ce dispositif

01:32:26 Il doit encore monter en puissance

01:32:28 Sortir les personnes de l'addiction

01:32:30 C'est l'objectif de Laurent Nunez, le préfet

01:32:32 Le chef étoilé Thierry Marx était aussi avec nous

01:32:34 Ce matin sur France Bleu Paris

01:32:36 Oui, à votre micro, Romain Ambrot, il nous parlait

01:32:38 De ce label bleu-blancœur, vous l'avez peut-être déjà vu

01:32:40 En supermarché, Thierry Marx en quelque sorte

01:32:42 Est l'ambassadeur de ce label

01:32:44 Un label du bon et du bien manger

01:32:46 Et qui dit bon, dit forcément

01:32:48 Un peu plus cher

01:32:50 Alors, oui c'est plus cher

01:32:52 Mais non, c'est pas plus cher

01:32:54 Comme ça a un impact sur votre santé

01:32:56 Ce que vous mangez, finalement

01:32:58 Vous dépensez moins dans des problématiques

01:33:00 De santé parce que vous mangez mieux

01:33:02 Ce qui a tué beaucoup notre agriculture

01:33:04 Et notre santé aussi, c'est le fait

01:33:06 Qu'on ait cru au low cost, vous renoncez à la qualité

01:33:08 Ou vous faites des petits prix

01:33:10 Et donc, mieux manger pour améliorer notre santé

01:33:12 C'est le message du chef Thierry Marx

01:33:14 Sur France Bleu Paris

01:33:16 8h34

01:33:18 100% PSG, l'actualité du Paris-Saint-Germain

01:33:22 Est forcément, ce jeudi

01:33:24 Il se doit de débriefer cette défaite face à Newcastle

01:33:26 Romain Bédoux, bonjour

01:33:28 Bonjour à tous

01:33:30 Deuxième journée de Ligue des champions, vu le score final

01:33:32 C'est une vraie claque qu'a pris le PSG

01:33:34 Ça c'était pas privé au programme, on s'est fait manger

01:33:36 On s'est fait marcher dessus par Newcastle

01:33:38 Et on s'est fait corriger 4 buts à 1

01:33:40 Plus grosse défaite en phase de poule de Ligue des champions

01:33:42 Depuis que le Qatar a pris les reines du club

01:33:44 Je vais pas vous mentir, ma ligne directrice

01:33:46 Positive depuis le début de la saison

01:33:48 Va pas être facile à tenir aujourd'hui

01:33:50 Seul Warren Zahir-Emery et Lucas Hernandez

01:33:52 Peut-être, ont été au niveau et ont donné

01:33:54 Quelques satisfactions sur le terrain et en dehors

01:33:56 Après la rencontre, j'y reviendrai, sinon le reste

01:33:58 C'est proche du néant, du zéro pointé

01:34:00 C'était un naufrage collectif et un naufrage individuel

01:34:02 Technique et mental

01:34:04 Si on déclenche là une chaîne des responsabilités

01:34:06 De quoi voulez-vous nous parler en 1 ?

01:34:08 C'est très compliqué de ne pas parler d'abord de Louis-Henrique

01:34:10 Notre coach s'est trompé hier

01:34:12 Il a décidé de continuer avec ce système

01:34:14 A 4 offensives

01:34:16 On a eu le droit à l'armada complète

01:34:18 Mbappé, Dembélé, Ramos, Colomogne

01:34:20 4 offensives, ça veut dire 1 milieu de terrain en moins

01:34:22 Et c'est là où on a pris une première marée

01:34:24 Face aux 3 milieux de Newcastle

01:34:26 On en avait que 2

01:34:28 Mais là où Louis-Henrique est aussi ablamé

01:34:30 C'est qu'il n'a jamais changé ce dispositif pendant la rencontre

01:34:32 Pas de changement à la mi-temps alors qu'on était mené de zéro

01:34:34 Pas que du poste pour poste après

01:34:36 Il s'est trompé et il n'a pas rectifié le tir pendant le match

01:34:38 Après son animation n'a pas été aidée par des prestations individuelles

01:34:42 13 ans de ça du niveau attendu

01:34:44 Colomogne n'a pas été bon

01:34:46 Marquinhos fait une erreur grossière sur le premier but

01:34:48 Hakimi est retombé dans ses travers

01:34:50 Dembélé a été d'une grande pauvreté technique

01:34:52 Ça fait beaucoup

01:34:54 Vous ne savez même pas parler d'Mbappé là ?

01:34:56 J'y viens justement

01:34:58 Tout ce que je viens de dire est vrai

01:35:00 Mais il faut parler du match de Kylian Mbappé

01:35:02 Parce que Kylian Mbappé doit normalement être à part

01:35:04 Kylian Mbappé s'est complètement raté face à Newcastle

01:35:08 Il s'est raté techniquement dans son match

01:35:10 Avec une exécution parfois douteuse

01:35:12 Il s'est raté tactiquement

01:35:14 Avec un placement qu'il se force à avoir

01:35:16 Pour essayer de venir un peu plus bas

01:35:18 Et faire le jeu alors que c'est tout sauf son point fort

01:35:20 Et puis, et c'est presque le plus important pour la suite de la saison

01:35:22 Il s'est complètement raté dans l'attitude à avoir

01:35:26 Par attitude j'entends ses gestes d'humeur

01:35:28 Son manque d'envie de défendre également

01:35:30 C'était déjà problématique avant

01:35:32 Ça l'est encore plus maintenant qu'il est la superstar du projet du PSG

01:35:36 Mbappé ne peut plus se cacher

01:35:38 Il ne peut plus chercher des excuses

01:35:40 C'est lui qui est censé être l'inspiration de cette équipe

01:35:42 Le modèle c'est d'ailleurs ce qu'il a voulu en réclamant un ménage dans le club

01:35:46 Et des recrues qui lui sont familières pour qu'il soit mis dans les meilleures dispositions

01:35:50 Ça a été fait du côté du PSG

01:35:52 Maintenant c'est à lui de rendre sur le terrain

01:35:54 Et rendre, c'est pas marqué deux pénaltys face à Toulouse ou Dortmund

01:35:58 C'est dans des rencontres comme celle d'hier qu'on l'attend

01:36:00 Quand le club va mal et que c'est lui qui doit essayer de nous sortir de la panade

01:36:05 Ça n'a pas été le cas sur le terrain comme ça ne l'a pas été après

01:36:08 Comme depuis le début de saison avec Kylian Mbappé

01:36:10 C'est silence radio

01:36:12 Être un leader c'est aussi assumer une mauvaise prestation

01:36:15 C'est venir s'exprimer pour prendre sa part de responsabilité

01:36:18 Ça n'a pas été le cas hier soir

01:36:20 On a eu ni Mbappé ni Marquinhos

01:36:22 Les deux capitaines et vice-capitaines qui ont joué

01:36:24 À la place ont été envoyés devant les médias

01:36:26 Trois recrues, Ramos, Ugarte, Hernandez

01:36:29 Dont deux ne parlent pas encore français

01:36:31 Et puis l'optimum, Zahir Emery de 17 ans

01:36:33 Ça en dit long, de la mentalité a changé

01:36:36 Il y a une maturité à prendre, des responsabilités à assumer

01:36:40 Pour que ce PSG progresse, mais la route semble encore bien longue

01:36:44 Merci Romain Bédouc, heureusement la saison est longue elle aussi

01:36:47 Le PSG qu'on retrouve dimanche en Ligue 1 face à Rennes

01:36:50 Match à suivre à 20h45 comme d'habitude sur France Bleu Paris

01:36:54 Avec Bruno Salomon qui a de la voix parce qu'il n'a pas beaucoup crié de but hier

01:36:58 On l'espère, beaucoup de buts dimanche 8h37

01:37:02 Bonne journée Romain, météo du jour au beau fixe avec du soleil

01:37:07 Léger nuage, mais vraiment c'est un petit peu comme le nuage de lait dans votre café du matin

01:37:13 Parce que cet après-midi ça reste du beau temps

01:37:15 19 à 21 degrés, voilà ce qu'on va relever sur vos thermomètres

01:37:18 À Rouay-Immanemaison, Mante-la-Jolie et Paris 19

01:37:21 À Laferté-Gaucher, Versailles et Boulogne 20 degrés

01:37:24 Et à Vitry-aux-Créteilles 21

01:37:27 8h38

01:37:28 Difficulté ce matin à Villiers-le-Sec

01:37:31 C'est vraiment le point problématique, le point qui clignote

01:37:34 À cause de ce poids lourd en panne sur la Francillienne extérieure

01:37:37 Vous mettez une heure entre Épiel et Louvre et à Tainville

01:37:41 Trois voitures et une moto impliquées dans un accident à Ville-Pinte

01:37:45 Suite à cette collision, accident grave sur la Francillienne extérieure

01:37:48 Entre Vitry-Maurie et Gonesse, vous mettez 40 minutes

01:37:51 Et dans vos transports, la ligne L du Transilien

01:37:54 Il y a un problème de signalisation à Sartrouville

01:37:57 Et la ligne 4, c'est parti pour les travaux

01:37:59 À partir d'aujourd'hui jusqu'à dimanche

01:38:01 Donc le trafic est interrompu entre Montparnasse, bienvenue

01:38:04 Et Bagneux-Lucie-Aubrac

01:38:06 Vous êtes les bienvenus aussi pour votre Info-Route

01:38:09 01 42 30 10 10

01:38:12 Le 6/9, France Bleu Paris

01:38:15 Romain Ambro

01:38:18 5 octobre, bonne fête aux fleurs, aujourd'hui ne les oubliez pas

01:38:21 Et tous les prénoms qui ont un lien de près ou de loin avec les fleurs

01:38:24 On pense aux violettes, on pense aux capucines

01:38:26 Bonne fête à vous mesdames

01:38:28 Avant 9h, Gérald Kierzek pour parler des brûlures d'estomac

01:38:32 Comment les éviter, les astuces, les bons conseils

01:38:35 De notre expert santé tous les jours à 9h - 5h

01:38:39 8h39, 100 ans, joyeux anniversaire

01:38:43 À un événement, le grand dîner des 100 ans

01:38:48 100 ans pour un dîner qui est organisé ce soir

01:38:57 On va installer des tables, des chaises un petit peu partout

01:39:00 À la fermeture d'un établissement

01:39:03 Mais ce dîner des 100 ans, il aura lieu où ?

01:39:05 Est-ce qu'il aura lieu au musée du Louvre ?

01:39:08 Est-ce qu'il aura lieu à la Grande Épicerie ?

01:39:10 Ou est-ce qu'il aura lieu dans l'Open Space de France Bleu Paris ?

01:39:13 Où va-t-on déployer des tables pour un grand dîner aux chandelles, à la bougie ce soir ?

01:39:19 Est-ce que c'est à la Grande Épicerie, le grand magasin du Montmarché ?

01:39:22 Est-ce que c'est au Louvre ou à France Bleu Paris ?

01:39:24 Vous avez la bonne réponse ? 0142 30 10 10

01:39:27 C'est peut-être pour vous, 100 euros de carburant

01:39:29 C'est le cadeau de la semaine, bonne chance

01:39:31 Avec vous David Kolsky, 9h - 20h

01:39:34 C'est l'heure de se préoccuper des bons plans

01:39:36 On ne pouvait pas garder ça pour nous

01:39:38 Vous dénichez notamment le pas cher, le gratuit

01:39:41 Pour profiter de la région, on commence par cette expo

01:39:43 consacrée aux oeuvres de Van Gogh, c'est à Paris

01:39:46 Exactement, ça a commencé le 3 octobre

01:39:48 C'est jusqu'au 4 février, Van Gogh qui s'expose au musée d'Orsay

01:39:51 Vous avez peut-être vu, du côté du musée Van Gogh à Amsterdam

01:39:55 Ils ont Pikachu et Pokémon en ce moment

01:39:57 Ça fait un vrai carton, on en parle partout sur les réseaux sociaux, à la télé, etc

01:40:04 Nous, en Ile-de-France, on a Auvers-sur-Oise

01:40:07 C'est très bien également, puisque c'est là que le célèbre peintre a passé les quelques dernières semaines de sa vie

01:40:13 C'est là aussi où il a eu une période très prolifique au niveau de ses oeuvres

01:40:16 Et justement, c'est la première fois qu'on consacre une exposition

01:40:20 aux oeuvres qui ont marqué cette période à Auvers-sur-Oise

01:40:23 Ça se passe donc au musée d'Orsay

01:40:24 J'ai checké les tarifs, c'est gratuit pour les moins de 26 ans

01:40:27 On n'est pas tous concernés, sinon c'est une dizaine d'euros

01:40:29 entre le tarif réduit et le plein tarif

01:40:31 Donc allez-y, parce que franchement, c'est une très belle exposition

01:40:34 avec même des moments en totale immersion et en virtuel

01:40:37 Allez, direction maintenant, David Kolsky, ma petite puce à moi

01:40:40 Les puces de Montreuil !

01:40:41 Ouais, bah oui, les puces de Montreuil !

01:40:43 Alors on va aller faire un petit peu d'emplettes

01:40:48 On va dire, si vous aimez les tissus, si vous aimez les boutons, si vous aimez chiner

01:40:51 Si vous aimez surtout coudre, oui

01:40:53 Puisque ce sont les puces de couturière qui reviennent pour une 14e édition ce samedi

01:40:57 Ça se passe à la Halle Chaveau

01:40:59 C'est très sympa, la Halle de la Croix de Chaveau

01:41:01 On va pouvoir vraiment trouver de bons prix, il y aura à peu près 80 exposants qui seront là

01:41:04 Et on pourra peut-être redécouvrir également quelques tissus anciens

01:41:08 Ça peut être sympa si vous aimez, pourquoi pas, coudre des tuniques un petit peu époque 19e

01:41:14 Et ça n'est pas que pour les seniors, il y a un gros boom vraiment de la couture, le tissu, la fabrication

01:41:20 de ses propres vêtements

01:41:22 C'est hyper branché de faire du tricot

01:41:24 J'y pense à mi-mètre

01:41:26 Allez David, dimanche c'est la journée paralympique, place de la République

01:41:30 On en parle dès maintenant pour s'organiser

01:41:32 Oui parce que ce sera la veille des réservations pour les classes, pour les Jeux paralympiques

01:41:37 Ça parle à Thomas Etcheberry qui suit les JO chaque jour sur France Bleu Paris

01:41:41 Parce que c'est très important pour nous

01:41:42 C'est lundi la vianderie

01:41:43 Exactement, journée paralympique ce dimanche avec des tonnes d'animations gratuites

01:41:47 Pour les grands, pour les petits

01:41:49 Ça va être l'occasion de s'essayer à plein de sports, qu'on soit valide ou pas

01:41:52 Et puis également de rencontrer des athlètes, de nombreux athlètes qui vont venir

01:41:55 C'est génial de pouvoir échanger avec eux

01:41:57 Donc place de la République, ne ratez pas ce moment, ça va être hyper sympa

01:42:00 Et encore une fois, tout est gratuit

01:42:02 Donc il n'y a aucune raison de ne pas aller faire un petit tour

01:42:05 Place de la République avec une très belle décoration et même des concerts

01:42:08 On ne pouvait pas garder ça pour nous, les bons plans, le pouvoir d'achat en scrut

01:42:11 Vraiment tous les événements à ne pas rater

01:42:13 Et puis parfois des petits coups de pouce

01:42:15 C'est sur France Bleu Paris tous les matins à 9h moins 20, 8h43

01:42:18 À Maurigny-Champigny, on a Nadine qui a décroché son téléphone

01:42:22 Pour le 0142 30 10 10, remporter peut-être 100 euros de carburant

01:42:26 Bonjour Nadine

01:42:28 Bonjour

01:42:29 Première fois que vous jouez avec nous, bienvenue

01:42:31 Merci

01:42:32 Et on va contrôler votre réponse concernant ce dîner des 100 ans

01:42:36 Qui sera organisé ce soir à la fermeture d'un établissement

01:42:40 Mais on va fermer quoi ?

01:42:41 La Grande Épicerie

01:42:43 Oui, la Grande Épicerie du Bon Marché

01:42:45 Effectivement, elle célèbre ses 100 ans

01:42:47 Et sachez-le, après que les clients soient allés faire leurs emplettes

01:42:51 On ferme tout

01:42:52 Et à la lueur des bougies, une fois les portes du magasin fermées ce soir

01:42:56 Il y a des chefs qui vont concocter un menu d'anniversaire

01:42:59 Pour celles et ceux qui se sont inscrits sur le site de la Grande Épicerie

01:43:03 C'est quand même un sacré événement

01:43:05 Dîner à la bougie, c'est pas mal

01:43:07 David Kolsky, vous voulez y aller ?

01:43:08 Non mais il y a Thomas Echevery qui me fait des signes

01:43:10 Vous y allez ?

01:43:11 Est-ce que vous allez cuisiner David ?

01:43:12 Déjà je ne vais pas cuisiner, je n'aurai pas l'occasion d'y aller

01:43:15 Parce que ce soir je m'occupe de quelque chose de beaucoup plus important

01:43:18 Faire à manger aux 100 ans

01:43:20 Nadine, que faites-vous dans la vie ? Vous partez travailler ?

01:43:23 J'arrive pas très loin, je suis enseignante-chercheure

01:43:27 Enseignante-chercheure, et vous cherchez quoi ?

01:43:29 Je travaille sur la modification des polymères, des plastiques

01:43:33 Evidemment, je me suis levé ce matin et je me suis dit "on en est où de ces polymères ?"

01:43:38 Alors Nadine, dites-moi, vous êtes calée là

01:43:42 C'est vraiment tout ce que je détestais à l'école

01:43:44 On est sur la physique là, c'est ça ?

01:43:46 La chimie plutôt

01:43:47 C'est vous dire si j'étais bon

01:43:49 Nadine, je garde votre numéro, je le transmets à Eric Bastien

01:43:52 Si vous êtes sélectionnée à 17h40 ce soir, c'est vous qui repartirez avec ces 100 euros de carburant

01:43:58 Passez une bonne journée

01:43:59 Merci beaucoup

01:44:00 A bientôt

01:44:01 Ciao

01:44:02 Au revoir

01:44:03 Et vous jouez toutes les heures avec nous sur France Bleu Paris

01:44:06 Et vous remportez vos 100 euros de carburant

01:44:08 C'est le super cadeau de la semaine en ce mois du pouvoir d'achat

01:44:11 8h44, un coucou à Robin Bernot qui nous a fait partager de jolies découvertes dans le secteur d'Alfortville

01:44:19 Effectivement, ce matin on était à Alfortville et on a fait la connaissance de William

01:44:24 William, vous ne le connaissez peut-être pas, vous qui nous avez rejoint il y a quelques instants seulement

01:44:28 Il est champion de France et on est hyper fier de l'avoir dans notre région

01:44:31 Champion de France des fleuristes

01:44:33 C'est une grande compétition qui avait lieu ce week-end

01:44:36 Ça s'est passé ce week-end à Tours, ça a duré plusieurs mois parce qu'il y a eu les présélections, les sélections régionales, etc

01:44:41 Et William, donc 36 ans, fleuriste à la boutique Brunos Brésil à Alfortville, a été sacré

01:44:47 On l'a rencontré et il a une double casquette si vous voulez découvrir laquelle

01:44:50 Rendez-vous dans la matinée sur francebleu.fr, on va vous faire l'article et on va tout vous expliquer

01:44:55 Mais en tout cas cette matinée qu'on a démarrée ici à Alfortville

01:44:58 On a croisé Pascal aussi un peu plus tôt dans la matinée qui faisait de la pêche

01:45:02 C'est son jour off, il fait un petit peu de pêche au bord de la Seine, il relâche les poissons après

01:45:07 Mais ça aussi c'est à retrouver si vous voulez sur tous nos réseaux sociaux

01:45:11 Merci Robin Bernot à vos côtés, c'est lui qui vous réveille aussi tous les matins 5h-6h

01:45:16 Le Club des Lefto sur francebleu.fr

01:45:20 Ici matin, reviens dans un instant

01:45:25 [Musique]

01:45:51 Ici c'est le 6/9, France Bleu Paris

01:45:54 Jeudi aujourd'hui le 5 octobre, il est 9h moins le quart, J-295 avant les Jeux de Paris

01:46:00 France Bleu Paris 2024

01:46:03 Les JO chez moi, mode d'emploi

01:46:06 Les JO, les JO, les Jeux Olympiques mais les Jeux Paralympiques aussi

01:46:10 C'est une compétition à part entière et ce serait vraiment dommage de s'arrêter juste à ces JO

01:46:14 Et c'est l'occasion de découvrir des nouvelles disciplines pour les Paralympiques

01:46:17 Une autre façon de faire du sport et il y a des prix plutôt attractifs Thomas Echeberry

01:46:21 Comparé à ce qu'on a connu pour les JO, oui c'est sûr que ça devrait être bien plus abordable

01:46:26 Rien que le système de vente de billets d'ailleurs est différent de celui des JO

01:46:30 Et d'ailleurs elle ouvre quand la billetterie de ces JO ?

01:46:33 Eh bien lui devine, Minos, le responsable de l'intégration Paralympique pour Paris 2024

01:46:37 Nous donne toutes les modalités

01:46:39 Elle ouvrira le 9 octobre matin

01:46:41 Ce jour-là, tous les billets, les 2,8 millions de billets seront disponibles

01:46:47 Pour permettre dès le départ de choisir la session, l'épreuve que nous préférons

01:46:52 Avec également la vente des cérémonies d'ouverture et de clôture

01:46:56 A peu près la moitié des billets seront à 25 euros et moins

01:47:00 Pour permettre à tous de venir vivre ce spectacle assez incroyable

01:47:04 25 euros et moins, donc rien à voir avec les tarifs exorbitants qu'on a pu voir pour les JO

01:47:09 Et surtout la grosse différence, pas de tirage au sort

01:47:11 C'est le premier arrivé, le premier servi

01:47:13 Comme un concert des Stones

01:47:15 D'autant plus que dans cette billetterie, il y aura des offres différentes qui vous seront proposées

01:47:19 Et qui vont d'ailleurs vous permettre de vraiment découvrir les différentes disciplines paralympiques

01:47:23 Une vraie initiation à ces sports et à petit prix

01:47:26 Donc il y a deux zones de passe découverte avec Paris-Centre et Paris-Sud

01:47:31 Qui vont vous permettre sur un même site d'avoir à proximité plusieurs épreuves

01:47:36 Donc on a entre 3 à 7 sessions possibles avec le même passe découverte

01:47:40 Donc par exemple, on a Porte de Versailles

01:47:43 Et on va pouvoir suivre autant de la boccia que du para-tennis de table dans la même après-midi

01:47:49 Ou sur Paris-Centre, suivre un match de rugby fauteuil

01:47:52 Et ensuite de switcher pour aller soutenir l'équipe de SessiFoot

01:47:55 L'offre famille permettra d'acheter jusqu'à deux billets enfants à 10 euros, c'est pas mal

01:47:59 Le passe découverte sera quant à lui au prix de 24 euros

01:48:02 Et si vous voulez prendre un petit peu d'avance et vous initier à ces sports, on vous donne rendez-vous dimanche

01:48:06 Place de la République pour la journée paralympique, c'est à partir de 11h

01:48:10 8h49, de belles éclaircies, encore une belle journée

01:48:21 Léger nuage, mais pas de pluie au programme

01:48:24 Après la fraîcheur de ce matin, on relevait 4 à 11 degrés au réveil

01:48:27 Cet après-midi, on retrouve les mêmes valeurs qu'hier, copiées, collées par rapport à ce mercredi

01:48:32 Et pour ce jeudi, 19 à 21 degrés

01:48:34 A Paris et Montreuil, 19 à Annières et Boulogne, 20 degrés

01:48:39 A Courbevoie le maximum, 21

01:48:41 8h49, vos conditions de circulation

01:48:44 France Bleu, c'est votre radio sur la route

01:48:47 On pense à vous les professionnels, notamment des taxis, les VTC, les chauffeurs-livreurs, chauffeurs poids lourds

01:48:52 On sait que vous êtes nombreux à écouter la radio

01:48:54 Attention, on est à 400km de Bouchon, notamment à cause de gros problèmes

01:48:59 Villiers-le-Sec, c'est peut-être celui qui pose le plus de soucis

01:49:02 Ce poids lourd en panne sur la Francilienne extérieure, entre Épiel et Louvre et Athinville

01:49:06 Vous mettez une heure

01:49:08 Il y a aussi cette collision survenue il y a une grosse heure maintenant

01:49:10 Cet accident grave sur la Francilienne extérieure, au niveau de Villepeinte

01:49:15 Pour le temps de parcours entre Mitrimori et Gonesse, vous mettez 40 minutes

01:49:19 Bon courage !

01:49:22 Il est 9h10, l'heure d'écouter le succès, la bande originale du film Barbie

01:49:27 C'est un carton au cinéma depuis le mois de juillet

01:49:30 C'est Dua Lipa qui signe ce carton musical

01:49:33 « Dance the Night », c'est le titre de cet été qu'on écoute cet automne sur France Bleu Paris

01:49:39 Allez, bon jeudi !

01:49:41 C'est un film de Dua Lipa, qui est une femme qui a été victime d'un accident de voiture en France Bleu Paris

01:49:45 Elle a été tuée par un homme en France Bleu Paris, et qui a été tuée par un homme en France Bleu Paris

01:49:50 Elle a été tuée par un homme en France Bleu Paris, et qui a été tuée par un homme en France Bleu Paris

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05/10/2023 - Le 6/9 de France Bleu Paris en vidéo

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