Comment XABI ALONSO a rendu le Bayer Leverkusen INVINCIBLE !

  • l’année dernière
Annoncé au REAL MADRID, Xabi Alonso est l'homme clé du Bayer Leverkusen en BUNDESLIGA. Que faut-il savoir du leader qui souhaite faire tomber le BAYERN Munich ?

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Sport
Transcription
00:00 Oui, nous parlons bien du Bayer Leverkusen et nous ne parlons pas encore du Real Madrid,
00:04 mais indirectement, ce sujet voulu par Thomas m'interpelle.
00:09 Naturellement, Xabi Alonso, il est irrésistible avec le Bayer Leverkusen.
00:14 On va étudier ce Bayer, on va étudier Xabi Alonso, oui,
00:17 parce que ce sera peut-être le futur entraîneur du Real, n'est-ce pas, Thomas ?
00:21 Comment ça va ?
00:23 On signe où pour que Xabi Alonso soit l'entraîneur du Real pour la saison prochaine ?
00:28 Oui, je voulais sortir la vidéo hier.
00:30 Bon, ça ne s'est pas fait, mais je voulais absolument qu'on en parle cette semaine
00:32 parce que c'est l'une des grosses surprises de cette année.
00:35 Ce n'est pas le mot surprise qu'il faut dire, mais confirmation par rapport aux promesses
00:39 qu'on a vues l'an passé de l'Everkusen sous Xabi Alonso.
00:42 Une équipe toujours invaincue qui propose un jeu extraordinaire.
00:46 Ils sont invincibles et où vont-ils s'arrêter ?
00:49 En gros, c'est à ça qu'on va répondre aujourd'hui.
00:51 Christophe, quoi de neuf depuis la semaine dernière ?
00:54 Ça fait longtemps qu'on ne t'a pas vu sur la chaîne.
00:56 Ça va bien, un petit week-end à l'étranger.
00:59 On a fait la fête, on s'est bien reposé aussi.
01:01 Et puis, on est de retour pour cette semaine internationale,
01:05 de trêve internationale.
01:07 Et puis, je suis très content de te retrouver.
01:08 Toi, ça va bien ?
01:09 Oui, ça va. Tu m'as manqué quand même.
01:11 Je faisais des vidéos tout seul.
01:13 Bon, une seule, ça va. Je ne peux non plus beaucoup bosser.
01:15 Ça va, ça va.
01:18 Bon, on commence avec le classement.
01:20 Qu'est-ce que tu peux nous dire sur ce Bayard Everkusen ?
01:22 Déjà, ils sont leaders invaincus.
01:24 Seule équipe à 19 points, meilleure attaque, meilleure défense.
01:28 Exactement le même constat en Europa League.
01:33 Et c'est une équipe, comment te dire,
01:35 qui va marquer au minimum, et je dis bien au minimum,
01:39 deux à trois buts par match.
01:40 C'est assez extraordinaire, le pouvoir offensif de cette équipe.
01:43 Ça part dans tous les sens.
01:45 Beaucoup de mal, en fait, au début, à comprendre
01:47 quelle était l'idée de base de Xabi Alonso.
01:51 Et en fait, tu te rends compte que c'est une équipe où tous les joueurs
01:54 peuvent changer de poste.
01:55 Il y a une espèce de mobilité omniprésente sur le terrain,
01:58 ce qui fait que pour l'adversaire, c'est absolument illisible
02:02 pour contrer le 11 de Xabi Alonso.
02:04 En tout cas, c'est ce que j'ai retenu à travers les matchs que j'ai pu voir.
02:07 Je n'ai pas tout vu.
02:08 Et à travers les résumés et les analyses tactiques du Leverkusen de Xabi Alonso.
02:12 Alors, il faut savoir que de mon côté, j'avais étudié ce Bayard Everkusen
02:15 en tout début de saison, même deux matchs avant le début de la saison,
02:18 parce que l'OM a rencontré ce Bayard Everkusen dans le dernier match
02:22 avant le début de la saison pour l'OM.
02:24 Et ce que j'avais noté, c'est que déjà, on avait de la continuité
02:28 dans l'équipe de Xabi Alonso.
02:30 L'année dernière, c'était une équipe qui avait quand même réussi
02:33 une très bonne saison, qualifiée directement pour l'Europa League.
02:36 Alors, ils avaient joué la Ligue des champions,
02:37 ils avaient été éliminés et après, ils avaient joué
02:40 cette Europa League en allant jusqu'en demi-finale,
02:43 sorti par un ex-entraîneur du Real Madrid, José Mourinho, que tu connais bien.
02:50 Mais il y a eu cette volonté de continuer avec le même effectif
02:54 et d'aller retravailler seulement quelques postes.
02:59 J'ai noté Granit Xhaka et Victor Boniface notamment.
03:03 Et sinon, le reste, il y a Moussa Diaby qui est parti.
03:06 Et donc, quand tu as une ligne directrice avec peu de mouvements,
03:10 tu capitalises sur tes joueurs qui ont bien réussi la saison passée
03:13 et que tu réajustes certains points,
03:16 avec un entraîneur de ce calibre, ça marche bien.
03:18 A noter qu'il a récupéré l'Evercusen l'an passé,
03:21 ils étaient quasiment relégables.
03:22 En fait, ils ont fait une remontada tout au long de la saison
03:25 jusqu'à arriver en plus, comme tu le dis, en demi-finale d'Europa League.
03:28 Le boulot est considérable.
03:29 C'est quasiment du jamais vu depuis 2002, ce qui se passe du côté de l'Evercusen.
03:34 Quatre clubs sont encore invaincus cette saison, toutes compétitions confondues.
03:39 Et ce n'est pas des clubs auxquels on pouvait s'attendre en fait.
03:41 Tottenham en Angleterre,
03:43 bon Barcelone, ok, ça reste quand même un mastodonte de l'Espagne,
03:46 Nice et l'Evercusen.
03:49 Ouais, incroyable.
03:50 Ouais, ouais, ouais.
03:50 Ce qui me choque, entre guillemets,
03:53 et je pense que tu vas nous annoncer quelque chose pour la semaine prochaine,
03:56 c'est que trois de ces quatre clubs ont changé d'entraîneur.
03:58 Ouais, d'ailleurs, la semaine prochaine, on parlera de Tottenham,
04:01 qui fait pareil un parcours assez surprenant pour le coup,
04:05 du côté de la première ligue.
04:07 Et à droite, tu vois, je t'ai, leader, invaincu.
04:09 Et du coup, tu vois à droite les scores fleuves
04:12 dont je te parlais en début de vidéo du 8-0, du 5-1.
04:16 Alors certes, c'est des fois contre des petites équipes,
04:19 mais un 2 partout du côté de Munich,
04:21 une victoire 3-2 contre Leipzig,
04:24 une victoire 3-0 du côté de Gladbach.
04:27 Alors il manque l'opposition face à Dortmund,
04:29 mais déjà contre les grosses écuries, ça marque beaucoup de buts.
04:32 C'est clair, c'est clair, ça marque beaucoup de buts.
04:34 On sent une certaine patte dans le travail de Xabi Alonso
04:37 et cette continuité, comme quoi parfois, voilà,
04:41 on va peut être se, je vais peut être me contredire par rapport à ce qu'on a dit
04:43 tout à l'heure, ce que j'ai pu dire tout à l'heure.
04:45 Il y a trois clubs sur quatre quand même qui ont changé d'entraîneur,
04:48 apporter des idées nouvelles aussi.
04:50 Ça peut être intéressant si les joueurs sont aux capacités d'écoute.
04:53 Donc c'est aussi un point.
04:55 Tu voulais nous parler des transferts.
04:57 Ça, c'est du mercato.
04:59 Il y a des joueurs qui sont arrivés et qui ont changé quand même la donne.
05:02 Alors évidemment, tu en parleras après Boniface en attaque.
05:05 Il y a Tchaka d'Arsenal qui a apporté beaucoup d'expérience, de caractère,
05:10 mais aussi du calme à ce milieu de terrain.
05:12 Il y a Hoffman qui fait partie de mes chouchous.
05:15 Il y a Nathan Teja qu'on n'a pas beaucoup vu encore cette saison.
05:19 Et dans les départs, il y a évidemment Diaby du côté d'Aston Villa
05:23 pour 55 millions d'euros.
05:25 On est quand même aussi là sur un mercato plutôt équilibré,
05:29 mais ils ont quand même dépensé pas mal d'argent, les Vercusen au final.
05:31 On n'est pas loin.
05:32 Mais bon, je pense.
05:33 Oui, oui, mais après, tu vois, tu as vendu Moussa Diaby 55.
05:36 Tu aurais pu le vendre en Arabie saoudite.
05:38 Et là, c'est le joueur lui qui a choisi d'aller du côté de la Première Ligue.
05:41 Tu recrutes de manière maligne
05:44 parce qu'au niveau du milieu de terrain, tu imposes,
05:46 granit chacun en milieu défensif et en plaque tournante.
05:49 Et puis, tu vas chercher pour remplacer numériquement offensivement Moussa Diaby.
05:54 Tu vas chercher Victor Boniface, que tu payes une vingtaine de millions d'euros.
05:58 Les dernières, Victor Boniface, c'est quand même une dizaine de buts en Jupiler Pro League,
06:02 donc en Belgique et une dizaine de buts également en Europa League
06:06 avec cette Union Saint-Gilloise.
06:08 Et là, si je me trompe pas, c'est le meilleur buteur.
06:12 Il s'adapte parfaitement à cette match, à cette bute.
06:16 Alors, on a pu entendre qu'il pouvait vendre en G.
06:19 Oui, il est en retard par rapport à ses XG.
06:22 Mais bon, la première saison, ça reste quand même très honorable.
06:25 Phase d'adaptation, on est bien quand même.
06:29 Les influences de Monsieur Chabi Alonso, on va dire qu'il a côtoyé
06:33 les meilleurs entraîneurs de sa génération.
06:38 Donc, Benitez du côté de Liverpool, du côté du Real, il a eu
06:42 Mourinho, il y a eu Ancelotti et Guardiola du côté du Bayern.
06:48 Sacrée carrière déjà en tant que joueur, mais en plus de ça, avec les meilleurs
06:52 entraîneurs et je trouve, si on doit faire un parallèle, qu'il a pris la gagne de
06:56 Mourinho, le côté tactique de Guardiola et le côté management
07:01 qu'il peut avoir avec ses joueurs de Carlo Ancelotti.
07:02 Il a pris un peu des trois.
07:04 Quel programme, quel programme !
07:06 C'est beau, c'est beau, c'est impressionnant.
07:09 En fait, moi, le souvenir que j'ai de lui en tant que joueur, c'est une véritable
07:13 plaque tournante de tous les clubs dans lesquels il a pu jouer.
07:17 Alors davantage à Liverpool et au Real, je l'ai moins vu au Bayern.
07:22 De mémoire, c'était plus sur la fin.
07:23 Il a terminé sa carrière là-bas.
07:25 Oui, voilà. Mais oui, une véritable plaque tournante.
07:29 Un joueur très intelligent et qui semblait avoir beaucoup d'humilité
07:35 dans le sens où tu ne citais pas le joueur qui allait se mettre en avant
07:39 médiatiquement, mais qui était au service du collectif.
07:42 Et ça ne m'étonne pas.
07:44 Il était tout en titulaire et même avec l'équipe d'Espagne, c'était un des
07:48 rares joueurs à avoir dépassé les 100 sélections, alors que ce n'était pas le
07:51 premier nom que tu pouvais citer.
07:52 Tu pensais directement à Andres Iniesta, à De Chavis, ce genre de joueurs.
07:55 Mais Xabi Alonso était un incontournable de tous les clubs où il est passé.
07:58 On passe maintenant au schéma tactique préférentiel de Xabi Alonso.
08:03 Il y en a deux. Donc, il aime les défenses à trois déjà.
08:05 Ça, c'est un signe.
08:07 3-4-2-1 ou 3-6-1, je ne sais pas comment tu l'appellerais ce schéma là.
08:13 3-4-2-1, parce que les deux du milieu, un peu à la Chelsea.
08:16 Tu te rappelles la saison dernière avec ces deux offensives qui sont derrière
08:20 l'attaquant. Moi, je le mettrais plutôt comme ça et ça permet de combler
08:23 tous les demi espaces.
08:24 C'est ça qui est très intéressant.
08:27 Donc, ça, c'était la dernière composition en Bundesliga et ça, c'est la
08:31 dernière composition en Europa League.
08:34 Donc là, on est clairement, par contre, sur un 4-3-3 avec, tu vois là,
08:37 les remplaçants, notamment Théa, Adli.
08:40 Alors que là, on est sur une équipe titulaire avec le trio offensif Boniface,
08:44 Wirth et Hoffman.
08:45 A noter aussi l'importance des pistons dans le 11 de Xabi Alonso.
08:51 Donc, Frippon côté droit et Grimaldo, qui est arrivé libre de tout contraste
08:54 été côté gauche. Ils ont une véritable importance parce que c'est eux qui sont
08:57 un peu les, comment on dit, les rampes de lancement.
09:00 Tu crois que c'est ça ?
09:01 Oui, ça permet de pouvoir apporter de la vitesse sur les côtés.
09:04 Ça joue, c'est le football moderne, c'est le football qu'on voit de plus en plus,
09:09 en tout cas avec ses latéraux, où tu le vois avec Luis Enrique, par exemple,
09:12 l'intégration d'Hakimi au sein du milieu de terrain et la volonté de pouvoir
09:16 bien, bien être sur les ailes.
09:18 Ça permet de couvrir de manière très large le terrain.
09:20 Moi, je rajouterais un mot quand même sur Amine Adli, qui fait sa troisième
09:24 saison en Bundesliga, qui a quitté le TFC
09:30 donc pour la Bundesliga et le Bayer Leverkusen.
09:33 À l'époque, il était attendu, espéré du côté olympique de Marseille.
09:37 Il s'est quand même très bien adapté à la Bundesliga.
09:41 Il a choisi la sélection marocaine.
09:42 Il a été sélectionné par Walid Rehgraghi et il sera probablement à la Cannes.
09:48 C'est un joueur qui est pétri de talent et qui, au fur et à mesure des saisons,
09:51 confirme tous les espoirs qui étaient placés en lui.
09:54 Alors là, on l'a vu remplaçant sur l'équipe qui est en Europa League.
10:00 Mais je pense que pour le Bayer Leverkusen, il y a évidemment une priorité.
10:03 C'est la Bundesliga, mais l'Europa League n'est pas une compétition
10:07 qu'ils mettent de côté, un peu comme on peut en faire en France.
10:11 Voilà.
10:11 Et donc, voilà.
10:11 L'an passé, ils ont quand même joué la demi-finale.
10:14 J'ai noté trois joueurs.
10:16 Alors on sera peut-être pas d'accord sur tous les trois joueurs clés, selon moi,
10:20 de Ceb Jolanzo. Donc Bonifaz, que tu vas peut-être nous présenter.
10:24 Il y a Wirz, que j'aime beaucoup, le prodige allemand qui sort d'une grave
10:27 blessure, mais qui s'en est vite remis. Et à droite, Hoffman,
10:30 qui en est à sept matchs en Bundesliga, quatre buts et déjà trois passes décisives.
10:35 Il est vraiment létal et très important.
10:37 Bonifaz, qu'est-ce que tu peux nous dire rapidement sur lui ?
10:40 C'est la force de frappe de la sélection nigérienne, enfin de la sélection nigérienne.
10:45 C'est un joueur, en fait, c'est un jeune joueur qui a choisi le Bayer Leverkusen
10:49 aussi parce qu'il a eu des mots très séduisants de la part de
10:55 Ceb Jolanzo, qui a dit que clairement, il voyait en lui un vrai potentiel
11:00 pour s'imposer en Bundesliga.
11:02 Moi, ce qui me plaît, c'est sa capacité d'adaptation, c'est sa puissance offensive.
11:07 Et on fait un lien, évidemment, avec cette Coupe d'Afrique des Nations
11:11 qui va arriver en janvier prochain.
11:12 Alors, ça sera un manque pour le Bayer Leverkusen et on verra comment
11:16 ils vont s'adapter sans lui, parce que sept buts en sept matchs,
11:19 c'est pas rien. Mais surtout, ça montre aussi la force incroyable
11:24 que dont dispose le Nigeria pour la Coupe d'Afrique des Nations,
11:26 avec Victor Ossimène notamment, avec Victor Boniface, avec d'autres encore.
11:31 On les étudiera. On reviendra probablement, d'ailleurs, sur la chaîne
11:34 sur ce sujet-là courant décembre, début janvier, avant le début de la compétition.
11:38 Moi, c'est un joueur qui me plaît et ça montre aussi qu'en Jupiler Pro League,
11:42 il y a des joueurs pertinents à aller chercher.
11:45 Le Stade de Reims en France va régulièrement faire son marché en Belgique
11:52 et ça montre que ces joueurs-là arrivent très bien à s'adapter.
11:55 Et ça montre aussi qu'il y a des dirigeants qui savent bien travailler
11:59 pour faire évoluer leurs équipes.
12:02 Sans dépenser des dizaines et des dizaines de millions d'euros.
12:05 Exactement.
12:06 J'ai deux slides à te présenter sur Virz, qui est un peu l'homme à tout faire,
12:11 très influent dans la construction, mais également dans la finition.
12:13 En fait, tu le vois, il est placé tout en haut à droite,
12:16 c'est-à-dire au maximum de la création et de la finition.
12:19 Et là, cette slide, elle est incroyable, je trouve.
12:23 C'est la position de Virz lorsqu'il touche le ballon.
12:27 Tu vois que le gars est absolument partout sur le terrain.
12:30 Et c'est très équilibré.
12:31 Oui, très équilibré, c'est ça qui m'a marqué.
12:33 Il n'y a pas un côté préférentiel du joueur.
12:35 Il est capable d'aller vraiment partout.
12:37 Et je pense, on n'en parle pas encore beaucoup, beaucoup dans les grands médias,
12:41 mais je pense que c'est un joueur qui va faire parler de lui dans les années à venir.
12:44 Il était déjà un peu considéré comme le nouveau Havertz.
12:47 Alors Havertz, toute proportion gardée, puisque depuis qu'il a quitté l'Allemagne,
12:50 ce n'est pas non plus la star annoncée.
12:53 Mais je pense que c'est un joueur
12:55 qui pourrait signer dans les prochaines années dans les meilleurs clubs du monde.
12:58 Style Bayern Munich ou Manchester City ou pourquoi pas le Barça ou le Real.
13:01 Il avait été pressenti du côté du Real, en tout cas dans mon inconscient.
13:07 J'ai un lien Virz-Real Madrid qui existait à un moment, je le trompe ?
13:10 C'est plutôt le Barça, en fait, son club de cœur, si j'ai bien compris.
13:13 Mais le Bayern, on sait qu'ils aiment aller chercher,
13:16 tu sais, les grandes stars de Bundesliga.
13:18 Je serais pas surpris, parce que pareil, en parlant de l'avenir rapide de Xabi Alonso,
13:23 d'après les médias allemands, il y a trois clubs qui sont sur lui.
13:26 C'est ces anciens clubs Liverpool pour la suite de Klopp,
13:29 en cas que ces derniers prennent la sélection allemande.
13:33 La suite de Tuchel au Bayern Munich,
13:34 ça pourrait être une suite logique, ou le Real en 2024, après Ancelotti.
13:39 Il aura le choix du roi, mais...
13:44 Et là, il est sur sa deuxième ou troisième saison au Bayern ?
13:46 Là, c'est sa deuxième saison.
13:48 Deuxième saison au Bayern, là, il est leader.
13:51 Oui, il est en train de montrer aussi, à travers sa première saison,
13:55 qu'il a pu aller très loin en Ligue Europa avec un effectif,
13:58 pas forcément des plus reluisants, mais un effectif correct.
14:02 Donc, le step au-dessus, c'est de changer et de passer au niveau Ligue des champions.
14:06 S'il amène son effectif à ce niveau-là, déjà, c'est une belle avancée.
14:11 Ce qu'il manquera, c'est un titre.
14:11 C'est un titre, et justement, en parlant de ça, avec notre partenaire Unibet
14:16 qui vous rembourse jusqu'à 100 euros sous forme de Freebet.
14:19 On va tenter de voir si ce Bayern Leverkusen peut aller décrocher la Bundesliga.
14:24 Et ce qu'en disent les bookmakers ?
14:26 Évidemment, on parie avec responsabilité.
14:29 Ça reste des jeux d'argent strictement réservés aux personnes majeures.
14:33 Et voilà, ça doit rester du divertissement.
14:34 On parie des petites sommes.
14:36 Donc, avec le lien qui est dans la description, c'est important de le préciser.
14:39 Et ça nous permet d'obtenir un bonus de notre côté également.
14:42 Et merci d'ailleurs pour votre soutien.
14:44 Alors, c'est quoi les codes ?
14:46 C'est les codes.
14:46 Bon, évidemment, le Bayern Munich est largement favori
14:48 puisqu'il remporte la Bundesliga depuis une décennie.
14:51 Mais je trouve quand même que la code du Bayern Leverkusen,
14:55 elle est ultra intéressante.
14:57 C'est clair.
14:58 Les limites de ce club...
14:59 7,50 pour être champion.
15:02 Les limites de ce club, elles sont faciles.
15:04 C'est qu'ils n'ont pas un banc de touche aussi fourni que celui, par exemple,
15:07 du Bayern Munich et que sur la durée, avec les blessures,
15:11 les suspensions, toutes les compétitions à couvrir,
15:14 ça peut faiblir à un moment donné.
15:18 Donc, c'est peut-être ça la faiblesse du Leverkusen.
15:20 Mais je pense que ça peut se tenter.
15:21 Moi, je l'attends, en tout cas, la code.
15:23 Ouais, je comprends.
15:23 Simplement, je vais te dire pourquoi.
15:25 Parce que quand une série est très longue, et ça, c'est statistique,
15:28 plus elle est longue, plus elle se rapproche de la fin.
15:29 Donc, à un moment, ils vont bien perdre leur titre, le Bayern.
15:32 L'année dernière, ça s'est joué la dernière journée contre Dortmund.
15:34 Et à la dernière minute,
15:37 je me dis que cette année, Leverkusen peut aller chercher le titre.
15:41 Ça serait le graal pour Cebriano
15:44 de faire gagner la Bundesliga au Leverkusen.
15:48 Dernier titre du Bayern Leverkusen en Bundesliga ?
15:52 J'en ai pas la moindre idée.
15:56 C'est pas 2002 ?
15:58 Non, 2002, ils perdent justement la Bundesliga la dernière journée.
16:03 Ils perdent la Ligue des champions contre L'Oréal.
16:05 Ils perdent la finale de la Coupe d'Allemagne.
16:07 C'était la fameuse année où Balak était le maudit.
16:10 Il avait même perdu la finale de la Coupe du monde contre le Brésil.
16:13 Est-ce qu'il a gagné déjà une finale,
16:17 Michael Balak ? Je suis pas sûr.
16:18 Je crois pas.
16:19 Et d'ailleurs, est-ce que Leverkusen a déjà gagné la Bundesliga ?
16:21 C'est ce que je suis en train de regarder.
16:24 A gagner la Coupe d'Allemagne en 93, le gars a tout de même fini 5 fois deuxième.
16:28 Donc, il n'est jamais parvenu à remporter la Bundesliga.
16:31 Il a fait 5 fois deuxième, 97, 99, 2000, 2002 et 2011.
16:35 Et il a remporté une seule fois la DFB Pokal en 1993.
16:42 Une année qui m'est chère, bien évidemment.
16:44 Bon, t'as compris que l'exploit serait absolument incroyable
16:49 si Jadon Lanzo venait à remporter le premier titre en Bundesliga
16:52 de l'histoire de Leverkusen.
16:54 Eh bien, écoute, on va suivre ça.
16:56 Et sur ce, je crois que tu as quelque chose à nous dire.
16:58 A vous, Paris.
17:00 Ciao.
17:01 Ciao.
17:06 [Rires]

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