Zoom - Christine Cotton : La vérité sur les essais Pfizer

  • l’année dernière
"Tous vaccinés, tous protégés", le slogan était partout pour appuyer la propagande vaccinale du gouvernement durant la crise politique liée au Covid-19. Il matraquait l’esprit des Français, écrasés entre la peur propagée par les médias et l’autoritarisme liberticide du pass-sanitaire. Dans cette atmosphère, beaucoup ont cédé malgré eux et tous ont cédé sans avoir la vérité.
Biostatisticienne depuis plus de 20 ans, Christine Cotton a passé aux cribles les "essais cliniques" de Pfizer, le laboratoire chéri par Ursula von der Leyen et nos élites conseillées par McKinsey. Elle livre dans son ouvrage des conclusions implacables. Rien n’a été fait selon les règles sanitaires classiques.
Dans "Tous vaccinés, tous protégés ? - Vaccins Covid-19, chronique d'une catastrophe sanitaire annoncée", publié chez Guy Trédaniel, Christine Cotton laisse aussi une place aux témoignages des victimes d’effets secondaires de ces produits à Arn-messager. Des victimes invisibilisées et niées par les gouvernants.
Transcript
00:00 [Générique]
00:06 Tous vaccinés, tous protégés, vous l'avez entendu sur tous les plateaux de télévision.
00:10 Aujourd'hui, c'est le nom de cet ouvrage, l'ouvrage d'un lanceur d'alerte.
00:14 Christine Cotton, bonjour.
00:15 Bonjour Élise.
00:16 Alors, pour vous présenter, vous êtes biostatisticienne, spécialisée dans les data,
00:21 les données, donc, d'essais cliniques.
00:23 Vous avez été PDG d'une société de recherche sous contrat.
00:26 En gros, en résumé, c'est un sous-traitant des laboratoires pharmaceutiques,
00:30 si je dois simplifier.
00:32 Et vous avez travaillé sur les essais cliniques menés par Pfizer.
00:35 Alors peut-être, pour commencer, une des dernières informations dont on dispose,
00:39 l'Afrique du Sud, la justice en Afrique du Sud,
00:42 a révélé les contrats de Pfizer en montrant des clauses inacceptables.
00:46 Selon certains, quel est votre point de vue ?
00:48 Alors, effectivement, dans les contrats, le contrat Afrique du Sud-Pfizer,
00:53 on voit la prise de risque de l'État, du gouvernement,
00:57 à signer des commandes, à commander un produit
01:00 sur lequel on a clairement des informations,
01:03 où on nous dit que la tolérance, finalement, à long terme, on ne sait pas trop,
01:06 et l'efficacité, on ne sait pas trop non plus.
01:08 Alors, moi, j'ai justement une remarque là-dessus.
01:11 D'ailleurs, je l'ai prise.
01:12 J'ai pris la page qui nous intéresse parce que, moi, là-dedans,
01:16 j'ai repéré quelque chose qui, en mon sens, est très importante pour les avocats.
01:21 C'est-à-dire que nos amis nous disent, dans la fourniture du produit,
01:24 là, c'est à la page 8, ils nous disent,
01:26 "Nonobstant les efforts et les dates prévues dans le calendrier de livraison provisoire,
01:30 les parties reconnaissent que le produit a terminé les essais cliniques de la phase 2-3".
01:36 Elle est bien bonne, celle-là.
01:38 En avril 2021, mais risque pas qu'on ait terminé la phase 3
01:41 puisqu'elle commence en juillet 2020 et qu'elle dure deux ans.
01:44 Donc, on voit mal comment, en avril 2021, à la date où on signe ce contrat,
01:49 on ait pu terminer les essais Pfizer.
01:51 Surtout qu'en avril 2021, il nous sorte le rapport sur les adolescents,
01:55 peut-être qu'on va en parler au fur et à mesure,
01:57 dans lequel on a clairement exprimé en manquement, ou information manquante,
02:03 qu'on ne sait pas sur la transmission, on ne sait pas sur la mortalité,
02:07 on ne sait pas sur les cas symptomatiques, on ne sait pas la protection,
02:10 on ne sait pas la tolérance à long terme.
02:12 Enfin, bon, bref, on ne sait rien.
02:13 On ne sait pas grand-chose.
02:14 Et en Europe, on ne sait pas non plus quelles sont les clauses du contrat exactes
02:17 puisqu'on n'en dispose pas.
02:19 Non, on n'a toujours pas vu ce contrat.
02:21 Apparemment, les députés européens l'ont vu.
02:24 Ils n'ont pas eu le droit d'en avoir une copie.
02:26 C'est une vaste miscarade.
02:28 Avec toute une partie qui était biffée, noircie.
02:30 Voilà. Donc, autant, là, on a vu celui de l'Afrique du Sud,
02:33 mais celui signé par la Commission européenne,
02:38 à moins qu'elle l'ait fait par SMS aussi,
02:39 elle a peut-être fait une signature électronique.
02:41 En direct avec Albert Bourla.
02:43 Alors, je vous ai présenté tout à l'heure, Christine Cotton,
02:46 comme biostatisticienne, donc vous avez travaillé, finalement,
02:48 toute votre vie, depuis 1995, dans l'industrie pharmaceutique.
02:51 On ne peut pas dire qu'en voyant votre profil,
02:53 on se doutait que vous alliez être lanceur d'alerte
02:56 contre, finalement, l'industrie pharmaceutique.
02:59 Comment êtes-vous arrivée, en fait, à regarder ces contrats ?
03:03 Attention, je ne suis pas contre l'industrie pharmaceutique.
03:05 J'entends.
03:05 D'ailleurs, je l'ai toujours dit,
03:07 moi, je n'ai travaillé qu'avec des gens compétents, sérieux,
03:11 qui suivaient les recommandations,
03:13 ce qu'on appelle les bonnes pratiques cliniques.
03:15 Je n'ai jamais vu, de ma carrière de biostat depuis 1995,
03:20 un essai avec une méthodologie de cette médiocrité.
03:25 Jamais.
03:26 Parce que, justement, le rôle du biostatisticien,
03:28 alors, qu'est-ce que nous dit le LEM ?
03:31 Le LEM, c'est les entreprises du médicament.
03:34 Le LEM, sur ce site, on a une fiche de poste du biostatisticien.
03:38 C'est-à-dire, c'est celui qui écrit la méthodologie
03:41 avec éventuellement les professeurs, docteurs, laboratoires,
03:45 enfin, tout le staff avec lequel on réfléchit
03:48 pour savoir qu'est-ce qu'on va étudier comme critères,
03:51 combien de fois on va voir les patients,
03:53 c'est-à-dire les visites et combien on va leur en faire faire,
03:56 est-ce passé de combien de temps,
03:58 tout est prévu par avance par ce fameux protocole.
04:01 Donc, le LEM nous dit que le biostat, il a un rôle majeur
04:05 puisque c'est lui qui valide tous ces critères,
04:08 qui fait les analyses, etc.
04:10 Donc, à chaque fois qu'on voit éventuellement
04:13 quelque chose qui ne va pas dans un protocole
04:14 que nous soumet un client, on le dit
04:17 puisqu'on est censé signer le rapport clinique.
04:20 Donc, on ne peut pas signer quelque chose
04:21 avec lequel on n'est pas d'accord.
04:23 Donc, un biostatisticien, par définition,
04:26 c'est souvent quelqu'un de totalement incorruptible
04:28 parce qu'il engage sa responsabilité sur les résultats.
04:31 Donc, moi, je n'ai jamais vu depuis 1995,
04:34 alors j'ai arrêté pendant un petit moment,
04:36 là, je retravaille pour l'industrie pharma,
04:37 pour des petits labos sur des choses qui m'intéressent.
04:40 C'est plutôt bon signe.
04:41 Oui, mes anciens clients reviennent me chercher.
04:45 Donc, je suis assez contente
04:47 parce que ça m'a toujours intéressée
04:50 et parce qu'il ne faut pas se leurrer.
04:52 Ce n'est pas demain la veille
04:52 qu'on va supprimer tous les médicaments,
04:54 qu'on n'aura plus besoin de pansements,
04:56 de ce qu'on appelle les medical devices, de prothèses.
05:00 Bon, tout ça, il faut bien qu'on ait des gens
05:01 qui les produisent et qui continuent à les fabriquer
05:04 et puis avoir de l'innovation là-dessus.
05:05 Tout n'est pas jeté dans ce...
05:07 Donc là, clairement, quand j'ai mis mon nez en décembre 2020
05:11 dans ce premier rapport Pfizer,
05:12 j'ai vu tout de suite qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas.
05:14 Mais qu'est-ce qui a attiré votre attention, si je puis dire ?
05:16 C'est l'opération massive pour vendre les vaccins
05:20 dont vous nous parlez tous les jours
05:21 ou c'est par curiosité simple ?
05:23 Au départ, je le dis dans le livre,
05:25 on m'a demandé d'aller regarder ce document
05:27 où je ne pensais pas trouver autant d'erreurs.
05:30 En fait, ce ne sont même pas des erreurs,
05:31 c'est-à-dire que ce sont des problèmes méthodologiques.
05:33 C'est-à-dire que ce sont des choses qu'on peut contredire
05:36 dans la façon de gérer l'étude,
05:37 la façon de gérer les participants,
05:39 de choisir les critères, de choisir les temps de mesure.
05:42 Je veux dire, quelqu'un qui a un peu d'expérience
05:45 dans les essais cliniques et dont c'est le métier
05:47 d'écrire des protocoles,
05:49 normalement, il doit voir ça assez rapidement.
05:52 Alors que là, toutes les agences de santé
05:54 ont validé ce critère principal
05:56 qui ne mesure pas la maladie,
05:57 qui est complètement bidon, parce qu'il n'y a pas d'autre mot.
06:00 Et on l'a bien vu, en vie réelle,
06:01 on n'a jamais eu 95% d'efficacité.
06:04 Jamais ! Qui a vu 95% d'efficacité sur cette planète ?
06:08 Alors, j'ai retrouvé justement en préparant cet entretien
06:10 une déclaration d'Olivier Véran qui était encore plus sidérante,
06:12 qui disait c'est 95% d'efficacité,
06:15 de quoi on ne sait pas,
06:17 et 100% d'efficacité contre le confinement.
06:19 Ah oui ? Je ne sais pas ce que ça veut dire.
06:22 Mais les médecins quand même, Olivier Véran,
06:23 on a tendance à l'oublier, lui aussi d'ailleurs.
06:25 Je crois qu'il ferait bien de revenir un peu à la source
06:27 aussi des essais cliniques,
06:28 parce qu'il ne savait même pas que les essais n'étaient pas terminés.
06:31 Il avait annoncé à la population
06:32 les essais cliniques sont finis depuis des mois.
06:35 Je ne sais pas où, mais non.
06:37 Ce que vous le redites aussi dans l'ouvrage,
06:38 il y a quand même un point qui soulève la curiosité
06:41 de plein de professionnels et de plein de Français,
06:43 d'ailleurs de bon sens, accessoirement,
06:45 c'est qu'entre le temps où on a le génome du virus
06:49 qui est décrypté, pardon je perds le terme,
06:52 Janvier 2020.
06:53 Janvier 2020, trois mois plus tard,
06:55 il y a déjà plus d'une centaine de vaccins qui sont à l'étude,
06:57 dont 73 je crois, sans me tromper, qui sont testés.
07:02 Et Pfizer commence sa phase 1, je crois c'est avril 2020,
07:07 et commence la phase 3, juillet 2020,
07:10 et là où ils vont recruter 44 000 et quelques participants
07:13 qu'on va donc analyser en fin d'année, au mois de novembre,
07:16 pour fournir ces fameux premiers résultats avec ces fameux 95 %,
07:20 qui en fait ne mesurent que les cas Covid léger ou modéré,
07:26 confirmés par test PCR,
07:28 comptés à partir de 7 jours après la dose 2.
07:31 Donc on voit déjà que ce critère il est bien précis.
07:34 Et accessoirement il repose sur les PCR.
07:36 Aussi, mais en termes, on va dire purement de biais statistiques ou de méthode,
07:41 ça ne me pose pas de problème,
07:42 puisque je ne suis pas censée avoir plus d'erreurs,
07:45 on va dire de tests PCR dans un groupe que dans un autre.
07:47 Alors que moi ce qui m'intéresse c'est un peu la différence entre les deux.
07:50 Donc bon, si j'avais eu plus de cas positifs,
07:53 ça baissait mon efficacité, effectivement.
07:56 Mais il n'y a pas de raison que j'ai beaucoup,
07:58 enfin que l'écart entre les groupes soit très changeant.
08:02 Donc voilà, c'est pour ça que moi je n'en parle pas,
08:04 je ne remets pas en cause ces fameux tests PCR que certains ont remis en cause.
08:09 Et concernant la durée d'élaboration justement,
08:12 si on devait faire une comparaison,
08:14 même si tout est différent, chaque molécule est différente,
08:18 qu'elle soit ancienne ou innovante, etc.
08:21 Mais sur le timing, j'allais dire,
08:24 pour faire un anglicisme que nos téléspectateurs aiment beaucoup,
08:27 si vous comparez celui du vaccin Corminati, Pfizer,
08:30 et les produits que vous avez déjà eu à étudier auparavant dans votre travail,
08:36 comment vous verriez les choses ?
08:38 Ah ben là on sait que ces vaccins ont fait l'objet d'un développement accéléré.
08:42 Alors tous les vaccins Covid,
08:44 on commence la phase 2, la phase 1 n'est pas terminée,
08:47 on commence la phase 3, la phase 2 n'est pas terminée.
08:50 On met sur le marché un produit au bout de,
08:52 après avoir analysé, on fait une analyse intermédiaire
08:55 qui vous donne un suivi à 3 mois uniquement.
08:57 Donc on a 3 mois de recul.
08:58 Quand on nous dit c'est efficace,
08:59 on a 3 mois de recul avec 50% des gens suivis moins de 2.
09:04 Et on nous dit c'est bien toléré.
09:05 Oui, sur la période qu'on a analysée dans l'essai clinique.
09:10 Donc 3 mois maximum avec 50%,
09:12 donc 18 000 personnes suivies moins de 2 mois.
09:15 Est-ce que ça donne un recul suffisant pour la tolérance ?
09:18 Mais est-ce qu'habituellement il y a une forme de durée incompressible ?
09:21 On estime qu'il faut une bonne dizaine d'années pour développer un produit.
09:24 Donc là on a 300 et quelques, 325 jours je crois.
09:28 Est-ce que, je fais l'avocat du diable, c'est aussi mon travail,
09:31 mais est-ce que finalement dans le cas d'une pandémie,
09:34 comme c'était le cas avec le Covid-19,
09:37 est-ce que ça ne justifiait pas d'accélérer justement l'élaboration de ce vaccin ?
09:42 Si, probablement.
09:43 Mais ça ne justifie pas de ne pas respecter les bonnes pratiques cliniques
09:46 et ça ne justifie pas de choisir des critères
09:48 qui ne mesurent pas correctement la maladie.
09:50 Donc oui, on pouvait faire un développement accéléré, ça existe d'ailleurs.
09:52 On aurait pu le faire.
09:53 C'est-à-dire qu'on a des systèmes, ça s'appelle les fast-track, rolling review,
09:57 c'est-à-dire c'est revu au fur et à mesure
09:59 pour ne pas que ça prenne trop de temps à la fin.
10:02 Les fast-track, aussi c'est des systèmes pour accélérer la mise sur le marché d'un produit.
10:06 Mais il n'empêche que l'essai clinique dans sa méthode, il doit tenir la route.
10:10 Mais sur la durée, on va dire totale, on aurait pu la réduire ?
10:13 Oui, bien aussi ce qui est gênant, c'est que bon,
10:16 on sort, on va dire dans l'urgence, le vaccin en décembre 2020.
10:20 Bon, mais après on analyse aussi à 3 mois de suivi les adolescents,
10:25 les enfants à 5-11 ans et les bébés.
10:27 Ils ne pouvaient pas se dire, bon on a sorti pour les adultes,
10:30 maintenant sur les enfants on va faire une analyse à 6 mois
10:33 pour avoir un peu plus de suivi de tolérance,
10:36 voir un peu les anticorps, comment ils se comportent à 6 mois,
10:38 puisqu'on ne les a pas mesurés à 3 mois dans le premier essai,
10:42 puisque vite, vite il fallait les mettre sur le marché.
10:44 Donc non, en fait on refait exactement le même process.
10:47 Pourquoi on le refait ?
10:48 Parce que si on allonge ce temps,
10:51 au lieu d'analyser sur 3 mois de suivi, on analyse sur 6,
10:54 à ce moment-là on voit que les anticorps baissent,
10:57 puisqu'on le sait depuis le début, c'est pour ça qu'ils ne les mesurent pas.
11:00 Donc ils ne peuvent pas allonger ce temps.
11:03 Mais qui a donné l'autorisation de procéder comme ça ?
11:06 La FDA, en changeant les recommandations sur l'analyse des vaccins.
11:10 Alors justement, comment, normalement il y a des agences de sécurité sanitaire
11:15 à peu près dans tous les pays, en France on a la NSM,
11:18 aux Etats-Unis il y a le CDC, la FDA, enfin la FDA etc.
11:23 qui est censée être le garant de la sécurité sanitaire des citoyens.
11:27 Comment expliquez-vous le rôle qui a été joué par ces agences à ce moment-là ?
11:31 Est-ce qu'ils ont voulu avant tout, j'allais dire,
11:34 apporter une réponse à la peur des citoyens,
11:36 qu'ils avaient plus ou moins d'ailleurs fabriqués,
11:38 ou est-ce qu'ils ont voulu faciliter les choses à l'industrie pharmaceutique
11:43 pour des raisons obscures ?
11:45 Là, en changeant les recommandations, ce qu'on appelle les guidelines en fait,
11:49 dans mon jargon de biostat, qui existent pour toutes les activités
11:53 de tous les intervenants dans un essai,
11:56 clairement ils leur ont fait une autoroute pour faire leur cochonnerie.
12:01 Puisqu'il est là, dans ces guidelines,
12:03 ils les autorisent à sortir ces fameux résultats au bout de trois mois de suivi.
12:07 Ça ne s'était jamais fait.
12:09 Pourquoi trois mois ? Pourquoi pas quatre ?
12:11 Peut-être qu'à quatre mois on mesurait les anticorps.
12:13 Et là, qu'est-ce qu'on voyait dès décembre ?
12:15 Enfin du coup, ça serait sorti en janvier 2021.
12:17 Et qu'est-ce qu'on aurait vu ?
12:18 Les anticorps, ils montent, puis après ils baissent.
12:21 Puis on aurait dit, merci, tu es gentil Pfizer,
12:23 mais tes anticorps ne tiennent que quatre mois.
12:26 Donc ton vaccin, on ne peut pas te l'approuver.
12:29 Alors, il y a aussi un chiffre qui m'a beaucoup marqué dans le livre.
12:31 Vous évoquez l'efficacité relative et l'efficacité absolue.
12:34 Et vous parlez des 95% qui ont été mis sur le devant de la scène par tout le monde.
12:39 Et vous, vous arrivez à 0,84 points.
12:40 Ça, c'est l'efficacité.
12:42 Donc quand on fait juste la différence entre les deux pourcentages de cas,
12:45 justement, entre le groupe placebo et le groupe vaccin.
12:48 Mais je l'ai donné comme indication,
12:51 mais ce n'est pas un problème méthodologique, ça.
12:53 Puisque la méthode d'analyser l'efficacité relative,
12:56 c'est la méthode classique des vaccins.
12:58 Ils sont tous analysés comme ça.
12:59 Et on dit la transmission n'est pas étudiée.
13:01 Elle n'est jamais étudiée dans les essais cliniques vaccins.
13:04 Mais dans ce cas-là, affirmer que ça fait baisser de temps la transmission,
13:07 c'est un mensonge.
13:08 Ça, ils l'ont fait sur la base d'enquêtes en vie réelle,
13:11 d'études en vie réelle, qui ont un niveau de preuve,
13:13 je l'ai dit x fois, proche de zéro.
13:15 Puisque c'est bien pour cette raison que dans l'industrie pharma,
13:18 on n'en fait jamais.
13:19 C'est-à-dire, vous prenez des bases de données qui existent déjà.
13:22 Vous magouillez un petit peu de prendre les gens qui vous arrangent
13:25 entre telle date et telle date.
13:26 Et vous comparez, voilà tel groupe moins vacciné, non vacciné, il en a moins.
13:31 Et là, vous dites, ça freine la transmission.
13:33 Il n'y a que dalle.
13:34 Vous dites magouille de façon très spontanée.
13:37 On a l'impression que ça fait partie du jeu.
13:39 Là, clairement, je dis magouille, c'est une compétence peut-être.
13:47 On arrive au même résultat.
13:49 Voilà, on arrive au même résultat qu'on baratine les gens
13:52 en leur balançant des chiffres qui sont complètement faux
13:55 ou dans lesquels on ne peut pas avoir confiance
13:57 parce que le niveau de preuve du design d'études utilisées
14:00 n'est pas suffisant pour avoir confiance dans ces chiffres.
14:02 Et qu'est-ce qu'on a fait ?
14:03 Toutes les politiques de santé dans le monde se sont basées
14:07 sur des études dont le niveau de preuve, dont la HHS,
14:10 la Haute Autorité de Santé, nous dit que c'est le plus faible niveau de preuve
14:14 qui existe dans les études sur les médicaments.
14:19 Et on fait des politiques de santé là-dessus en disant
14:22 "mais c'est super, on va utiliser ça, mais depuis quand ?"
14:25 Et s'il suffisait d'utiliser ça, ça ferait bien longtemps
14:29 qu'on ne ferait plus d'essais cliniques.
14:31 Pourquoi on en fait ? Pourquoi il faut des designs randomisés ?
14:34 Tout ça, c'est pour supprimer des biais.
14:36 C'est pour ça que c'est un travail de biostatisticien.
14:39 Comment je supprime des éléments qui vont fausser mon résultat ?
14:43 C'est ça mon boulot.
14:44 Donc quand je relis un protocole, je regarde tout ce qui est bizarre
14:47 où je me dis que ça va avoir une influence.
14:50 Du genre, si j'étudie n'importe quoi, la migraine,
14:55 prenons la migraine, j'étudie la douleur
14:57 et puis j'autorise mes participants à mon essai
15:00 de se bourrer d'un ibuprofène, je ne sais pas quoi.
15:04 D'accord, ça va fausser l'utilisation de ma conclusion.
15:07 Vous de n'importe quoi.
15:10 Donc on va lui dire "non, il y a des traitements interdits"
15:13 puisque du coup, s'ils prennent ça, je ne sais plus si mon résultat
15:16 est dû au produit que je suis en train de tester
15:18 ou à l'autre produit que la personne a pris.
15:21 Donc c'est un biais, je le supprime.
15:23 Je dis aux gens "vous n'avez pas le droit de prendre ça, ça et ça".
15:26 C'est des traitements interdits.
15:27 Ça existe dans tous les essais cliniques.
15:30 Donc il y a des tas de méthodes pour supprimer ces biais
15:32 pour que mon résultat, quand je le sors, je suis sûre qu'il est fiable,
15:37 que je ne suis pas en train de raconter n'importe quoi.
15:40 Or là, bon, clairement, ces essais, c'est du grand n'importe quoi.
15:43 Mais comment expliquez-vous que ce travail n'ait pas été fait justement ?
15:46 Que l'on n'ait plus laissé…
15:47 Ah oui, c'est un mystère.
15:49 Puisque dans les agences, ils ont parfaitement la compétence de faire ça.
15:52 C'est-à-dire que ce rapport que j'ai écrit,
15:54 c'est un travail d'agence de santé.
15:56 Plus même qu'un biostatisticien.
15:58 Bon, parce que moi, en étant PDG d'une société de recherche sous contrat,
16:03 je savais gérer toutes les étapes.
16:04 Donc de recueil des données, toutes les étapes ensuite,
16:09 ben, stat forcément, et puis surtout j'étais assureur qualité.
16:13 Donc je maintenais les procédures, opératoire standard,
16:17 que les auditeurs, laboratoires, clients, venaient auditer régulièrement.
16:22 Ils venaient même auditer, pas seulement qu'on les avait,
16:24 mais qu'on travaillait conformément à ces procédures.
16:26 Bon, donc, c'est un travail presque d'assureur qualité que j'ai fait.
16:31 J'ai examiné plusieurs documents,
16:33 et puis quand on met en regard les choses les unes à côté des autres,
16:37 on se dit, il y a un problème sérieux.
16:40 Mais j'ai présenté ça à la NSM.
16:42 Alors justement, c'est ce que j'allais dire.
16:44 J'ai relevé une citation qui reprend ce que vous avez dit aux autorités,
16:48 à plusieurs reprises, au moins trois, dès janvier 2022.
16:51 "Les méthodes mises en œuvre dans l'essai clinique Pfizer
16:53 ne permettent pas de garantir que les résultats présentés sont fiables
16:56 et intègres selon la norme de qualité et d'éthique
16:59 que sont les bonnes pratiques cliniques.
17:01 Étant donné les risques identifiés et les informations toujours manquantes,
17:03 il est donc nécessaire de suspendre urgentement toute vaccination
17:07 Cormi-Native, Pfizer, pour mise en danger de la vie des personnes."
17:11 Clairement. Donc j'ai écrit ça en janvier 2022.
17:14 J'ai présenté ça à nos chers sénateurs et députés de l'OPEX en avril 2022.
17:19 J'ai présenté ça à la NSM en juillet 2022.
17:23 À huit clous, d'ailleurs, vous le dites.
17:24 Oui, à huit clous. Ils n'allaient pas rendre public mes auditions, c'est évident.
17:27 Ils se sont fait laminer de haut en bas.
17:30 Bon, après, pour des sénateurs qui n'y connaissent rien, c'est logique.
17:33 Sénateurs, députés, essais cliniques, ils ne connaissent rien.
17:35 Ils n'ont jamais travaillé dedans. Mais la NSM, bon.
17:39 Donc, ils m'ont dit que ce critère principal a été choisi,
17:45 enfin accepté par toutes les agences de santé du monde entier.
17:49 Alors, soit il y a, on va dire, un abrutissement des masses généralisées,
17:53 soit une incompétence généralisée,
17:55 soit il y a carrément une volonté de mettre ce produit sur le marché
18:00 alors qu'on sait qu'il a des problèmes.
18:01 Mais là, effectivement, c'est des manquements aux obligations de prudence
18:06 et de sécurité pour la population.
18:08 Et alors, vous invitez finalement les autorités à faire arrêter cette vaccination de masse.
18:13 Réponse, on va faire plusieurs doses.
18:16 De toute façon, les plusieurs doses, ils les avaient prévues dès le début.
18:19 Au vu des commandes.
18:21 Non, puis l'avis de la HAS, de toute façon,
18:24 on savait déjà qu'ils étudiaient un boost,
18:27 enfin qu'ils avaient pour projet d'étudier un boost.
18:29 On le savait en décembre 2020.
18:31 Bon, alors pourquoi ?
18:32 Ils ne mesurent pas les anticorps, comme ça ils ne montrent pas qu'ils chutent.
18:34 Une fois qu'on a assez avéré,
18:37 puisque tout le monde s'en est aperçu au bout de six mois,
18:39 on dit "ah ben oui, finalement ça a chuté, ça ne fait plus rien ce truc".
18:42 Et bien là, on sort le boost du chapeau qu'on a prévu depuis le début
18:45 et on nous dit "ben voilà, il va falloir faire une troisième dose"
18:48 parce que malheureusement les anticorps chutent.
18:49 Oh là là, c'est vrai qu'on ne pouvait pas s'en apercevoir avant.
18:52 Donc en fait...
18:53 Non, non, puisqu'on ne les mesurait pas.
18:54 Non, mais on les voyait très bien sur la publication sur les singes.
18:58 Alors, moi je l'ai vu, M. Dousteblazy l'a vu,
19:01 puisqu'il avait fait une interview France Info, je crois,
19:05 où il dit "il ne faut pas s'affoler,
19:06 enfin se trop mettre d'espoir dans le vaccin Pfizer,
19:10 les anticorps ne durent que deux mois".
19:12 Bon, ben lui, il avait lu la publie des singes, visiblement.
19:14 Enfin M. Dousteblazy s'est évaporé,
19:16 je ne sais pas où il est passé le garçon.
19:17 Oui, il a pris la parole deux, trois fois et puis après on l'a remis à la niche.
19:20 Il s'est évaporé, on ne l'a plus jamais vu.
19:22 En attendant, il avait raison,
19:23 c'est-à-dire qu'il a lu la publie sur les singes, c'est là qu'on le voit.
19:26 Donc tout le monde qui lisait cette publie le voyait,
19:29 il faut dire on voit un graphique,
19:31 vous voyez les anticorps, ils montent et puis ils descendent.
19:33 Et les anticorps c'est quoi ?
19:34 C'est la protection, soi-disant, contre la maladie.
19:37 C'est pour nous empêcher, si j'ai des anticorps,
19:39 de l'attraper ou qu'elle soit moins grave.
19:42 C'est la définition d'un vaccin.
19:44 Bon, on a bien vu que ça ne risquait pas de l'empêcher d'attraper.
19:47 Et le fait que ça soit potentiellement efficace seulement deux mois,
19:50 est-ce que ça pose un problème ?
19:51 Non, mais ce n'est même pas efficace pendant deux mois, en fait,
19:54 puisqu'ils prennent un critère qui ne mesure pas vraiment l'efficacité.
19:58 Quand on mesure que les cas légers, modérés,
20:01 comptaient à partir de sept jours après la dose 2,
20:04 et puis qu'on fait tout un tas de magouilles dans la gestion
20:08 pour gérer les participants, pour finalement pas reporter,
20:10 enfin moins tester les gens du groupe vaccin
20:13 que les gens du groupe placebo,
20:15 ça clairement on diminue les cas.
20:16 Donc qu'est-ce qu'on fait ? On introduit un biais.
20:19 C'est limpide.
20:20 Donc on introduit un biais, donc mes résultats sont faux.
20:24 Il ne faut même pas être sorti de la cuisse de Jupiter, en fait.
20:28 C'est de la pure logique.
20:29 La preuve, j'ai suivi.
20:31 En attendant, on en plaisante parce que votre livre,
20:35 qui est d'ailleurs un motif d'espoir et parsemé d'humour,
20:38 c'est à la fois un livre scientifique, évidemment,
20:40 mais vous donnez aussi la parole à de nombreuses victimes.
20:45 Parce qu'il faut en parler aussi.
20:47 Là, on a parlé d'efficacité discutable, on l'a bien compris,
20:51 mais il faut parler aussi d'un autre sujet très lourd,
20:53 les effets secondaires.
20:54 Ah oui, là c'est moins drôle.
20:56 Là encore, l'évaluation des effets secondaires,
20:59 c'est devenu très rapidement un sujet totalement tabou.
21:02 Alors, ce qu'on sait dans les rapports cliniques
21:06 sur les adultes et sur les ados,
21:08 on sait qu'il nous manque déjà des effets graves
21:11 qui n'ont pas été reportés.
21:12 Puisque ça, on le sait,
21:13 puisque on a des victimes des vaccins qui étaient dans l'essai clinique
21:18 et qui ont eu des graves troubles
21:20 et qui ne s'est pas reporté dans les rapports.
21:22 Donc déjà, là, on a un problème encore de bonne pratique clinique.
21:26 Dans un centre, vous avez quelqu'un qui est à moitié mourant
21:28 et puis le docteur qui a recruté ce participant, il ne reporte pas.
21:32 Depuis quand ? Ça n'existe pas.
21:34 Donc, ça déjà, on sait que la tolérance
21:38 qui est donnée dans les rapports, elle est fausse.
21:40 Et après, effectivement, on a cet omerta sur tous les gens
21:44 qui signalent avoir des effets graves,
21:47 qui disent qu'ils sont abandonnés par le corps médical
21:49 ou transbahutés de droite à gauche,
21:51 qu'ils voient X médecins de toutes sortes
21:55 pour essayer d'aller mieux et puis ils ne s'en sortent pas.
21:58 Des fois, pour avoir un simple diagnostic,
21:59 voir qu'on en voit à moitié en psychiatrie.
22:03 Bon, là, il y en a une qui n'a pas témoigné,
22:04 mais je crois qu'elle est restée un mois en psychiatrie,
22:07 ils l'ont assommé de tout et elle ne dormait pas.
22:10 Je crois que celle-là, elle a passé trois mois sans dormir.
22:12 Je ne sais pas comment, ces gens sont des super héros.
22:16 Parce que certains, quand on voit le traitement qu'ils ont eu,
22:19 plus toutes les pathologies, ils continuent à vivre
22:21 et continuent à chercher des solutions.
22:23 J'ai énormément d'admiration pour eux, vraiment.
22:27 Parce que c'est des warriors.
22:29 C'est incroyable.
22:32 Alors que des fois, on se dit, là, c'est la fin,
22:34 ils ne vont pas passer la semaine et puis non.
22:37 Hop, la vie reprend le dessus.
22:38 Alors, certains n'ont pas passé la semaine,
22:39 je pense au premier témoignage, évidemment, du jeune Maxime,
22:42 où vous racontez que finalement, encore aujourd'hui,
22:45 la justice n'a pas vraiment fait la lumière sur la cause de son décès.
22:47 Il a 22 ans.
22:49 Il meurt globalement dans les 5-6 heures après sa première injection,
22:54 lorsqu'il est à table avec sa belle famille.
22:56 On parle de ses allergies, notamment aux arachides,
22:59 qui est une allergie qui est avérée.
23:02 Toutefois, la prise d'arachides ne l'est pas, visiblement.
23:04 Et vous expliquez, par exemple, que dans l'autopsie
23:06 qui est faite de ce jeune garçon, ce jeune homme...
23:07 Son papa, en fait, qui a témoigné, qui m'a écrit le témoignage.
23:10 Qui explique que dans l'autopsie, par exemple,
23:12 on dit qu'il n'y a pas de traces d'allergie sur le bras
23:16 au niveau de l'injection,
23:18 alors qu'en réalité, ils prennent l'autre bras,
23:20 le bras où il y a eu la piqûre d'adrénaline pour le réanimer.
23:23 Enfin, c'est surréaliste un peu, quand même.
23:25 Ah ben là, on voit le niveau des experts
23:27 qui font les expertises des victimes des vaccins
23:32 pour arriver à conclure que non, il ne se passe rien, en fait.
23:35 Et on a ce problème pour tout.
23:38 C'est-à-dire ces experts qui sont mandatés par la justice,
23:42 on se retrouve avec des expertises,
23:45 quelques fois, qui sont vraiment d'un niveau pitoyable.
23:49 On se dit "mais c'est un médecin expert qui a écrit ça,
23:52 mais ce n'est pas possible".
23:53 On a l'impression que n'importe qui aurait fait mieux.
23:56 Donc voilà, est-ce que ces gens ont des pressions ?
23:58 Est-ce que ce n'est pas l'envie un peu de tout mettre sous le tapis ?
24:00 Parce qu'on voit aussi avec une autre victime
24:01 qui va voir sa généraliste, qui lui dit "ah, j'hésite un peu".
24:05 La généraliste lui répond, parce qu'elles sont plus ou moins amies,
24:08 "bon, t'es gentille, je t'ai gardé une dose,
24:10 je ne vais pas pouvoir la caser dans la demi-heure qui suit,
24:12 donc je vais l'acheter, donc tu tends ton bras".
24:15 Oui, ça c'est Lucie.
24:16 Ce n'est pas des pratiques de médecin.
24:17 Lucie, alors qu'il va mieux aujourd'hui
24:19 parce qu'elle a repris quand même un peu d'énergie,
24:21 elle a récupéré pas mal d'énergie,
24:22 mais elle a toujours ces douleurs absolument atroces dans le cerveau.
24:26 Et on voit que là, pour alerter la pharmacovigilance,
24:29 la généraliste n'est pas très favorable.
24:30 Ah non, mais aucun.
24:32 Mais comment on explique ça ?
24:34 Ça, c'est encore un grave manquement,
24:36 puisque ça fait partie des obligations des médecins de le faire.
24:40 C'est un grave manquement de ne pas reporter des cas comme ça
24:44 sur les sites de pharmacovigilance
24:46 pour que les agences puissent calculer les signaux,
24:50 les fameux signaux de sécurité où là on va dire
24:53 "attention, on a un problème avec tel vaccin sur telle pathologie".
24:57 Si les docteurs ne le font pas, comment on peut calculer des signaux ?
25:00 Les docteurs ne le font pas pourquoi on ne sait pas.
25:03 Alors, des fois, par manque de temps.
25:05 Certains sont très bien conscients,
25:07 "ah mais oui, ils ne peuvent pas, ça prend trop de temps".
25:09 Mais c'est de l'inconscience en fait de ne pas le faire.
25:13 Alors je sais, s'il y en a qui nous écoutent,
25:14 oui d'accord, c'est long.
25:16 Mais tous ces gens qui ne reportent pas les effets,
25:18 ce sont des criminels.
25:20 Parce qu'on ne calcule pas les signaux correctement
25:23 et on continue à nous dire que tout va très bien.
25:25 Alors qu'on a sûrement beaucoup plus de signaux
25:27 que ce qu'on a noté dans les rapports de l'ANSM.
25:32 Pas de report, pas de problème.
25:34 Certes. Dans la façon, dans la collaboration, j'allais dire,
25:38 avec du corps médical, d'une grande partie du corps médical,
25:41 parce qu'évidemment il faut aussi parler des soignants suspendus
25:43 qui eux ont payé très cher leur opposition à la politique sanitaire.
25:49 Les autres ont collaboré massivement aux opérations de vaccination massive.
25:54 Au vu des informations que vous nous donnez,
25:58 est-ce que finalement il n'y a pas un manquement dans le devoir,
26:01 dans le serment d'Hippocrate tout simplement ?
26:03 Non mais il y a des manquements partout dans cette histoire.
26:06 Il y a de graves manquements des agences de santé
26:08 qui ont autorisé un produit qui n'aurait jamais dû être autorisé.
26:12 Il y a de graves manquements des docteurs qui se sont précipités à vacciner
26:15 sans lire aucun document source,
26:18 même pas la notice puisqu'ils ne savaient même pas où elle se trouvait.
26:21 Mais depuis quand on se précipite comme ça sur un produit nouveau,
26:24 une maladie nouvelle, sans même lire la notice ?
26:28 Et ça on n'a pas l'impression que, c'est ce qu'on voit aussi un peu dans les hôpitaux,
26:31 que les médecins ont été un peu fonctionnarisés
26:33 et que quelque part on leur dit "c'est très bien, il faut administrer ça,
26:36 administrer ça" et qu'ils ne se rendent même plus compte
26:38 que leur responsabilité normalement est engagée.
26:40 – Oui, certains vont finir au tribunal.
26:43 – Ça ne se passe pas pour le moment.
26:45 – Ça ne se passe pas parce que tant que la justice classe les affaires,
26:48 ça ne se passe pas, mais il viendra un temps où ça va se passer.
26:52 Puisque certains vont attaquer leur médecin.
26:55 Tu parles avec les victimes, alors on a plusieurs solutions.
26:58 Soit on attaque l'agence de santé,
27:00 certains ont choisi ça comme Pascal Nagedy en Suisse,
27:03 il a attaqué l'agence de santé.
27:05 Le procureur a classé la plainte, il a attaqué le procureur.
27:09 Il y en a qui ne se laissent pas abattre.
27:11 – C'est le panache.
27:14 – Il viendra un temps où ce ne sera pas des victimes totalement inconnues
27:19 aux quatre coins de France qui meurent,
27:22 ce sera des filles de policiers, ce sera des femmes de juges.
27:26 Et là on en reparle si les plaintes seront classées.
27:29 – Alors justement, j'aimerais revenir sur le sous-titre
27:31 de votre ouvrage "Vaccin Covid-19, chronique d'une catastrophe sanitaire annoncée".
27:35 Pour vous, la catastrophe, elle est derrière nous, elle est en cours ou elle est à venir ?
27:39 – Elle est en cours.
27:41 Quand on voit déjà le nombre d'effets reportés sur les sites,
27:44 que ce soit Vigiaccess et l'OMS.
27:46 Le drap vigilant, c'est l'EMA.
27:49 Bon, à l'ANSM, on en a, je crois qu'on doit être à peu près 200 000,
27:53 rien que pour le Pfizer le premier.
27:56 On sait que c'est largement sous-reporté.
27:59 Là-dedans, on en a entre 25 et 30 % de graves.
28:03 – Vous dites qu'on a 10 % à peu près des signalements ?
28:06 – Oui, mais peut-être qu'on en a même beaucoup moins que ça.
28:09 Puisqu'on voit bien ce sous-report dès qu'on parle avec les gens.
28:12 Alors que ce soit des médecins plus conscients, on va dire,
28:14 ceux-là nous disent "je reporte pas non plus".
28:16 Comment ça ?
28:17 Alors la personne, elle est au courant que ça cause des effets.
28:21 Et même celle-là ne reporte pas.
28:23 Ils n'ont pas le temps.
28:24 Bon, le temps, il va falloir qu'ils le prennent à un moment donné.
28:27 – Et les patients eux-mêmes, quand ils ont des effets secondaires,
28:29 peut-être parfois ils ne font pas non plus leur…
28:31 – Alors certains, ils ne savent même pas comment reporter.
28:33 C'est pour ça qu'à la fin du bouquin, j'ai lu…
28:34 – Mais peut-être simplement qu'ils n'ont pas fait le lien.
28:36 – Alors oui, mais plus ça survient tard par rapport à la date de vaccination,
28:40 et moins ils font le lien.
28:43 Donc on a ce problème-là aussi.
28:46 Donc on sait, mais même, admettons,
28:49 même on en aurait qu'en France, une cinquantaine de très très graves,
28:54 est-ce que c'est une raison pour ne pas les prendre en charge ?
28:57 – Non, bien sûr.
28:58 – Dans tous les cas.
29:00 Comment ça se fait qu'on les maltraite de cette façon ?
29:03 Comment ça se fait que l'Agence de santé n'a pas mis en place des structures
29:07 pour aider à les soigner, à leur faire plusieurs examens au même endroit,
29:10 au lieu de les trimballer à droite à gauche chez le docteur,
29:14 où ils se font plus ou moins bouler,
29:17 il faut qu'ils fassent des kilomètres et des kilomètres,
29:19 parce que les docteurs, c'est difficile.
29:22 Les quelques-uns qui essaient de les prendre en charge correctement,
29:25 qui a pitié, entre guillemets, qui fait bien son boulot,
29:28 le gars est débordé, donc il n'y a pas de place.
29:31 C'est très compliqué pour ces gens-là.
29:33 – Et sur le plan…
29:34 – Il y en aurait même qu'une centaine en France,
29:37 vraiment ces gens laissés à l'abandon.
29:41 On va continuer à les laisser à l'abandon longtemps comme ça ?
29:44 – Bien sûr.
29:45 – Alors que j'en ai parlé à la NSM de ces gens-là,
29:48 je leur ai dit combien de temps on va les laisser agoniser.
29:51 – Ils devaient vous répondre ?
29:52 – Ah non, ils m'ont dit non, non, qu'effectivement il fallait les prendre en charge.
29:55 Bon, c'était en juillet 2022.
29:57 – Ils attendent toujours, évidemment.
29:59 – Je ne sais pas, on attend le déluge, le retour de Noé.
30:02 – Alors il y a quand même une réponse qui a été formulée
30:04 pour une partie des victimes des effets secondaires,
30:06 notamment ceux qui ont eu des myocardites ou des péricardites.
30:09 On leur a expliqué que finalement ce n'est pas si grave.
30:11 – Oui, c'est sûr.
30:12 Je ne sais pas, c'est les gens qui ont dit ça,
30:14 est-ce qu'ils ont lu la définition d'une myocardite ou d'une péricardite ?
30:17 Là on le voit, aux États-Unis ils en parlent beaucoup,
30:19 il y a beaucoup de publics qui continuent à sortir sur ce sujet.
30:23 Bon, ça ferait des séquelles dans le cœur, et c'est loin d'être pas si grave.
30:29 – Dans votre ville d'ailleurs, il y a un jeune garçon qui ne peut plus faire de sport,
30:32 la mère est tétanisée à l'idée qu'il lui arrive quelque chose
30:35 dès qu'il sort de chez lui, c'est assez épouvantable, il a 14 ans.
30:38 – Oui, c'est ça. Ah mais non, mais ce n'est pas grave.
30:42 – Donc soit ce n'est pas grave, soit ça n'a rien à voir avec le vaccin.
30:44 – Voilà.
30:45 Bon là évidemment ils ont reconnu que ça avait à voir,
30:47 les myocardites, péricardites, c'est même ceux qui sont à peu près
30:50 le mieux pris en charge, parce qu'ils ont été pris en charge assez rapidement.
30:54 Mais finalement, bon, les gens ont une partie de leur vie foutue,
31:00 mais ça continue à ne pas être grave.
31:03 – C'est dommage collatéraux. – Oui.
31:06 – On a le sentiment, c'est quelque chose qui m'a frappée,
31:10 chez vous, en vous lisant, c'est que vous avez encore l'espoir,
31:13 et d'ailleurs on le sait, vous avez été en justice aussi,
31:16 donc c'est que vous avez encore confiance en la justice.
31:19 – Ah oui, oui, c'est vrai, je dois être l'une des rares.
31:23 Oui, oui, oui, j'ai tout à fait confiance dans la justice.
31:26 – C'est une question de temps ? – Oui.
31:29 Pour moi c'est une question de temps, mais voilà,
31:31 quand ça touchera leur famille, on en reparle.
31:35 Parce qu'il n'y a aucune raison, je suis statisticienne,
31:38 aucune raison en termes statistiques, que les familles des policiers,
31:43 des gendarmes, les policiers ce n'était pas obligatoire,
31:46 mais beaucoup l'ont fait quand même, des gendarmes,
31:49 même des politiques, parce que là on le voit à l'Europe,
31:52 ils doivent être tous vaccinés, bien vaccinés, bien protégés,
31:56 il n'y a aucune raison que ces gens n'aient pas des faits indésirables,
32:01 aucune raison, d'ailleurs peut-être que certains en ont déjà,
32:05 peut-être que certains en sont déjà morts,
32:08 mais encore une fois, tant que le lien n'est pas fait,
32:12 donc viendra un moment où mettre la poussière sous le tapis
32:18 pour faire plaisir à nos amis Pfizer, Moderna et tutti quanti,
32:22 je pense que ça ne se fera plus.
32:24 Donc oui, oui, j'ai tout à fait confiance en la justice, oui.
32:27 – Eh bien ce sera un message d'espoir et on en a bien besoin,
32:30 je vous remercie beaucoup Christine Cotton d'être venue jusqu'à nous,
32:33 jusque dans les studios de TV Liberté pour nous présenter cet ouvrage.
32:36 – J'ai mis du temps à venir.
32:37 – Eh bien oui, mais maintenant que vous connaissez le chemin,
32:39 vous pourrez revenir.
32:40 – Je rappelle le nom de votre ouvrage,
32:42 "Tous vaccinés, tous protégés", c'est aux éditions Guy Trédaniel
32:45 et bien entendu, vous le savez chers amis, vous pouvez en faire l'acquisition
32:48 sur le site de TVL sur TVL.fr à la ruprique "boutique".
32:52 Merci à tous de nous avoir suivis, je compte sur vous pour partager cette émission
32:56 et bien sûr cliquer sur le pouce en l'air pour améliorer le référencement.
32:59 [Musique]

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