Si les Français entendaient souvent son nom pendant la présidentielle de 2017, désormais François Asselineau se fait plus discret. L'ancien candidat à l'élection présidentielle a été placé en garde à vue ce mercredi 3 janvier, selon les informations de nos confrères du Point. Dans la matinée, François Asselineau a été entendu par les enquêteurs de la brigade de la délinquance à la personne, un service de la police judiciaire parisienne.
La garde à vue de François Asselineau se fait dans le cadre d'une enquête préliminaire, ouverte le 15 mai 2020 par le parquet de Paris. Le chef de l'Union populaire républicaine, âgé de 63 ans, doit "doit répondre d'accusations d'anciens collaborateurs qui le mettent en cause pour harcèlement sexuel, agression sexuelle et harcèlement moral", précise le journal hebdomadaire. Cette procédure judiciaire qui vise l'ancien candidat souverainiste est basée par plusieurs plaintes pénales, lancées par plusieurs anciens collaborateurs de François Asselineau. Deux plaintes ont été déposées, l'une dans l'Allier et l'autre à Paris, par deux victimes présumées qui sont des anciens salariés de l'UPR, précise Le Parisien.
La réaction de François Asselineau en mai 2020
En mai dernier donc, François Asselineau était sorti du silence. Le sexagénaire avait fustigé : "un tissu de mensonges et de calomnies" et "des boules puantes", probablement pilotée par "une officine". Il avait également appelé ses adhérents "à ne pas se laisser intimider" en marge de la présidentielle de 2022 à venir. De plus, le chef de l'Union populaire républicaine avait annoncé son intention de déposer une plainte en dénonciation calomnieuse.
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La garde à vue de François Asselineau se fait dans le cadre d'une enquête préliminaire, ouverte le 15 mai 2020 par le parquet de Paris. Le chef de l'Union populaire républicaine, âgé de 63 ans, doit "doit répondre d'accusations d'anciens collaborateurs qui le mettent en cause pour harcèlement sexuel, agression sexuelle et harcèlement moral", précise le journal hebdomadaire. Cette procédure judiciaire qui vise l'ancien candidat souverainiste est basée par plusieurs plaintes pénales, lancées par plusieurs anciens collaborateurs de François Asselineau. Deux plaintes ont été déposées, l'une dans l'Allier et l'autre à Paris, par deux victimes présumées qui sont des anciens salariés de l'UPR, précise Le Parisien.
La réaction de François Asselineau en mai 2020
En mai dernier donc, François Asselineau était sorti du silence. Le sexagénaire avait fustigé : "un tissu de mensonges et de calomnies" et "des boules puantes", probablement pilotée par "une officine". Il avait également appelé ses adhérents "à ne pas se laisser intimider" en marge de la présidentielle de 2022 à venir. De plus, le chef de l'Union populaire républicaine avait annoncé son intention de déposer une plainte en dénonciation calomnieuse.
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