Le JT - 19/10/23 - Foire de Grenoble, WindFisher, Semaine de l'intégration
La foire de Grenoble sera cette année aux couleurs des USA ! L'Evènement vous réserve comme chaque année, quelques surprises
Un cerf-volant pour faire de l'électricité, c'est le pari qu'a fait Windfisher avec ses éoliennes aéroportées, une idée bien dans l'air du temps...
Et pour parler de la semaine de l'intégration, la vice-Présidente de la Métropole chargée de l'emploi, l'insertion et la jeunesse, Céline Deslattes, est notre invitée...
Un cerf-volant pour faire de l'électricité, c'est le pari qu'a fait Windfisher avec ses éoliennes aéroportées, une idée bien dans l'air du temps...
Et pour parler de la semaine de l'intégration, la vice-Présidente de la Métropole chargée de l'emploi, l'insertion et la jeunesse, Céline Deslattes, est notre invitée...
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00:00 *Musique*
00:08 La Foire de Grenoble sera cette année aux couleurs des USA.
00:11 L'événement vous réserve, comme chaque année, quelques surprises.
00:15 Un cerf-volant pour faire de l'électricité, c'est le pari qu'a fait Wayne Fisher avec ses éoliennes aéroportées.
00:21 Une idée bien dans l'air du temps.
00:24 Et pour parler de la semaine de l'intégration,
00:26 la vice-présidente de la Métropole chargée de l'emploi, l'insertion et la jeunesse, Céline Deslattes, est notre invitée.
00:32 *Musique*
00:33 Bonsoir à tous, je suis ravie de vous retrouver pour ce JT du jeudi 19 octobre.
00:37 On fait le tour des actualités du Grand Grenoble.
00:41 Alerte à la bombe ce jeudi après-midi au lycée Vaucanson, peu avant 16h.
00:46 D'après les informations du Dauphiné Libéré, les services de l'Education Nationale ont reçu un mail
00:51 annonçant qu'une bombe allait exploser dans l'établissement à 16h.
00:55 Plus de 1000 personnes ont dû être évacuées et les maternelles d'une école à proximité confinée.
01:00 Une enquête est ouverte pour identifier l'auteur du mail.
01:04 Autre alerte à la bombe à l'ILL, l'institut Lollange 20, ce jeudi matin vers 8h.
01:09 Après leur passage à l'organisme international de recherche situé à Venues des Martyrs,
01:14 deux chauffeurs livreurs âgés de 23 et 26 ans ont déclaré aux agents du poste de garde en sortant.
01:20 Ça y est, on a livré la bombe, puis l'alerte a été donnée.
01:24 Une investigation complète des lieux, notamment par une équipe synophile, a été effectuée pour lever le doute.
01:29 L'ILL a rouvert ses portes à la mi-journée.
01:32 Les hommes en question ont été placés en garde à vue pour menace de crime contre les personnes
01:36 et divulgation d'informations fausses de nature a provoqué l'intervention des secours.
01:45 La garde à vue du passager a été levée, tandis que le conducteur sera déféré vendredi au parquet en vue d'une comparution immédiate.
01:56 Ils seront jugés aux assises de Bordeaux en juin 2024.
02:00 Les cinq sexes rugbymen du FCG poursuivis pour viol en réunion et non-empêchement d'un crime
02:06 coopéreront devant le tribunal du 17 au 28 juin pour des faits qui remontent à mars 2017 dans un hôtel de Mérignac,
02:15 après un match contre l'équipe bordelaise.
02:17 Ils sont sortis en boîte de nuit.
02:19 Les joueurs sont rentrés à l'hôtel en compagnie d'une jeune femme ivre qui a été déposée plainte pour viol le lendemain matin.
02:25 Les accusés affirment qu'elle était consentante.
02:29 Laurent Wauquiez soupçonné d'emploi fantôme au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes.
02:34 Le président de la région aura été alerté par les services administratifs sur la possible existence d'un emploi fictif au sein de ses services.
02:42 Une enquête de Radio France a recensé trois autres emplois qui posent question.
02:46 Une certaine Nawel G occuperait un poste depuis 2019 avec un contrat jusqu'en 2025 et un salaire net de plus de 5000 euros,
02:54 payé par la région en plus de son appartement situé à Paris.
02:58 Mais aucun élu ou membre du conseil ne la connaîtrait et son poste ne figurerait dans aucun organigramme
03:04 et n'aurait pas d'utilité ni de contenu selon les services administratifs.
03:08 Laurent Wauquiez, lui, dénonce des informations mensongères.
03:12 Nouveau rebondissement dans le feuilleton au sujet de la vente de Grenoble Habitat.
03:16 Après la métropole, c'est le conseil municipal de La Tronche qui détient 0,5% des parts,
03:22 qui a voté contre la vente à l'unanimité, entendant qu'un tel bailleur social ne doit pas passer dans le privé.
03:28 La balle est donc désormais dans le camp de l'acheteur Adestia,
03:32 car des clauses suspensives non obligatoires demandent le soutien public de la métro et La Tronche.
03:38 Comme chaque année, ils reviennent, les exposants.
03:41 La foire de Grenoble commence bientôt à Alpexpo.
03:44 Du 3 au 13 novembre, rendez-vous dans les couloirs du salon pour prendre soin de vous,
03:49 choper les dernières tendances pour la maison ou simplement vous régaler dans le coin gastronomie.
03:55 Et le thème cette année, alors que vous cherchez Grenoble, vous fait découvrir l'Amérique.
04:02 Cette année, on va être sur le thème des USA avec une exposition qui s'appelle Bienvenue en Louisiane.
04:07 Et puis, on va avoir des tonnes d'animations, des tonnes d'animations avec un premier week-end qui sera un week-end sportif.
04:14 On va avoir différentes fédérations, clubs, associations qui vont venir et on va pouvoir se prêter à des démonstrations du basket,
04:22 du golf, du baseball, du football américain.
04:26 Donc, il y en aura pour les petits, les grands et les plus anciens.
04:30 Et puis, on aura un deuxième week-end durant lequel on aura un salon vintage,
04:35 mais très axé USA avec de la déco, du vinyle, du tatouage, une vingtaine de brasseurs.
04:41 On aura des brasseries locales, mais aussi des brasseries qui seront limite off au département.
04:46 Et on pourra goûter effectivement les différentes bières.
04:49 On aura une exposition de vieilles voitures, mais on aura surtout une exposition Harley Davidson,
04:53 puisque et le garage Harley Davidson de Grenoble et le club Harley Davidson nous accompagnent sur cette foire à exposition.
05:01 Et puis, je crois que cette année, ce sera intéressant de voir tous les nouveaux exposants qui pourront être là.
05:06 On va avoir des exposants de drones, on va avoir des nouveaux exposants horticulture, fleurs, décorations, enfin plein de nouveautés.
05:15 Et vous pourrez vivre la foire avec nous sur Télé Grenoble chaque soir dans notre journal avec un reportage spécial.
05:22 Les éoliennes traditionnelles, c'est beaucoup trop ringard pour Wayne Fisher,
05:26 qui a trouvé une idée bien plus badass pour produire de l'électricité, des cerfs-volants.
05:31 Voilà un concept qui mérite bien d'avoir le vent en poupe.
05:35 Je vous laisse le découvrir dans ce reportage de Mirko Pesci.
05:38 Permettre à tous d'avoir une indépendance énergétique grâce à un cerf-volant,
05:43 voilà l'idée de Garrett Smith en lançant son entreprise en 2021.
05:48 Je pense qu'on va pouvoir voler.
05:49 Pour de l'autoconsommation, pour un usage industriel, le cerf-volant éolien pourrait fournir 100 kW,
05:56 une énergie suffisante pour alimenter tout un village.
06:00 100 kW, ça va fournir pour une centaine de maisons.
06:04 Par exemple, les villages au Canada ou les villages en Afrique,
06:08 aujourd'hui, ils sont dépendants des groupes électrogène-diesel.
06:12 Et pour arriver à notre objectif de zéro émission nette en 2050,
06:16 on a besoin de promouvoir des technologies comme la nôtre pour arriver à réduire notre impact sur le climat.
06:25 L'énergie est produite par le vent qui force sur les câbles du cerf-volant reliés à un générateur au sol.
06:31 Le coût de production serait trois fois moins élevé qu'une éolienne classique.
06:36 On a prouvé qu'on peut faire voler un cylindre qu'on entraîne à partir du sol,
06:40 donc il n'y a pas de moteur qui soit embarqué.
06:42 Donc juste avec l'effet Magnus, avec le vent, on arrive à faire voler notre cerf-volant.
06:46 Le plus gros avantage aussi, c'est que nous, on peut déployer notre système
06:49 et après le récupérer si on n'en a plus besoin.
06:51 Le deuxième avantage, c'est qu'on a moins de résistance sociétale, moins de crainte,
06:57 parce que le système se pose au sol, sur son socle, quand il n'y a pas de vent
07:02 et ça ne fait aucune pollution visuelle sur le paysage.
07:05 Aujourd'hui, la mission est de confirmer la performance et la stabilité en vol.
07:10 Mais les essais ne se passent pas toujours comme prévu.
07:13 Les prototypes sont mis à rude épreuve.
07:15 Il y a occasionnellement un petit bug avec l'allumage des moteurs.
07:21 Les contrôleurs moteurs font tourner immédiatement les moteurs sans qu'on les commande.
07:26 Malheureusement, je n'étais pas prêt et c'est un petit aléa des essais en vol.
07:33 Il faut célébrer chaque échec parce que c'est un apprentissage.
07:37 C'est vrai, pareil.
07:38 Ouf !
07:40 Pour le moment, le prototype est petit et ne génère qu'un kilowatt.
07:44 L'entreprise a besoin d'un fonds de 5 à 10 millions d'euros
07:47 pour lancer le modèle de 25 mètres de long.
07:50 Pour une commercialisation, horizon 2028.
07:55 Les énergies renouvelables représentent 20,2% de la production d'électricité française,
08:00 dont 6,3% d'éoliennes.
08:03 Et de l'énergie, l'info pour la semaine de l'intégration en France
08:06 qui se déroule depuis lundi et jusqu'au 20 octobre.
08:10 Céline Dellaude, vous êtes vice-présidente de la Métropole en chargée de l'emploi,
08:14 l'insertion et la jeunesse.
08:16 Quels sont les enjeux de cet événement ?
08:18 La semaine de l'intégration, c'est un enjeu annuel
08:21 pour mettre en lumière toutes les actions qui sont menées sur notre territoire
08:26 pour l'accueil et l'accompagnement des personnes qui ont vécu un chemin d'exil.
08:31 C'est très important parce que ça permet de redire l'importance des actions qui sont menées
08:37 et de montrer aussi les jolies choses que chacune et chacun font pour accompagner ces personnes.
08:43 Et justement, vous avez signé ce mardi un contrat territorial d'accueil et d'intégration.
08:49 Il y avait déjà un contrat qui avait permis l'accompagnement de plus de 1 000 réfugiés,
08:52 dont 633 ont eu accès à une formation ou un emploi.
08:56 Exactement, c'est un nouveau contrat que nous signons pour trois ans avec l'État.
09:01 Les trois années qui viennent de passer, on a pu accompagner plus de 1 000 personnes
09:07 sur les questions d'emploi, de logement, de mobilité, d'apprentissage du français,
09:12 mais aussi sur des questions culture, sport, etc.
09:15 Et là, ça va nous permettre d'accompagner encore plus de personnes,
09:19 puisque par exemple, rien que sur 2023, on a accompagné près de 400 personnes
09:24 sur leur chemin d'intégration, mais surtout sur le chemin de pouvoir se poser sur notre territoire
09:33 et de reconstruire leur vie.
09:35 Et ça nous permet justement d'engager des vraies actions.
09:39 Alors on n'est pas tout seul, on le fait avec beaucoup d'associations.
09:42 Et puis on avance avec...
09:44 Vous gouvernez avec quelqu'un d'autre ?
09:46 Oui, bien sûr, les Big Bang Ballers, Caméléon, Éclat...
09:49 Alors l'Agora, c'est autre chose. L'Agora, c'est une première en France.
09:54 Et d'ailleurs, on a eu nos partenaires européens d'Eurocities qui sont venus à l'occasion de la signature.
09:59 L'Agora, c'est le fait d'avoir permis à 16 personnes en exil
10:03 de pouvoir réinterroger les politiques publiques que nous menons
10:07 en matière d'accompagnement et d'accueil,
10:10 pour à la fois nous dire ce qui marche et ce qui ne marche pas,
10:12 et nous dire aussi ce dont ils ont besoin.
10:14 Donc c'est de leur donner la parole et de considérer que leur voix compte.
10:19 Et alors qu'est-ce qui se passe d'autre sur la métropole cette semaine ?
10:22 Est-ce qu'il y a des événements particuliers ?
10:23 Ah oui, il y a un événement très particulier qui a eu lieu hier et aujourd'hui,
10:27 le Forum des métiers.
10:29 Presque 6 000 personnes, là, à l'heure où je vous parle, sont venues au Forum des métiers.
10:34 Ce Forum des métiers, il a accueilli plus de 150 entreprises,
10:37 30 institutions et structures.
10:39 Et justement, on parlait de la semaine de l'intégration.
10:43 Dans ce cadre-là, on a eu un atelier hier soir avec Sans chance, sans emploi,
10:48 donc avec des entreprises comme Schneider Electric
10:51 qui coaniment avec nous Sans chance, sans emploi,
10:54 sur la thématique des réfugiés, puisqu'on accompagne des personnes en exil
10:58 dans le cadre de Sans chance, sans emploi,
10:59 pour les mettre en relation avec les entreprises,
11:02 soit pour trouver un travail, soit pour les accompagner dans leur formation,
11:05 soit pour des stages d'immersion.
11:07 Et c'était vraiment très émouvant, presque,
11:10 parce que vous avez des personnes qui sont là depuis très peu de temps,
11:14 qui ont un engagement très fort déjà sur le territoire,
11:17 qui ont vécu des choses très lourdes dans leur passé,
11:21 qui ont des compétences, mais qui n'ont pas les diplômes français,
11:24 mais pour autant, qui ont vraiment des compétences,
11:27 qui ont des talents et qui sont vraiment mobilisés.
11:30 Et c'est important qu'ils rencontrent en direct des entreprises
11:33 pour qu'ils puissent avoir un chemin vers l'emploi plus facilité.
11:36 Et parfois, même avec les diplômes,
11:38 on peut encore rencontrer des difficultés si on n'est pas régularisé.
11:41 Ah bien, c'est certain.
11:42 La vraie problématique, c'est effectivement la régularisation
11:46 et l'obtention d'un droit de travail.
11:49 Aujourd'hui, il y a beaucoup de personnes qui sont sur notre territoire
11:54 qui peinent à avoir la capacité de travailler sur notre territoire,
11:58 alors qu'ils pourraient tout à fait le faire.
12:00 Et ce sont des personnes qui ont des vraies capacités,
12:03 qui ont vraiment envie.
12:04 Et puis, de toute façon, c'est un honneur pour nous d'accueillir les personnes.
12:08 C'est un devoir.
12:09 L'hospitalité de ce territoire, il existe depuis très, très longtemps
12:12 et doit perdurer.
12:14 Et donc, on se doit de les accompagner
12:16 pour qu'ils aient un chemin un peu plus tranquillisé.
12:19 Et les enjeux, ils sont aussi beaucoup à l'échelle nationale ?
12:22 Ils sont essentiellement à l'échelle nationale,
12:24 parce que là, je vous parle des publics réfugiés
12:27 dans le cadre du contrat d'accueil et d'intégration.
12:29 Mais moi, avec d'autres, nous pensons, en tout cas à gauche,
12:34 la gauche et les écologistes pensons
12:36 que la question d'un droit d'accueil inconditionnel,
12:38 il est indispensable.
12:40 À l'aune où on voit les guerres,
12:42 les problématiques de grande misère économique
12:45 et avec ce qui se passe en termes de climat,
12:49 on a une vraie nécessité d'accueil.
12:51 Et c'est vraiment une richesse.
12:53 Ce n'est pas des jolis mots pour le dire.
12:54 C'est vraiment une richesse et on est tous des êtres humains.
12:56 On a tous le droit de vivre tranquillement et paisiblement
12:59 sur ce monde.
13:00 - Mais ce sont des sujets qui font énormément débat
13:02 au sein du gouvernement et de l'Assemblée.
13:03 Il y a un projet de loi qui doit être examiné le 6 novembre
13:06 concernant la régularisation des travailleurs sans papier
13:09 pour les métiers en tension.
13:10 À la base, le projet de loi immigration
13:12 prévoyait un titre de séjour, mais depuis l'attentat d'Arras,
13:15 l'idée serait de créer une nouvelle circulaire
13:17 de régularisation à la place.
13:19 C'est un sujet qui est discuté.
13:21 Qu'est-ce que vous en pensez, vous ?
13:23 - Alors moi, je pense, et nous nous battons beaucoup
13:26 pour que l'Etat puisse développer cette question
13:29 de régularisation du droit au travail,
13:31 parce qu'en fait, c'est essentiel dans le parcours.
13:34 Ce que je crois, c'est qu'au titre de la loi immigration,
13:36 en fait, on va parler des mauvais sujets.
13:38 C'est-à-dire qu'on va parler de l'autre comme une problématique,
13:41 comme s'il allait prendre sur le territoire des choses
13:44 par rapport à d'autres personnes,
13:46 alors que la question n'est absolument pas là.
13:48 Et en fait, c'est exactement comme la loi de plein emploi
13:51 qui a eu lieu, enfin, les débats ont eu lieu au Sénat
13:55 et à l'Assemblée nationale, où en fait, on va parler du RSA
13:59 avec des devoirs appliqués aux personnes qui touchent le RSA.
14:02 Et on ne va pas parler véritablement de la capacité
14:05 des personnes à faire reconnaître leur droit au travail.
14:09 Et d'ailleurs, j'en profite, puisque nous avons un territoire
14:12 zéro chômeur de longue durée sur notre territoire,
14:14 dans le projet de loi de finances.
14:16 Alors, Elisabeth Borne a passé le 49.3 une première fois,
14:18 donc, mais elle peut encore bouger elle-même les articles.
14:22 En fait, alors que le gouvernement parle d'emploi
14:26 comme la priorité, eh bien, il va diminuer les aides
14:29 pour les territoires zéro chômeur de longue durée.
14:31 Alors que la question d'un droit à l'emploi et d'un droit au travail,
14:34 elle est fondamentale pour tous et toutes.
14:36 Et c'est des questions qui vont encore longtemps être posées.
14:40 Merci beaucoup Céline Bellat d'avoir été avec nous.
14:42 Merci bien.
14:43 Et avant de se quitter, vendredi, les Brûleurs de l'Ou
14:46 recevront Bordeaux à la patinoire Pôle Sud,
14:49 alors que les Grenoblois sont à la quatrième place
14:51 du classement provisoire.
14:53 Les boxeurs sont eux à la dixième.
14:55 Et pour cette fois, ce sera un match spécial rose
14:57 en l'honneur d'Octobre Rose, le mois de prévention du cancer du sein.
15:02 Et restez avec nous, car aujourd'hui dans Si on parlait,
15:05 Thibaut Leduc va marier deux univers, la montagne et les sciences,
15:09 avec une descente vertigineuse au cœur des glaciers,
15:12 un vol planant avec les vautours et un retour cinq siècles en arrière
15:17 avec la naissance de l'alpinisme et la première ascension du Mont Aiguille,
15:21 reconstituée grandeur nature par des scientifiques iséroifs.
15:25 C'est la fin de ce journal.
15:26 Merci à tous de nous avoir suivis.
15:28 Rendez-vous vendredi à 18h, puis toutes les heures
15:31 pour un nouveau point sur l'actualité.
15:33 Excellente semaine à tous.
15:34 [Musique]