• l’année dernière
Avez-vous pensé à protéger vos proches en préparant vos obsèques ?
Il est même possible de les personnaliser.
Avec les Pompes funèbres ROBERT.

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😹
Amusant
Transcription
00:00 [Musique]
00:08 Oui, bien entendu, il y a des personnes qui souhaitent, le jour de leur départ,
00:14 avoir une cérémonie qui leur ressemble et du coup, protéger aussi leurs proches.
00:20 Ils viennent souscrire un contrat de prévalence obsèques.
00:22 Donc, on recueille leur volonté, comme si les obsèques devaient se faire au jour de leur visite.
00:28 Après, on ouvre un dossier et à l'intérieur, on y note toutes les choses que la personne souhaite.
00:34 Donc, on choisit son cercueil ?
00:35 Oui, on a une gamme, on va dire, du modèle le plus simple au modèle le plus élaboré,
00:40 des essences de bois différentes.
00:42 Soit on parle d'un budget, soit on montre exactement les modèles
00:45 et la personne peut choisir le modèle qu'elle souhaite avoir.
00:48 Tout est possible.
00:50 [Musique]
00:53 Oui, c'est vrai qu'à l'heure actuelle, il y a de plus en plus d'articles personnalisés
00:57 pour que ça colle vraiment à l'image de la personne.
01:00 Donc, on a beaucoup de plaques personnalisées à la vente en direct et sur commande.
01:05 Et après, oui, il y a des choses aussi qui reviennent,
01:07 des articles qui se faisaient auparavant, tels les fleurs en céramique,
01:12 et qui reviennent à l'heure actuelle.
01:13 Après, il y a des choses classiques qui restent aussi, qui perdurent dans le temps.
01:16 Comme quoi ?
01:17 Voilà, plaques classiques, on va dire, souvenirs, voilà,
01:21 toutes simples, noires, assez austères, avec un motif religieux ou non.
01:25 Ça, c'est des choses qui se font encore.
01:27 [Musique]
01:29 Ce cercueil, c'est un modèle que j'ai fait réaliser par un artiste.
01:33 On a une agence à Aurèques-sur-Loire et il y avait un festival de street art.
01:37 Et du coup, j'aurais, en discutant,
01:40 j'ai proposé de me faire un modèle un peu unique
01:44 pour montrer aux familles que tout est possible,
01:46 qu'on peut faire vraiment toute chose, qu'on n'a pas de limites, pas de barrières.
01:50 Et donc, on est parti sur des fleurs et il m'a fait un modèle avec des coquelicots,
01:55 très colorés, pour changer des modèles plus austères qu'on a l'habitude de voir.
01:59 [Musique]
02:02 Pour leur famille, quoi, disons, pour qu'ils puissent se recueillir
02:05 en ayant une image de la personne correcte.
02:09 Entre le moment du décès et le jour où les obsèques vont se dérouler,
02:13 c'est cool des fois, 4, 5 jours, voire plus d'une semaine,
02:18 donc pour éviter qu'il y ait ces changements,
02:20 que dans une chambre funéraire ou dans un centre hospitalier,
02:23 à la chambre mortuaire, ils puissent se recueillir auprès de la personne
02:26 sans qu'elle se dégrade, si on peut le dire.
02:30 Moi, disons, j'ai baigné dans le funéraire depuis tout petit,
02:33 mes parents, c'était donc leur société.
02:36 Et quand je me suis intéressé à l'âge de 17, 18 ans,
02:40 j'ai vu faire un thanatopracteur sous-traitant
02:43 qui venait réaliser les soins pour mes parents,
02:45 et je m'y suis intéressé, c'est quelque chose qui m'a plu,
02:48 l'approche aussi de rendre une personne belle pour ses proches,
02:52 toute cette attention.
02:54 Donc c'est pour ça que je me suis dirigé vers l'école de soins et sciences mortuaires
02:58 à l'âge de 19 ans pour être diplômé à 20 ans.
03:01 ♪ ♪ ♪
03:04 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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