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00:00 Quand tu vois la série sur Netflix, "Drive to Survive",
00:02 ils se sont attelés à raconter les histoires qu'il y avait derrière les voitures qui roulent.
00:07 Et il y en a beaucoup.
00:08 Ils ont dépoussiéré complètement la Formule 1 en intéressant les jeunes,
00:11 autant dans la narration, autant dans le format, autant dans la montage.
00:15 Là, on est à la saison 5-6.
00:17 Là, ça va être la 6.
00:18 Ça va être la 6 qui est en train de tourner.
00:19 Ils ont une très grosse pression, les gens de boxe-to-boxe,
00:21 qui viennent filmer pour Netflix, parce qu'il faut qu'ils trouvent des histoires.
00:24 Chaque semaine, chaque fois qu'ils y vont, ils y vont à peu près 12-15 personnes.
00:28 Ça coûte beaucoup d'argent.
00:29 Il faut qu'ils trouvent des histoires.
00:31 L'aspect dramatisation que certaines personnes ont décrié.
00:36 Honnêtement, moi, je mets quiconque qui veut faire une production,
00:40 ils envoient 15 personnes en Australie.
00:42 Et puis, le dimanche soir, le gars responsable de la production,
00:47 il dit "Écoute, on n'a rien trouvé. Voilà."
00:49 Donc, tu as payé 15 personnes en Australie, aller-retour, et puis on n'a rien filmé.
00:54 Donc, ils sont obligés de trouver des histoires.
00:56 Ils sont obligés de trouver des choses.
00:58 Alors, peut-être que des fois, il y a des montages qui sont un peu alambiqués.
01:01 Peut-être qu'il y a des phrases qui sont un peu alambiquées.
01:03 Mais quand ils investissent pour aller en Australie, pour aller au Brésil,
01:06 pour aller au Grand Prix de France, pour aller à Monaco,
01:09 l'équipe de Netflix, de boxe-to-boxe, donc, ils sont obligés de trouver des histoires.
01:12 Donc, ils ont une pression énorme.
01:14 Généralement, ils trouvent des histoires.
01:16 C'est assez inégal de Grand Prix en Grand Prix, pour plein de raisons.
01:19 Mais ils sont obligés, après, dans le montage, de dramatiser.
01:22 Parce que... Voilà.
01:24 ♪ ♪ ♪