Enrique : « Le groupe a très bien géré le match » - Foot - L1 - PSG

  • l’année dernière
Avec Kylian Mbappé buteur sur penalty et passeur décisif pour Carlos Soler, qui a lui-même servi Fabian Ruiz, le PSG s'est imposé (3-0) à domicile devant Strasbourg et a provisoirement pris la tête de la Ligue 1.

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Transcription
00:00 Évidemment, il y a une préoccupation logique après ces trêves internationales pour les
00:07 journées qui suivent.
00:08 Mais je pense que c'est clairement dû à la difficulté pour les joueurs de retourner
00:15 dans cette mentalité, de se remettre dans le bain.
00:17 Mais je pense que le groupe a très bien géré le match.
00:22 On a eu la possibilité de marquer rapidement.
00:25 Et je pense que ça, ça renforce un peu notre confiance et ça nous a permis d'affaiblir
00:30 le rival.
00:31 Oui, je pense qu'on est en train de découvrir des joueurs qui ont très peu joué ensemble,
00:39 que ce soit Bratli, Vitinha, Kylian, à droite à gauche, Carlos Soler avec Gonzalo Ramos
00:46 aussi et Fabian.
00:48 Je pense que le fait de leur donner du temps de jeu, ça leur permet aussi d'apprendre
00:57 à se connaître.
00:58 De cette manière, on est plus imprévisable.
01:00 On peut attaquer sur les deux couloirs et dans l'axe également.
01:04 Donc je pense que comme ça, on est dangereux un peu partout et c'est l'objectif.
01:07 Soler a marqué un but, il a fait une passe décisive.
01:14 Fabian aussi a marqué.
01:16 Quelle est votre opinion ce soir sur les joueurs espagnols ? Ce sont deux joueurs que
01:22 je connais très bien, qui ont joué en sélection avec moi également pour l'Euro avec Fabian
01:29 et la Coupe du Monde avec Carlos Soler.
01:30 Et à chaque fois qu'ils ont joué, ils ont profité de leur temps de jeu.
01:34 Ils ont très bien joué tous les deux.
01:35 Ils ont pu participer en marquant et ça c'est évidemment important pour les joueurs.
01:39 Je pense qu'en général, le rendement des joueurs qui ont moins joué tout au long
01:46 du début de la saison ont profité de leur opportunité aujourd'hui.
01:49 C'est quelque chose qui est bénéfique pour l'équipe et pour le rendement général
01:52 de tout le monde.
01:55 Chaque match est différent.
01:56 On est quatre, mais moi je pourrais dire cinq, six, huit joueurs offensifs.
02:04 Mon objectif c'est que 11 joueurs qui défendent, c'est mon objectif, je l'ai déjà dit.
02:13 On peut penser qu'il y avait trois, quatre, cinq ou six attaquants.
02:17 C'est vrai que tout le monde a joué plus haut.
02:20 On a vu Vitinha qui a joué aussi Elie, on a vu aussi Carlos Soler, Viti, Gonzalo, Kylian.
02:28 Ce sont des joueurs qui sont un peu plus définis dans ce poste, mais guidés.
02:32 C'est vraiment quand on a le ballon de tous les attaquants et tous les défenseurs qu'on
02:38 n'a pas le ballon.
02:39 Mais chaque match a besoin d'une matrice différente, d'une adaptation différente
02:47 et c'est pourquoi on utilise parfois plus ou moins les joueurs.
02:52 Tant Gonzalo Ramos que Colomoni, que Marco Asensio qui peut aussi jouer comme numéro
02:58 9 sont des joueurs qui sont avancantes, mais défenseurs quand ils n'ont pas le ballon.
03:06 Ce sont des joueurs qui savent s'adapter, s'adaptent à mon idée, à ma mentalité
03:10 de jeu.
03:11 Quand je vois Colomoni, Marco Asensio ou Gonzalo Ramos qui sont capables de baisser,
03:17 même Kylian aussi, de pouvoir aller voir aider l'équipe, ça me donne vraiment la
03:21 chair de poule.
03:22 Si un avançant n'est pas capable de le faire, il faut penser aux autres joueurs.
03:26 L'idée de créer une énergie, une passion, une sensation de faire partie d'un groupe,
03:32 d'une équipe, c'est une sensation extraordinaire.
03:34 Tant que Gonzalo Colomoni ou Marco Asensio, quand on les voit qui font le 9 ou Kylian
03:40 dans les actions aujourd'hui qu'il a fait, c'est quelque chose de spectaculaire et
03:44 c'est ce que je cherche et c'est ce que je veux.

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