SPORTS Le président de Yeni Malatyaspor, Gevrek : Nous allons rembourser notre dette et former une équipe pour aller en Super League
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00:00 Comme vous le dites, notre pays Malatka a vécu des difficultés avec le déplacement.
00:08 Je pense que ce déplacement a été réel depuis 100 ans.
00:13 Malatka a été très affectée par ce déplacement.
00:16 Et bien sûr, le sport de Malatka a été aussi affecté.
00:20 Nous essayons d'enlever nos blessures en tant que Malatka,
00:23 en tant que ville, en tant que pays.
00:27 Mais sur l'autre côté, la vie continue.
00:30 Il faut nous réunir, nous devons nous lever.
00:33 Dans ce sens, nous essayons de montrer notre effort pour enlever le nouveau Malatka,
00:38 qui est l'un des valeurs les plus importantes de Malatka,
00:43 et qui est une des sociétés les plus importantes.
00:48 Bien sûr, la raison de notre arrivée ici est de rassembler le nouveau Malatka avec ses anciens.
00:54 C'est difficile, mais nous y croyons.
01:00 Nous avons un grand deute, notre porte est fermée.
01:04 Nous ne sommes pas en position de l'année, mais nous nous y battons.
01:09 Il faut d'abord ouvrir la porte. C'est l'un des plus importants problèmes.
01:15 Nous avons dit ceci en nous rejoignant avec nos amis de Yenimal Sport.
01:20 Nous avons fait la présidence de Yenimal Sport pendant 8 ans.
01:24 Nous avons fait une pause au bout de 8 ans et nous sommes revenus cette année.
01:28 Nous avons dit que nous n'allions pas faire ceci seul.
01:36 Nous devons tous, nos politiciens, nos collègues de Malatya,
01:42 nous y réunir.
01:44 Nous avons le pouvoir de faire cela.
01:50 Tout le monde doit faire preuve de cette volonté.
01:54 Je suis venu ici pour dire ceci en m'appelant à mes amis de la direction.
01:59 Je l'ai dit à la mairie, à la maire, à la ministre,
02:02 et à mes collègues de la politique.
02:06 Je peux dire au moins que nous pouvons accueillir 30 % de la dette de Burj Khalifa.
02:13 C'est une dette de la population, mais elle doit être soutenue par nos politiciens et nos collègues de Malatya.
02:22 Ce n'est pas la toute de la dette.
02:24 Nous avons une dette de 500 euros.
02:27 Nous y croyons.
02:29 Nous avons des fondateurs, nous avons parlé avec eux.
02:36 Nous avons des dossiers sur les fondateurs.
02:42 Ils nous ont dit que nous allions faire notre mieux et que nous allions faire un réchauffement nécessaire.
02:50 Nous avons 10 dossiers importants.
02:52 Je suis allé voir tous les 10 dossiers.
02:55 Ils ont dit que la dette de Burj Khalifa serait fermée.
03:02 Elle est de 20 à 30 % de la dette.
03:05 Si cela se passe, nous croyons que la dette de Burj Khalifa sera fermée.
03:08 Mais comme je l'ai dit, si nous faisions cela en tant que tout le pays, en tant que toute la Malatya,
03:15 je pense que la nouvelle Malatya va vivre des jours difficiles.
03:22 En tant que déplomé, en tant que pandémie, dans tous les sens.
03:26 Mais si elle se déplace en cas de malheur, je crois qu'elle se déplace en cas de très fort.
03:32 Et si nous fermons cette dette et ouvrons le rangsfert, nous pourrons revenir à la superligue en très fort.
03:39 Et nous pourrons revenir avec des pas de solidarité.
03:42 Tout ce qui s'est passé avant, les erreurs et les erreurs, nous avons tous fait.
03:49 Avec ces expériences, nous croyons que la nouvelle Malatya sera mieux.
03:56 Mais le plus important, c'est que nous devons fermer cette dette.
04:02 En tant que déplomé, en tant que Malatya, en tant que nos amis de l'administration,
04:08 nous avons tous vécu des difficultés.
04:12 Nous avons une responsabilité pour notre ville. Nous avons aussi une responsabilité pour nous.
04:15 Malatya doit se réunir avec Malatya.
04:18 Nous avons fait tout pour cela.
04:23 Mais si nous nous laissons seuls sur cette route, ce sera difficile.
04:28 Nous devons nous unir pour qu'elle se réunisse avec nous.
04:34 Et je crois que nous pouvons retourner à Malatya.
04:38 Et nous devons rester là pour toujours.
04:42 Nous devons aller avec des pas de solidarité.