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00:00 *Générique*
00:16 Bonjour à tous et par ici les sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les films à l'affiche.
00:21 Comédies dramatiques, science-fiction, documentaires, films sociaux fantastiques et comédies sont au programme cette semaine.
00:28 Avec tout d'abord "Second Tour 2" et avec Albert Dupontel.
00:32 Emilia Clarke viendra nous parler de "The Pod Generation".
00:35 Le cinéma sera au coeur du documentaire "Chambre 999".
00:40 Nous nous rendrons en Angleterre pour y découvrir "The Whole Oak" de Ken Loach.
00:44 Nous frémirons devant le "Vourdalak".
00:46 Nous serons confrontés au syndrome des amours passés.
00:49 Et l'action et la comédie seront à l'honneur dans la suite de "30 jours max", "3 jours max" de Tariq Bouddali.
00:55 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine, nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles
01:01 établi par les étoiles des spectateurs sur le site Allociné.
01:06 En troisième position, Linda veut du poulet obtient 3,8 sur 5.
01:11 Juste au-dessus avec 4,2 sur 5, on retrouve "Killers of the Flower Moon".
01:18 Et cette semaine se place en première position "Sacerdos" qui obtient 4,5 sur 5.
01:26 Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:29 Second tour de "Et avec Albert Dupontel" est une fable politique matinée de thriller
01:33 qui se déroule dans l'entre-deux-tours d'une élection présidentielle.
01:36 L'histoire est centrée sur trois personnages.
01:39 Un candidat à la présidentielle, héritier d'une puissante famille et novice en politique.
01:44 Et le tandem qui enquête sur ce candidat est composé d'une journaliste politique en disgrâce et de son caméraman.
01:51 - Qu'est-ce qu'il me dit, ce connard ?
01:53 - C'est pas moralisateur du tout.
01:56 Ça aborde des sujets graves, extrêmement graves.
01:58 - C'est les sujets de maintenant.
02:00 - Mais non, c'est pas moralisateur du tout.
02:04 - On t'a vu filmer ? - Non.
02:05 - Je crois que c'est la première fois que ceci dit, Albert, lui, se dévoile peut-être un petit peu plus que d'habitude.
02:12 - Je suis pas passionné par la politique. Moi, j'ai jamais voté.
02:14 Donc, je suis un mauvais citoyen. Et puis, j'ai pu t'aider depuis longtemps.
02:17 Mais j'entends ce qui se passe et j'ai le sentiment d'avoir déjà tout compris depuis un moment.
02:20 - T'es ému, ce connard. Bouffe ta merde.
02:23 - Pardon ?
02:24 - C'est comme un décor, en fait, qui permet de parler de choses très profondes,
02:28 comme dans un peu tous les films d'Albert.
02:31 Ça parle évidemment de soif de pouvoir, de cupidité, du fonctionnement de la peur.
02:36 - Pourquoi, même pas encore élu, le candidat nous cache déjà quelque chose ?
02:40 - Il a toujours un petit goût de satire et de pamphlet dans son cinéma.
02:44 - Très bien. Très bien. Super.
02:46 - Le duo s'entendait très bien sur le plateau.
02:49 Je les entendais souvent pouffer à distance pendant que moi-même, je travaillais.
02:52 Et voilà. Et donc, ce plaisir-là, quand les gens aiment le film, c'est que le plaisir a été contagieux, quoi.
02:57 - Si on vous dit « Enfin, il se passe quelque chose dans cette campagne seporifique », que répondez-vous ?
03:06 - « The Pod Generation » de Sophie Barthes se situe dans un futur proche
03:09 où l'intelligence artificielle prend le pas sur la nature.
03:12 Une société vantant les mérites d'une maternité plus simple
03:15 propose aux futurs parents de porter l'enfant dans un pod.
03:19 - C'est effrayant. Quand j'ai commencé à travailler sur le projet il y a 5 ans,
03:30 je n'imaginais pas que « Chatter JPT » serait lancé la semaine où le film a été projeté
03:35 au festival de Sundance.
03:37 La science-fiction vous permet de jouer avec des idées,
03:39 et parfois ces idées deviennent la réalité, et ce film a presque l'air d'un documentaire.
03:44 - La beauté du travail de Sophie, c'est qu'elle aborde ces thématiques
03:55 dans le cadre de la relation intime d'un couple dans lequel on peut se projeter.
03:59 C'est un contexte familier qui aborde des thèmes et des problèmes énormes.
04:03 - Les choses se développent.
04:04 - Nous voulons des mères satisfaites, nous voulons qu'elles puissent continuer leur carrière.
04:07 - Nous ne pouvons pas vivre dans le passé.
04:09 - Alors, laissez-nous faire le léger-liftement pendant que vous appréciez votre bébé.
04:13 - Quand vous lisez les correspondances de George Orwell,
04:16 il décrit les régimes totalitaires en disant qu'il s'agit d'un régime qui sait mieux que vous,
04:20 ce qui est bon pour vous, et c'est exactement ce que font les algorithmes.
04:24 - Je sens que Alvey est en mesure de se bonder avec notre enfant.
04:29 - Pourquoi ça vous dérange ?
04:31 - Il fait de la musique bizarre.
04:32 - Si on ne peut pas rire de cela, si on n'est pas en mesure de créer une distance
04:38 qui nous permet de voir le côté drôle et décalé de cette situation totalement absurde,
04:43 alors on sera réduit à croire tout ce que l'on veut nous faire croire sans se poser de questions.
04:48 C'est une autre possibilité que nous offre l'art qui consiste à aborder des thématiques compliquées
04:53 et de faire en sorte que le public puisse s'interroger sur ce qu'il pense de cette situation,
04:57 mais avec la distance nécessaire qu'offre le genre et l'humour.
05:00 Toujours l'humour.
05:01 - L'algorithme a noté un changement en productivité.
05:04 30 cinéastes répondent à la question posée par Lubna Pleiuste.
05:12 Le cinéma est-il un langage en train de se perdre, un art qui va mourir ?
05:16 Le documentaire Chambre 999 fait écho au documentaire Chambre 666, réalisé en 82,
05:24 où Wim Van Ders posait cette même question à 16 de ses confrères réalisateurs.
05:31 - Est-ce que le cinéma est un langage en train de se perdre, un art en train de mourir ?
05:37 Je suis allée interviewer à Cannes 30 réalisateurs autour d'une question,
05:42 le cinéma est-il un langage en train de se perdre, un art qui va mourir ?
05:46 Il y a quelque chose aussi qui différencie, je trouve, les interventions,
05:49 c'est que il y en a qui tirent au pessimisme, au optimisme.
05:52 Là, je pense que c'est vraiment comment chacun arrive à être animé dans son travail
05:56 et dans sa réflexion sur ces questions-là.
05:58 - J'ai l'impression que c'est à cet endroit-là que je me demande ce que le cinéma va devenir.
06:02 - Là où Wim Van Ders était presque deux problématiques, autour de presque binaire,
06:08 le cinéma versus la télévision, aujourd'hui tout s'est démultiplié.
06:12 Et moi je me demande en permanence, enfin pas en permanence, mais je me pose la question,
06:15 est-ce que tout ça ce sont des opportunités, ou est-ce que c'est des choses qui, en fait,
06:19 n'aident pas vraiment le langage cinématographique à se renouveler et à se diversifier ?
06:24 - Cinéma, cinéma.
06:26 C'est un appel à une chose que je trouve nous manque terriblement aujourd'hui, c'est le dialogue.
06:31 Et c'est l'ouverture au débat.
06:34 - J'ai envie de voir des images et de me dire à chaque fois quand je vais au cinéma,
06:39 ces images-là, je ne peux que les voir au cinéma.
06:42 - The Whole Hope de Ken Loach traite d'une amitié entre une migrante et le propriétaire d'un pub
06:49 dans une petite bourgade du nord de l'Angleterre.
06:52 En dépit des tensions suscitées par l'arrivée des réfugiés syriens,
06:55 le duo va redonner vie à la communauté locale en créant une cantine pour les plus démunis,
07:00 quelles que soient leurs origines.
07:02 - C'est l'histoire d'un pub situé au nord-est de l'Angleterre,
07:15 dans un petit village négligé depuis plusieurs années par le gouvernement.
07:20 Les commerces sont presque tous fermés dans ce lieu où il n'y a plus de travail.
07:24 Le principal employeur du village était une mine.
07:28 Mais depuis sa fermeture, le village est à l'agonie et enchaîne les épreuves.
07:32 - Les migrants qui arrivent de Syrie ont enduré des situations horribles.
07:44 Ils sont confrontés à un village où les services de l'État sont absents et les villageois n'ont plus rien.
07:50 Ce film nous montre de quelle manière ces deux communautés se connectent ou pas.
07:54 Et le pub est le point central de cette histoire.
07:57 - Je crois à la force du cinéma.
08:16 Les films peuvent accomplir beaucoup de choses.
08:19 Le plus important pour moi, c'est quand vous regardez un film
08:23 et que vous découvrez des personnages qui n'ont rien à voir avec vous,
08:26 et bien le cinéma peut créer chez vous de l'empathie.
08:29 Et cette empathie débouche sur la compréhension et va à l'encontre du racisme.
08:33 C'est essentiel que le cinéma ait une conscience politique.
08:44 Il se doit de parler des sujets d'actualité.
08:47 C'est très important que le thème des réfugiés soit abordé.
08:50 Je crois vraiment que le cinéma a du pouvoir.
08:53 - Le Vourdalak d'Adrien Beau s'inspire du nouvel d'Alexei Tolstoy.
09:04 Un homme met en garde ses enfants.
09:06 S'il ne revient pas au bout de six jours de la guerre, ils diront une prière à sa mémoire.
09:10 Mais s'il revient après six jours, ils ne devront pas le laisser entrer.
09:16 - Qu'est-ce qu'un Vourdalak ?
09:18 - Les Vourdalaks, c'est un peu les proto-vampires.
09:21 Vourdalak, Brocolac, Vrykolakas, en fonction de la Grèce, la Serbie ou d'autres pays,
09:26 c'était des morts, ils appellent ça des revenants en corps, c'est-à-dire des corps revenants,
09:30 contrairement aux fantômes qui sont immatériels.
09:33 Ça a été écrit avant Dracula, en fait.
09:35 Et puis en fait, toutes ces histoires-là de dents pointues,
09:38 ça c'est des films de... Comment il s'appelle ? Christopher Lee.
09:40 Ça c'est des trucs qui ont été ajoutés par le cinéma.
09:42 La cape rouge...
09:44 - Les choses du tombeau se doivent d'y rester.
09:46 - Le vampire aristocrate qui vit dans un château et qui dort dans un cercueil,
09:50 enfin toute cette imagerie, c'est arrivé très tard, en fait.
09:53 - Je vous ordonne d'oublier.
09:55 - Le Vourdalak, c'était une vraie terreur pour des gens, des générations, là-bas, dans les Balkans.
10:01 Et c'est pour ça qu'il n'a pas toutes ces caractéristiques et qu'il en a des différentes,
10:05 et qui sont, à mes yeux, plus terrifiantes.
10:07 - Si un père n'est pas tout pour ses enfants, il n'est rien.
10:13 - C'est pas des effets spéciaux numériques, quoi.
10:15 C'est une marionnette que j'ai fabriquée, qu'on anime à deux.
10:18 De cette marionnette ont découlé énormément de choses.
10:20 Le choix de la pellicule, par exemple,
10:22 et même le jeu, la diction et la gestuelle des autres acteurs.
10:25 Pour fabriquer une famille dont ils devaient faire partie,
10:27 eux devaient faire un pas vers la marionnette, en fait,
10:29 plus que la marionnette vers eux,
10:31 puisque c'est un très petit budget, on n'avait pas beaucoup de moyens.
10:35 Et du coup, ça crée une espèce de monde étrange.
10:39 - Le syndrome des amours passées, Dan Ciro et Raphaël Balbonie
10:47 mettent en scène un couple qui n'arrive pas à avoir d'enfants
10:49 car ils sont atteints du syndrome des amours passées.
10:52 Pour y remédier, ils doivent recoucher une fois avec tous leurs ex.
10:56 - J'ai soumis votre cas d'infertilité. Voilà.
11:00 - Merci.
11:01 - Et je pense qu'on a trouvé la solution.
11:03 - Ah.
11:04 - Ce film est un encouragement à vivre sa vie avec inventivité.
11:10 - Je dirais pas mieux.
11:12 - Vous devez retrouver toutes les personnes
11:14 avec lesquelles vous avez eu un rapport sexuel dans votre vie
11:17 et vous devez accomplir à nouveau un acte sexuel avec toutes ces personnes.
11:22 - Voilà.
11:23 - Je pense que ce qu'on essaye d'explorer au travers du film,
11:25 c'est le fait qu'on a chacun une manière très intime et très individuelle
11:29 de faire lien avec le corps des autres.
11:32 - C'est ça que t'écris ?
11:34 - Ah ouais, ouais, ouais. Hyper direct.
11:36 - Et qu'au travers de Rémi et de Sandra, on montre aussi un peu ça.
11:39 C'est-à-dire que Rémi n'a que trois ex.
11:42 - Ça va bien se passer. Ça va bien se passer.
11:45 - C'est des femmes avec qui il a chaque fois été pendant très longtemps.
11:49 Et chez Sandra, c'est complètement différent.
11:52 Elle est dans quelque chose qui est plus de l'ordre de l'aventure,
11:55 de la curiosité, du contact rapide.
11:58 Et les deux façons de vivre la sexualité sont complètement valables.
12:04 Mais chacun doit un peu se réconcilier avec qui il est.
12:06 - Je téléphone parce que j'aurais une sorte de service à te demander,
12:11 un service assez personnel.
12:12 Je fais vite sur le message parce que ça pourrait être trop long.
12:14 Donc il faudrait que toi et moi, on recouche ensemble par rapport...
12:17 Putain, ça va couper, là !
12:18 - Franchement, tant mieux. Non mais le carnage, là, ça va pas du tout.
12:21 - En fait, il y a une base un peu ludique.
12:23 Ce cadre nous permet de nous amuser, en fait.
12:25 On va s'amuser avec ce couple et on va pouvoir raconter plein de choses,
12:28 y mettre plein de choses et s'amuser.
12:32 - 3 Jours Max, écrit, réalisé et interprété par Tarek Bouddhali,
12:41 reprend les ingrédients du premier volet,
12:44 un savant mélange entre comédie et action,
12:46 mais cette fois-ci en mettant la barre plus haute
12:49 pour ce qui est des cascades, réalisé par Tarek Bouddhali himself,
12:52 alias Bébel Cruz.
12:54 - Ma grand-mère vient de se faire kidnapper par un cartel hyper dangereux.
12:57 Ils m'ont demandé de récupérer deux émeraudes magiques.
12:59 J'ai moins de 3 jours pour y arriver, sinon ils la tueront.
13:01 - OK, Tom Cruise.
13:05 - Bébel Cruz.
13:06 - C'est bien, ça aussi, Bébel Cruz. Moi, je l'appelle Tata Cruz, mais...
13:09 - Bébel Cruz, c'est parfait, parce que je suis fan de Belmondo,
13:11 je suis fan de Tom Cruise.
13:13 - Ce que j'ai, ce sont des compétences particulières
13:15 qui feront de moi un véritable cauchemar pour vous.
13:17 Je vous tromperai et je vous tuerai.
13:19 - No hablo francés.
13:23 - Ah, el patron... Pas Samuel, el patron.
13:25 - Je suis vraiment en mode premier degré
13:27 dans la mise en scène, dans l'écriture, dans le jeu, etc.,
13:31 pour les scènes d'action.
13:33 Mais je pense qu'il y a un gag qui peut arriver,
13:35 qui peut tout casser, qui peut, justement,
13:37 casser ce premier degré et être drôle.
13:39 Et plus tu seras en mode premier degré,
13:41 plus ton gag sera drôle.
13:43 - Allez, on met tous les mains en l'air !
13:45 - Si j'étais un connard dans le 1, je suis un gros connard dans le 2.
13:48 - Oui, mais DJ.
13:50 - Mais DJ, c'est ça. Un connard DJ.
13:52 - Donc...
13:54 Très agréable à jouer, parce que je suis pas habitué
13:56 à jouer aussi des mecs pas sympas comme ça.
13:58 Donc ça, c'était chouette. - Qui te vont très bien, pourtant.
14:00 - Il paraît que je suis très crédible dedans,
14:02 donc c'est un peu dommage. - C'est pas qui-même, par contre.
14:04 - Ce sont des femmes de pouvoir,
14:13 fortes et intelligentes et charismatiques.
14:15 Et nous, on est cons.
14:18 - Le résumé des mecs, c'est qu'ils sont cons.
14:20 - Je pense que ça sert à rien de s'interposer, là.
14:22 - Ça a été tellement compliqué
14:26 de faire toutes les séquences de cascades,
14:28 mais compliquées, mais tu n'as même pas idée
14:30 à quel point c'était compliqué d'organiser ces séquences-là.
14:32 - Vas-y, fond !
14:34 - Attends, tu viens, ma mère !
14:36 - Ils l'ont tué, mon Francis !
14:38 - Hé, merde !
14:42 Il est pas mort, le vieux !
14:44 - Nous aussi, on a fait nos... - Nos cascades de la même.
14:46 - Normalement, on embrasse des filles.
14:48 - Et on le fait nous-mêmes, sans doublure.
14:50 - Et il y a toujours un risque,
14:52 tu sais pas qui t'embrasse.
14:54 - J'étais juste content, quand j'étais à 300 m du sol,
14:58 dans le vide, tout seul,
15:00 j'étais content de me dire,
15:02 c'est bon, on a réussi
15:04 à pouvoir organiser cette cascade,
15:06 je suis en train de la faire, donc ça, c'est cool.
15:08 Allez, on y va, on tourne les images, je veux faire rentrer des images.
15:10 Et je pensais qu'il y avait une seule chose, c'était,
15:12 j'ai trop hâte de montrer ça au public,
15:14 je veux qu'ils voient ces séquences-là
15:16 et qu'ils disent "Waouh, c'est un truc de fou !"
15:18 Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref,
15:22 et en images.
15:24 - Mamie, je vais aller à la grande banquise
15:28 et ramener ton amoureux.
15:30 - C'est gentil, Katak,
15:32 mais c'est beaucoup trop dangereux.
15:34 - Il a peur de rien. - Il s'appelle Katak.
15:38 - Je vais vous faire signe quand j'aurai trouvé par où passer.
15:40 - Katak !
15:44 - Je vais vous faire signe quand j'aurai trouvé par où passer.
15:46 - Katak !
15:48 - Je vais vous faire signe quand j'aurai trouvé par où passer.
15:50 - Katak !
15:52 - Je vais vous faire signe quand j'aurai trouvé par où passer.
15:54 - Katak !
15:56 - Je vais vous faire signe quand j'aurai trouvé par où passer.
15:58 - Katak !
16:00 - Je vais vous faire signe quand j'aurai trouvé par où passer.
16:02 - Katak !
16:04 - Je vais vous faire signe quand j'aurai trouvé par où passer.
16:06 - Katak !
16:08 - Je vais vous faire signe quand j'aurai trouvé par où passer.
16:10 - Katak !
16:12 - Je suis allée en année de pandémie à Montréal.
16:14 - Je suis allée en année de pandémie à Montréal.
16:16 - J'ai filmé les passages des saisons,
16:18 - J'ai filmé les passages des saisons,
16:20 - des événements politiques, culturels,
16:22 - et j'ai demandé à des amis des images, des sons.
16:24 - La pandémie a accru les inégalités sociales.
16:26 - La pandémie a accru les inégalités sociales.
16:28 - Elle a aussi accru la colère.
16:30 - Je m'appelle Katak.
16:36 - Je m'appelle Katak.
16:38 - Je m'appelle Katak.
16:40 - Je m'appelle Katak.
16:42 - Je m'appelle Katak.
16:44 - Je m'appelle Katak.
16:46 - Je m'appelle Katak.
16:48 - Je m'appelle Katak.
16:50 - Je m'appelle Katak.
16:52 - Je m'appelle Katak.
16:54 - Je m'appelle Katak.
16:56 - Je m'appelle Katak.
16:58 - Je m'appelle Katak.
17:00 - Je m'appelle Katak.
17:02 - Je m'appelle Katak.
17:04 - Je m'appelle Katak.
17:06 - Je m'appelle Katak.
17:08 - Je m'appelle Katak.
17:10 - Je m'appelle Katak.
17:12 - Je m'appelle Katak.
17:14 - Je m'appelle Katak.
17:16 - Je m'appelle Katak.
17:18 - Je m'appelle Katak.
17:20 - Je m'appelle Katak.
17:22 - Je m'appelle Katak.
17:24 - Je m'appelle Katak.
17:26 - Je m'appelle Katak.
17:28 - Je m'appelle Katak.
17:30 - Je m'appelle Katak.
17:32 - Je m'appelle Katak.
17:34 - Je m'appelle Katak.
17:36 - Je m'appelle Katak.
17:38 ♪ ♪ ♪
17:40 ♪ ♪ ♪
18:08 - Voilà par ici les sorties, c'est fini.
18:10 Rendez-vous la semaine prochaine et en attendant,
18:12 n'oubliez pas d'aller au cinéma.