Collectifs locaux d'agriculteurs - Webinaire capitalisation 2023 - Hauts-de-France - 1/2

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Ce webinaire organisé par la DRAAF et la Chambre régionale d'agriculture a réuni les animateurs de collectifs locaux d'agriculteurs engagés dans la transition agro-écologique début septembre 2023. Au programme, comment communiquer, valoriser et diffuser les résultats de son collectif aux partenaires et aux organismes de transfert de connaissance.
Transcription
00:00 Merci en tout cas à toutes et tous d'avoir répondu présent pour ce webinaire.
00:06 C'est quelque chose qu'on essaie de monter avec la Chambre régionale et la DRAF.
00:14 Le but en gros c'est de vous aider pour tout ce qui est capitalisation
00:20 et on verra plus tard, le but aussi c'est de créer des échanges
00:24 entre les différents animateurs des collectifs ou bien les structures porteuses.
00:29 Je te laisse passer à l'autre diapo.
00:34 Victoria c'est bon ?
00:36 On va faire un petit rappel, on va se présenter.
00:41 Moi je suis Richard Saint-Honoroi, je suis de la Chambre d'agriculture du Nord Pas-de-Calais,
00:48 donc pour la Chambre régionale d'agriculture.
00:52 Je suis animateur éco-fitto.
00:54 L'animateur éco-fitto c'est au niveau régional, au niveau de France.
01:00 Je suis plus sur tout ce qui est groupe 30 000,
01:05 qui est vraiment lié au programme éco-fitto.
01:09 Au niveau régional il en reste très peu, il en reste un encore actif.
01:15 Après au niveau de RAF, il y a deux personnes qui s'occupent des groupes 30 000.
01:24 Il y a Inès Sirazi, vu que tu es là je peux te laisser te présenter.
01:28 Oui, Inès Sirazi du service régional de l'alimentation et je suis chef de projet éco-fitto,
01:35 en charge notamment du suivi des groupes 30 000.
01:38 Il y a Marion Gandal aussi qui s'occupe des groupes 30 000 au niveau régional.
01:48 Après au niveau des GI2E, il y a Lorraine Moritz qui s'excuse aujourd'hui,
01:58 qui est malade malheureusement, qui s'occupe au niveau régional de la coordination de la capitalisation.
02:06 Elle c'est pour la chambre d'agriculture régionale.
02:10 Et Victoria Simon, je te laisse te présenter.
02:12 Oui bonjour, Victoria Simon de la DRAF Haute France.
02:15 Moi je m'occupe principalement des GI2E.
02:18 Après c'est surtout de l'appel à projet en général,
02:22 donc groupe 30 000, émergents et GI2E.
02:26 On donne du CASDA pour les GI2E,
02:31 donc on récupère aussi les livrables au moment de la demande de paiement
02:36 et aussi au cours du projet via les bilans annuels.
02:42 Donc voilà.
02:44 Donc voilà, en gros il y a deux structures qui s'occupent de l'animation.
02:50 Là on ne parle pas forcément des financeurs,
02:53 mais les financeurs vous les connaissez,
02:55 donc c'est les agences de l'eau, Artho Kikardi et Senn Normandie.
02:58 Et puis il y a forcément aussi la DRAF avec le CASDA.
03:02 Et donc nous chambres, en fait, on va être plutôt facilitateurs.
03:06 On va échanger aussi pas mal avec les groupes.
03:09 On va faire aussi pas mal de promotions.
03:11 On va en parler tout à l'heure justement.
03:14 Et après, notre rôle, on va en parler aussi,
03:18 c'est de coordonner tout ce qui est capitalisation,
03:21 donc tout ce que vous allez produire également.
03:24 Ce qu'il faut retenir vraiment en général,
03:27 c'est les adresses mail,
03:29 donc collectif.draf-hautefrance@agriculture.gouv.
03:35 C'est vraiment les adresses mail à retenir.
03:37 Après, vous pouvez retenir nos adresses mail
03:41 par rapport à certaines spécificités.
03:43 Mais voilà, ça c'est vraiment le principal.
03:46 Je te laisse continuer, Victoria.
03:50 Oui, pour nous, c'est une adresse mail DRAF,
03:54 DRAF, groupe 30 000, AGV2E.
03:57 Comme ça, il y a plus de chances que quelqu'un vous réponde
04:00 si vous envoyez un mail.
04:02 Je comprends.
04:05 Donc, au niveau des profils, on a fait un petit sondage
04:10 en fonction des réponses que vous avez données
04:13 lors de l'inscription.
04:15 Donc la plupart de vous, vous connaissez quand même
04:18 ce qu'est la capitalisation.
04:20 Et vous animez aussi la plupart un groupe d'agriculteurs.
04:26 Au niveau des outils de capitalisation,
04:30 vous utilisez principalement les événements à 22 %,
04:36 les réseaux sociaux, publications sur les réseaux sociaux,
04:40 les articles, que ce soit articles de presse
04:44 ou articles diffusés sur les plateformes.
04:48 On a ensuite les fiches techniques, la vidéo, et puis voilà.
04:57 Les principales difficultés que vous rencontrez
05:00 dans la capitalisation, c'est savoir quels sont
05:03 les éléments à capitaliser, les difficultés techniques
05:06 et financières liées à la capitalisation,
05:09 la difficulté à collecter les données, les transformer
05:13 en éléments valorisables, le manque de temps
05:17 et le manque de résultats à partager,
05:20 le manque d'échanges à l'échelle des Hauts-de-France aussi,
05:24 et le manque d'informations sur ce qui existe déjà,
05:28 donc les essais, les groupes, la mutualisation
05:30 entre les différents groupes, et aussi un manque
05:34 de participation et d'adhésion des agriculteurs
05:37 au processus de capitalisation.
05:40 Ce qui est ressorti de ce que vous attendez
05:43 de ce webinaire, c'est de progresser,
05:45 de partager les expériences et outils de capitalisation,
05:52 mieux comprendre ce qu'est la capitalisation,
05:54 et je pense aussi ce qu'est la coordination,
05:57 parce que je pense que pour la plupart,
05:59 c'est quand même assez flou, cette histoire de coordination,
06:02 et aussi connaître les attentes, notamment peut-être
06:07 des financeurs sur la capitalisation,
06:11 c'est vraiment des variables à donner.
06:14 Donc voilà un petit profil de ce qui est demandé
06:18 pour ce webinaire, donc on va essayer d'y répondre,
06:21 au maximum.
06:23 N'hésitez pas, si vous avez des questions,
06:25 à le noter dans le chat, on essaiera d'y répondre.
06:30 Donc nous verrons tout d'abord qu'est-ce que la capitalisation
06:34 et à quoi ça sert, ensuite comment capitaliser
06:37 avec les différentes étapes, clés.
06:40 Les exigences de l'appel à projets.
06:43 Enfin, nous verrons la coordination de la capitalisation
06:46 et en quoi ça consiste, et nous terminerons
06:49 avec un petit temps d'échange pour répondre à vos questions.
06:55 Donc qu'est-ce que la capitalisation et à quoi ça sert ?
06:58 Donc capitaliser, c'est transmettre les résultats
07:00 des pratiques et son expérience du collectif.
07:05 C'est dégager les bonnes pratiques et les résultats,
07:07 applicables à partir des enseignements tirés
07:10 et des actions qui ont été menées, par exemple les essais, etc.
07:14 C'est aussi échanger sur les pratiques, les améliorer,
07:17 voire les adapter à d'autres contextes.
07:21 Ça permet d'être en lien aussi avec d'autres groupes d'agriculteurs
07:24 et donner l'opportunité à ces agriculteurs
07:26 de rentrer dans cette démarche par capitalisation.
07:32 Elle repose sur l'ensemble des membres du GIE
07:36 et elle est appuyée par la structure d'animation.
07:44 Pourquoi capitaliser ? À quoi ça sert ?
07:47 C'est pour valoriser les actions, les expériences et les résultats,
07:51 ainsi que les savoir-faire, rendre accessibles
07:55 et partager ces productions auprès de tous les publics intéressés,
07:59 donc que ce soit agriculteurs, les autres structures
08:02 et aussi le public, les citoyens.
08:09 C'est mémoriser ces travaux et les résultats sur une base dédiée,
08:15 accroître la visibilité des travaux et faciliter sa communication.
08:20 C'est aussi prendre du recul, analyser ces résultats au cours
08:23 et à la fin du projet.
08:25 Et ça permet aussi d'alimenter sa réflexion pour ses futurs projets,
08:28 se remettre en question ce qui est encore à améliorer pour la suite.
08:37 À savoir que la capitalisation, c'est une exigence de l'appel à projet
08:42 du collectif locaux d'agriculteurs engagés dans la transition,
08:46 donc les GIE et les groupes 30 000.
08:49 Et ça fait pleinement partie de l'animation du groupe.
08:52 On verra plus tard les exigences de l'appel à projet.
08:59 Quelles sont les étapes clés ?
09:01 C'est à titre indicatif, c'est pour aider à construire
09:05 et à réfléchir sur comment capitaliser.
09:09 Il y a un guide méthodologique qui sera accessible sur une boîte à outils
09:13 qui est diffusée en ligne sur le site de la DRAF.
09:19 Ça vous donne un petit guide sur quelles sont les questions à se poser
09:25 et quel est le processus de capitalisation.
09:27 Là, je vais vous décrire rapidement les quatre étapes de la capitalisation.
09:34 En premier, c'est identifier les informations capitalisables.
09:38 Ensuite, identifier le public cible.
09:41 En troisième, produire les supports.
09:43 Et quatre, diffuser.
09:47 Identifier les informations capitalisables produites par le groupe.
09:51 Qu'est-ce qui peut être capitalisé ?
09:54 C'est la dimension technique et la dimension organisationnelle.
10:00 Sur la dimension technique, on a la description des pratiques,
10:04 comparaison avec les pratiques déjà mises en place,
10:08 retour d'expérience sur les essais, les différentes trajectoires,
10:13 les changements de système, etc.
10:15 Et les résultats qui sont issus de ce travail.
10:22 On a ensuite la dimension organisationnelle.
10:25 Quels sont les facteurs clés de réussite du groupe ?
10:28 Les freins, les leviers, la dynamique collective.
10:31 Et analyser un retour d'expérience sur la gestion de l'innovation et des risques,
10:38 l'émergence et la mise en œuvre du projet, le type d'accompagnement,
10:42 pour aider aussi les autres groupes sur certains aspects.
10:47 Donc, là, c'est ce qui peut être capitalisé.
10:54 Ensuite, il y a aussi un point d'intention,
10:59 une feuille d'émargement, un diapo de réunion.
11:06 Ce n'est pas un livrable de capitalisation.
11:08 C'est vraiment ce qui est diffusable et compréhensible de tous.
11:13 Ça peut être une fiche technique, des guides, un article, un témoignage, une vidéo.
11:20 Il y a vraiment pas mal de supports de capitalisation,
11:26 mais Richard le décrira un peu plus dans les diapos suivantes.
11:35 Donc, voilà.
11:40 J'ai du mal à passer.
11:45 Ensuite, c'est la deuxième étape, c'est identifier à qui on veut donner l'information,
11:55 donc le public de cible.
11:57 C'est prendre en compte les attentes des différents destinataires.
12:01 Donc, le livrable ne va pas forcément être le même en fonction du public de cible.
12:06 Si c'est d'autres agriculteurs, si c'est des animateurs, si c'est l'enseignement agricole,
12:11 si c'est le grand public, le livrable ne sera pas forcément le même pour tous.
12:20 Et le but, c'est qu'il soit le plus adapté possible pour qu'il soit compréhensible.
12:27 Donc, voilà.
12:31 Donc, les questions à se poser, c'est qu'est-ce que cette information pourrait apporter au public ?
12:36 Comment pourrait-il utiliser ses connaissances et ce savoir-faire ?
12:39 Et quels sont les retours attendus de ces échanges ?
12:42 Donc, en découle, deux questions, c'est qu'est-ce que la capitalisation est susceptible d'apporter ?
12:55 Et qu'est-ce que le collectif pourrait gagner à capitaliser ?
13:00 Donc, par exemple, pour les agriculteurs externes au GI2E,
13:04 la capitalisation leur apporte des informations et des solutions techniques locales.
13:10 Elle est une aide à la décision dans l'adoption de pratiques et une meilleure compréhension du processus.
13:18 Et la capitalisation apporte aussi au groupe des échanges et l'intégration dans différents réseaux locaux,
13:26 donc avec d'autres GI2E, des filles, enfin voilà.
13:31 Au niveau des conseils agricoles, ça permet aussi de diffuser les informations sur les processus
13:36 et les produits d'innovation développés et une meilleure compréhension des problématiques et attentes des agriculteurs.
13:43 Et elle permet d'échanger aussi les informations techniques avec le GI2E, enfin le groupe,
13:49 et faire remonter les problématiques des agriculteurs.
13:51 Voilà, il y a le bénéfice, enfin je ne vais pas tout décrire,
13:55 mais il y a le bénéfice de celui qui aura l'information et celui qui donne l'information.
14:01 Donc, c'est valable pour le conseil agricole, la recherche et l'enseignement aussi agricole,
14:08 qui est important aussi dans la capitalisation.
14:11 Je laisse Richard reprendre la main.
14:17 Pas de souci. Merci Victoria.
14:22 Donc, n'hésitez pas à me couper si vous avez des questions.
14:25 Donc là, on va reprendre en gros les supports.
14:27 En gros, je vais faire une moyenne, les trois années de projet vous apportent beaucoup de données, si vous voulez.
14:37 Et ces données-là, le but c'est d'en faire partager les agriculteurs.
14:42 Ça c'est indéniable, c'est le principal, les agriculteurs de votre groupe.
14:46 Mais le but, si vous voulez, dans une démarche d'intelligence collective,
14:50 c'est de faire en sorte que ça soit partagé par le plus grand nombre.
14:53 Pour que, par exemple, en Haute-France, il n'y ait pas plusieurs groupes,
14:58 je dis bien les uns à côté des autres,
15:01 parce qu'il y a des groupes qui peuvent travailler sur les mêmes thématiques,
15:04 sur des thématiques très proches.
15:07 S'ils sont les uns à côté des autres,
15:10 bon voilà, ça n'a pas forcément un grand intérêt par rapport à des contextes pédéo-climatiques.
15:15 Mais par contre, effectivement, si on arrive sur des zones un peu différentes,
15:19 je ne sais pas, entre une zone dans le Boulonnais,
15:23 dans le Boulonnais tout en haut des Hautes-Frances,
15:26 et puis, je ne sais pas, en plein milieu de la plaine du Santerre,
15:32 on n'est pas du tout sur les mêmes contextes pédéo-climatiques,
15:35 mais pourtant les problématiques des exploitations peuvent être un peu les mêmes.
15:41 Donc voilà, le but c'est de faire en sorte que la donnée que vous avez emmagasinée
15:48 soit disponible et soit diffusable au plus grand nombre.
15:52 Donc effectivement, pour ça, afin que ça soit quand même plus sympa,
15:56 effectivement, qu'un PowerPoint ou bien qu'un long rapport,
16:02 chose que vous devez faire, mais le but c'est de remettre aussi en contexte les choses,
16:07 au niveau visuel aussi, le but c'est de produire des supports
16:12 pour transférer cette information-là.
16:15 Donc voilà, la capitalisation peut être réalisée à l'aide de beaucoup de supports
16:21 et adapter les informations apportées au public cible également.
16:26 Donc là, c'est ce que disait Victoria, elle doit être détaillée et contextualisée.
16:32 Donc là, c'est pareil, on va vous mettre un lien sur le site de la DRAF,
16:37 en plus du guide dont Victoria vous a parlé, on va vous mettre des liens de fiches,
16:43 notamment, dans un premier temps, ça va être des fiches,
16:48 pour capitaliser les informations du groupe et du projet.
16:55 Et donc voilà, le but, je vais donner les informations qu'il faut avoir au minimum
17:01 sur ces fiches ou ces supports.
17:04 Donc voilà, un titre, un résumé avec une présentation de la situation de départ,
17:11 bien contextualiser la zone géographique, on disait que c'est hyper important,
17:16 présenter le projet, les objectifs, les étapes, éventuellement les parties prenantes
17:22 ou les partenaires, ça c'est quand même important, et les résultats attendus.
17:27 Ensuite, donc là, c'est assez global, on va rentrer dans le détail tout à l'heure.
17:33 Là, il y a présentation des effets du projet, donc voilà, les résultats obtenus,
17:37 les impacts, et ce qui a été positif, ce qui a été, ce qui a amélioré
17:42 ou ce qui n'a pas du tout marché.
17:44 Et après, conclure, donc les enseignements tirés, les perspectives, des travaux,
17:51 et après, indiquer des références bibliographiques s'il y en a.
17:56 Je te laisse passer à la suite, Victoria.
17:59 Oui.
18:00 S'il te plaît.
18:03 Donc voilà, en gros, on va résumer, il y a cinq grands types de supports.
18:10 Donc voilà, il y a l'affiche, on va en parler tout à l'heure.
18:13 Donc c'est une présentation du projet global avec les résultats
18:16 et des témoignages d'agriculteurs.
18:19 Donc ça reste assez synthétique.
18:21 Le poster qui peut être utilisé notamment sur une journée de technique.
18:25 Je pense à Régis, on en avait utilisé à la journée chambre, pour le coup,
18:30 où là, on est vraiment plus sur le détail.
18:33 Souvent, ce n'est pas qu'un poster, c'est même plusieurs posters,
18:37 où par exemple, on peut expliquer, bon voilà, là, c'était sur le chambre.
18:40 Qu'est-ce que le chambre, au niveau de la technique,
18:43 comment ça peut être mis en place dans une exploitation.
18:47 Et après, au niveau économique, qu'est-ce que ça donne sur l'exploitation.
18:51 Donc, ce qui est intéressant.
18:54 La vidéo, donc ça, souvent, c'est sous forme d'interview agriculteur-animateur,
18:59 avec, vu que c'est assez visuel, il faut en profiter pour montrer des choses.
19:05 Souvent, on va en parler, du désherbage mécanique, c'est assez visuel.
19:10 Il n'y a pas que ça, mais bon.
19:12 L'article dans une revue, qu'elle soit spécialisée ou non.
19:16 Donc, avec la présentation des résultats, on peut aller plus ou moins dans le détail.
19:21 Et après, le guide pratique.
19:23 Donc, des fois, le guide pratique, ça peut être ni plus ni moins que
19:28 une synthèse de toutes les fiches, des fiches pratiques.
19:31 Par exemple, le GIE 2E a testé, j'ai des trucs sous l'erreur,
19:36 a testé l'engazonnement pour les fraises planétaires, par exemple,
19:40 l'engazonnement des passe-pieds, des toiles,
19:43 la réduction des tailles de trous dans les plantations.
19:47 Donc, en gros, tout ce qu'ils ont testé sur les trois années,
19:51 ils en ont fait des fiches pratiques avec, par exemple, les pours, les contre,
19:56 et des données économiques et peut-être l'avis de l'agriculteur, c'est intéressant.
20:01 Voilà, c'est plutôt une synthèse globale.
20:04 Fais espacer, s'il te plaît.
20:07 Donc, voilà, là, on va reprendre la fiche.
20:10 Donc, ça, ça sera à disposition sur le site de la DRAF.
20:14 C'est ce qu'on appelle la fiche début de projet.
20:17 On va en reparler tout à l'heure, mais ça, c'est une fiche qui sera amenée
20:22 à être demandée pour le dépôt du dossier.
20:27 Le but de cette fiche-là, si vous voulez, c'est de reprendre ce qui a déjà été noté
20:33 sur le site des marches amplifiées.
20:36 La plupart du temps, en fait, c'est plus ou moins presque que des coquillées collées.
20:40 C'est pour ça que ça reste assez simple à faire, mais au moins,
20:43 c'est mis en forme et c'est assez visuel pour des personnes,
20:49 des financeurs, d'autres collectifs éventuellement ou futurs collectifs,
20:55 des institutions et même d'autres organismes de développement type,
21:01 bon, voilà, il y a la Chambre, il y a Périgé, il y a l'Ecuma, il y a LVA, là, je vois.
21:08 Donc, effectivement, le but, c'est que ce soit une information synthétique concise
21:13 sur un à quatre.
21:16 Et bon, là, par exemple, de toute façon, vous aurez le détail de ce qui est
21:22 à noter sur cette fiche-là, mais vous avez en gros la problématique,
21:26 le type de collectif avec le nom, donc là, GIE2E H3O+,
21:32 donc qui est animé par Périgé.
21:35 La description, alors ça, ça reste aussi très synthétique, le nombre d'exploitation,
21:39 le type de culture ou d'élevage et le bassin.
21:45 Là, en l'occurrence, on est sur un bassin d'alimentation,
21:47 mais ça peut être, par exemple, dans le parc naturel, dans un parc naturel.
21:51 La date et la durée du projet, quand même pour contextualiser.
21:56 Donc, par exemple, là, il y a des projets qui vont être lancés à partir de fin,
22:00 en gros, fin 2023 et souvent, c'est pour trois ans.
22:04 Et puis les partenaires. Alors là, c'est sous une forme de liste.
22:08 Vous pouvez très bien mettre les logos des partenaires, il n'y a pas de souci.
22:11 Et là, juste sur la droite, vous avez la région et vous avez des petits points
22:18 pour situer les exploitations. Alors ça, c'est à votre guise.
22:22 Soit vous voulez un point global qui situe, en gros, le projet,
22:29 ou vous pouvez essayer de situer un peu toutes les exploitations.
22:33 Ça, c'est vous qui voyez.
22:35 Donc ensuite, rappelez les axes de travail.
22:38 Ce que je vous disais, c'est ni plus ni moins ce qui est demandé.
22:41 C'est juste contextualiser avec les objectifs.
22:44 Donc là, par exemple, améliorer la qualité de l'eau.
22:47 Et après, les axes de travail, la gestion des adventices,
22:51 l'agriculture de conservation et la création de nouvelles filières.
22:55 Et à chaque fois, vous voyez, il y a l'axe de travail et après l'ambition,
23:00 l'objectif de réalisation par rapport aux indicateurs qui sont demandés.
23:06 Enfin, que vous avez décidé pour le coup.
23:09 Ensuite, les résultats attendus.
23:12 Il faut se rappeler que c'est une fiche de début de projet,
23:15 donc c'est une ambition.
23:17 Donc là, vous avez en haut, je vais aller du haut vers le bas,
23:21 donc en haut, la partie économique, après la partie environnementale
23:25 et ensuite la partie sociale.
23:27 Donc là, par exemple, pour la partie économique,
23:30 c'est diminuer les charges en réduisant le travail du sol
23:34 pour l'agriculture de conservation.
23:37 C'est juste un exemple.
23:39 Après, vous avez les facteurs de réussite et les points de vigilance.
23:43 Les facteurs de réussite, vous pouvez très bien dire,
23:46 on trouve que le groupe WhatsApp ou n'importe quel autre système
23:52 d'échange entre vous, parce que tout le monde n'utilise pas
23:55 WhatsApp, même si c'est quand même assez général.
24:00 Le groupe WhatsApp fonctionne bien, il y a beaucoup d'échanges,
24:03 l'organisateur n'est même pas obligé de renvoyer un message
24:06 aux agriculteurs.
24:09 Ça peut être une réussite.
24:12 Les agriculteurs sont assez impliqués, parce qu'ils veulent défendre,
24:20 par exemple, ils veulent monter une filière viande,
24:24 on va dire, sur un secteur qui a été un peu oublié.
24:28 Ça, c'est un exemple.
24:30 C'est un exemple d'une façon d'avoir un groupe qui est assez
24:34 dynamique pour essayer de faire en sorte que le GIE passe et arrive
24:39 au bout du projet.
24:41 Les points de vigilance, c'est par exemple un groupe qui est
24:45 assez dispersé au niveau géographique.
24:48 Des fois, ce n'est pas si facile que ça à animer,
24:51 parce qu'il y a des agriculteurs qui ne se connaissent pas.
24:54 Des fois, le fait de ne pas se connaître, c'est compliqué pour
24:57 les agriculteurs.
24:59 C'est un exemple de l'implication d'un ou des agriculteurs.
25:03 Là, c'est les tracteurs plutôt que spectateurs par rapport au bassin
25:07 d'alimentation de captage de Breteuil.
25:11 Après, forcément, il y a les financiers et les partenaires.
25:15 Et puis, le contact de l'animateur.
25:18 Là, c'est le logo de la structure de développement, donc PERIGEE.
25:22 Est-ce que c'est à peu près compris par rapport à la fiche
25:25 début de projet ?
25:27 C'est assez simple.
25:30 Tu peux passer à la prochaine.
25:34 Après, il existe la fiche fin de projet.
25:40 C'est des exemples.
25:43 La fiche début de projet, c'est vraiment une demande,
25:47 et c'est vraiment ce format-là qui est demandé.
25:51 La fiche fin de projet, là, après, c'est un exemple,
25:55 c'est une trame.
25:57 Si vous en avez d'autres que vous trouvez plus pertinentes,
25:59 n'hésitez pas.
26:01 Le but aussi, c'est que vous soyez proactifs et que nous,
26:05 on pense, on réfléchit avec d'autres structures, etc.,
26:09 à des fiches synthétiques.
26:11 Mais après, si vous voulez avoir une fiche que vous trouvez mieux,
26:14 n'hésitez surtout pas.
26:16 Donc là, c'est l'exemple du GI2E Terre d'Avenir.
26:21 On l'avait fait à l'occasion, là, pour le coup,
26:25 d'une journée technique, Produire en se nombre autrement,
26:29 qui a eu lieu ce printemps, le 25 mai.
26:32 En gros, voilà l'animateur, Sylvain Leca, qui est présent,
26:37 il me semble, Sylvain Leca, présentait en gros l'historique
26:42 et la constitution du groupe.
26:44 Après, la description du groupe, c'est-à-dire le nombre d'exploitants,
26:48 le type de production, la localisation, et puis, voilà, la période.
26:58 Et ensuite, les enjeux du projet, là, c'est plutôt une synthèse
27:03 de ce qui est rappelé.
27:05 Et après, on est sur les objectifs, le plan d'action.
27:10 Ensuite, sur la deuxième page, c'est plutôt un zoom sur un des axes.
27:15 Par exemple, là, c'est l'axe principal du GI2E.
27:20 Donc là, le but, si vous voulez, c'est d'atteindre
27:23 une certification environnementale HVE, si je ne dis pas de bêtises.
27:27 Tu peux me corriger, Sylvain.
27:30 Et donc là, c'est...
27:32 C'est bien ça, c'est certification HVE3, oui.
27:35 Nickel, merci.
27:37 Et là, c'est ni plus ni moins qu'en gros, on part d'un point A,
27:41 comment on fait pour arriver au point B, qui est la certification HVE3.
27:46 Donc là, malheureusement, vu que le groupe n'est pas terminé,
27:49 mais c'était l'occasion de le présenter quand même lors de cette journée,
27:52 on n'est pas encore arrivé au point B, mais le but, ce sera ça,
27:57 une fois que vous arrivez en fin de projet au bout des trois années.
28:00 Donc voilà, après, forcément, il y a les résultats.
28:03 Les résultats, ce n'est ni plus ni moins que les résultats des indicateurs
28:07 que vous avez choisis, par exemple.
28:10 J'en cite quelques-uns, par exemple, des indicateurs de suivi
28:14 qui peut être une réussite.
28:17 Ça peut être le taux de présence en réunion des agris,
28:20 le nombre de tours de plaine, le nombre d'essais réalisés.
28:23 Donc ça, c'est des indicateurs qui sont intéressants.
28:26 Et comme tous bons indicateurs, c'est intéressant de voir l'évolution,
28:31 pas le prendre à un moment précis, mais de voir entre, par exemple,
28:36 2023 pour ceux qui vont commencer et 2026, voir l'évolution des indicateurs.
28:43 Après, il y a les indicateurs de résultats, forcément.
28:46 Donc là, c'est par exemple la consommation de carburant par hectare,
28:50 le pourcentage de la SAU en sol nue en hiver,
28:55 la teneur en matière organique.
28:57 Ça, c'est des indicateurs qui sont capitalisables,
29:00 qui peuvent être montrés.
29:02 En fait, vous partez sur des indicateurs et après, vous dites,
29:06 en gros, on a travaillé comme on a fait,
29:09 chaque agriculteur individuellement a fait pour réussir à atteindre
29:13 ce résultat-là.
29:15 Donc après, vous mettez les facteurs de réussite du groupe
29:18 au bout des trois années et les points de vigilance.
29:22 En gros, c'est ce qui a peut-être manqué les lacunes du groupe.
29:27 Et forcément, un bilan très synthétique et une perspective,
29:33 parce que ça se trouve, vous avez travaillé sur un sujet,
29:36 mais en fait, il faudrait encore creuser encore plus.
29:39 Et peut-être qu'une personne qui va tomber sur cette fiche-là va se dire,
29:42 ah ben moi, je n'avais pas pensé à creuser comme lui,
29:45 il aimerait bien creuser par la suite.
29:47 Eh ben, je vais commencer directement à la perspective que le groupe a laissée.
29:53 Voilà. Est-ce que je suis bien clair ? Il ne faut pas hésiter.
29:56 [TOURÉ] Je me posais la question, est-ce que dans l'éventualité,
30:01 il faut que cette fiche fasse recto verso ?
30:04 Elle ne peut pas faire plus ?
30:06 [RICARDO] Alors, les 30 000, ça peut faire plus.
30:11 Mais il faut que ça reste plus synthétique.
30:14 [TOURÉ] Après, je ne sais pas s'il y a besoin de mettre plus.
30:17 Je pense que ça ne gêne pas plus que ça.
30:21 Si on veut rentrer plus loin dans les détails, je ne sais pas.
30:24 [RICARDO] Oui. Après, par rapport à ça, le but, c'est qu'on en discute,
30:27 parce que c'est trouver un juste milieu pour que nous,
30:30 on ait des supports à diffuser.
30:35 Parce qu'en fait, si vous voulez, si on fait ça,
30:39 c'est parce qu'il n'y a pas forcément eu beaucoup de communication
30:44 sur des supports, etc.
30:46 Et parce qu'on va dire qu'il n'y a pas eu beaucoup de coordination,
30:51 de capitalisation jusqu'à présent.
30:53 Et le but, c'est d'essayer de lancer la machine.
30:57 Et on sait très bien que vous êtes tous animateurs,
31:01 mais pas que, vous avez beaucoup de travail.
31:03 Donc, c'est trouver le juste milieu entre avoir une production
31:06 de ce que vous faites avec vos agriculteurs sur vos projets,
31:10 et vous laisser le temps nécessaire pour être avec vos agriculteurs
31:15 et faire toutes vos activités annexes, qu'on sait qu'elles sont énormes.
31:20 Tu peux passer à la prochaine, si tu veux.
31:23 [SARAH] Dioche, dis-moi si tu veux introduire la vidéo.
31:30 [DIECHE] La vidéo, je ne vais pas la lancer.
31:37 Je pense qu'on va vous envoyer de toute façon la présentation,
31:40 vous pourrez la lancer directement.
31:42 Mais la vidéo, c'est aussi un support de capitalisation.
31:46 Et en gros, souvent, c'est ni plus ni moins,
31:49 ce qui est déjà un peu dans les fiches, mais qui est visuel.
31:53 Donc, il y a des personnes qui sont plus à l'aise pour faire une vidéo,
31:56 d'autres sont plus à l'aise pour écrire une fiche.
31:59 Ça dépend.
32:01 Ce qui est intéressant avec la vidéo, c'est que vous voyez tous les agriculteurs du groupe.
32:07 C'est le groupe 30 000 qui a les Saint-Omer.
32:13 Donc, ils sont tous autour de la recetterie pour voir si ça marche vraiment ou pas.
32:19 C'est aussi ça qui est important, c'est de montrer aussi aux spectateurs de la vidéo,
32:27 de se mettre un peu dans la peau de l'agriculteur qui voit ça peut-être pour la première fois,
32:32 même si des démonstrations de recetterie, de hersage, ça commence à devenir commun.
32:38 Mais au moins, de se mettre dans la peau de l'agriculteur et de se dire,
32:41 on peut y aller en confiance avec tel ou tel réglage et avec telle clé d'intervention.
32:47 C'est toujours la même chose.
32:48 C'est ça, quand on parle de capitalisation, c'est de se dire,
32:51 OK, là, il y a l'outil de désherbage mécanique, la recetterie.
32:55 Quand l'utiliser, sur quelle culture, quel type de réglage ?
33:01 Et ça, c'est des informations typiquement qui sont capitalisables.
33:06 Je te laisse passer à la suite.
33:08 Après, effectivement, on a créé un support.
33:16 Bien évidemment, le but, c'est de le diffuser pour qu'il soit accessible au plus grand nombre,
33:22 pour informer, tout simplement.
33:26 C'est de faire en sorte que le public cible prenne connaissance et utilise les résultats
33:32 et expériences capitalisées.
33:33 Vous avez plusieurs canaux de diffusion, les médias, Internet, des forums,
33:41 des salons professionnels, des journées techniques, des conférences.
33:45 Des journées techniques, je vois bien, on voit régulièrement.
33:52 Là, on avait fait une journée technique où il y avait Sylvain qui était présent,
33:56 qui parlait de son GI2E.
33:58 Mais je sais que sur d'autres journées techniques,
34:05 il y a d'autres collectifs qui parlent de leur projet.
34:11 Ensuite, au niveau des médias, quels sont les médias sur lesquels on peut partager,
34:17 on peut diffuser ?
34:18 Il y a les sites web.
34:20 Par exemple, Ecofit a un site web sur lequel ils partagent ces résultats,
34:29 en tout cas ces supports capitalisés.
34:32 Ensuite, les chaînes vidéo YouTube, pour ceux qui en ont.
34:35 Les plateformes de podcast, je te laisse cliquer dessus si tu veux, Victoria.
34:41 Ça commence pas mal à se développer, le podcast, pour capitaliser,
34:48 pour être assez précis.
34:50 Ce qui est intéressant, c'est que tout le monde peut l'écouter quand il veut.
34:53 Par exemple, un agriculteur peut très bien l'écouter en tracteur,
34:58 si il veut.
35:00 En tout cas, je connais des agriculteurs qui le font.
35:02 Là, par exemple, c'était la Chambre d'agriculture.
35:06 Si c'est trop long, t'en fais pas, les gens pourront cliquer,
35:10 je vais juste contextualiser.
35:13 En l'occurrence, c'est la Chambre d'agriculture des Pays de la Loi
35:16 qui a développé ça.
35:18 Ils ont pris une partie des G.I. 2.0, parce qu'ils en ont vraiment beaucoup,
35:24 qui voulaient bien répondre à des questions.
35:30 Cette interview-là est mise en podcast.
35:35 Les relais par les réseaux sociaux,
35:40 Facebook, Twitter, LinkedIn,
35:45 ça peut très bien être Instagram ou TikTok,
35:50 on est plus ou moins à l'aise avec les outils.
35:54 On a aussi des radios locales, la presse,
36:00 pour ceux qui sont dans leurs territoires,
36:04 l'action agricole Picard.
36:08 Je pense que vous connaissez la presse agricole mieux que moi.
36:12 Mais ça peut être aussi de la presse non agricole.
36:15 Comme on disait tout à l'heure, ça dépend du public cible.
36:18 Si c'est un public non agricole,
36:22 c'est le canard local ou la voie du Nord par exemple.
36:27 Après, des bulletins spécialisés.
36:30 Je sais que des conseillers les font,
36:33 ils envoient des bulletins régulièrement à leurs agriculteurs.
36:36 Là particulièrement, ils mettent en avant ce que le groupe,
36:39 le G.I. 2.0 a fait.
36:42 C'est notre rôle aussi en tant que coordinateur régional
36:49 de vous aider à diffuser aussi vos supports.
36:53 C'est notre rôle de vous aider à les faire, les créer,
36:56 et aussi de les diffuser.
36:59 Ça peut être par exemple les publications sur les réseaux sociaux.
37:03 Par rapport à ça, on pourra en discuter,
37:07 mais je pense que ce serait intéressant que lorsque vous faites
37:11 une publication sur les réseaux sociaux,
37:14 pour ceux qui sont sur PRG, Cofit ou autre,
37:18 vous n'hésitez pas à mettre un hashtag.
37:21 Un hashtag, c'est simplement pour vous faire connaître.
37:26 En gros, par exemple, là c'est le collectif agro HDF,
37:29 donc Hauts-de-France.
37:31 Ça permet d'aller rechercher les hashtags et éventuellement de partager.
37:35 Le but, encore une fois, c'est de partager au plus grand nombre.
37:39 Après, si vous faites par exemple une invitation pour un tour de plaine
37:45 qui n'est ouvert pas forcément qu'à vos agriculteurs du collectif,
37:49 n'hésitez pas à mettre ce hashtag-là.
37:52 C'est aussi mon travail d'aller rechercher toutes ces informations-là
37:56 et de les diffuser pour faire en sorte qu'il y ait le plus de monde possible
38:00 à votre journée, dans la limite du possible.
38:03 Le blog Ecofito, cette année on a commencé à le faire pas mal aussi,
38:09 à aller voir des groupes d'agriculteurs, des GI2E ou 30 000.
38:14 On commence par l'animateur et après l'animateur nous dit
38:17 "n'hésite pas à aller voir tel ou tel agriculteur
38:20 qui parle vraiment de sa pratique qui est un peu particulière".
38:24 Sur le blog Ecofito, vous pourrez aller voir, n'hésitez pas à vous abonner.
38:28 Ça permet d'avoir des témoignages d'agriculteurs, d'animateurs
38:33 sur la vie du collectif et sur aussi du cas concret du pratique.
38:40 Après, on va y venir. RDA Gris et sites collectifs agroécologie,
38:45 ce sont des sites qui sont nationaux.
38:47 On va y passer tout de suite, je pense.
38:51 RDA Gris, c'est la plateforme de la recherche et développement agricole
38:58 qui centralise et valorise les résultats des projets
39:01 de recherche et développement agricole.
39:03 Elle propose un accès direct au livrable issu des projets soutenus
39:07 CASDAR, GILESE, Groupe Ecofito 30 000.
39:11 C'est notre devoir de mettre tout ce qui est support de capitalisation,
39:18 tout ce que vous créez, c'est notre devoir d'aller le mettre sur RDA Gris.
39:22 Le but, c'est que ça soit disponible pour tout le monde.
39:26 Pour information, par exemple, sur RDA Gris, Arvalis va mettre des choses
39:32 sur son site internet, mais la plupart du temps, c'est aussi relié
39:36 sur RDA Gris.
39:38 On y retrouve des résumés, des éléments descriptifs des projets,
39:41 des productions associées à chaque projet livrable de capitalisation
39:45 et chaque projet est répertorié sur une carte interactif.
39:48 Ce n'est que les GILESE qui sont actifs.
39:52 GILESE, Groupe Décis, GILESE, Groupe Ecofito 30 000.

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