• l’année dernière

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00:00 Du spectacle pour le premier SNL de Wemby, on a même eu le droit à une extra dose,
00:09 Raptors ou Spurs, y'a eu prolongation.
00:11 Y'a de la légende, AD3, Suns Pistons ou Phoenix, doit réagir.
00:17 5 matchs hier soir, du curry, des dunks et de la folie.
00:23 On sent Hardy devant notre émission préférée du midi.
00:27 Bonjour à tous et bonjour à toutes, Adio est en forme pour un lundi matin, elle nous
00:36 a proposé un très joli sommaire à l'image de la nuit dernière.
00:39 5 matchs au programme et un Wemby en prime time.
00:42 On va revenir là-dessus bien sûr avec Jacques Monclart.
00:45 Bonjour, bonsoir Marie.
00:46 Et avec le petit nouveau Fred Vays qu'on est ravis d'accueillir dans l'ennemi extra.
00:51 Bonjour Fred.
00:52 Bonjour Marie.
00:53 Bonjour Jacques.
00:54 Bonjour Big Fred.
00:55 Voilà, on voit des big man sur le terrain.
00:56 Voici le big man en plateau.
00:57 Il fallait que tu viennes avec nous à un moment donné.
00:59 On est ravis de t'accueillir Fred.
01:00 Je suis ravi d'être là, vraiment.
01:01 Très bien, on est ensemble pendant 45 minutes, vous le savez.
01:05 Messieurs, pour revenir donc sur cette nuit dernière et on va commencer avec Victor Wembanyama.
01:09 Évidemment, qui était en prime time sur Bein Sports, c'était l'affiche du SNL.
01:13 Les Spurs s'étaient opposés au Raptors la nuit dernière.
01:17 Ça se passait à San Antonio.
01:19 Victor Wembanyama n'avait pas été mis au repos.
01:21 Il sortait d'une énorme performance à 38 points et d'une victoire face aux Phoenix Suns.
01:26 Et il va démarrer très fort Jacques.
01:28 Vous étiez au commentaire de la rencontre hier.
01:30 Oui, il démarre très bien.
01:31 Il est en phase avec son shoot.
01:33 Il ensoie la balle en pouvant avancer vers le cercle.
01:38 En défense, il fait des contres retentissants.
01:41 Celui-là est quand même humiliant.
01:43 Oui, complètement.
01:44 Même si Ogi Aninobi s'est bien vengé après.
01:46 Voilà, on a eu début de vie à le match.
01:49 Les Raptors sont en grande difficulté à l'image de cette interception de Keldon Johnson
01:52 qui va dunker ici et permettre aux Spurs de prendre énormément d'avance.
01:57 On va avoir jusqu'à 20 points d'avance avec Victor Wembanyama.
02:01 Une nouvelle fois à 3 points.
02:02 Ici le contre.
02:04 Une nouvelle fois sur Ogi Aninobi.
02:06 Tes impressions Fred ?
02:08 Honnêtement, contrer pour Victor Wembanyama c'est quelque chose qui est plutôt normal.
02:12 Contrer sur des shoots à 3 points comme il le fait, je trouve ça très impressionnant.
02:15 Parce qu'il ne se fait pas passer en plus s'il ne contre pas.
02:17 Vraiment, c'est quelque chose qui me marque beaucoup.
02:21 Parce que maintenant les gens hésitent à shooter à 3 points sur lui.
02:23 C'est incroyable.
02:24 Il est totalement indiscutable.
02:25 Il regarde où il est.
02:26 Exactement.
02:27 On va voir dans ce quatrième carton le rapproché des Raptors qui ont compté jusqu'à 22 points
02:33 de retard et qui vont revenir dans le match.
02:35 Ça y est, c'est reparti.
02:37 Le match est totalement relancé après ce 3 points de Scottie Barnes qui a été époustouflant
02:41 dans cette fin de match.
02:43 Dennis Schroder à 3 points, ça ne rentre pas le rebond.
02:45 Il est finalement pour les Raptors également qui égalise à 110 par 3.
02:50 Il y a une énorme faute.
02:51 Et là, l'interception.
02:52 Vous la remettrez celle-là.
02:53 On vous l'a préparée Jacques.
02:54 On en reparlera.
02:55 On est donc en prolongation puisque ça ne va rien donner cette dernière tentative.
03:02 Une prolongation que vont dominer les vétérans des Raptors.
03:06 Pascal Sackham notamment.
03:08 Et on va voir également Eugene Anunoubi.
03:11 Cette équipe des Raptors a vécu à l'humeur et au rendement de Scottie Barnes.
03:17 25 points en deuxième mi-temps alors qu'en première mi-temps, on avait l'impression
03:21 que c'était son arrière petit cousin qui jouait.
03:24 C'est vraiment une équipe atypique qui ne joue plus pour Sackham.
03:29 C'est clair, on a bien compris.
03:30 C'est l'équipe de Scottie Barnes avec autour de lui Anunoubi qui est la première lame extérieure.
03:36 Voilà, ça joue comme ça.
03:38 9 rebonds pour Scottie Barnes, 24 points pour Eugène Anunoubi.
03:41 Victor Wembanyama termine à 20.9 rebonds.
03:43 Et 5 blocs, on va revenir sur la performance de Victor Wembanyama.
03:47 Mais on va revenir sur cette dernière action que vous voulez qu'on vous prépare mon cher Jacques.
03:50 C'est important, une seconde ou deux de la fin.
03:52 Vous avez la balle.
03:53 Déjà sur l'action d'avant, vous vous êtes fait avoir.
03:55 Là, sur l'écran, Victor fait une énorme erreur.
03:58 Il faudrait un arrêt sur image au moment où il pose l'écran à Zach Collins.
04:02 Il doit, à mon avis, le ballon il est pour lui.
04:05 Parce que Greg Popovich, il doit se dire, 2m23, il a la balle, il a un bon shoot.
04:10 Il va recevoir.
04:12 - Et là on le voit bien, il part.
04:14 - Non mais il part, il regarde même pas.
04:15 Il faut remettre encore en arrière, excusez-moi.
04:17 Et si on m'écoute, je dis stop.
04:20 Il y a un moment où il doit s'ouvrir au ballon, il le reçoit.
04:23 Il shoot direct en pompant avec les jambes.
04:26 C'est ça à mon avis le système.
04:28 Parce que même si Fred me le disait, Collins il a shooté 17 fois.
04:32 Regardez, l'écran a été fait, il regarde même pas la balle.
04:35 Il regarde même pas, c'est avant, au moment où il pose l'écran.
04:38 Décidément, ils ont du mal.
04:40 Il doit s'ouvrir à la balle et il a un shoot.
04:42 - Je crois que c'est perdu sur le système.
04:44 Je crois qu'il devait faire un premier écran sur Collins,
04:46 le deuxième sur Kelton Johnson et après s'ouvrir.
04:48 - Mais là, regarde là, là, si, s'ouvre.
04:50 - Mais regarde là, il fait l'écran et il va enchaîner sur le deuxième,
04:53 normalement sur Kelton Johnson et il le rate.
04:55 - D'accord.
04:56 - Et comme après, il sait plus, il se dit "j'ai perdu mon timing",
04:59 il sait plus où il est.
05:00 - Là, on voit qu'il se reouvre pas, que trop tard.
05:02 - Ça par contre, je suis d'accord, il s'ouvre pas.
05:04 Mais c'est vrai que le fait de rater Kelton Johnson, je pense que ça...
05:07 - Il a la possibilité deux fois.
05:09 Il reste une seconde deux.
05:11 Je veux bien qu'Kelton Johnson puisse mettre des paniers.
05:14 Perso, si j'ai un shoot à faire prendre, je le fais prendre à ce moment-là.
05:18 - Bien sûr.
05:19 - Par Victor, donc je suis sûr qu'il va partir en l'air et qu'il a un beau shoot
05:22 parce qu'il est à 2m23.
05:24 C'est une évidence.
05:25 Après, qu'il fasse l'écran pour Kelton Johnson, il doit se rouvrir.
05:28 Mais il se reouvre pas.
05:30 - Il se reouvre pas parce qu'il est perdu.
05:31 Parce que je pense qu'il rate le timing d'écran sur la deuxième fois principalement.
05:34 Et effectivement, je pense que le jeu est pour lui.
05:37 Mais t'as le temps que tu veux finalement, comme c'est une remise en jeu.
05:39 Donc ça lui permet de faire son premier écran.
05:41 - Faire quel temps que tu veux.
05:42 - Faire son deuxième écran, où il est à 5 secondes.
05:44 Tu dépasses pas les 5 secondes sur cette action.
05:46 Mais ça veut dire que tu peux faire ton premier écran, ton deuxième écran,
05:48 et sur le deuxième, ouvrir.
05:49 Mais comme il rate ce timing, on a vraiment le temps qu'il ait perdu.
05:52 - Moi, pour moi, le plus efficace, c'est quand même le premier direct,
05:55 où il est là, à la balle, et s'il l'apprend,
05:58 quel Don Johnson va arriver ?
06:00 Il y a un main à main possible.
06:02 Même là, il y a le chrono qui tourne.
06:04 Fin, poum, il se lève.
06:06 C'était pour lui.
06:07 - Il a professé, hein ?
06:08 - Il n'a pas besoin de 3 points.
06:10 - C'est vrai, t'as pas besoin de 3 points.
06:12 - Il n'a pas besoin de 3 points.
06:13 Moi, je pense que c'est un leurre, ce que décrit Fred.
06:16 C'est-à-dire, là-bas, mais c'est pour lui, à l'intérieur.
06:19 Et à l'intérieur, tout près.
06:22 Et à l'intérieur, un peu plus sur le deuxième roulet.
06:25 Oui, oui, il saura qu'il faut mettre les mains.
06:29 - Bah voilà, maintenant, il va le revoir à la vidéo,
06:31 sûrement, cette dernière action, Victor Wemba-Nyama,
06:33 qui termine quand même...
06:34 - Mais il s'est bien repris au début de la prolongation.
06:37 Il remet des paniers, parce que, quand même,
06:39 il a été largement oublié dans le Money Time.
06:42 Colline, ça a été évident de sa réussite.
06:44 Enfin, bref, nous, Français, on ne va pas réclamer
06:47 qu'on lui donne tout le temps la balle.
06:49 On peut constater qu'il a...
06:51 - Il n'y a pas que les Français qui le réclament.
06:53 - Oui, oui, oui, je suis Français, je dois réclamer ça.
06:55 - 20,9 secondes et 5 blocs pour Victor Wemba-Nyama.
06:58 On vous a ressorti une petite palette
07:00 de, justement, tout ce que peut réussir
07:02 Victor Wemba-Nyama sur le parquet.
07:05 Parce qu'on parle de chiffres, mais on peut voir aussi,
07:07 un petit peu, tout ce qu'il propose
07:09 dans sa lecture de jeu, Jacques.
07:11 - Oui, oui, il a vraiment, à l'extérieur,
07:14 il a les jeux d'un Novitski, d'un Kevin Burant,
07:18 parfois, de ces grands qui peuvent être au large.
07:21 On en a déjà parlé, là, il est pas malheureux de passer,
07:24 mais bon, après, ça s'ouvre.
07:26 - Une fois que c'est lancé, c'est lancé.
07:28 - Oui, il n'y a pas grand-chose à faire.
07:30 Mais il est, dans tout ce qu'il fait,
07:33 il a un bon coup d'œil.
07:34 - Là, le bon coup d'œil et la bonne face.
07:36 - Zach Collins en bénéficie.
07:38 Mais après, voyez, au lieu de rester spectateur,
07:40 j'aimerais bien qu'il se rapproche du cercle.
07:42 Parce qu'il va y avoir des points gratuits, là.
07:45 Il va y avoir des fautes.
07:47 - Ce panier est superbe de contrôle,
07:49 alors qu'il restait sur une série où il avait manqué des shoots.
07:52 Ça, c'est superbe.
07:54 Et ils lui ont mis un unobi, mettre des petits sur lui.
07:57 - Ils mettent des petits sur lui, en général.
07:59 - Et maintenant, les équipes le sortent aussi en défense
08:02 pour éviter le contre, éviter la dissuasion.
08:04 - Justement, les contres, 5 hier soir.
08:06 C'est son record en carrière, il est resté sur 4 face à Phoenix.
08:10 Fred, c'est quelque chose qui t'impressionne,
08:12 ces contres de Victor Wembañama,
08:15 véritablement dissuasifs, et même plus encore ?
08:18 - Honnêtement, ces contres, c'est très impressionnant,
08:20 parce que statistiquement, ça fait des points,
08:22 ça fait des trucs à noter sur sa feuille de stat.
08:25 Mais moi, c'est sa dissuasion qui m'impressionne le plus.
08:27 J'ai vu un moment, Scotty Barnes,
08:29 qui fait un stop and go une première fois,
08:31 un stop and go une deuxième fois,
08:33 il voit que ça bouge pas du tout,
08:35 et il redonne le ballon, parce qu'il sait que s'il pénalise sur Victor Wembañama,
08:37 il a aucune chance.
08:39 C'est-à-dire qu'il tient les 1 contre 1.
08:41 Il va contrer ce genre de shoot, défensivement, objectivement.
08:44 Défensivement, c'est très très fort.
08:46 - Parce que là, le tir, il est ouvert,
08:48 jusqu'à ce qu'il ne soit plus ouvert, finalement, avec la main de Victor.
08:50 - Oui, la caractéristique de jouer hors normes comme ça,
08:52 c'est que ce qu'il fait là,
08:54 c'est quelque chose qu'on ne demande pas.
08:56 On ne dit pas au mec de monter,
08:58 parce que vous allez en attraper un sur 300.
09:00 Et qu'au contraire, il faut arriver,
09:02 gêner, et contrôler l'intervalle.
09:04 - Un close-out, quoi.
09:06 - Un close-out, mais close-out, si tu dis ça à 12h45,
09:08 il panique tout le monde en vrai.
09:12 Mais il faut contrôler que le gars ne puisse pas prendre l'intervalle.
09:16 Mais lui, il est différent.
09:18 Lui, Shetland Gren et d'autres gamins qui sont en Europe,
09:20 qui vont arriver.
09:22 Est-ce que le basket n'est pas en train de vivre une révolution,
09:24 avec des gonces de 2m15, 2m20, 2m25,
09:28 qui cavalent comme des lapins,
09:30 qui peuvent tout faire.
09:32 Donc, chacun aura ses caractéristiques.
09:34 Victor, ce n'est pas ce qu'il annihile,
09:36 mais c'est un joueur qui, un jour,
09:38 va faire 10 contre. C'est évident.
09:40 - Là, déjà, il est sur un bon rythme, Victor Wembañama.
09:44 - Le dernier Spurs à faire un quadruple-double,
09:46 c'est David Robinson.
09:48 Moi, j'imagine qu'il soit capable de le faire.
09:50 - Pourquoi pas ?
09:52 - Il a progressé sur ses pas, il perd moins de ballons.
09:54 Franchement, c'est intéressant.
09:56 - On va écouter Ojian Unubi,
09:58 qui a souvent vu Victor Wembañama se dresser face à lui.
10:00 Voici sa réaction.
10:02 - Je n'ai jamais vu quelqu'un de si haut en vie.
10:06 Il est vraiment haut.
10:08 Il couvre beaucoup de terrain.
10:10 Il change le jeu.
10:12 Il est trop haut.
10:14 Il est trop haut.
10:16 - Vous êtes surpris ?
10:18 - Non, je ne sais pas.
10:20 - Il a le sourire et il a raison.
10:22 Ils ont gagné, finalement, mais il est vraiment très grand,
10:24 Victor Wembañama, 2m24.
10:26 On vous le rappelle.
10:28 En fin de match, les Français ont dit
10:30 "Est-ce qu'on ne sert pas Victor Wembañama ?
10:32 Il n'a pas assez de ballons.
10:34 C'est Zach Collins qui prend tous les derniers tirs."
10:36 Et c'est vrai que Victor Wembañama n'a pas été tout le temps servi
10:38 dans le 3e et dans le 4e quartan.
10:40 - Ce n'est pas la faute de Zach Collins.
10:42 C'est la faute de celui qui installe le jeu.
10:44 Hier, Trey Jones n'est pas bon dans l'installation du jeu.
10:46 L'absence de David Vassal a fait qu'il n'a plus joué.
10:48 Sorane n'est pas quelqu'un qui installe le jeu.
10:50 Donc, voilà, ça fait partie du truc.
10:52 Après, il faut aussi se faire connaître
10:54 avec les autres joueurs.
10:56 Il faut être vocal pour demander la balle.
10:58 Collins, il l'a recevait.
11:00 Donc, il y a bien moyen de la recevoir.
11:02 - On défend moins dur sur Collins
11:04 que sur Wembañama déjà.
11:06 - On la laisse rentrer même.
11:08 - Complètement.
11:10 Mais il faut aussi noter que c'est une équipe jeune.
11:12 C'est une équipe super jeune.
11:14 Dans des moments où il y a un peu de pression,
11:16 où tu as besoin d'amener le ballon où il faut,
11:18 effectivement, normalement, tu as Trey Jones
11:20 qui est capable de le faire.
11:22 Il ne l'a pas vraiment fait.
11:24 - C'est cette histoire de Sorane en main.
11:26 - Mais Sorane, tu le fais jouer où ?
11:28 - Quatre. - Tu es d'accord ? L'année dernière,
11:30 il a performé en quatre. Qui c'est le quatre ?
11:32 - Je sais bien. - Victor.
11:34 Tu as donné quand même des minutes.
11:36 Tu es en meilleur joueur. Dans la construction de son équipe,
11:38 il fait ça. Et il est d'un recul avec ça.
11:40 Greg Popovich,
11:42 il est en cinq matchs,
11:44 il perd moins de balles. Il est dans le développement
11:46 de l'équipe. Nous, on est là, on regarde,
11:48 on se dit, ils auraient dû faire ci, ça.
11:50 Mais lui, il est dans un développement
11:52 complètement différent. Alors, Sorane,
11:54 meneur, c'est sûr que ça pique un peu les yeux.
11:56 Mais ça apporte de la puissance physique
11:58 en défense. Ça apporte de l'impact
12:00 quand il ne se met pas la balle sur les pieds.
12:02 Il a des qualités.
12:04 Pour faire jouer les deux en même temps,
12:06 c'est la solution qu'il a trouvée. Et c'est un peu
12:08 la base de son équipe, les deux.
12:10 Tu rajoutes Vassel et qu'elle donne Johnson,
12:12 c'est la base. - Il a un avantage.
12:14 C'est qu'il a le temps.
12:16 Lui, son ambition, ce n'est pas cette année.
12:18 C'est de faire la défense, de faire travailler.
12:20 - Non, mais ce qui est bien, c'est qu'avoir
12:22 ce temps-là, c'est un vrai luxe.
12:24 Et c'est important de construire l'équipe
12:26 qu'il souhaite. Et d'ailleurs, moi, j'étais surpris de ne pas voir
12:28 Victor rentrer un petit peu plus tôt dans le match.
12:30 Sur la fin. Il rentre à 3 minutes.
12:32 Alors qu'il y a ce run des Raptors.
12:34 - Il a eu peur des fautes, Greg Popovich.
12:36 Il le sort sur la première.
12:38 Il est aussi... Lui, il explore
12:40 le joueur et il explore ce qu'il est capable
12:42 de comprendre. Recevoir, c'est un
12:44 process. Je sais que le mot a été
12:46 un peu galvonné du côté de la
12:48 Pennsylvania. Mais...
12:50 Voilà, c'est long.
12:54 - C'est long. Mais exactement. On va écouter
12:56 Victor Wembañama, qui nous rappelle quand même
12:58 qu'un match, c'est dur au moins 48 minutes.
13:00 - You know, Pop often says it's important to play for 48 minutes.
13:08 And yeah, you know, even relaxing a couple of seconds is too much.
13:12 I still got a lot to prove to my teammates and my coach.
13:16 So I'm just trying to do the dirty job sometimes and give it 100%.
13:20 - On rappelle quand même que les Spurs ont mené de 22 points dans cette rencontre.
13:25 On pensait qu'ils avaient la main mise sur le match.
13:27 Et puis, ils ont vécu un très mauvais 4e quartan,
13:31 notamment à cause de qui ?
13:33 A cause de Scottie Barnes. Regardez, en 2e mi-temps,
13:35 plus prolongation, Scottie Barnes, c'est 27 points.
13:37 9 rebonds, 5 passes, 2 interceptions,
13:39 2 blocs, réveil tardif des Raptors.
13:43 Mais réveil réussi, un peu comme moi ce matin d'ailleurs.
13:46 Scottie Barnes qui était patron des Raptors sur cette fin de match.
13:50 - Il a été monstrueux vraiment sur la 2e mi-temps.
13:52 On a eu du mal à le reconnaître sur la 1re.
13:54 Mais là, il a même mis à 3 points. Je crois qu'il finit à 5 sur 10,
13:56 ce qui est quand même assez monstrueux pour lui.
13:59 Je l'ai trouvé fantastique et je l'ai trouvé impactant.
14:02 On parle de Swan comme bon défenseur.
14:04 À un moment, il le poste et il lui donne dessus.
14:06 Arrêter comme ça, vrai gros joueur, vrai bon début de saison.
14:11 Et système des bases communiquant.
14:13 On a Sirkam qui baisse de rythme complètement.
14:15 Et lui qui prend ses minutes, ses points, c'est tout.
14:17 - Sirkam, il n'est clairement pas dans le projet de l'équipe.
14:20 - Alors, qu'est-ce que Scottie Barnes l'est, lui ?
14:22 - C'est l'équipe de Scottie Barnes, c'est le Gianni Nobbi.
14:25 Pascal Siakam, toutes les rumeurs de transfert, le ci, le ça.
14:29 Il a une prise de tête, il n'est plus 1re option.
14:32 On voit le joueur qui doute, qui n'est plus dans les timings et tout.
14:34 Coach Rajatovic a fait des choix.
14:37 Un pulse, Massa Eugéry, le GM qui a nettoyé l'équipe de 2019,
14:43 complètement, elle a été nettoyée du sol au plafond.
14:46 Or Siakam, qui est le seul qui ne se trouve pas dans ce nouveau groupe,
14:50 avec Gary Trent, avec Gary Trent Jr.
14:53 Il n'est pas là non plus.
14:55 Alors, Scottie Barnes, nouveau leader, moi je vais bien.
14:57 Mais s'il ne fait qu'une mi-temps par match, il y a des équipes,
14:59 tout le monde n'est pas allé sports.
15:01 On ne revient pas.
15:03 - Non, c'est clair, tu ne reviens pas non plus.
15:05 - Vous avez aperçu les stades de saison de Scottie Barnes.
15:07 Les matchs de la semaine pour Victor Wembanyama,
15:09 puisque vous l'avez sûrement vu ou entendu.
15:12 Tous les matchs de Victor Wembanyama seront à suivre sur les antennes de Beansport.
15:17 Cette nuit, il jouera face aux Pacers, où il sera mis au repos, peut-être, on ne sait pas.
15:20 Ce sera à 1h en version française.
15:23 Il est fort probable que Victor Wembanyama se rende pas.
15:25 - Parce qu'après, au Garden, ils vont l'emmener au Garden.
15:27 - Eh oui, il va au Madison Square Garden face aux Knicks,
15:29 à 1h30 du matin, dans la nuit de mercredi à jeudi.
15:32 Et puis après, il retrouvera Rooney Gobert.
15:34 Ce sera dans la nuit de vendredi à samedi, face aux Wolves.
15:37 Et ce sera à 2h du matin, en version française.
15:40 - Je crois que c'est la première fois en match officiel qu'ils vont s'affronter.
15:43 - Ben oui, c'est génial.
15:44 Génial.
15:45 Et le débrief, en plus, ce sera dans la nuit.
15:46 - Qu'est-ce que tu en penses ?
15:47 - C'est pas mal.
15:48 - C'est pas mal, ce parc du basket.
15:49 - J'adore.
15:50 Tu ne vois que des grands comme ça sur tes portes.
15:52 - Tu dois être en orbite avant un match officiel.
15:54 - Pour voir un petit peu ce qui se passe, quand même, tout là-haut.
15:57 On enchaîne.
15:58 On regarde maintenant ce qu'il s'est passé entre les Suns et les Pistons.
16:02 Les Suns qui sont sur une bien mauvaise série de défaites.
16:05 La faute aux Spurs, d'ailleurs, puisque les Spurs s'y ont battus deux fois.
16:08 Ça fait trois défaites de suite, même, pour les Suns,
16:10 qui avaient perdu face aux Sixers.
16:12 Bonjour, Isaiah Thomas.
16:14 Bien sûr, légende des Pistons qui jouent en noir.
16:16 Hier soir, le fameux City Edition.
16:19 - On dirait les Bulls.
16:20 - Oui, mais au début, quand j'ai regardé le résumé, je me suis dit, mais qui est cette équipe ?
16:25 Finalement, ce sont bien les Pistons détroits.
16:27 Cette équipe-là, c'est celle de Kevin Durant.
16:29 Si vous avez un doute sur les Suns, qui jouent une nouvelle fois sans Brad Lebil et sans David Booker,
16:34 Kevin Durant va bien nous le rappeler.
16:36 Aujourd'hui, on a des Suns qui cavalent, quand même,
16:39 et qui sont plutôt à droite, à droite, à l'image de Watanabe, ici.
16:42 - Oui, il met des paniers, le gaucher.
16:45 Enfin, Kevin Durant, Théopho, Moulin, il a beaucoup, beaucoup.
16:48 - Vraiment, il fait tout.
16:49 - Je vous conseille d'aller voir ses lignes de stade depuis le début de saison,
16:52 et le nombre de minutes qu'il joue.
16:54 Il va falloir que les deux autres reviennent et pédalent un peu.
16:56 - Il a le capot qui fume, peut-être ?
16:58 - Non, mais on lui tire beaucoup dessus.
17:00 Et à un moment de la saison, ça se...
17:01 - Il est très loin, là, Eric Gordon, sur ce tir.
17:04 - C'est obligé de tirer sur lui, parce que tu tires sur qui doit tirer.
17:06 - À trois points.
17:07 73-59, l'écart en faveur des Suns.
17:10 Et on vous disait que Kevin Durant faisait tout.
17:12 Et là, il nous fait du typique Kevin Durant.
17:15 - Oui, oui, ça leur permet de gagner ce match, Marie,
17:19 contre une équipe de Détroit qui, sans Bogdanovich, est trop faible à l'aile, à mon avis.
17:24 - Ça, c'est Marcus Sasser.
17:26 - Pas mal. Marlène.
17:28 - Marlène Sasser, voilà.
17:30 On en a beaucoup parlé la semaine dernière.
17:32 Kevin Durant fait encore du Kevin Durant.
17:34 - Il a été bon, là, Marcus Sasser.
17:35 - Sur ce tir à mi-distance, il a été pas mal.
17:37 - Il a été très bon, mais il a été très bon pour un rookie. Il fait des trucs.
17:39 - On va voir Djallen Durant, seulement 19 ans.
17:42 Comme quoi, il y a quand même du talent dans cette équipe des distance.
17:46 100-85, +15 pour les Phoenix Suns.
17:50 Ah, la belle passe.
17:52 Eric Gordon pour Grayson Allen.
17:54 Et puis, on va retrouver encore une fois Kevin Durant pour boucler l'affaire.
17:58 - Grayson Allen qui a mis un petit peu...
17:59 Alors, on voit de plus en plus Nurkic dans un rôle de passeur.
18:03 Il peut le faire.
18:04 Et on voit aussi l'évolution du jeu avec les big men, là, beaucoup.
18:07 Ceux qui sont un peu passeurs en tête de raquette en mode Nurkic.
18:11 Qui commencent à...
18:13 - Mais oui, mais t'es un peu obligé dans cette équipe.
18:15 À part Eric Gordon, t'as qui sur le poste de meneur réel qui puisse passer les ballons un peu ?
18:19 - Pendant que les deux autres sont blessés, c'est Goncalo.
18:20 - En attendant, oui.
18:21 - Mais même Bouker et Bill sont pas des meneurs.
18:23 Ils ont perdu d'un seul coup Chris Paul, mais aussi Cameron Payne.
18:27 Ils ont peut-être un petit déficit à ce poste-là.
18:31 - 41 points pour Kevin Durant.
18:33 4 rebonds, 5 passes.
18:35 C'est une victoire, enfin, pour les Phoenix Suns qui sont toujours dans le négatif.
18:39 Une victoire 120 à 106.
18:41 - Et Kevin, il y a Naïs qui fait un bon match.
18:46 - Qui fait un bon match.
18:47 - Il fait 13 points, 8 passes.
18:48 - 13 points, oui.
18:49 - Il a 13-8.
18:50 - Il a 4 sur 8 au tir.
18:51 - Et Malcolm Casalon qui a mis les pieds sur le terrain.
18:53 Voilà.
18:54 - On écoute Kevin Durant.
18:55 Il est bien content d'avoir gagné, enfin.
18:57 - Oui, j'ai l'impression de pouvoir m'en sortir.
18:59 La première partie, je n'ai pas réussi à faire les coups que je voulais faire.
19:01 Mais je remercie la deuxième partie.
19:02 Mes alliés continuent de me chercher.
19:04 Le coach a appelé des bons joueurs.
19:06 Mais en défense, je pensais que nous avions nous concentrés.
19:08 Donc, on va essayer de se construire sur ce point.
19:10 Le coach nous a défendu ce matin dans la salle de film.
19:12 Juste pour être mieux.
19:14 Nous savons les circonstances, les côtés à la tête.
19:16 Donc, on a essayé de s'améliorer, d'essayer de gagner cette W.
19:19 Juste pour sortir de cette situation.
19:20 C'était bien de gagner.
19:21 - Vous le savez, David Bouker n'a pas beaucoup joué.
19:24 Bradley Bill encore moins.
19:25 Et Kevin Durant, lui, est donc au four et au moulin dans ce début de saison.
19:29 Pour l'essence, David Bouker a joué deux matchs.
19:32 Bradley Bill, zéro match.
19:33 Le temps de jeu de Kevin Durant cette saison, 35,6 minutes.
19:38 Il tourne à 30 points de moyenne.
19:40 En attente que les autres arrivent, Kevin Durant doit faire quand même beaucoup de choses.
19:44 Et jouer surtout énormément.
19:46 - Il doit faire trop.
19:47 Il doit faire trop.
19:48 Parce que je pense que ce n'était pas prévu comme ça initialement.
19:50 On l'a dit.
19:51 Jacques ne me contredira pas sur ce sujet.
19:54 David Bouker, ça devait être l'option numéro un offensivement de cette équipe.
19:57 Donc, Kegi devait apporter ce qu'il sait apporter, évidemment.
20:01 Mais en même temps, l'option numéro deux.
20:03 Donc, moi, je m'inquiète un peu.
20:05 Parce que c'est vrai qu'on sait qu'il a eu tendance dernièrement à avoir des blessures.
20:08 Attention à ne pas trop tirer sur la corde.
20:10 Parce que là, il est vraiment obligé de tout faire.
20:12 Et à un moment, ça va peser sur lui.
20:14 Moi aussi, je m'inquiète pour Bradley Bill.
20:15 Parce que Bradley Bill, lui aussi, a eu des saisons très compliquées au niveau des blessures.
20:19 Et là, il ne revient pas.
20:21 Et là, j'ai un problème de dos.
20:23 Jamais joué avec cette équipe.
20:25 La chimie, pour prendre, il faut que l'on se joue ensemble.
20:28 C'est un peu poussif, ces scènes.
20:30 Ils prennent du retard.
20:31 Voilà.
20:32 Clairement, même s'il n'y a que six matchs de jouée, je ne parle pas du retard.
20:35 Classement du retard dans l'élaboration de l'équipe.
20:38 Il n'y a pas Jock Londale aussi qui est absent.
20:40 Il est parti, lui, ou il est parti ailleurs.
20:43 Mais même à l'intérieur, c'est trop court.
20:46 Il tire trop sur Youssef Nourkic.
20:49 Après, vous avez Druyoub Banks.
20:51 C'est quand même faible.
20:52 Durant est obligé de jouer des minutes.
20:55 Il est long, il est long, il est long.
20:57 Mais les vrais postes 4-5, ils sont lourds.
21:00 Et ça l'use aussi, ça.
21:02 Moi, je suis...
21:04 C'est une équipe déséquilibrée.
21:05 Et sans Booker et sans Bill, qui masqueraient quand même beaucoup de choses.
21:09 - Bien sûr.
21:10 - Ils sont accessibles.
21:11 - Et qui pourrait créer pour les autres aussi.
21:13 - On verra qui sera MVP.
21:15 Mais gagner à Détroit, pour eux, dans cet état-là, c'est quasi une perf.
21:18 Il faut qu'il en mette 41, à Détroit.
21:21 - Prochain match pour les Suns, ce sera face aux Bulls.
21:24 Ils peuvent le prendre, celui-là, peut-être.
21:26 - Oui, les Bulls aussi, il doit se dire ça.
21:27 - Oui, c'est clair.
21:28 Et les Warriors seront...
21:29 - Santonio les a battus deux fois chez eux.
21:31 Toutes les équipes savent qu'ils peuvent les attraper.
21:33 - C'est clair.
21:34 - Toutes.
21:35 - Les Warriors seront posés aux Pistons.
21:37 On va parler des Warriors dans un instant.
21:39 Parce qu'il y avait une affiche vintage.
21:41 Un grand classique de l'NBA.
21:43 Celle qui nous ont fait rêver dans les années 2015-2016.
21:46 Steph Curry était à Cleveland.
21:48 - Il n'a pas perdu depuis 2016.
21:51 - Depuis le 25 décembre 2016,
21:53 les Cavs n'ont pas perdu les Warriors.
21:55 - Le panier de Calais, je crois.
21:56 - On va voir ce qu'il va se passer.
21:57 - Je crois que c'est le panier de Calais-Irving, à la fin.
21:59 - Est-ce qu'il s'est passé l'année dernière, tout de suite ?
22:16 - C'était une pause extrêmement courte.
22:18 - Pas de pub le lundi.
22:19 - Non.
22:20 - Pas de pub le lundi.
22:21 - En plus, il y a Fred Vey,
22:22 alors tout le monde veut voir s'il est encore là.
22:23 - C'est un concept.
22:24 - Mais oui, pourquoi pas.
22:25 - J'ai même pas eu le temps de partir.
22:26 J'y ai pensé, mais j'ai pas eu le temps de partir.
22:27 - Non, tu restes avec nous, s'il te plaît.
22:29 - T'avais faim ?
22:30 - On est revenu sur la victoire.
22:31 - J'ai toujours faim, t'inquiète.
22:32 - La victoire des Raptors et la victoire des Suns.
22:35 On va s'intéresser aux Warriors dans un instant.
22:37 Avant ça, je voulais qu'on revienne sur ce qu'il se passe pour Nicolas Batum,
22:41 qui, vous le savez, a quitté les Clippers pour les Sixers,
22:44 et qui a eu du mal, en tout cas, à encaisser la nouvelle.
22:49 Il va être sur le terrain, en tout cas, il est prêt à jouer avec ses Sixers.
22:53 Et ce, dès ce soir, ce sera face aux Wizards.
22:56 C'est Chris Haynes qui nous l'a annoncé,
22:58 alors qu'il y avait quelques rumeurs de retraite également
23:00 autour du cas de Nicolas Batum,
23:02 qui finalement s'est remobilisé et se dit prêt à jouer.
23:05 C'est quand même une bonne chose.
23:07 - C'est une très bonne chose.
23:08 Alors, objectivement, on va penser à Franco-Français.
23:10 Il y a les jeux qui arrivent.
23:11 Donc forcément, ne pas le voir jouer en NBA, ça serait une catastrophe.
23:15 Mais je peux comprendre ce qui s'est passé dans sa tête.
23:17 Je pense qu'il pensait terminer tranquillement sa carrière là-bas.
23:20 T'es transféré, c'est un peu chaud.
23:22 Je sais que c'est le business, Jacques, mais...
23:24 - Il a quand même suffisamment d'expérience pour savoir que ça peut arriver
23:30 et que dans la situation de deal qu'il y avait depuis un mois et demi, deux mois,
23:35 entre Arden et les Clippers, il risquait d'être dans le voyage.
23:38 - Je crois que même lui, il ne croyait plus vraiment.
23:40 Le coup Arden, on ne savait plus trop ce qui allait se passer.
23:43 À un moment, on était dans le doute.
23:44 On savait qu'il allait partir.
23:45 On savait qu'il y aurait une compensation.
23:47 On ne savait plus exactement laquelle.
23:48 Ça a été très vague pendant une période.
23:50 - C'est des clips qui font all-in, Fred.
23:52 - Et tu sais que parfois, tu te mens à toi-même aussi.
23:54 Je pense qu'il a pu se mentir.
23:56 - Ils n'ont pas voulu voir la vérité.
23:57 - Ça, c'est vrai. - Je peux être horrible.
24:00 Alors d'abord, les Sixers, c'est une superbe franchise historique.
24:04 Le dernier titre en 1983.
24:06 - Joué avec le MVP un titre.
24:07 - Joué avec le MVP, Belleville.
24:09 Un bon contexte.
24:11 - Pour l'instant, c'est pas horrible.
24:13 - Il se rapproche de Pont-l'Evêque, très bien.
24:15 Mais il y a un empilement de joueurs sur son poste qui me fait peur, moi.
24:21 Qui me dit, ils vont peut-être refaire un move.
24:25 Parce que Daryl Morin, on tombe dans le business.
24:29 La NBA, c'est fantastique, tout ça.
24:32 Mais c'est aussi, t'arrives dans le vestiaire, il n'y a plus ton nom sur le placard.
24:36 Voilà.
24:37 Et donc, tu sais que tu n'es plus dans l'effectif.
24:40 Ou alors, ça ne marche plus à l'empreinte digitale.
24:42 Il y a plein de solutions.
24:44 - Voilà, on te dit, tu ne montes pas dans le bus.
24:46 - L'empreinte digitale, ça ne marche pas.
24:47 - Le badge, il ne marche plus.
24:49 Voilà, c'est pour ça.
24:51 Et il y a des rumeurs sur Détroit avec Alex Burr,
24:53 qu'il ferait partie du truc.
24:55 Je ne sais pas.
24:56 Mais en tout cas, il faut que Nico,
24:59 avec toute l'affection qu'on a pour lui,
25:02 et on ne peut pas avoir des craintes,
25:04 parce que c'est quelqu'un d'humain et d'accessible humainement,
25:07 comprenne bien qu'il faut vite se montrer un Philadelphia Utile,
25:11 dans le contexte.
25:13 Sans ça, ça peut être plus compliqué.
25:15 Et Fred a raison de parler en toile de fond.
25:18 - Oui.
25:19 - Moi, quand j'ai lu le mot "retraite",
25:20 j'ai dit, il va falloir arrêter les conneries quand même.
25:22 - C'est pas crédible.
25:24 - C'est pas crédible, mais voilà.
25:27 - C'est pas crédible, mais c'était peut-être...
25:29 - C'était peut-être ce qu'il y avait dans sa tête,
25:31 parce qu'apparemment, cette nouvelle et ce départ pour les Sixers
25:34 est mal accepté par Nicolas.
25:36 - On n'a pas le choix.
25:37 - Non, non.
25:38 - C'est pas du foot.
25:39 - On est bien d'accord.
25:40 - C'est pas du foot.
25:41 - Normalement, au bout de 10 ans, on a bien compris.
25:45 CJ McCollum, lui, malheureusement, est un infirmeur.
25:47 - Il n'a pas le choix.
25:48 - Il n'a pas le choix du tout.
25:49 Il est au repos jusqu'à nouvel ordre.
25:51 Le joueur des Pelicans souffre d'un pneumothorax.
25:55 Il passera un examen complémentaire dans les 48 heures
25:58 pour déterminer le processus de guérison.
26:00 Ce n'est pas la première fois que CJ McCollum souffre de cette pathologie.
26:04 Ça lui est arrivé il n'y a pas si longtemps.
26:07 Il avait été absent pendant 5 semaines.
26:09 Il avait raté 18 matchs.
26:11 C'était en 2021.
26:13 Il y a 2 ans, c'était quand même un coup dur, Fred,
26:15 pour ces Pelicans qui allaient bien.
26:18 Zion Williamson joue.
26:19 Alors, Brandon Ingram, des fois, il est là, il n'est pas là.
26:21 Et CJ McCollum était extrêmement performant, en plus.
26:24 - En fait, on a l'impression que cette équipe ne sera jamais au complet.
26:26 C'est un peu un fantasme.
26:27 C'est un "what if" parce qu'effectivement, sur le papier,
26:29 tu as quand même des joueurs incroyables qui pourraient jouer ensemble.
26:32 Zion, quand il est sur le terrain, bien sûr, ça rayonne.
26:34 McCollum, je trouve qu'il s'était bien adapté,
26:36 qu'il était hyper important pour cette franchise.
26:38 Alors, effectivement, souvent en up and down,
26:40 mais capable de faire des choses extraordinaires.
26:42 Et là, encore une fois, Ingram revient.
26:44 Lui, il est absent.
26:47 J'ai du mal, de plus en plus de mal à croire à cette franchise.
26:50 Vraiment, beaucoup de courage aux supporters de cette franchise
26:54 parce que vraiment, on ne sait jamais ce qui va se passer.
26:56 Et je pense à Willie Green, parce que je me dis,
26:58 le pauvre, il n'aura jamais eu ses trois stars.
27:00 Alors, il y a d'autres joueurs autour, évidemment,
27:02 mais ses trois stars qui jouent ensemble,
27:04 et ça doit être vraiment complexe.
27:06 - C'est une franchise qui a été en tête de la Conférence West
27:08 l'année dernière, en mois de décembre.
27:10 - Vite fait, furtivement.
27:11 - Oui, mais ça l'a arrêté.
27:12 - Juste que Zion se blesse.
27:13 - Utah Jazz aussi.
27:14 - Oui, voilà.
27:15 - Zion s'est blessé, c'était fini.
27:16 Après, c'est dommage.
27:17 D'abord, il faut penser à la santé de l'homme,
27:19 au-delà du joueur, au-delà des implications de jeu.
27:23 Ça fait deux fois, il va falloir quand même
27:25 y mettre le nez très sérieusement,
27:27 parce que c'est quand même pas normal,
27:29 un pneu motoraxe pour un joueur,
27:31 comme ça, sans en décompte, un choc.
27:34 - C'est un affaissement du poumon, un pneu motoraxe.
27:36 - C'est loin d'être neutre.
27:37 - Tout le monde ne sait pas exactement ce que c'est.
27:39 - C'est un ballon qui se dégonfle.
27:40 - Voilà.
27:41 - Vous prenez un ballon, vous faites sortir l'air,
27:43 c'est à peu près...
27:45 Ne le crevez pas avec un couteau, quand même !
27:47 - Ça ne t'irait pas non plus, Jacques, voyons !
27:49 - Mais voilà.
27:50 Après, en plus, José Alvarado est blessé.
27:53 Ils sont en galère avec ça.
27:56 On verra, Willy Green,
27:57 comment il va manager ça avec son staff.
28:01 Non, c'est un problème, c'est un problème.
28:03 Comme s'il y avait un chat noir au plafond,
28:05 là-bas, à la Smoothie King Arena.
28:08 Ils ont qu'à envoyer les tranches volatiles
28:10 du filet des coups de bec.
28:11 Mais je ne sais pas, c'est dommage pour eux,
28:14 ils étaient sur un bon surf.
28:16 - On enchaîne, on regarde maintenant
28:17 ce qu'il s'est passé dans les trois autres matchs
28:19 de la nuit dernière.
28:20 On va prendre tout de suite la direction de Cleveland,
28:23 les Cavs qui accueillaient les Warriors.
28:26 Et Jacques, vous le disais avant la pub,
28:28 les Cavs n'ont pas battu ces Warriors
28:30 depuis le 25 décembre 2016.
28:33 Autant vous dire une éternité.
28:34 - Très bonne année pour les Cavs.
28:35 - Oui, et c'est un bon souvenir pour eux,
28:37 avec de belles finales, en plus, en 2016.
28:40 C'était magnifique.
28:41 Regardez, Draymond Green, l'arroseur arrosé,
28:43 certains diront, parce qu'il a pris un coup
28:46 dans les bijoux de famille.
28:48 - C'est joyeuse, Pâques.
28:50 - Et bonne année.
28:52 - Bonne année !
28:53 - On lui a sonné les cloches.
28:55 On va revenir au match.
28:56 Steph Curry, parce qu'on va voir quand même,
28:58 dans le début du match,
28:59 les Warriors nous faire le jeu des Warriors.
29:01 On va voir Klay Thompson aussi, à trois points.
29:04 Et puis, on va voir aussi Draymond Green.
29:06 Les Warriors qui sont plutôt à l'aise à l'extérieur
29:09 pour le moment sont devant au score.
29:11 - Invaincus.
29:12 - Invaincus, exactement.
29:13 Donovan Mitchell, lui, il n'a pas été mauvais hier soir.
29:16 Regardez, on l'a vu en pénétration.
29:18 Le voici à trois points.
29:20 Les Cavs repassent devant et creusent l'écart.
29:23 - Oui, oui, contre une équipe des Warriors
29:26 qui baisse au fur et à mesure,
29:28 alors qu'on a vu que Luke Walton est dans le stade.
29:30 - Darius Garland, qui est blessé, pas blessé,
29:33 mais qui était là hier.
29:34 - Oui, mais qui est important,
29:35 comme par hasard, il joue mieux quand il est là.
29:37 - Belle passe ici de Donovan Mitchell pour Jarrett Allen,
29:39 qui aussi a eu des problèmes de blessure en ce début de saison.
29:42 Les Cavs sont quasiment au complet,
29:44 voire au complet hier soir,
29:45 et ça va beaucoup mieux pour les quatre.
29:47 Le magnifique catch and shoot ici de Donovan Mitchell,
29:50 plus neuf pour les Cavs.
29:53 Mais avec les Warriors, on ne sait jamais.
29:55 Et s'il revenait au score, tout est possible.
29:58 Donovan Mitchell va mettre peut-être vite
30:00 un terme aux espoirs des Warriors.
30:03 La bonne passe de Draymond Green pour Kumunga, ici.
30:06 - Il n'y a pas eu beaucoup de points à l'intérieur, justement.
30:08 - Pour les Warriors, et puis au niveau du rebond,
30:11 ça a été extrêmement compliqué aussi.
30:13 - Ça reach, 0 points, ils se sont fait défoncer.
30:16 - Des Cavs qui avaient vraiment envie de s'imposer à la maison,
30:19 avec le professeur.
30:22 - Qui finit bien au dog.
30:23 - Exactement. Victoire des Cavs, 115-104.
30:27 C'est donc une fin de série de 16 défaites de suite.
30:30 Pour les Cavs, face aux Warriors, 12 en saison régulière,
30:33 4 en play-off. Curry est à 28, Draymond Green à 18,
30:37 Donovan Mitchell est à 31 points,
30:39 et Darius Garland à 24.
30:41 Evan Mobley a pris 16 rebonds.
30:43 La bataille au rebond, tu parlais du jeu à l'intérieur aussi,
30:46 a été largement dominée par les 4.
30:47 - En fait, on a l'impression qu'on a joué du small ball
30:49 contre du tall ball, et que c'est le tall ball qui a gagné.
30:52 Ça a défendu très dur, ça a empêché
30:54 beaucoup de marqués à l'intérieur.
30:56 Seulement 24 points marqués à l'intérieur pour Golden State.
31:00 Ce n'est pas beaucoup, alors que de l'autre côté,
31:01 il y en a 58, je crois, de mémoire pour Cleveland.
31:04 J'arrête, Alain, il est très important aussi.
31:06 Je crois qu'avec Mobley, ils sont à 25 rebonds à eux deux.
31:09 Ils ont marqué leur territoire, ils ont été durs.
31:11 - Mais dans les points intérieurs qu'on compte,
31:12 il ne faut pas raisonner qu'ils sont les big men.
31:14 Si vous ne prenez pas de rebonds,
31:15 vous ne faites pas de contre-attaques,
31:16 ce sont des points intérieurs, les contre-attaques.
31:18 - Exactement.
31:19 - Donc, ils se sont fait bouffer physiquement.
31:21 Ils ont un calendrier à l'extérieur en permanence,
31:23 ils n'ont joué que deux fois à la maison.
31:25 - Mais je crois que sur les 10 premiers matchs,
31:26 ils ont joué sept à l'extérieur, je crois.
31:27 C'est chaud pour eux, quand même.
31:29 - On écoute Donovan Mitchell,
31:30 bien content d'avoir mis fin à cette vilaine série.
31:52 - Donovan Mitchell qui réussit son début de saison.
31:55 - Ce qui est bien, c'est qu'avec le retour de Allen,
31:58 ça c'est individuel, moi je raisonne toujours.
32:01 Il a retrouvé une connexion avec Garland,
32:06 c'est important que cette équipe se construise.
32:08 Mais lui, on le sait que c'est un bon joueur.
32:09 On sait aussi qu'il n'aura aucun état d'âme
32:11 à quitter Cleveland si ça ne gagne pas.
32:13 - Quel meilleur marqueur NBA,
32:18 vous l'avez vu sur le tableau précédent ?
32:20 - Ils sont tous serrés là.
32:21 - Oui, très serrés.
32:22 C'est un titre informatif, bien sûr.
32:24 Qu'est-ce que vous pensez de cette équipe de Cleveland ?
32:27 Quand elle est au complet,
32:28 on a l'impression quand même que c'est une équipe
32:30 qui peut être dangereuse, non ?
32:31 - C'est bien de préciser quand elle est au complet.
32:32 Effectivement, avoir récupéré tout le monde,
32:34 c'est très important.
32:35 Leur densité physique à l'intérieur est très importante.
32:38 Je me répète souvent sur les intérieurs,
32:40 forcément c'est un défaut de fabrique.
32:42 Mais c'est vrai que moi,
32:43 j'aime beaucoup ce qu'ils proposent
32:44 avec Donovan Mitchell à ce niveau-là.
32:46 Il est capable de faire jouer les autres.
32:48 Sa relation avec Mobley, je suis d'accord,
32:49 hyper importante.
32:51 Moi, ça me plait ce qu'ils proposent.
32:53 - Mobley a été dans le dur sans Jarret Allen.
32:55 Jarret Allen revient, il est plus efficace.
32:58 Ils ont intégré George Young,
33:00 le grand ami de Rémi, le minivan,
33:02 qui peut shooter à 3 points malgré son gros short.
33:05 Et puis surtout le professeur Struus,
33:07 avec Levert, avec Struus,
33:08 ça fait des joueurs d'impact.
33:10 C'est une équipe intéressante
33:12 qui, dans la conférence Est,
33:14 derrière les deux gros,
33:15 et surtout en ce moment,
33:16 un seul vraiment très gros, est Boston.
33:18 Ils peuvent finir 3e comme 7-8.
33:22 Ils vont être plutôt, à mon avis...
33:24 - Mais pas toujours bons à prendre en play-off, peut-être.
33:26 - Sauf par l'Enix.
33:27 - Voilà, exactement.
33:29 - Attention, comme en play-off,
33:30 Donovan Mitchell a tendance à baisser un petit peu aussi.
33:32 - Mais le problème, Fred,
33:33 c'est qu'il ne faut pas que cette équipe
33:34 ne gagne que quand il met 30 points.
33:36 - C'est exactement ça.
33:37 - Il faut qu'il arrive, lui, à partager.
33:40 C'est un peu l'enjeu de sa carrière.
33:42 - On regarde maintenant ce qui s'est passé
33:44 entre les Grizzlies et les Blazers.
33:46 Les Grizzlies qui n'ont toujours pas gagné cette saison,
33:49 on le rappelle,
33:50 et ils ont besoin un peu de lancer,
33:52 en fin de saison,
33:53 les coéquipiers de Jamorent,
33:56 absent toujours Taylor Jenkins,
33:58 qui espère enfin débloquer ce compteur,
34:00 face à Jeremy Grant et les Blazers.
34:04 - Voilà.
34:05 - Michael Brogdon.
34:06 Ça va nous permettre de faire une petite révue d'effectifs
34:08 de ces Blazers.
34:09 Ça, c'est magnifique.
34:10 - Mais il n'y a pas en faire ni Simons.
34:12 - Skyler Mays.
34:14 - A trouver des joueurs.
34:17 - Et c'est un match assez serré,
34:18 plutôt dynamique,
34:19 plutôt sympathique.
34:20 - Lui a été très bon depuis le début de saison,
34:22 le 17, chez Donn Charr.
34:24 - Jaren Jackson Jr.
34:26 pour permettre aux Grizzlies de passer devant.
34:29 À trois points, au buzzer,
34:30 ça rentre aussi ici pour les Grizz.
34:32 - Avec le retour de Santi Aldama
34:34 et de Luke Kennard pour les Grizz.
34:37 - Jeremy Grant qui permet aux Blazers
34:40 de rester au contact de ces Grizzlies.
34:45 - Chez Donn Charr encore.
34:47 - Qui est vraiment extrêmement précieux
34:49 et qui montre énormément de choses.
34:50 - Ça, c'est le double step back de Desmond Bayne.
34:52 Pas mal celui-là.
34:53 - Pas mal.
34:54 Mais une majorité de ses points,
34:55 c'est un truc d'entraînement.
34:58 Un truc mis en place facile.
35:02 - Ça rentre encore une fois à trois points.
35:04 Il n'y a que quatre points d'écart entre les deux équipes.
35:06 On est dans le quatrième carton.
35:08 On a vu chez Donn Charr, encore ici,
35:10 faire de belles choses.
35:12 - Brock Donn qui est tranquille.
35:13 On se demande ce qu'il fait là.
35:14 Il a l'air perdu.
35:15 - Il a l'air complètement perdu.
35:16 C'est incroyable.
35:17 - Plus cinq.
35:18 Desmond Bayne, encore une fois à trois points.
35:20 Il va prendre les choses en main
35:21 en cette fin de match,
35:22 en servant bien ici,
35:23 Jaren Jackson Jr.
35:25 Plus six pour les Grizzlies.
35:27 Et encore une fois à trois points,
35:29 Luke Kennard.
35:30 - Il canarde toujours.
35:32 Et puis on sait aussi que,
35:33 pour ajouter Aldama et lui,
35:35 l'équipe est un peu mieux.
35:36 Ça avait permis de gagner à Portland.
35:39 - Alléluia !
35:40 - Oui.
35:41 - Une victoire et six défaites pour les Grizzlies.
35:43 - Et l'utilisation de Bismack Bionbo.
35:45 Parce que c'est bien gentil,
35:46 mais ils sont trop faibles à l'intérieur.
35:48 Et défensivement, il a été très utile.
35:50 - 30 points.
35:51 - Et D'Andre-Ayton, il a galéré absolument
35:53 dans ce match-là.
35:54 - Oui, il galère.
35:55 - Il galère.
35:56 Vraiment très mauvaise surprise.
35:57 - Il galère souvent.
35:58 - Oui, il n'est pas connecté basket.
35:59 Il y a un truc.
36:00 - Oui.
36:01 - Sachez aussi que Scott Anderson
36:02 n'a pas joué du côté des Blazers.
36:05 C'est un début de saison difficile.
36:07 Écoutons Desmond Bayne.
36:08 Écoutons un Grizzlies content d'avoir gagné.
36:11 - Ça sent bien.
36:12 On a joué dur.
36:14 Chaque nuit, on a tout fait.
36:16 Je suis fier de ces gars.
36:18 Le fait qu'on soit tous ensemble
36:19 dans la salle de bain
36:20 et qu'on soit positifs.
36:22 Ça sent bien d'être sur le plateau.
36:24 Mais maintenant, on doit aller à la maison,
36:25 se reposer et se préparer pour lundi.
36:27 J'ai pris beaucoup de mal sur mes épaules
36:29 depuis la dernière partie.
36:30 La façon dont on a fermé le match.
36:32 La façon dont on s'est mis au bout.
36:34 J'étais un peu enceinté,
36:35 comme un équipe.
36:36 J'ai pris le coup de moi-même
36:38 pour me calmer.
36:39 Pour me calmer.
36:40 Pour avoir ce que je voulais
36:41 sur l'offensive.
36:42 JJ a fait des joueurs.
36:43 Luke a fait des gros coups.
36:44 Biz.
36:45 La liste continue.
36:47 On enchaîne.
36:48 On regarde ce qu'il s'est passé maintenant
36:49 dans la dernière rencontre de la soirée.
36:51 Commentez avec brio par Radio Lala ce matin.
36:54 Sur Bein Sport,
36:55 les Mavs de Luka Doncic,
36:57 les Mavs qui ont perdu qu'une seule fois cette saison,
36:59 étaient opposés aux Hornets de la Mélobowl
37:02 que l'on voit ici à l'image.
37:04 La Mélobowl.
37:05 Et Kairi Irving aussi était là.
37:07 Parce que lui aussi,
37:08 des fois il est là,
37:09 des fois il n'est pas là.
37:10 Mais il s'entend plutôt bien
37:11 avec Luka Doncic.
37:12 Regardez.
37:14 Trois points pour Kairi Irving.
37:16 Ah ben, une passe longue,
37:17 elle va plus vite qu'un dribbler.
37:18 Même si elle va plus vite.
37:19 Ben ouais, c'est bon.
37:20 La Mélobowl ici,
37:21 qui sert bien Gordon Eward aussi.
37:23 Il s'entend très bien.
37:25 Il revient la Mélobowl là.
37:26 On va avoir un énorme match de la Mélobowl
37:28 et notamment une énorme fin de match de sa part.
37:31 Superbe passe encore,
37:32 une fois ici de la Mélobowl.
37:34 Et c'est un match dans lequel les Hornets
37:37 comptent plus de 10 points d'avance.
37:39 PJ Washington qui nous met un joli dunk main gauche.
37:44 Il s'est affiné lui, dans son absence.
37:46 Kairi Irving, celle-ci aussi,
37:47 elle est pas mal.
37:48 Ça joue bien quand même dans cette rencontre.
37:50 C'est plutôt plaisant à regarder.
37:52 Et les Mavs sont revenus au score.
37:54 Eh ben, ça aussi c'est pas mal.
37:56 Ça vous plaît ?
37:57 C'est délicat ?
37:58 C'est fin ?
37:59 La défense sur l'homme est excellente.
38:03 Ils vont réussir un énorme run.
38:05 Les Mavs, un 14-4 infligé aux Hornets
38:09 avec Timardaouet Jr.
38:11 que l'on a vu ici en 1995.
38:13 Et là, Ivly qui est toujours pas mal.
38:15 Eh bien, il fait un gros double-double encore.
38:17 Vraiment bien servi par Lucas Dantzic.
38:20 96 à 100.
38:22 Ce n'est pas terminé,
38:23 même si Lucas Dantzic réussit des merveilles.
38:26 La Mélobowl va aussi réussir des merveilles
38:28 dans ce quatrième quartan.
38:30 Il va être époustouflant,
38:31 il va inciter les joueurs à se faire défendre.
38:33 Il va être époustouflant,
38:34 il va inscrire 23 points.
38:36 Mais ce sont les Mavs qui sont toujours devant
38:39 avec Lucas Dantzic en pénétration.
38:41 Le rebond, tiens, pour la Mélobowl.
38:43 Qu'est-ce qu'il va faire ?
38:44 Il va lui chuter.
38:45 Oui, il va le mettre en plus.
38:47 Vu la confiance qu'il avait affichée pendant tout le match,
38:49 c'est logique qu'il puisse le prendre tranquillement.
38:50 C'est comme ça les mecs, ils voient le circuit.
38:52 Il reste 8 secondes.
38:54 Plus 3 pour les Mavs.
38:55 La possession, elle est pour les Hornets.
38:57 Alors, ah ben non.
38:58 Erreur de jeunesse.
38:59 Je crois que ça existe, 5 secondes.
39:01 J'ai pas dit que c'était pas existe.
39:03 A bande de milleurs,
39:04 ils n'ont même pas pu disputer cette dernière possession.
39:06 Théo Maldon qui joue des 9 points.
39:08 Qui joue, qui joue.
39:09 9 points.
39:10 Qui joue, regardez, on va voir là.
39:12 9 points, 4 passes pour Théo Maldon
39:14 qui a eu du temps de jeu hier soir
39:16 dans le triple double de la Mélobowl.
39:18 30-10 et 13.
39:20 On a quand même 7 joueurs à plus de 10 points.
39:22 Du côté des Mavs, c'est bien sûr Lucas Dantzic
39:25 qui est le meilleur marqueur.
39:27 Lucas Dantzic, il n'avait pas marqué sur le premier carton.
39:29 Ça n'arrive jamais que Lucas Dantzic ne marque pas
39:31 et finalement il s'est rattrapé sur les 3 qui arrivaient.
39:33 Non, non, c'est bien.
39:35 Une répartition comme ça, c'est assez rare aux Mavrix.
39:38 Ça fait du bien, c'est un petit peu différent
39:40 de ce qu'on a pu voir l'année dernière par exemple.
39:42 Charlotte.
39:44 Ça va être long peut-être pour Charlotte.
39:45 Un mot sur Grant Williams.
39:47 Brandon Miller aussi, là,
39:48 c'est le numéro 2 de la draft.
39:50 Il a commencé assez haut.
39:52 Il est en train de baisser, il est sorti du 5.
39:54 Est-ce que des soucis ?
39:56 Je sais pas.
39:57 On peut faire confiance à Steve Clifford
39:59 qui est un vrai bon performateur.
40:01 Il ne forme pas des mecs en rugby,
40:03 mais accompagnateur de talent comme ça.
40:05 On verra.
40:07 Son histoire de vie, elle est quand même très très complète.
40:09 C'est très touchy.
40:11 Il fournit un gun à quelqu'un qui va faire du work.
40:13 Le moins que tu puisses dire, c'est que c'est touchy.
40:15 Pour performer à haut niveau,
40:17 ce n'est pas toujours évident.
40:19 Il est le numéro 2 de la draft.
40:21 Il a commencé correctement et on constate
40:23 qu'il baisse comme globalement.
40:25 C'est un peu le cas.
40:27 J'en parlais avec Rémi et Xavier.
40:29 C'est un peu le cas chaque année.
40:31 Première semaine,
40:33 plein d'énergie, d'adrénaline.
40:35 Deuxième semaine, au bout de 10 jours,
40:37 un petit coup de moins bien.
40:39 Il va falloir qu'ils prennent le rythme tous.
40:41 On va voir.
40:43 Il va en rester sans le compter.
40:45 On va voir cette semaine ce qui se passe.
40:47 C'est le but des 82 heures.
40:49 C'est une machine à laver.
40:51 Justement, tu parlais de Scott Anderson,
40:53 il n'a pas réussi à l'achever.
40:55 Il n'est pas au top.
40:57 Pas si performant que ce qu'il a vendu.
40:59 Il a quand même beaucoup ramené.
41:01 Il a beaucoup parlé, en effet.
41:03 Le MVP, messieurs de la soirée.
41:05 K.E.D. pour moi.
41:07 Et pour toi ?
41:09 K.E.D. aussi.
41:11 On a mis Scottie Barnes dans un retour.
41:13 C'était peut-être face aux Spurs.
41:15 Mais il a été exceptionnel dans le 4e quartant.
41:17 Victoire des Raptors
41:19 face aux Spurs après prolongation.
41:21 Regardons le top 10.
41:23 (Musique)
41:25 (Musique)
41:27 (Musique)
41:29 a
41:39 à la fin de la semaine. On se retrouve le 22 juin pour une nouvelle vidéo. A la prochaine !
41:59 Salut !
42:12 Salut !
42:32 Salut !
42:52 Salut !
43:16 Salut !
43:28 Salut !
43:50 Salut !

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