PSG : Manu Petit met un petit taquet à Paris, jugé moins fort que la saison dernière

  • l’année dernière
Dans le grand débat du jour dans Rothen s’enflamme, Manu Petit livre son ressenti sur le PSG new look version Luis Enrique : il estime que Paris est moins fort que la saison dernière, quand Neymar et Lionel Messi étaient encore là.
Transcript
00:00 RMC Rotten sans flamme
00:02 - Je m'en fous moi, je suis pas Didier Deschamps !
00:04 Moi je suis Jérôme Rotten, sélectionneur !
00:06 - ROTTEN EST TRONQUE !
00:08 - Faites entrer l'accusé !
00:10 - Et là je cache pas mon impatience. On lance le procès du PSG dans Rotten sans flamme ce soir.
00:14 Paris accusé d'être moins fort que l'an dernier.
00:18 Tout a changé cet été, le départ de Galtier, le départ des stars Neymar, Messi et Verratti,
00:23 l'arrivée du nouveau coach Luis Henrique, la nouvelle méthode, la nouvelle politique,
00:27 l'arrivée des joueurs à fort potentiel, Colomagny, Ugarté, Gonçalo Ramos, Dembélé.
00:32 On rappelle la saison dernière, Paris a terminé champion, Paris a fait 8e de finale de Coupe de France battue par Marseille,
00:38 8e de Ligue des Champions en terminant 2e de sa poule derrière le Benfica et en étant battu à l'aller et au retour par le Bayern Munich.
00:45 Et puis cette saison, après 15 matchs disputés toutes compétitions confondues, 9 victoires, 3 nuls, 3 défaites,
00:51 Paris 2e de Ligue 1, Paris 2e de son groupe de Ligue des Champions et ce bémol, cette difficulté à répondre présent dans les grands matchs à l'extérieur.
00:59 Alors le PSG est ce soir accusé d'être moins fort que l'an dernier.
01:03 L'accusation va être menée par le procureur Petit. Bonsoir monsieur le procureur.
01:07 - Bonsoir. - Le PSG sera défendu par Maître Rotten. Bonsoir Maître.
01:10 - Bonsoir à tous. - Et le verdict ?
01:13 Le verdict sera rendu par un supporter parisien.
01:16 - Mais non, mais il est peut-être neutre, peut-être qu'il est de ton avis Manu.
01:18 C'est Ismaël qui nous rejoint. Salut Ismaël. - Bonsoir Ismaël.
01:21 - Salut RMC, salut Rotten Sandplam. - Salut Ismaël, ça va ?
01:25 - Oui ça va, ça va bien. - Je t'ai fait rêver ou pas Ismaël ?
01:28 - Franchement, tu m'as fait rêver jusqu'à ce que tu froisses le track de la Tribune Hôtel.
01:33 - Oh ouais, je suis d'accord avec toi Ismaël. - Tu peux gagner Manu, tu vois.
01:37 - Alors on n'a pas le droit Ismaël. - Là tu m'as blessé là.
01:40 - On n'a pas le droit d'avoir un mauvais geste, on n'a pas le droit d'avoir un moment de faiblesse, un moment de caractère.
01:47 - Mais tant mieux. - A ta décharge Jérôme, c'était une période difficile du PSG.
01:52 T'as été l'un des seuls à me garder la tête hors de l'eau.
01:56 - Donc Ismaël, passons, tu sais pour qui voter à la fin de ce...
02:00 - Non mais moi je suis convaincu de l'impartialité d'Ismaël.
02:03 - Attention Jérôme, parce que Manu Petit m'a fait rire avant toi.
02:06 - Ah bah oui, pardon. - Tu as quel âge Ismaël ?
02:08 - J'ai 36 ans. - Ah d'accord.
02:10 - Bon allez, allons-y messieurs. Monsieur Petit, vous prenez la parole pour vous sur ce début de saison.
02:14 Le PSG est moins fort que l'an dernier.
02:17 - C'est l'impression que ça me laisse à chaque fois, depuis le début de saison.
02:20 Alors je sais, certes, ils ont changé de plan sportif,
02:25 beaucoup de joueurs sont partis, d'autres sont arrivés, c'est des jeunes joueurs,
02:28 il faut que ça monte en puissance, nouvel entraîneur, nouvelle philosophie, tout ça je le comprends malgré tout.
02:32 L'impression que j'ai à chaque fois quand je finis un match du Paris Saint-Germain,
02:36 j'ai le sentiment que l'année dernière il y avait quand même des joueurs beaucoup plus calibrés,
02:40 et qui à n'importe quel moment pouvaient faire la différence.
02:43 Il n'y avait pas une dépendance, elle était déjà la dépendance à Mbappé,
02:47 mais elle était partagée avec Neymar, avec Messi.
02:49 Aujourd'hui, j'ai l'impression que si Mbappé ne marque pas, je ne sais pas d'où les buts vont arriver.
02:54 Et pire encore, c'est que je n'ai jamais vu le Paris Saint-Germain prendre autant de vagues sur le plan défensif,
03:01 être autant coupé en deux dans le bloc.
03:06 C'est les critiques qu'on émettait l'année dernière.
03:08 Je me rappelle les critiques virulentes sur Messi, il ne fait que marcher et que marcher.
03:13 Je ne vois pas la différence cette année, je vous prie de m'excuser.
03:16 Je ne parle pas de la mentalité des joueurs, de l'implication des joueurs, je ne remets pas ça en question.
03:21 Même en changeant, je ne vois pas des choses qui ont évolué, des choses nouvelles,
03:28 qui me laissent penser que bizarrement on est sur la bonne direction.
03:33 Au contraire, je trouve que si tu prends ligne après ligne, tu ne vas pas me dire que Skriniar est meilleur que Ramos,
03:39 même si Ramos était loin de son niveau.
03:41 Mais Ramos, quand je suis revenu et qu'il enchaînait les matchs, je trouvais plutôt qu'il était meilleur que Skriniar.
03:46 Au milieu de terrain, Verratti n'étant plus là, les premiers relances, il n'y a pas de créateur.
03:51 Il y avait un des articles, justement, après le match de Milan, sur le fait que Mbappé ne reçoit plus de ballon,
03:58 il n'arrive plus à faire la différence.
04:00 Excusez-moi, qui donnait les ballons à Mbappé ? C'était Neymar et c'était Messi la plupart du temps.
04:04 Aujourd'hui, dans toutes les lignes, pour moi, il y a des carences.
04:08 Il y a un niveau qui est moins élevé que la saison précédente.
04:12 Il y a d'autres domaines sur lesquels j'attends de voir pour vraiment m'enflammer,
04:17 mais je considère qu'aujourd'hui, le Paris Saint-Germain ne me donne pas des gages qui sont meilleurs que l'année dernière.
04:23 Au contraire, je trouve que la saison dernière, on a assisté à six mois incroyables.
04:28 Alors, il va me parler de l'accusation. La défense va dire "oui, mais l'année dernière, on le bénéficiait",
04:34 tout ça, sauf qu'ils n'ont pas perdu l'année dernière en Ligue des champions, en poule.
04:38 Même s'ils ont fait des résultats méloques à l'extérieur, ils ne perdaient pas.
04:42 Ils vont me dire "oui, c'est la poule de la mort cette année".
04:44 Excusez-moi, le PSG a quand même largement les moyens aussi de rivaliser avec ces équipes-là.
04:48 Donc oui, c'est l'impression que me donne ce Paris Saint-Germain aujourd'hui.
04:52 C'est qu'il y a des joueurs qui sont moins bons et je trouve que dans la philosophie aussi de Louis Sénériqué,
04:56 la façon de faire jouer son bloc relativement haut, en faisant partir, en aspirant l'adversaire,
05:02 je trouve qu'il n'y a pas les profils pour ça.
05:04 Et surtout, les joueurs qu'ils ont engagés devant ne correspondent pas à la philosophie
05:08 que veut mettre en place Louis Sénériqué, parce qu'on est souvent sur des blocs bas,
05:12 alors qu'on a des joueurs qui sont capables d'amener le danger face à des blocs hauts.
05:16 Donc j'ai du mal à me projeter en fait.
05:19 Parole à la défense, maître Rotten. Pour vous, le PSG, cette année, est bien plus fort que celui de l'année dernière.
05:24 Moi, je suis atterré de voir que la personne qui a commenté les matchs de Ligue des champions l'année dernière
05:32 du Paris Saint-Germain, c'est M. Petit.
05:34 - Et cette année aussi.
05:35 - Que cette année aussi, et de nous dire au bout de trois mois de stratégie différente,
05:41 d'une équipe qui vient de se reformer, que ça y est, cette équipe du PSG, elle est inférieure à l'année dernière.
05:47 Mais c'est oublier ce qui s'est fait tout au long de l'année, l'année dernière.
05:51 Déjà, la première des choses, pour rappeler un petit peu, il en a un petit peu parlé sur la phase de poule l'année dernière de Ligue des champions à ce moment-là.
05:59 Où, en effet, il n'y avait pas une équipe en reconstruction, parce que cette équipe, elle était ensemble depuis plus de deux ans, trois ans.
06:05 - Vous voulez que je rappelle la poule ?
06:06 - Non, non, pas besoin. Moi, je vais vous la rappeler, la poule.
06:09 Le PSG, l'année dernière, a fait des matchs nuls, a fait des matchs catastrophiques.
06:16 Rappelez-vous de la première mi-temps Maccabi Haifa.
06:18 Maccabi Haifa, on ne parle pas de Liverpool, on ne parle pas de Naples.
06:22 Non, Maccabi Haifa, où le PSG ne répond pas présent, est sauvé par ses individualités, comme très souvent.
06:29 Le problème, c'est que ça n'a pas suffi contre Benfica.
06:32 Benfica, l'ogre Benfica, le futur champion d'Europe.
06:34 Ah non, je déconne. Non, non, non.
06:36 Aujourd'hui, Benfica, ils prennent des tartes partout.
06:39 - Et l'année dernière, ils ont fait un bon parcours.
06:41 - Oui, oui. Bon, à l'arrivée, ils n'ont pas gagné la Coupe d'Europe.
06:44 - On parle de l'année dernière, là, c'est le résultat.
06:46 - Ils mélangent les deux.
06:48 - C'était une équipe moyenne, comme la Juventus de Turin.
06:50 Mais oui, on va dire, là, ça arrange M. Petit de dire la Juventus de Turin, quand même.
06:55 Le PSG a réussi à éliminer du groupe la Juventus de Turin, qui était une toute petite Juventus de Turin.
07:01 L'année dernière, le PSG, sur ses phases de poule, en ayant, soit disant, la meilleure période avant la Coupe du Monde,
07:08 entre le mois d'août et le mois d'octobre, donc fin octobre, où les championnats et la Ligue des champions, c'est fini,
07:14 le PSG a fini deuxième de cette poule-là.
07:17 Ce qui lui a valu de tirer en huitième de finale le Bayern de Munich, et de ne pas exister sur les deux matchs.
07:24 Et pourtant, il y avait des stars sur le terrain, parce que Bappé était blessé,
07:27 mais vu que Bappé est encore là, c'était pas une star par rapport au talent de Léo Messi, au talent de Neymar, au talent de Verratti.
07:33 À l'arrivée, ces joueurs-là, avec tout le talent qu'ils ont, et qu'ils avaient ailleurs, mais pas toujours au Paris Saint-Germain,
07:39 et pour certains, pas du tout au Paris Saint-Germain, hein, je nomme M. Messi,
07:43 à l'arrivée, ils n'ont pas existé, ils sont passés à côté.
07:46 Et que, sur la deuxième partie de saison dernière, ceux qui sont supporters du Paris Saint-Germain,
07:51 rappelez-vous ce qui s'est passé en fin de saison, hein, les banderoles, les ceci, les cela,
07:56 pour en arriver là, sur des joueurs qui sont des stars, hein, quand même, hein,
08:02 on parle de Léo Messi, on parle de Neymar, on parle de Verratti, qui était là depuis plus de dix ans, on parle d'autres,
08:07 dire pour que les supporters en aient ras la casquette de leurs attitudes,
08:12 et parce qu'il n'y avait que le nom qu'ils présentaient au Paris Saint-Germain,
08:15 et certainement pas le talent sur le terrain, où il n'y avait pas de talent individuel,
08:19 et il y avait encore moins de bases collectives.
08:22 - D'accord, vous allez perdre le titre, d'ailleurs.
08:23 - Exactement. Rappelez-vous, juste pour me dire que l'équipe, elle était plus forte l'année dernière,
08:29 entre le mois de janvier, après Coupe du Monde, l'après Coupe du Monde,
08:32 et donc la fin du championnat, début juin, tout début juin, là, il y a eu dix défaites,
08:38 dix défaites du Paris Saint-Germain, toute compétition.
08:41 - Il y en a déjà trois cette saison.
08:42 - Dix défaites ! Non mais vous vous rendez compte, quand même, on parle de défaites à domicile,
08:47 contre Clermont et Jean Paz, parce que ça on oublie, les défaites, donc les deux défaites en Ligue des Champions
08:52 contre le Bayern Munich, où il n'y a même pas eu un petit peu d'espoir,
08:56 quand les supporters du PSG, même les joueurs, ils n'y ont jamais cru,
08:59 parce que le Bayern était plus fort collectivement, basta !
09:02 Donc cette année, quand tu reconstruis quelque chose avec un entraîneur qui a des idées,
09:06 qui a des idées très claires, qu'il le montre, parce qu'il y a une progression,
09:10 alors oui, vous allez me noter que le dernier match que M. Petit a commenté à Milan,
09:15 ils n'étaient pas au niveau, on est d'accord, comme ils n'ont pas été au niveau à Newcastle,
09:20 mais les autres matchs, là, à domicile, qui ont été très bons et qui ont été gagnés,
09:24 ils étaient au niveau ou pas ?
09:25 - Dans ce qu'on est contre le Milan.
09:26 - Est-ce qu'il y avait une progression ? Est-ce que collectivement, on a vu une vraie équipe de football ?
09:30 - Il te rassure également ?
09:31 - À domicile, oui ! Il y a le bémol à l'extérieur.
09:35 - Mais ça ne suffit pas, ça !
09:36 - Mais pour l'instant, ça ne suffit pas. Par contre, son argument ne suffit pas
09:39 pour dire que l'année dernière, ils étaient beaucoup plus forts.
09:41 - Moi, je te pose une question, Gérard.
09:42 - Non, non, non ! Là, il y a une vraie équipe, il y a une vraie cohésion,
09:45 et vous verrez que ça me donnera raison en fin d'année.
09:48 - Après, c'est le verdict d'Ismaël.
09:50 - Je vais te poser une simple question.
09:52 Si tu prends le 11 titulaire de l'année dernière, tu l'alignes face au 11 titulaire d'aujourd'hui,
09:56 d'après toi, qui gagne ?
09:57 - Qui gagne ?
09:58 - Qui gagne ?
09:59 - Avec les mêmes coachs, hein ?
10:00 - Oui, avec les mêmes coachs.
10:01 - Le coach Galtier l'année dernière, et puis ce n'est qu'aujourd'hui,
10:03 et tu prends des fois les mêmes joueurs dans les deux équipes.
10:06 - Mais moi, je suis persuadé que c'est l'équipe d'aujourd'hui qui gagne.
10:08 - Ah non, non, non !
10:09 - Mais bien sûr, bien sûr !
10:10 - Non, non, mais sincèrement, moi, je vois plutôt l'équipe de l'année dernière qui gagne.
10:13 - Mais pas du tout, mais pas du tout, l'année dernière, ton joueur préféré,
10:19 8e ballon d'or, Léo Messi, il se traînait sur le terrain, il marchait…
10:22 - Tu vois ce que je veux dire ? On en arrive là, en fait.
10:24 - Neymar, Neymar !
10:25 - Il est tellement, tellement fier, tellement dégoûté, qu'il ne voudra jamais reconnaître
10:29 qu'il s'est trompé, en fait.
10:30 - Mais Neymar, il fallait le prendre… Non, mais vous parlez de l'équipe quand il était sur le terrain
10:34 ou quand il était absent, comme Verratti ?
10:35 - Vu qu'il joue un match sur deux, je te signale quand même que Neymar et Messi ne jouent pas au PSG cette année.
10:40 - Non, non, mais d'accord, mais l'année dernière non plus, hein !
10:43 - Alors, toutes les critiques des supporters parisiens envers ces joueurs-là, je vous signale quand même que cette année,
10:47 je vous le répète, les mêmes paroles sont terminées.
10:50 - Non, non, je te signale juste que l'année dernière…
10:52 - Tu vas me faire croire que Messi est moins bon que Dembélé ou que Neymar est moins bon que Colombo.
10:56 - Mais d'accord, mais avec…
10:57 - Est-ce qu'on parle de verdict, s'il vous plaît ?
10:58 - Et que Verratti est moins bon que les joueurs du mieux de l'argent.
11:00 - Mais par contre, Ismaël, c'est à toi. Le verdict de ce procès, qui remporte ce procès, Jérôme ou Manu ?
11:04 - Alors, déjà, avant de commencer, des bons arguments des deux côtés.
11:08 Voilà, je pense que Jérôme et Manu étaient bons dans chacun de leurs camps.
11:15 Mais moi, ce que je veux dire, c'est qu'intrinsèquement, effectivement, Manu a parlé de Messi, Ramos…
11:21 - Verratti.
11:23 - Mais Verratti, c'est-à-dire qu'effectivement, ces joueurs-là, de manière intrinsèque, sont meilleurs que ceux qu'on a cette année.
11:29 Mais moi, ce que je vois, c'est qu'il y a une meilleure cohérence tactique, effectivement, pour cette année, avec l'équipe.
11:36 - La mentalité, tu parles, la cohésion.
11:38 - La mentalité, la cohésion. C'est vrai que là, on voit quand même quelque chose qui est en train de se construire tactiquement.
11:44 Après, là, on ne peut pas dire effectivement que le PSG…
11:48 Pour moi, on ne peut pas dire que le PSG est plus fort que celui de l'année dernière.
11:51 Mais déjà, au niveau de…
11:54 - Il n'est pas plus fort, mais il n'est pas moins fort.
11:56 - Il n'est pas moins fort. Pour moi, il n'est pas moins fort.
11:59 - Ah, mais il faut un vainqueur, Ismaël. Ça ne m'arrange pas.
12:02 - Oui, mais là où l'année dernière, l'équipe, qui pour moi, était au maximum de ce qu'elle pouvait faire,
12:08 là, c'est une équipe en reconstruction qui n'a pas encore tout développé son potentiel, avec un coach qui vient juste d'arriver, avec une mentalité…
12:15 - Donc c'est Jérôme qui gagne, si je comprends bien.
12:17 - Oui, bien sûr.
12:18 - C'est assez équilibre entre les deux.
12:20 - Ça ne m'a tué nul.
12:21 - C'est pas l'otage, mais bravo à Jérôme.
12:23 - Merci Ismaël d'avoir participé, en tout cas.
12:25 Et tu reviens quand tu veux pour participer à Rotten sans flammes.
12:28 Victoire de…
12:29 Oh !
12:30 - Oh, c'est pas possible, c'est ma faute ! C'est moi qui ai gagné !
12:32 - Ah, c'est le moment.
12:33 C'est le moment de vous inscrire pour ouvrir le coffre RMC.
12:36 Aujourd'hui, l'un d'entre vous viendra l'ouvrir dans Rotten sans flammes.
12:38 - Les 60 000 sont ici.
12:39 - Si vous voulez tenter de gagner les 60 000 euros qui ne sont pas tombés,
12:42 aujourd'hui, c'est la valeur d'un lingot d'or, vous envoyez "coffre" par SMS au 7 32 16.
12:46 Manu reste là, Jérôme aussi.
12:48 - Comment on l'écrit ?
12:49 - C-O-2-F-R-E.
12:50 - C'est toujours important de le préciser.
12:52 - C'est pour Pascal Ollméta si jamais il veut envoyer un texte.

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