Retrouvez toutes les émissions de France Bleu Besançon sur le site www.francebleu.fr/besancon
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00:00:00 sur France 3 Bourgogne, France Comté.
00:00:02 Ici, c'est France Bleu Besançon, à la radio, sur l'appli Ici, tous les réseaux, et sur
00:00:13 France 3.
00:00:14 Et bonjour, bon lundi les amis, bonjour Marion Streffel.
00:00:17 Bonjour Paul, bonjour tout le monde.
00:00:18 Dans la prochaine demi-heure, des balades, des rencontres, des entreprises francompoises
00:00:22 qui font des choses incroyables, qui nous rendent bien des services et en plus qui prennent
00:00:25 soin de la nature ce matin.
00:00:26 On va nettoyer votre façade, allez voir.
00:00:30 Pourquoi j'ai des marques sur la joue ? C'est une expression, voyez ce que je veux dire.
00:00:36 Non, votre maquillage est parfait.
00:00:37 Bon, c'est dans l'écho d'ici, c'est à 7h15.
00:00:40 Bon réveil, bon lundi, belle semaine et merci d'écouter ou de regarder France Bleu chaque
00:00:45 matin.
00:00:46 La première radio en France Comté, il est 7h.
00:00:51 Bon, c'est quoi ce ton ? Ce ton, c'est un petit côté tempête, quand même aujourd'hui
00:00:57 en France Comté.
00:00:58 On va se plaindre quand même quand on a vu ce qui s'est passé sur la côte de l'Atlantique
00:01:01 et dans le Pas-de-Calais, mais quand même, pluie, nuages, vent, voilà ce qui nous attend
00:01:06 aujourd'hui en France Comté.
00:01:07 Donc, on sort, on s'habille pour sortir.
00:01:10 C'est plutôt pas mal, mais pas trop quand même parce qu'il va faire doux jusqu'à 17
00:01:13 degrés cet après-midi.
00:01:14 La route normale, on va dire pour un lundi, alors qu'il est sur le haut doux, le passage
00:01:19 à la frontière suisse se fait tranquillement.
00:01:22 Voilà, comme d'hab, sur le Grand Besançon et Reims pour l'instant.
00:01:24 La Haute-Saône, vous roulez bien, en cas de souci, 038833111.
00:01:29 Partout dans le pays, les Français ont manifesté pour dénoncer les actes antisémites à Besançon.
00:01:35 Il y a eu quelques frictions, mais rien de grave, Marion.
00:01:38 Oui, au lendemain des manifestations, on a surtout envie de retenir que les Français
00:01:41 ont bravé le mauvais temps, la pluie, pour montrer une image d'union face à l'antisémitisme.
00:01:46 105 000 personnes ont défilé à Paris, entre 400 et 600 à Besançon.
00:01:51 Philippine Thibodeau à Besançon, la belle image d'union a malgré tout effectivement
00:01:55 été écornée avec quelques frictions au début de la manifestation.
00:01:59 Le ton monte rapidement entre des militants du collectif des Juives et Juifs Révolutionnaires
00:02:04 et d'autres participants.
00:02:05 La mère de Besançon, Anne Vignot, intervient.
00:02:10 Je ne veux pas défiler avec l'ORN, non plus.
00:02:13 Une position que soutient Barbara Romagnan, secrétaire de la Ligue des droits de l'homme
00:02:17 à Besançon.
00:02:18 C'est un mouvement qui a été créé par des fascistes, des racistes et des antisémites,
00:02:22 maintes fois condamnés comme tels, donc ils n'ont rien à faire là.
00:02:24 Les esprits s'apaisent pour écouter les discours des uns et des autres.
00:02:27 Il n'est pas admissible.
00:02:29 Avant une autre interruption.
00:02:30 Pour calmer les choses, Ginette, 77 ans, brandit innocemment sa colombe dessinée sur
00:02:36 sa pancarte.
00:02:37 Pour expliquer que nous ne sommes bons qu'un seul groupe humain.
00:02:41 Pour Marie, 78 ans, l'antisémitisme a toujours été là, quotidiennement.
00:02:46 Des sournoisements, des petites remarques, des blagues qui courent toujours.
00:02:49 Depuis le début de la guerre entre le Hamas et Israël, c'est allé plus loin.
00:02:52 Des tags antisémites ont fleuri à Besançon.
00:02:55 C'était même au cœur des discours des maires, députés et sénateurs.
00:02:58 Marc Dahan, membre de l'association culturelle israélite qui fait fonction de rabbin à
00:03:03 Besançon, veut garder espoir.
00:03:05 On sait qu'on n'est pas seul, puisqu'aujourd'hui, beaucoup de personnes sont venues témoigner
00:03:08 de leur envie de vivre avec une population juive dans leur pays.
00:03:12 Une journée de rassemblement qui s'est clôturée par une marseillaise.
00:03:15 "La Marseillaise, c'est vos bataillons, marchons !"
00:03:21 Voilà, entre 400 et 600 personnes qui ont chanté "La Marseillaise" hier à Besançon.
00:03:25 Une centaine de personnes à Lonce-le-Saunier, 70 personnes à Besoul.
00:03:29 Le président de la LICRA en Franche-Comté sera notre invité tout à l'heure à 8h45.
00:03:33 Il sera l'invité du 6/9.
00:03:35 Nous lui demanderons quel message il voit à travers notamment ces rassemblements.
00:03:39 Sur le terrain des affrontements, cette fois aux Proches-Orient, les bombardements israéliens
00:03:44 continuent.
00:03:45 Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a évoqué hier sur une télé américaine
00:03:49 qu'il n'était pas loin de trouver un accord pour la libération des 240 otages enlevés
00:03:54 le 7 octobre par le Hamas.
00:03:56 Mais il n'a pas souhaité en dire davantage.
00:03:58 Trafic de drogue et séquestration, Adol.
00:04:01 4 hommes d'une vingtaine d'années ont été arrêtés, placés en détention provisoire.
00:04:05 Ils sont soupçonnés d'avoir séquestré durant toute une nuit deux jeunes femmes,
00:04:09 dans un but de faire pression sur des trafics en drogue.
00:04:12 Nous ne sommes pas égaux en matière d'accès aux soins.
00:04:15 Entre la ville et la campagne, effectivement, une étude de l'Association des maires ruraux
00:04:19 de France nous apprend que les ruraux consomment jusqu'à 20% de soins en moins que les urbains.
00:04:25 Évidemment, si on se soigne moins dans les territoires ruraux, ça ne veut pas dire qu'on
00:04:29 est moins malade.
00:04:30 Valentin Letesse en fait, plus on habite loin d'un CHU, moins on est pris en charge.
00:04:35 En particulier en chirurgie et en ce qui concerne les activités interventionnelles, soit la
00:04:40 cardiologie, la radiologie, la gastroenterologie, mais aussi les chimiothérapies et les dialyses.
00:04:46 Le nombre de ces soins dits par séance est 30% inférieur en milieu rural isolé par
00:04:51 rapport aux zones denses et moins peuplées.
00:04:53 Parfait exemple selon les auteurs de l'enquête d'Une France à deux vitesses.
00:04:57 Et pour expliquer cette différence, le temps de transport et son coût, parfois très important,
00:05:02 sont à prendre en compte selon eux, mais l'un des facteurs principaux, c'est la désertification
00:05:06 médicale, le manque criant de généralistes dans certains territoires.
00:05:10 Quand il n'y a pas de professionnels pour dépister les patients et les adresser aux
00:05:14 hôpitaux, forcément ils sont moins nombreux à s'y rendre.
00:05:17 Et vous en France Comté, comment ça se passe pour vous ? Parce qu'évidemment chez nous,
00:05:20 dans notre région, c'est comme dans toutes les régions de France, c'est évidemment
00:05:23 très différent par exemple qu'on habite à la frontière de la Haute-Marne en Haute-Saône
00:05:28 ou qu'on soit dans l'agglomération byzantine.
00:05:30 Alors dites-nous, là où vous êtes, à combien de kilomètres se trouve l'hôpital le plus
00:05:33 proche ? Est-ce que ça vous a déjà posé souci ?
00:05:36 Ou au contraire, dites-nous si vous habitez près, peut-être que ça vous a déjà sauvé
00:05:40 la vie d'habiter près d'un CHU ? On parle de l'accès aux soins et des distances qu'on
00:05:46 doit parcourir par rapport au CHU en France Comté, 038830311, ou le Facebook France Bleu
00:05:53 Besançon.
00:05:54 Dans le Pas-de-Calais, les collèges, les lycées, les écoles sont toujours fermés
00:05:59 en raison des inondations et malheureusement pour les gens du Nord Pas-de-Calais, c'est
00:06:03 pas près de s'arranger puisque, après une brève accalmie, le retour des pluies est
00:06:07 à nouveau annoncé pour ce soir.
00:06:09 France Bleu, il est 7h05, vous avez un peu de temps en fin de semaine, ça tombe bien,
00:06:13 la Banque Alimentaire de Haute-Saône a besoin de vous.
00:06:15 Oui, vendredi, samedi, dimanche, c'est la grande collecte annuelle de la Banque Alimentaire.
00:06:19 Collecte avancée d'une semaine en Haute-Saône pour pas que ça fasse doublon avec la Sainte-Catherine
00:06:24 qui est toujours prévue comme chaque année le 25.
00:06:26 Le souci de la Banque Alimentaire, c'est qu'il n'y a pas assez de bénévoles pour tenir
00:06:30 les points de collecte qui seront installés ce week-end dans 46 supermarchés haussonnois.
00:06:35 Charlène Géger, la responsable de la Banque Alimentaire de Vesoules, lance donc un appel
00:06:40 particulièrement aux habitants des secteurs Jussé, Favernet et Champagney.
00:06:44 La Haute-Saône, on sait qu'elle est vaste, on sait que les grandes villes comme Lure,
00:06:49 Luxeuil, Gré et Vesoules, on arrive à trouver assez facilement de bénévoles pour aller
00:06:55 en magasin justement pour aider à sensibiliser les gens.
00:06:58 Après c'est vrai qu'il y a des secteurs où on a encore du mal à trouver des bénévoles
00:07:03 pour tenir ces magasins-là, par exemple sur le secteur de Favernet, de Champagney, on
00:07:09 va avoir aussi les secteurs de Jussé, qui sont un petit peu plus éloignés.
00:07:12 Donc si les personnes veulent participer pendant deux heures du temps, voire plus pour cette
00:07:19 collecte, qu'elles n'hésitent pas à venir et puis à nous contacter.
00:07:22 Voilà la Banque Alimentaire de Haute-Saône qui cherche des bénévoles et même si vous
00:07:26 n'avez pas le temps, la collecte, c'est vendredi, samedi, dimanche, comme chaque année, la
00:07:31 Banque recherche surtout des denrées non repérissables comme des boîtes de conserve ou des pâtes.
00:07:36 Le foot, Lens a battu Marseille in extremis hier soir, un but à zéro, but inscrit dans
00:07:42 la dernière minute de jeu.
00:07:43 Les supporters de Lyon, eux, ont débouché le Champagne, première victoire de la saison
00:07:47 pour Lyon qui a battu Rennes 1 à 0.
00:07:50 Du côté des Caraïbes, les premiers navigateurs de la Transat Jacques Vabre sont arrivés
00:07:54 hier soir.
00:07:55 Il s'agit d'Armel Le Cleache et Sébastien Jost, grands vainqueurs de la Transat Jacques
00:07:59 Vabre.
00:08:00 Et puis en Franche-Comté, dans les résultats du week-end, on retiendra Cléante Balleuse
00:08:03 de l'SBF, on battu Mérignac.
00:08:05 Et qu'en foot, Sochaux a battu Cholet.
00:08:07 Voilà les résultats du week-end, vous les retrouvez sur francebleu.fr/besançon.
00:08:11 Et comme il va pleuvoir toute la journée en Franche-Comté, si vous ne savez pas quoi
00:08:14 faire, vous pouvez toujours vous entraîner sur le canapé à redire 500 fois et très
00:08:19 rapidement Sochaux-Cholet.
00:08:21 C'était quand même le sport national du week-end en Franche-Comté.
00:08:26 Oui, on a commencé vendredi avec les Arianes, ce n'était pas facile.
00:08:29 Voilà.
00:08:30 Sochaux-Cholet.
00:08:31 C'est plus un nom de sens.
00:08:34 Bon, le match retour sera plus facile.
00:08:36 Voilà, vous avez la journée.
00:08:38 Bien.
00:08:39 La route ce matin, on est sur un lundi assez tranquille, Astor, si.
00:08:44 Les amis qui prenaient la Nationals 83 pour venir sur Besançon, tout va bien.
00:08:49 Vezoul Nationals 57, ça va bien.
00:08:52 Vezoul Les Vosges, ça va aussi.
00:08:53 La 36 dans les 200, pas de soucis.
00:08:55 Bref, ça va quoi.
00:08:56 Vous nous signalez s'il y a quoi que ce soit.
00:08:58 Françoise est au standard France Bleu et attend vos appels au 03 80 833 11.
00:09:03 Pour la météo, alors.
00:09:05 Bon.
00:09:06 1.
00:09:07 Voilà.
00:09:08 C'est comme ça quand il tempête ? Oui, c'est ça.
00:09:10 C'est un nouveau mot en fait.
00:09:11 Ne me pas le dire.
00:09:12 Je n'y arrive pas.
00:09:13 De la pluie, du vent au programme toute la journée.
00:09:15 Du vent qui peut souffler en rafale jusqu'à 75 km/h, nous disent les prévisionnistes
00:09:20 de Météo France.
00:09:21 Accrochez vos brochings.
00:09:22 Et puis donc de la pluie, ça c'est toute la journée, dès ce matin jusqu'à ce soir
00:09:26 et quasi toute la semaine.
00:09:28 Je vous ambiance d'ores et déjà pour vous préparer mentalement.
00:09:31 Côté température, en revanche, de la douceur, ça c'est bien.
00:09:34 Si on avait de la pluie, du vent et du froid, alors là, au secours, on aura entre 15 et
00:09:38 17 cet après-midi.
00:09:40 Pont-Arlier-Mèche, 15 degrés.
00:09:41 15 au Val d'Aon ou encore à Ornans, 16 degrés à Marnay cet après-midi.
00:09:46 Et puis 17 sur le reste de la région, dans le territoire de Belfort, le pays de Montbéliat,
00:09:50 Besançon ou le Jura entre Dol et Lens-le-Saunier.
00:09:52 La météo 100% locale.
00:09:54 Avec les meubles Etienne Mougin.
00:09:56 Meubles, salons, literie et décorations au russet.
00:09:59 Plus d'informations sur meubles-mougin.fr.
00:10:02 Bon réveil France Bleu, c'est heure 9.
00:10:04 Le 6/9, France Bleu Besançon.
00:10:07 Paul Laurent.
00:10:08 Mario Strescher.
00:10:09 Vous avez entendu la nouvelle chanson des Beatles ?
00:10:11 Ah non, pas encore.
00:10:13 Écoutez.
00:10:14 Ça cartonne.
00:10:23 C'est le numéro 1 des écoutes sur les plateformes.
00:10:25 Now and then.
00:10:26 Et vous allez dire, mais comment ça peut être une nouvelle chanson des Beatles ? Ils
00:10:30 sont moitié morts.
00:10:31 C'est encore une intelligence artificielle, c'est ça.
00:10:33 Ils avaient commencé à la faire en fait en studio et c'est l'intelligence artificielle
00:10:37 qui a aidé en fait à terminer la chanson.
00:10:40 Et visiblement, il y en a d'autres qui arrivent.
00:10:42 On peut peut-être dire, même peut-être un jour quand on sera mort, on continuera
00:10:46 à dire des bêtises à France Bleu.
00:10:48 C'est ça.
00:10:49 Il est temps qu'il légifère sur la question pour éviter tout un tas de désagréments.
00:10:54 Bon voilà, la nouvelle chanson des Beatles, Now and then, et peut-être donc une autre
00:10:58 à venir tout vite, tout bientôt.
00:10:59 À venir tout vite, tout bientôt, dans un instant, c'est l'éco d'ici avec des entreprises,
00:11:03 des artisans de la région qu'on vous fait découvrir chaque matin.
00:11:06 Et celui-là a décidé de changer de vie pour entretenir vos façades, figurez-vous.
00:11:10 On rencontre Clément dans cinq minutes.
00:11:12 Avant ça, voici Larousseau, souvenir des années 90.
00:11:15 - Tu m'oublieras.
00:11:22 Tu m'oublieras.
00:11:29 Tu m'oublieras.
00:11:35 Tu m'oublieras.
00:11:45 Tu m'oublieras.
00:11:55 Tu m'oublieras.
00:12:05 Tu m'oublieras.
00:12:15 Tu m'oublieras.
00:12:25 Tu m'oublieras.
00:12:35 Tu m'oublieras.
00:12:45 Tu m'oublieras.
00:12:55 Tu m'oublieras.
00:13:05 Tu m'oublieras.
00:13:15 Tu m'oublieras.
00:13:25 Tu m'oublieras.
00:13:35 Tu m'oublieras.
00:13:45 Tu m'oublieras.
00:13:55 Tu m'oublieras.
00:14:05 Tu m'oublieras.
00:14:15 Tu m'oublieras.
00:14:25 Tu m'oublieras.
00:14:35 Tu m'oublieras.
00:14:45 Tu m'oublieras.
00:14:55 Tu m'oublieras.
00:15:05 Tu m'oublieras.
00:15:15 Tu m'oublieras.
00:15:25 Tu m'oublieras.
00:15:35 Tu m'oublieras.
00:15:45 Tu m'oublieras.
00:15:55 Il est 7h15, c'est l'éco d'ici. Dans l'éco d'ici chaque matin, on vous présente des entreprises de la région, leurs innovations, leurs savoir-faire.
00:16:05 Et c'est un casse-tête, un compte on doit le faire, nettoyer la façade de sa maison.
00:16:09 C'est long, c'est technique et en plus souvent c'est pas du tout écolo cette affaire.
00:16:13 Et bien aujourd'hui France Bleu vous a trouvé une toute jeune entreprise née en avril dernier qui justement le fait pour vous. Elle s'appelle Cléméco.
00:16:19 Bonjour Clément.
00:16:21 Alors pour le nettoyage de nos façades, vous dites avoir une méthode 100% écolo. Laquelle ?
00:16:27 Alors c'est du nettoyage à la vapeur en basse pression. C'est-à-dire que c'est de l'eau qui est chauffée jusqu'à 130-140 degrés.
00:16:37 La vapeur a un effet nettoyant naturel, curatif et la basse pression permet de travailler sur tout support, c'est pas abrasif.
00:16:48 Oui ça ne dégrade pas la pierre par exemple ?
00:16:51 Et alors souvent chez soi on peut avoir ça à la maison, j'ai un appareil comme ça pour nettoyer les vides de la douche ou enlever le calcaire.
00:16:59 C'est pareil mais en plus gros ?
00:17:01 Voilà, c'est le même principe comme un vaporéto.
00:17:04 Et donc c'est 100% écolo. En termes de prix par exemple, ça coûte combien si on a une maison ?
00:17:11 Alors j'imagine évidemment ça dépend de la surface mais...
00:17:14 Alors ça va dépendre du support, de la hauteur, des conditions de travail. Ça varie entre 10 et 12 euros hors taxe du mètre carré.
00:17:23 Donc on va être entre 11 et 13 euros et des poussières en TTC.
00:17:28 Vous faites les façades ? Je sais pas, vous faites aussi les toitures par exemple ?
00:17:31 Alors tout ce qui est surface extérieure. Donc la façade à la toiture pour du particulier, terrasse, murette, etc.
00:17:39 Des monuments, des bâtiments pour les collectivités et tout ce qui est pareil pour les professionnels.
00:17:46 Il y a des bâtiments un peu touchy sur lesquels vous êtes déjà intervenu Clément ?
00:17:50 Monuments aux morts, prêts du professionnel. J'ai encore pas eu vraiment de bâtiments ou de monuments d'édifices.
00:18:00 Oui mais il ne faut pas se louper quoi. Voilà, donc d'où l'intérêt de la méthode.
00:18:04 Alors vous c'est intéressant parce qu'on disait en votre entreprise à la vue de jour en avril dernier,
00:18:09 et en fait c'est une reconversion vous de cette aventure ?
00:18:13 Oui c'est une reconversion. Je suis maçon de métier.
00:18:17 Donc j'ai travaillé dans le bâtiment depuis l'âge de 16 ans.
00:18:22 J'ai été en façade, j'ai fait des toits pendant 20 ans.
00:18:26 Donc c'est des supports que je connais, que j'ai l'habitude de travailler.
00:18:29 Et c'est une autre façon de le faire finalement ?
00:18:31 C'est une autre façon de le travailler.
00:18:34 C'est plus fabriquer, c'est entretenir ce qui a déjà été monté.
00:18:39 Et quelles sont les difficultés qu'on pourrait avoir et sur quoi vous avez besoin d'aide par exemple pour lancer cette boîte ?
00:18:47 Alors les difficultés, c'est la main d'oeuvre.
00:18:53 Aujourd'hui le but c'est de travailler son produit.
00:19:00 La vapeur c'est fait pour ça, on travaille son produit.
00:19:05 Après la question qui commence à arriver et qu'on aura de plus en plus dans les années à venir, c'est l'eau.
00:19:11 Parce que pour faire de la vapeur il faut de l'eau.
00:19:13 Donc c'est en cours de préparation de travailler avec de l'eau de pluie.
00:19:18 Comme quoi il y a encore des pistes de développement dans cette activité 100% Écolo.
00:19:25 Clément qui fait ça, ça s'appelle Cléméco, l'entreprise dans la région.
00:19:29 Si vous avez besoin de nettoyer vos surfaces particuliers, entreprises, collectivités,
00:19:34 et bien voilà une bonne adresse.
00:19:35 Et si comme Clément vous avez envie de changer de vie, sachez que la Chambre de Commerce et d'Industrie, la CTI,
00:19:39 peut vous aider comme elle l'a fait avec Clément évidemment, ils sont là pour ça.
00:19:43 Merci d'être passé nous voir Clément ce matin.
00:19:45 On vous souhaite longue vie avec Cléméco, cette nouvelle entreprise.
00:19:48 Merci beaucoup.
00:19:49 A bientôt sur France Jolie.
00:19:50 Bonne journée à vous.
00:19:51 Prenez soin de vous.
00:19:52 Allez 7h19.
00:19:53 Vous voulez des bons plans ?
00:19:55 Vous voulez une vie plus belle, plus simple, plus sympa en Franche-Comté ?
00:19:59 Et bien alors, chaque matin on collecte des bons plans venus des réseaux sociaux dans la Franche-Comté Connectée.
00:20:04 Oui des infos qui viennent tout droit des réseaux sociaux.
00:20:07 Absolument, c'est pas parce que c'est l'automne d'ailleurs qu'on doit arrêter de profiter de la nature.
00:20:11 Entre deux averses, on met de bonnes chaussures et on suit les conseils rando de Jérémy de la page Facebook "Lieux à visiter en Franche-Comté".
00:20:17 Bonjour Jérémy.
00:20:18 Bonjour à tous.
00:20:19 Alors ce matin tu as décidé de nous emmener en balade comme tous les 15 jours.
00:20:23 Tu as testé pour nous un circuit du côté de Moutier-Hautepierre.
00:20:26 Tout à fait, donc ce samedi entre la pluie et les éclaircies, j'ai décidé de partir à l'aventure vers le village de Moutier-Hautepierre, dans le Doubs.
00:20:34 Il est labellisé "Cité de caractère de Bourgogne-Franche-Comté" pour une randonnée d'environ 3h07.
00:20:40 Ça se situe à 20 minutes d'Ornans et 25 minutes de Pontarlier pour vous situer.
00:20:44 Mon point de départ était près de la mairie et de là je me suis dirigé sur 700 m en direction du Belvédère de la Vierge, un endroit assez charmant,
00:20:53 offrant un point de vue discret d'une statue de la Vierge érigée sur les ruines d'une ancienne chapelle.
00:20:59 De là d'ailleurs, on peut voir un village qui se dévoile en contrebas, créant une scène assez pittoresque.
00:21:06 Après avoir admiré le paysage, je suis retourné sur mes pas et je me suis dirigé vers la cascade de Siratou, distante d'environ 800 m.
00:21:13 Sur place, une impressionnante chute d'eau dévoile les parois rocheuses rejoignant la Louvre après un dérivé de 230 m.
00:21:20 Cette chute peut être divisée en trois parties distinctes, la partie haute, constituée du saut quasi vertical de 50 m,
00:21:26 et la partie médium qui arrive sur un replat qui emprunte une dérivation construite lors de la création des routes des Gorges de la Noël,
00:21:35 pour faire passer le ruisseau sous la route après un saut de 40 m, et enfin la partie basse où elle dégringole la pente jusqu'à la Louvre avec de nombreuses cascades.
00:21:44 Il est quand même possible d'accéder à la partie inférieure de la cascade pour s'en approcher au maximum,
00:21:49 cependant il est essentiel de faire preuve de prudence car le sentier menant à la cascade n'est pas balisé et peut présenter des surfaces très glissantes.
00:21:56 - Attention hors-piste quoi ! - C'est ça !
00:21:59 Par la suite, j'ai suivi le chemin sur 1 km en direction de l'usine hydroélectrique, traversant un pan et découvrant plusieurs panneaux indiquant différents endroits,
00:22:07 comme la source de la Louvre qui se situe à 3,5 km, mais le sentier est actuellement fermé.
00:22:12 Optant pour un autre chemin pour rejoindre la grotte des Faux-Moneilleurs en raison de l'état glissant du sentier, j'avais bien vu la météo,
00:22:20 j'ai remonté sur 400 m depuis la centrale puis pris un chemin sur ma droite pour atteindre la grotte après 300 m.
00:22:27 La grotte des Faux-Moneilleurs, accessible par une échelle métallique, doit son nom à nombreuses pièces de monnaie découvertes,
00:22:33 selon la légende à une bande de Faux-Moneilleurs qui avait élu domicile.
00:22:36 Ayant visité cette grotte par le passé, je recommande vivement une exploration avec un guide,
00:22:41 et les plus téméraires peuvent même faire une descente en rappel, c'est assez sympa.
00:22:46 Après cette parenthèse captivante, j'ai repris la direction descendant 300 m vers la source du pont T.
00:22:53 Cette source émanant d'une grotte profonde expulse ces eaux avec une puissance impressionnante et ajoute une touche majestueuse à la vallée de la Loue.
00:23:01 Il était alors temps pour moi de commencer mon retour, empruntant le chemin inverse pour rejoindre notre point de départ.
00:23:08 En conclusion, je conseille vivement de porter des chaussures de randonnée robustes et des bâtons, très important,
00:23:14 car certains endroits du parcours peuvent être particulièrement glissants après les fortes pluies,
00:23:18 et surtout avec les feuilles d'automne jonfflant le sol.
00:23:21 Cette randonnée offre une palette de découvertes exceptionnelles, avec des couleurs autonales éblouissantes à chaque tournant.
00:23:28 Vous verrez les photos, c'est magnifique !
00:23:31 Celle que l'on a vue ce matin sur tes réseaux sociaux, c'est absolument sublime !
00:23:36 Lieu à visiter en France, je compte la balade à Moutilleau-de-Pierre à retrouver dessus.
00:23:39 Si vous voulez suivre les traces de Jérémie, vous allez en prendre plein les yeux !
00:23:43 Si vous aimez l'eau, les cascades, c'est magnifique !
00:23:45 Si vous aimez les grands espaces, la grande nature, là aussi Moutilleau-de-Pierre, c'est vraiment l'endroit idéal !
00:23:50 Merci beaucoup Jérémie, et à dans 15 jours pour une nouvelle balade en Franche-Comté !
00:23:54 Salut Jérémie !
00:23:55 Et à bientôt, d'ici là, Facebook, lieu à visiter en Franche-Comté pour retrouver tout ça !
00:23:59 Amadou Mariam avec Christophe Maé pour vous chanter l'amour ce matin,
00:24:03 et puis après on va s'occuper des cloches de Notre-Dame depuis la Haute-Saône !
00:24:07 Ça fait rêver des gens l'amour, ça donne la vie, le tournis des petits gars qui courent
00:24:12 Ça fait lever des gens l'amour, ça fait rougir, ça fait mentir, ça fait du bien tout court
00:24:20 Ça fait pleurer les gens l'amour, ça fait sourire, ça fait gémir, ça fait du bien autour
00:24:28 Ça fait chanter les gens l'amour, ça fait parler, ça fait le vide autour
00:24:36 Ça fait de nous des amoureuses, ça fait de nous des amieuses, ça fait de vous des amoureuses et de nous des amieuses
00:24:44 On est pleuré, mon amour, l'amour, l'amour, l'amour
00:24:51 Tout va pleurer, mon amour, l'amour, l'amour, l'amour
00:25:00 Ça abîme les gens l'amour, ça en aveugle, sans consensus
00:25:06 Ça donne des ailes aux gens l'amour, ça fait planer, ça fait le vide autour
00:25:14 Ça fait de nous des amoureuses, ça fait de nous des amieuses, ça fait de vous des amoureuses et de nous des amieuses
00:25:23 On est pleuré, mon amour, l'amour, l'amour, l'amour
00:25:30 Tout va pleurer, mon amour, l'amour, l'amour, l'amour
00:25:38 Ça fait faire des kilomètres, ça fait une teinte des abat-jour, ça fait fumer une cigarette l'amour
00:25:47 Ça fait mencir les silhouettes, ça fait casser des abat-jour, ça fait stopper la cigarette l'amour
00:26:09 En éclat, mon amour, L'amour, l'amour, l'amour.
00:26:17 Four a deux, mon amour, L'amour, l'amour, l'amour.
00:26:25 En éclat, mon amour, L'amour, l'amour, l'amour.
00:26:32 - L'amour de Christophe Maé avec Kamedu et Mariam sur France Bleu.
00:26:35 - Une étude qui est sortie des maires de France sur la difficulté qu'on pouvait avoir à aller à l'hôpital
00:26:40 quand on habitait à la campagne, parce qu'évidemment, c'est pas tout proche souvent.
00:26:43 Ce qui donne des chiffres hallucinants de non-soins parfois ou de beaucoup moins de soins.
00:26:48 Est-ce que ça a déjà été un problème pour vous la distance avec l'hôpital ?
00:26:51 Ou au contraire, si vous habitez proche, est-ce que ça vous a déjà sauvé la vie ?
00:26:55 En gros, bref, est-ce que c'est compliqué d'accéder à l'hôpital ?
00:26:57 Venez témoigner, partagez vos anecdotes autour de ça au 0380 833 111.
00:27:03 On en parle après les infos de 7h30.
00:27:05 Mais avant ça, comme chaque semaine, on part à la découverte des communes de notre région
00:27:09 grâce au GPS France Bleu qui guide Thierry M. à travers les routes franco-ontoises.
00:27:14 Et on part en Haute-Saône, à Arques-les-Graies, ce matin, avec une découverte de taille.
00:27:18 - Sur la D67 à Arques, Jean-Marie Frotté a commencé dans son garage l'activité d'électrisation d'horloge d'édifices.
00:27:26 Son fils Mathieu a pris le relais sur la zone industrielle des Giraneaux dans le domaine de la campanologie.
00:27:32 - On est un compagnon de campanaires, donc tous les métiers qui tournent autour de la cloche,
00:27:37 de sa fabrication à son installation et jusqu'à son électrification.
00:27:42 Donc nous, on est basé à Arques-les-Graies depuis 1991.
00:27:46 Et mon père a créé une SARL en 95.
00:27:50 Et depuis, on ne fait que d'évoluer et de plus en plus de travail.
00:27:55 - Notre père, il a commencé dans son garage.
00:27:57 Moi, j'ai vu son enseigne sur la route principale, là-bas.
00:28:00 Il faut que je voie de quoi il s'agit.
00:28:02 De l'horlogerie, quand même, de cet acabilla, ici, à Arques-les-Graies.
00:28:06 C'est un peu inattendu. Ce n'est pas vraiment la route des horlogers, ici.
00:28:08 - Non, c'est sûr. Par rapport à Besançon ou le Houdou, c'est vrai que...
00:28:12 Après, on avait une très grosse entreprise qui était l'entreprise Enquin à Champlit.
00:28:16 Donc moi, mon père travaillait depuis toute sa jeunesse dans cette entreprise.
00:28:20 Et ils ont arrêté en 90 et il a décidé de se mettre à son compte,
00:28:24 en commençant dans le garage de la maison familiale.
00:28:26 - Alors, vous avez une actualité assez fantastique.
00:28:28 Vous avez fait partie de ceux qui sont intervenus directement
00:28:31 dans le clocher de Notre-Dame à Paris.
00:28:33 - On a la partie, donc, sur une grande tour, la tour de gauche,
00:28:36 qui a eu un début d'incendie sur la charpente et le baie-froid,
00:28:39 donc toute la structure des cloches.
00:28:41 Donc, le marché nous a demandé de démonter toute l'installation des 8 cloches
00:28:46 qui sont présentes sur cette tour, afin de restaurer le baie-froid.
00:28:49 Et l'année prochaine, on va tout réinstaller en réélectrifiant à 100%
00:28:54 toute l'installation et à mettre en service pour les Jeux Olympiques
00:28:58 au 14 juillet 2024.
00:29:00 Et on a eu la chance d'être tenus, pas nous tout seuls,
00:29:03 du fait de notre association que nous avons créée en 95,
00:29:07 qui est ATC, donc Artisans et Techniciens Campanaires,
00:29:11 où on est 6 artisans, donc familiaux, que des entreprises familiales,
00:29:15 à se regrouper pour pouvoir prétendre à répondre à ce genre de marché-là,
00:29:20 pour être des plus grosses entreprises,
00:29:22 parce qu'on est que des entreprises familiales de 4 ou 5 personnes
00:29:25 et on ne cherche pas du tout à grandir plus.
00:29:27 On veut garder cet esprit familial et surtout de création.
00:29:30 Nous, on fabrique tout chez nous, on n'achète rien à part la motorisation.
00:29:34 C'est quand même intéressant de fabriquer, d'installer après sur place
00:29:38 et voir le fonctionnement au pied d'une cloche de ce qu'on a fabriqué de ses mains.
00:29:42 C'est ça qu'on ne fait plus aujourd'hui malheureusement.
00:29:44 Vous avez des sacrés chantiers, ça y est, c'est parti quoi !
00:29:46 Ben voilà, ça nous fait vraiment plaisir de faire ce chantier,
00:29:50 qui est notre lame de Paris, qui est vraiment l'histoire de la France
00:29:53 et surtout au niveau campaner.
00:29:55 On a l'habitude de faire d'autres cathédrales,
00:29:57 mais là c'est vrai que c'est l'emblème de la France.
00:29:59 Et le chantier en lui-même est vraiment extraordinaire.
00:30:02 Par rapport à ce qu'on a l'habitude de faire ailleurs,
00:30:04 on a vraiment une approche différente de ce chantier-là.
00:30:07 Incroyable ! D'Arc-les-Graies, on s'occupe des cloches de Notre-Dame.
00:30:11 Ça, on le découvre grâce au GPS France Bleu
00:30:13 et toutes les autres rencontres que l'on fait, c'est chaque matin avant 7h30.
00:30:16 Et 8h30 à la radio, les infos arrivent dans un instant.
00:30:19 Et puis on parlera de l'accès aux soins,
00:30:21 parfois compliqué quand on est éloigné géographiquement d'un hôpital.
00:30:24 Dijon est la première ville au monde visitable sur console.
00:30:33 Le jeu, on va en parler avec Johnny.
00:30:35 Maya est vice-championne du monde de roller derby.
00:30:37 Elle nous fera découvrir son sport,
00:30:39 notre avocat répondra à vos questions et on va continuer.
00:30:41 On a aussi un petit déjeuner avec les amis de la famille.
00:30:44 On va se faire un petit déjeuner.
00:30:46 On va se faire un petit déjeuner.
00:30:48 On va se faire un petit déjeuner.
00:30:50 On va se faire un petit déjeuner.
00:30:52 Papa !
00:30:53 Mais pas complètement.
00:30:54 Tu m'oublies déjà ?
00:30:55 Tu devrais leur dire la vérité.
00:30:58 Je parle à mon père mort parce que je n'arrive pas à accepter l'idée qu'il ne soit plus là.
00:31:00 Peut-on dire qu'on a perdu l'esprit ?
00:31:02 Ne t'occupes pas de moi !
00:31:03 Tu ne m'as jamais fait perdre le droit !
00:31:05 Une chose est sûre.
00:31:07 Pour que tu apprennes à t'amuser.
00:31:08 François Berléant, Guillaume de Tonquedec.
00:31:11 Josiane Balasco, Cultive, L'Esprit de Famille.
00:31:14 Il faut reconnaître que tu faisais très bien l'hypocrope.
00:31:16 Inédit, ce soir à 21h10 sur France 3 et pendant 7 jours sur la plateforme France Pro TV.
00:31:22 Ce programme est disponible en audio description.
00:31:26 Jazz et 7e art.
00:31:29 Mercredi, le trompettiste et virtuose Eric Truffat revisite les grands classiques du cinéma français.
00:31:36 De Fantomas au Tonton Flingueur, il puise dans ses souvenirs d'enfants et ses mémoires cinéphiles pour un hommage du jazz à la pellicule.
00:31:44 Rollin' and Clap, le concert-événement d'Eric Truffat au Nancy Jazz Pulsation.
00:31:52 C'est mercredi à minuit 55 sur France 3, Bourgogne-Franche-Comté et sur la plateforme France.TV.
00:31:59 [Musique]
00:32:08 Ici, on parle d'ici.
00:32:10 7h30, bonjour, vous arrivez, soyez les bienvenus. On est lundi aujourd'hui, belle semaine qui commence, sauf côté météo.
00:32:16 Ah oui, ben là, il faut le dire vite, ça sera du gris toute la journée avec la pluie qui viendra battre au caron, ce qu'on se console comme on peut avec une certaine douceur.
00:32:25 15 à Pontarlier et jusqu'à 17 cet après-midi à Dolvesaules ou encore Besançon.
00:32:30 Sur Besançon, justement, et sur la route, vous arrivez par l'Arnaud ou les Mercureaux.
00:32:34 Il va falloir être un petit peu patient à hauteur des marais de Saône aussi, ça se bouscule un peu.
00:32:38 Et puis en dehors de Besançon, sur la Haute-Saône, pour l'instant, ça reste calme. La bonne nouvelle du côté de Besaules, pour l'instant, RAS.
00:32:44 Dimitri Humbert, les ruraux vont moins à l'hôpital que ceux qui habitent en ville.
00:32:49 C'est le résultat on ne peut plus clair d'une étude de l'Association des maires ruraux de France, dont France Bleu vous dévoile le détail ce matin.
00:32:56 Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Les ruraux consomment 20% de soins hospitaliers en moins que les urbains.
00:33:02 Et jusqu'à 16% de moins que la moyenne nationale, ils reportent ou renoncent carrément à se faire soigner.
00:33:07 Ces témoignages sont loin d'être des exceptions. Comme nous le raconte Axel Frick, c'est le coprésident du comité de défense des hôpitaux publics de Dol.
00:33:16 Si ça existe, que les gens disent "bon c'est trop compliqué", c'est sûr qu'on a des témoignages là-dessus. C'est de la réalité.
00:33:23 Déjà, il y a aussi une question de délai. C'est-à-dire, s'il y a un délai qui est trop long, ils ne peuvent pas faire.
00:33:30 Après, ils n'ont pas les moyens, par exemple, pour aller dans le privé. C'est-à-dire qu'on a des gens qui ont dû renoncer, par exemple, à une opération de pied ou même de hanche qui traînent avec ça.
00:33:41 Ils renoncent parce qu'ils ne veulent pas aller à Besançon, c'est trop compliqué. Par exemple, la famille ne peut pas suivre, ils ne voient pas comment ils peuvent faire.
00:33:48 Mais c'est aussi un danger. Si vous avez de l'appendicite, un problème d'appendicite, parfois c'est très échant.
00:33:54 Alors, de votre côté, combien de temps mettez-vous pour aller à l'hôpital ? On en parle ensemble.
00:33:59 D'ici quelques minutes, vous pouvez nous appeler dès maintenant au 0380 833 111.
00:34:05 Pour ce qui est des résultats de l'étude en franche compté, on les décortique ensemble, zone par zone, dans le Plus de l'Info, tout à l'heure, à 8h15.
00:34:13 Adol, c'est une affaire de kidnapping qui fait la une.
00:34:16 Quatre hommes ont été placés en détention provisoire à Besançon. Ils sont suspectés d'avoir séquestré deux jeunes femmes dans la nuit du 14 au 15 octobre.
00:34:24 Un calvaire qui a duré plusieurs heures, pendant lequel elles ont enduré des menaces et des violences sur fond de trafic de drogue.
00:34:31 Les suspects entre 19 et 21 ans, tous ont été mis en examen. Un cinquième homme est recherché par la police.
00:34:38 Plusieurs centaines de personnes ont manifesté hier contre l'antisémitisme à Besançon.
00:34:43 Les manifestants étaient 400 selon la préfecture, 600 même selon la LICRA, une manif qui a rassemblé aussi des élus de tous bords.
00:34:50 Au total, ce sont 182 000 personnes qui ont défilé hier en France pour cette grande marche.
00:34:55 Face à l'explosion du nombre d'actes antisémites depuis les massacres du Hamas en Israël le 7 octobre, malgré une météo pas franchement favorable, la mobilisation était donc au rendez-vous Loubordi.
00:35:07 À Paris d'abord, c'est là où il y avait le plus de monde, 105 000 personnes selon la police, avec un seul mot d'ordre, l'union nationale.
00:35:15 En effet, dans le cortège, on a vu une bonne partie de la classe politique, Elisabeth Borne, Nicolas Sarkozy, Marine Le Pen ou encore François Hollande.
00:35:21 Mais pas d'Emmanuel Macron, ni d'élus d'extrême gauche, donc comme c'était bien prévu.
00:35:26 Dans le rassemblement, quelques pancartes comme "Juifs attaqués", "République en danger" ou encore "Libérez les otages".
00:35:32 Mais surtout des drapeaux tricolores et la Marseillaise chantée à plusieurs reprises.
00:35:37 Alors du monde à Paris, mais aussi à Marseille, 7 500 personnes.
00:35:40 Et à Strasbourg, 5 000 manifestants où des citoyens ont défilé, mais aussi des élus dont des députés de la France Insoumise.
00:35:47 À Nice, le maire annonce 4 000 personnes, comme à Grenoble.
00:35:51 À Bordeaux, 3 000. Pareil à Lyon, des manifestations qui se sont déroulées dans le calme.
00:35:55 Pas d'incidents notables selon le ministère de l'Intérieur.
00:35:58 Des manifs, on en a eu aussi à Lonce avec une centaine de personnes.
00:36:02 70 également à Vesoules. Quant aux photos de la manif byzantine, elles sont à retrouver sur francebleu.fr.
00:36:08 Besançon et votre appli ici.
00:36:10 C'est dans le Pas-de-Calais, de nouvelles pluies sont attendues à partir de ce soir.
00:36:14 Le niveau d'alerte sur les cours d'eau est passé de rouge à orange.
00:36:17 Mais les habitants ne sont pas prêts de pouvoir à nouveau dormir tranquille.
00:36:20 Tous les établissements scolaires vont d'ailleurs rester fermés aujourd'hui encore dans le département.
00:36:24 Point complet sur la situation des sinistrés à 8h dans le journal.
00:36:28 Aux Hautes-Saônes, la banque alimentaire avance d'une semaine sa grande collecte annuelle.
00:36:32 Et ce pour éviter qu'elle tombe le même week-end que la Sainte-Catherine.
00:36:35 Vous trouverez donc les bénévoles orange de l'association dès vendredi dans les supermarchés.
00:36:40 46 magasins au total vont participer à l'opération dans le département.
00:36:44 La banque alimentaire qui cherche encore des bénévoles pour tenir des points de collecte.
00:36:48 Le sport, c'est tout d'abord Lonce qui remonte un peu au classement de la Ligue 1.
00:36:52 Les nordistes sont sixièmes après leur victoire in extremis face à Marseille sur le score de 1 à 0.
00:36:57 Ça va mal en revanche à l'OM qui reste dixième.
00:37:02 C'est pire encore à Lyon qui a tout de même réussi à décrocher son premier succès de la saison 1-0 face à Rennes.
00:37:07 On salue également ce matin l'exploit d'Armel Leclea chez Sébastien Joss
00:37:11 qui ont remporté la Transat Jacques Vabre, la Martinique, après deux semaines de mer face aux éléments déchaînés.
00:37:17 Tous les résultats du week-end en Franche-Comté sont à retrouver sur francebleu.fr.
00:37:22 Besançon, vous retrouverez notamment l'ESBF qui a regotté au bonheur de la victoire samedi face à Mérignac.
00:37:27 Enfin une petite pensée ce matin pour 40 ouvriers qui se sont retrouvés coincés en Inde.
00:37:32 Ils travaillaient à la construction d'un tunnel quand l'ouvrage s'est effondré.
00:37:36 Ils sont donc piégés dans les décombres mais sont vivants selon les sauveteurs.
00:37:40 L'angoisse !
00:37:43 Ah oui, carrément, surtout pour les claustrophobes.
00:37:47 Même sans être claustrophobes.
00:37:50 Quand il n'y a plus d'entrée et de sortie, c'est quand même un petit peu...
00:37:53 Quand la lumière s'arrête.
00:37:55 Bon, il n'y aura pas de lumière non plus aujourd'hui tellement en Franche-Comté.
00:38:00 On est sous une belle couverture nuageuse, bien épaisse ce matin.
00:38:04 Avec des températures très douces en revanche.
00:38:07 C'est la bonne nouvelle puisqu'on sera dans la journée aux alentours des 17, entre 15 et 17.
00:38:11 Mais sous la pluie, une pluie battante toute la journée.
00:38:14 Surtout sur la Haute-Saône d'ailleurs, plus qu'ailleurs.
00:38:16 Et du vent jusqu'à 75 km/h aujourd'hui.
00:38:20 Voilà ce que nous annoncent les prévisionnistes de Météo France pour l'instant.
00:38:23 Donc, oui, youpi toute la semaine.
00:38:26 C'est vrai que le cahuet revient à la mode très fort.
00:38:29 C'est le moment de tester.
00:38:31 Le problème du cahuet, c'est la capuche. Ça ne suit pas les épaules, vous savez.
00:38:34 Oui, comme disait Danny Boehm.
00:38:37 Sur la route ce matin, la route entre Montagny et Sornez sera coupée pendant 15 jours pour Travoix.
00:38:42 À partir d'aujourd'hui, nous dit Tristan, les déviations sont mises en place.
00:38:46 Des ralentissements sinon pour arriver à Besançon, depuis Larneau et les Mercureaux.
00:38:49 Sinon ailleurs, on n'a pas tellement à se plaindre.
00:38:51 L'infotrafic 100% local avec Aquadoux.
00:38:54 Appareil contre le calcaire, sans sel, sans entretien.
00:38:57 À Besançon, 96D rue de Belfort.
00:39:00 Plus d'infos sur aqua-doux.fr
00:39:03 France Bleu, il est 7h38.
00:39:05 Le 6/9, France Bleu Besançon. Paul Laurent, Mario Strescher.
00:39:10 Avant 8h, tout à l'heure, nous accueillerons notre Miss Franche-Comté.
00:39:13 Elle part dans 24h pour son aventure Miss France.
00:39:17 On ne l'enverra plus avant le 16 décembre prochain pour la cérémonie nationale.
00:39:21 On la verra en photo à peu près partout.
00:39:23 Mais oui, mais c'est tout.
00:39:24 Donc en vrai, elle sera avec nous et vous pourrez lui poser toutes vos questions à partir de 8h05.
00:39:28 Mais avant ça, Sonia, notre Miss Franche-Comté, elle bosse dans la santé puisqu'elle est aide-soignante.
00:39:32 Et justement, on va parler santé, on va parler hôpital ce matin, Mario.
00:39:35 Oui, puisqu'une étude commandée et réalisée par l'Association des maires ruraux de France
00:39:40 nous apprend quelque chose, quelque part, dont on se doutait.
00:39:43 Effectivement, nous ne sommes pas tous égaux par rapport à l'accès aux soins.
00:39:47 Notamment parce qu'on est plus ou moins éloigné d'un hôpital, d'un CHU.
00:39:51 Mais là, les chiffres sont quand même assez édifiants,
00:39:53 puisque l'étude nous apprend qu'en territoire rural,
00:39:56 on consomme 20% de soins de moins que lorsqu'on est en milieu urbain.
00:40:00 Pour les chimiothérapies, parce qu'on va parler de choses très concrètes,
00:40:03 pour les chimiothérapies, par exemple, c'est 30% de chimio en moins
00:40:07 quand on est en territoire rural que quand on est en zone urbaine.
00:40:09 Et évidemment, ça ne veut pas dire qu'on a moins de cancer.
00:40:11 Ça veut dire qu'en fait, on est moins bien pris en charge, moins bien soigné.
00:40:14 Du coup, on a envie de savoir, vous, quel que soit l'endroit où vous habitez en Franche-Comté,
00:40:18 dites-nous, quel est l'hôpital le plus proche ?
00:40:20 Comment vous vous y rendez ? Est-ce que ça vous a déjà posé souci ?
00:40:23 Est-ce qu'à contrario, vous habitez près d'un hôpital
00:40:25 et ça vous a déjà sauvé la mise à plusieurs reprises ?
00:40:27 Voilà, la distance par rapport à l'hôpital, ce que ça induit pour vous ?
00:40:30 Vous nous appelez et on en discute ensemble.
00:40:32 03 80 833 11.
00:40:34 Vous avez la parole, dites-y vous, comme chaque matin.
00:40:37 Dites-nous ce que vous pensez et partagez vos anecdotes.
00:40:39 Voici Émile et Images, les démons de minuit.
00:40:41 Vous êtes sur France Bleu, 769, et c'est une nouvelle semaine qui commence avec vous en Franche-Comté.
00:40:46 Rue des airs, dernière cigarette, plus rien ne bouge.
00:40:52 Juste en bas, déterre le trottoir d'un rayon rouge.
00:41:00 J'ai besoin de trouver quelqu'un, je veux pas dormir.
00:41:10 Je cherche un peu de valeur à mettre dans mon cœur.
00:41:16 Ils m'entraînent au bout de la nuit, les démons de minuit.
00:41:25 M'entraînent jusqu'à la sommeil, les fantômes de l'ennui.
00:41:33 Je me suis fait chier, je me suis fait chier.
00:41:39 Je me suis fait chier, je me suis fait chier.
00:41:46 Je me suis fait chier, je me suis fait chier.
00:41:53 Je me suis fait chier, je me suis fait chier.
00:42:01 Je me suis fait chier, je me suis fait chier.
00:42:07 Je me suis fait chier, je me suis fait chier.
00:42:14 Je me suis fait chier, je me suis fait chier.
00:42:22 Je me suis fait chier, je me suis fait chier.
00:42:30 Ils m'entraînent au bout de la nuit, les démons de minuit.
00:42:39 M'entraînent jusqu'à la sommeil, les fantômes de l'ennui.
00:42:47 J'aime cette fille sur talon et lui qui se déhante.
00:42:56 Ça met un peu de chaleur au fond de mon cœur.
00:43:03 (Musique)
00:43:28 Images avec leurs démons de minuit, c'est culte et c'est sur France Bleu dans le 6/9 ce matin.
00:43:33 Et ce rendez-vous aussi est culte puisque chaque matin vous pouvez prendre la parole, vous pouvez donner votre avis sur l'actu,
00:43:38 sur les sujets de société dont on veut parler avec vous.
00:43:41 Et aujourd'hui, on s'intéresse à cette étude des maires ruraux qui nous indique que quand on est à la campagne,
00:43:47 on le s'en doutait évidemment, mais on a des chiffres à l'appui, on voit beaucoup moins à l'hôpital parce qu'on est évidemment beaucoup plus loin.
00:43:53 Est-ce que ça vous a déjà posé problème ? Est-ce que l'accès à l'hôpital est difficile ?
00:43:58 Yvette est avec nous au téléphone ce matin. Bonjour Yvette !
00:44:01 Oui, bonjour.
00:44:02 Bonjour Yvette ! Vous nous appelez d'où ?
00:44:04 Je vous appelle de Bourgnois, c'est un petit village à côté de Villers-Sexelles.
00:44:08 Oui, et alors pour vous l'accès à l'hôpital c'est compliqué ?
00:44:12 Compliqué, très compliqué. Parce que nous pour se rendre à l'hôpital, c'est besoin son ou besoin l'autre.
00:44:18 Mais que ce soit l'un ou l'autre, c'est ce que je dis, on est dépendant des enfants parce qu'on ne peut plus aller tout seul.
00:44:25 On est trop âgé, on ne peut plus aller tout seul sans se faire accompagner.
00:44:29 Oui, c'est à dire c'est combien de kilomètres à peu près pour aller à l'hôpital depuis Bourgnois ?
00:44:33 Nous en sommes, il y a 50 kilomètres.
00:44:35 Il faut prendre la voiture forcément ?
00:44:37 Ah ben ça c'est sûr, oui.
00:44:39 Ça vous a déjà freiné pour un rendez-vous chez un spécialiste par exemple ?
00:44:43 Ah oui, on a déjà dû rechanger même les rendez-vous.
00:44:46 Parce que vous n'étiez pas dispo.
00:44:48 Parce que les enfants étaient libres.
00:44:50 Est-ce qu'il y a peut-être des soins ou des opérations que vous avez préféré ne pas faire ?
00:44:54 Parce que vous vous êtes dit que c'est trop compliqué, s'il faut à chaque fois me chercher, m'amener, ça va être trop compliqué.
00:44:59 Est-ce qu'il y a des soins que vous avez reculé ou que vous n'avez pas fait ?
00:45:03 Oui.
00:45:05 Par exemple ?
00:45:07 J'ai été passer une IRM, tout ça, j'ai dû changer deux fois de rendez-vous.
00:45:15 Ce qui fait que ça repousse les soins et que forcément, des fois, ça peut poser problème.
00:45:20 Parce qu'autour de Bourgnois, on l'imagine, les spécialistes et les rendez-vous particuliers, c'est très compliqué.
00:45:25 C'est forcément l'hôpital.
00:45:27 Ben oui, il n'y a que l'hôpital, bien sûr.
00:45:29 C'est la seule opportunité et on comprend que c'est difficile d'y aller sans avoir...
00:45:34 Ne serait-ce qu'un transport en fait, c'est la première des difficultés finalement.
00:45:38 Mais les transports, effectivement, c'est ce que nous expliquent et ce que nous révèlent à cette étude.
00:45:43 Donc effectivement, les transports, à la fois parce que c'est compliqué parfois d'en trouver,
00:45:46 mais aussi parce que ça coûte cher de faire 50 km à chaque fois,
00:45:50 qui fait que certaines personnes, par exemple, repoussent des opérations de hanches ou de genoux.
00:45:56 On a quand même des chiffres édifiants.
00:45:58 J'aimerais le redire parce qu'il est quand même très parlant.
00:46:00 On a 30% de chimiothérapie en moins pratiquée en zone rurale qu'en zone urbaine.
00:46:06 Et je le redis, ça ne veut évidemment pas dire qu'on a moins de cancer quand on habite à Bourgnois qu'ailleurs,
00:46:10 mais que juste on n'a pas accès effectivement aux soins de la même façon.
00:46:14 Merci Yves-Ette pour tous les cas. Merci beaucoup pour votre témoignage.
00:46:17 Merci d'avoir été là ce matin.
00:46:18 Bonne journée à vous.
00:46:20 Dans un instant, vous pouvez continuer d'ailleurs à réagir sur les réseaux sociaux,
00:46:24 à nous poster votre point de vue là-dessus.
00:46:26 Est-ce que ça vous a déjà empêché ou pas la distance avec l'hôpital ?
00:46:29 Et nous dans un instant, on va revenir sur les manifestations contre l'antisémitisme
00:46:34 qui ont lieu un peu partout dans la région.
00:46:36 Ce week-end, le président local de la LICRA est avec nous dans un instant.
00:46:40 Ici Matin, revient dans un instant.
00:46:44 Chaque samedi,
00:46:46 il faut qu'à un moment, il y a cette étincelle de gourmandise.
00:46:49 Préparez-vous à saliver devant Succulent.
00:46:52 Explorez le nouveau produit phare de la semaine au plus près des gens, des gestes et de l'assiette.
00:46:57 Succulent, c'est votre rendez-vous gourmand samedi à 11h10 sur France 3, Bourgogne-Franche-Comté.
00:47:04 Avec nous,
00:47:07 un roi de nous.
00:47:09 C'est nous, Sophie !
00:47:11 Ici, c'est le 6/9, France bleu, vos ensembles.
00:47:16 Bon début de journée, nous sommes lundi, aujourd'hui le 13 novembre,
00:47:21 après les rassemblements contre l'antisémitisme hier partout en France.
00:47:25 L'invité du 6/9 ce matin est le président de la LICRA,
00:47:28 la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme de Franche-Comté.
00:47:31 Bonjour Franck Defranne. - Bonjour.
00:47:33 Alors quand on regarde les chiffres, 180 000 manifestants contre l'antisémitisme partout en France,
00:47:38 entre 400 et 600 à Besançon, on peut parler de succès ?
00:47:41 Oui, c'est une belle réussite, effectivement.
00:47:44 Qu'est-ce que ça renvoie comme message selon vous, cette participation ?
00:47:46 Alors qu'en plus, on ne va pas se mentir, le temps ne s'y prêtait pas vraiment.
00:47:49 Qu'est-ce que ça renvoie comme message, cette forte participation des Français à cette marche ?
00:47:55 Je veux dire qu'il y a un ras-le-bol de tous ces actes qui jalonnent notre histoire tout au long des années.
00:48:04 On avait à cœur de porter un message d'unité et un message de dignité.
00:48:11 Et je pense que c'est une grande réussite parce que partout en France, on a pu se réunir.
00:48:16 La LICRA s'est associée à toutes les manifestations qui étaient prévues.
00:48:21 Lorsque ça ne l'était pas, c'est l'association qui a porté le rassemblement.
00:48:27 Vous, la LICRA, vous avez appelé un rassemblement citoyen et digne à Besançon.
00:48:31 Est-ce qu'il a été à la hauteur de vos espérances ?
00:48:34 Oui, absolument.
00:48:36 On voulait de l'unité, on en a eu.
00:48:40 On a pu rassembler Mme la maire de Besançon et sa sensibilité,
00:48:44 un ensemble de parlementaires de tous bords, des sénateurs, des députés,
00:48:49 Mme la présidente du département, M. le préfet, je m'introduis.
00:48:52 Il y avait du monde, il y avait des politiques.
00:48:54 Mais en même temps, dans votre intervention hier, vous avez aussi parlé, pointé du doigt,
00:48:58 ceux qui étaient délibérément absents. Difficile de parler d'unité dans ces cas-là.
00:49:02 On ne peut pas toujours faire 100%, mais il faut s'attacher à la réussite et à ceux qui étaient là.
00:49:09 Plus de 600 personnes à Besançon, c'était vraiment une belle réussite.
00:49:12 Pareil, il y a eu quelques frictions au début de la manifestation à Besançon.
00:49:16 Il a fallu mettre un petit peu d'ordre.
00:49:19 Vous dites que c'est dommage, que c'est finalement normal,
00:49:22 vu le contexte, vu la semaine qu'on a passée entre toutes les oppositions,
00:49:27 entre politiques, l'ERN et les partis de gauche notamment ?
00:49:30 C'est anecdotique, franchement. Ce n'est pas ça qu'il faut retenir.
00:49:33 Il faut retenir vraiment ce message.
00:49:36 On a dit aux barbares que nos valeurs étaient plus fortes que leur haine.
00:49:40 Les valeurs que l'on porte, l'universalisme, la tolérance, la fraternité,
00:49:44 c'est ça qui nous rassemble et c'est ça que moi je retiens.
00:49:47 Franck Defranon, on entend ces derniers jours beaucoup de paroles
00:49:51 prises par des juifs de France qui parlent de leur inquiétude.
00:49:55 Pour certains, ça va même effectivement très loin,
00:49:58 ils se sentent menacés dans leur intégrité par rapport aux actes antisémites
00:50:02 qui sont commis en France ces dernières semaines.
00:50:04 Est-ce que c'est le cas chez nous en Franche-Comté, notamment à Besançon ?
00:50:07 Est-ce qu'on ressent les mêmes choses que ce qu'on peut entendre sur des chaînes nationales ?
00:50:12 Est-ce que vraiment il y a un sentiment d'inquiétude
00:50:14 chez les juifs de Besançon et de Franche-Comté ?
00:50:17 C'est vrai que la communauté juive a été longtemps assez tranquille à Besançon,
00:50:24 mais la vague d'antisémitisme frappe également notre région.
00:50:30 Et il y a une certaine inquiétude.
00:50:32 Il y a eu quelques tags de découvertes à Besançon, des étoiles de David,
00:50:36 mais le sentiment d'inquiétude, est-ce qu'il existe réellement ?
00:50:42 Il existe un petit peu quand même, oui.
00:50:45 Comment vous envisagez la suite ?
00:50:47 On se rend bien compte qu'effectivement la situation reste très tendue.
00:50:50 Vous avez manifesté hier dimanche à Besançon,
00:50:53 mais la veille samedi, 800 personnes manifestaient toujours à Besançon
00:50:56 en faveur des Palestiniens pour défendre la cause palestinienne.
00:51:00 Est-ce que l'opposition finalement, des manifestations également,
00:51:04 ça vous inquiète éventuellement pour les jours à venir ?
00:51:07 Est-ce qu'il n'y a pas quand même un petit côté sous-jacent un peu explosif
00:51:12 qu'il faut arriver à contrôler ?
00:51:14 Et comment vous vous y employez, vous à la LICRA ?
00:51:17 C'est vrai que nous, on a à cœur de ne pas apporter les conflits lointains
00:51:25 qui ne nous concernent pas directement.
00:51:28 On s'attache à ce qui se passe en France.
00:51:30 Nous, on protège nos concitoyens.
00:51:33 On ne veut pas que qui que ce soit ne soit importuné pour sa religion,
00:51:38 pour sa confession, pour sa couleur de peau.
00:51:41 J'entends effectivement que vous dites "on ne veut pas importer le conflit",
00:51:43 en même temps c'est déjà fait,
00:51:45 parce qu'effectivement samedi, ces personnes qui manifestaient,
00:51:48 c'était pour dénoncer les morts de civils à Gaza,
00:51:52 et dimanche, ceux qui manifestaient, effectivement,
00:51:54 c'était pour dénoncer les actes antisémites
00:51:56 directement liés à l'action d'Israël sur la bande de Gaza.
00:52:00 Donc le conflit, il est déjà importé.
00:52:02 Dans les prochains jours, qu'est-ce que vous pouvez faire, j'ai envie de dire,
00:52:05 pour garder de la sérénité, de l'apaisement dans notre pays,
00:52:09 et plus localement chez nous, à Besançon, en Franche-Comté ?
00:52:12 On n'a pas l'habitude d'opposer les gens les uns aux autres.
00:52:16 Notre façon de faire, c'est de porter nos valeurs ensemble.
00:52:21 C'est un message de rassemblement et d'unité.
00:52:23 Donc on n'oppose personne à personne.
00:52:27 En tous les cas, c'est ce que vous avez voulu montrer hier avec ce rassemblement.
00:52:32 On le répète, entre 400 et 600 personnes.
00:52:34 Vous avez les photos sur francebleu.fr/besançon.
00:52:37 Elles étaient 70 à Vézoul, une centaine à Lonce-le-Saunier,
00:52:40 105 000 à Paris, et 180 000 personnes partout en France
00:52:45 pour ces rassemblements d'union pour la République et contre l'antisémitisme.
00:52:49 Merci, M. De France, d'avoir été dans le studio ce matin.
00:52:51 Merci à vous.
00:52:52 Bonne journée, et si vous avez pris cette interview en cours de route,
00:52:55 vous la retrouverez en intégralité dans quelques minutes sur l'appli ici, par France Bleu et France 3.
00:53:00 Après Kelly O'Zero et Marie Poulain, M. Franche-Comté, l'invité de France Bleu,
00:53:04 nous parlera de son parcours, de son histoire exceptionnelle.
00:53:07 Comment passe-t-on de gendarme à ministre ?
00:53:09 Eh bien, on lui posera la question dans quelques instants.
00:53:11 Merci d'avoir choisi France Bleu pour ce lundi.
00:53:13 Faites attention à vous sur la route, de la pluie et du vent en rafale jusqu'à 75 km/h aujourd'hui.
00:53:18 C'est la météo chez nous en France Comté. Bon réveil.
00:53:21 Dans le double du départ, ce qui reste se touche pour triste.
00:53:25 C'est comme de rester là, à regarder partir le protagoniste et le hall des au revoirs.
00:53:33 Je sais qu'il faut que tu t'en ailles, mais attends encore qu'on se regarde en détail.
00:53:39 Dans le hall des arrivées, quelque chose de sacré.
00:53:44 En attendant le cœur battant, les grands pas se rapprochant.
00:53:49 C'est le hall des retrouvailles, là où le temps s'arrête, où le désir s'emballe.
00:53:56 Je ne sais jamais trop où me mettre.
00:53:59 Bientôt on sera proche de l'arrivée du départ.
00:54:10 Bientôt on sera loin, pour ça on est toujours en retard.
00:54:15 Bientôt on sera proche, ou loin.
00:54:20 Mais ce n'est que provisoire.
00:54:22 Bientôt on sera proche de l'arrivée du départ.
00:54:27 Bientôt on sera loin, pour ça on est toujours en retard.
00:54:32 Bientôt on sera loin, oui.
00:54:36 Mais ce n'est que provisoire.
00:54:39 Dans le double du départ, j'affiche toujours un sourire triste.
00:54:43 J'ai déjà hâte de te revoir.
00:54:46 Mon très cher protagoniste, c'est le hall des mouchoirs.
00:54:50 On pense toujours un peu au pire, plus que de simples revoirs.
00:54:55 Ce sont des "je t'aime quoi qu'il arrive".
00:54:58 Dans ces halls trop grands, moi je ne vois que toi.
00:55:02 Et j'espère en partant, qu'en fait tu décides de rester là.
00:55:07 Je serai à l'heure pour ton vol, dans le quart t'as la main qu'on rigole.
00:55:12 Pour ne rater aucun de nos câlins yéhoudiens.
00:55:18 Bientôt on sera proche de l'arrivée du départ.
00:55:26 Bientôt on sera loin, pour ça on est toujours en retard.
00:55:31 Bientôt on sera loin, oui, loin.
00:55:36 Mais ce n'est que provisoire.
00:55:38 Bientôt on sera proche de l'arrivée du départ.
00:55:43 Bientôt on sera loin, pour ça on est toujours en retard.
00:55:48 Bientôt on sera loin, oui, loin.
00:55:52 Mais ce n'est que provisoire.
00:55:56 Le hall des départs avec Marie Poulain et Kalo Gero, Kalo Gero,
00:56:02 qui sera l'invité de France Bleu ce soir à 19h.
00:56:05 Et tout à l'heure à 11h avant ça, vous jouez avec nous dans le Top Chrono Nouvelle Semaine Nouveaux Cadeaux.
00:56:11 Et on vous offre votre pack Bien-Être Premium cette semaine à l'Institut Un Temps Pour Soi à Beaumé-les-Dames.
00:56:17 Une journée pour vous faire chouchouter de A à Z.
00:56:19 C'est quand même grand saut, parce que la semaine dernière, si mes souvenirs sont bons, on sautait en parachute.
00:56:23 Et là c'est bien-être, c'est après le saut. C'est une autre version.
00:56:27 Le saut vous lifte le visage et après vous allez vous hydrater au salon.
00:56:31 Voilà, tout à l'heure, 11h midi, pour jouer avec nous sur France Bleu Top Chrono,
00:56:35 avec de super cadeaux à gagner chaque semaine.
00:56:37 Allez, il est 7h56 et elle va nous accompagner jusqu'à 9h, tout à l'heure.
00:56:42 Moi quand j'entends cette musique, ça y est, il n'y a pas...
00:56:45 Tu as déjà envie de baisser les bras.
00:56:47 Non, non, non, non, ça fait rêver.
00:56:50 Sonia Coutard, Miss Franche-Comté 2023, est avec nous et elle va nous accompagner jusqu'à 9h, tout à l'heure.
00:56:55 Bonjour Sonia. Bonjour à tous.
00:56:57 Merci de nous être levées tôt pour nous. Oui, de bonheur et de bonne humeur.
00:57:00 Bon, alors là vous allez partir, si on vous invite ce matin, c'est parce que là, dans quelques heures,
00:57:04 vous faites vos valises et ça y est, c'est parti pour la grande aventure Miss France.
00:57:08 Ce sera le 16 décembre, en direct de Dijon.
00:57:10 Et là, vous allez partir pour un mois de découverte, d'aventure.
00:57:16 C'est exactement ça. Il ne me reste plus que quelques jours, quelques heures même,
00:57:19 avant de partir pour ce voyage en Guyane.
00:57:22 Et puis, c'est parti pour un mois, jusqu'au show, le 16 décembre, aux Énigmes de Dijon.
00:57:26 Bon, là vous allez faire un spectacle incroyable.
00:57:28 Plus de 7 millions, 7-8 millions de personnes, c'est un des programmes les plus regardés de la télévision.
00:57:32 Vous ne les mettez pas la pression ? Non, pas du tout.
00:57:34 Avant de faire Miss France-Comté, vous étiez déjà montée sur scène.
00:57:38 Le spectacle, les paillettes, c'était déjà quelque chose que vous connaissiez ?
00:57:41 Alors non, pas du tout. Avant, j'étais gendarme.
00:57:44 Donc, vraiment un monde très opposé au monde des Miss.
00:57:48 Et puis, j'ai eu quelques ennuis de santé qui m'ont empêché de continuer.
00:57:52 J'ai décidé de me reconvertir dans le domaine de la santé.
00:57:54 Et je suis maintenant aide-soignante en Ehpad.
00:57:56 Donc, pareil, rien à voir avec Miss France.
00:57:58 Non, rien à voir. Je ne travaille pas en talons aiguilles, je ne danse pas sur scène.
00:58:02 Alors moi, je n'ai jamais rencontré de gendarme comme Sonia.
00:58:06 Je ne dois pas tomber sur les bons.
00:58:08 Il ne ressemble pas du tout à Sonia.
00:58:10 Qu'est-ce qui vous plaisait dans la gendarmerie ? Pourquoi ce métier-là ?
00:58:15 Alors, j'ai un papa déjà qui était militaire.
00:58:17 Donc, forcément, j'ai grandi dans ce milieu-là.
00:58:19 Ma sœur aussi était militaire.
00:58:20 Et puis, finalement, il y a eu les attentats du Bataclan.
00:58:23 Et je me suis dit, pourquoi pas apporter ma petite père à l'édifice
00:58:26 et puis rentrer en gendarmerie.
00:58:28 Vous avez fait l'école ?
00:58:30 Oui, absolument, à Tulle.
00:58:32 Vous étiez en caserne ensuite, c'est ça ?
00:58:34 Oui, dans le Tarn-et-Garonne.
00:58:36 Et alors, cette expérience, qu'est-ce que vous en gardez aujourd'hui ?
00:58:39 Parce que c'est particulier comme milieu, comme métier, comme ambiance.
00:58:42 C'est très particulier, mais ça m'a appris à être très disciplinée, très rigoureuse,
00:58:46 très ponctuelle aussi, forcément, puisque ça fait partie des valeurs militaires.
00:58:50 Et puis, finalement, Miss France, c'est un peu une mini-préparation militaire.
00:58:54 Se lever très tôt, se coucher très tard, vivre en communauté.
00:58:56 Sauf qu'on le fait avec des jolies robes.
00:58:58 En même temps, la gendarmerie, on parle souvent du côté répressif, du côté militaire.
00:59:03 Mais c'est aussi, les gendarmes sont aussi au service de la population.
00:59:07 Vous l'avez approché, ça ?
00:59:09 Oui, je pense que les gens retiennent souvent le côté,
00:59:12 on met des amendes et on est au bord des routes.
00:59:14 Mais ça, c'est 10% du métier, même pas tout le reste du temps.
00:59:17 C'est les cambriolages, les violences intrafamiliales.
00:59:19 Et puis, quand on a besoin, on appelle les gendarmes.
00:59:22 Il n'y a pas que le côté, on met des PV.
00:59:24 Sonia Coutan, notre Miss France Comté, est avec nous,
00:59:27 avant son grand départ pour l'aventure Miss France dans quelques heures, quelques jours.
00:59:31 On va lui dire un poids.
00:59:32 Vous connaissez la blague qu'on faisait dans les années 80 ?
00:59:34 Non.
00:59:35 Takuru en Guyane.
00:59:36 C'est une blague des années 80.
00:59:38 Vous la notez, Sonia ?
00:59:40 Je vais la noter.
00:59:41 Vous la notez, celle-là.
00:59:42 Miss France Comté nous accompagne jusqu'à 9h.
00:59:44 Si vous avez des questions à lui poser, envie de papeter avec elle, 0380 833 100.
00:59:48 Vous appelez France Bleu, vous nous envoyez un message sur les réseaux sociaux.
00:59:51 Elle est là avec nous pendant une heure.
00:59:53 Dijon est la première ville au monde visitable sur console.
01:00:02 Le jeu, on va en parler avec Johnny.
01:00:04 Maya est vice-championne du monde de roller derby.
01:00:06 Elle nous fera découvrir son sport.
01:00:08 Notre avocat répondra à vos questions.
01:00:09 Et on va conserver nos fruits et légumes.
01:00:11 Soyez là.
01:00:13 Vous aussi, goûtez la vache qui rit.
01:00:15 Elle est meilleure que jamais.
01:00:17 De son Jura natal à la planète entière.
01:00:19 Ça ressemble à tout sauf un fromage.
01:00:22 Ils ont tout révolutionné.
01:00:23 Tout.
01:00:24 En fondant le fromage, on pouvait exporter.
01:00:26 Et pour le pique-nique, c'est épatant.
01:00:28 Ce qui est extraordinaire, c'est l'appropriation de la marque par tous les publics.
01:00:32 On a une marque qui est en train de se développer.
01:00:34 On a une marque qui est en train de se développer.
01:00:36 On a une marque qui est en train de se développer.
01:00:38 On a une marque qui est en train de se développer.
01:00:40 On a une marque par tous les publics.
01:00:42 C'est un fromage rigolo.
01:00:44 On ne peut pas faire mieux comme publicité.
01:00:46 C'est peut-être ça le secret de la vache qui rit.
01:00:48 L'histoire d'une vache qui rit.
01:00:49 Jeudi à 22h55 sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté.
01:00:52 Et sur la plateforme France.tv
01:00:54 Ici, c'est France Bleu Besançon.
01:01:02 Je vous remercie d'avoir choisi France Bleu.
01:01:05 Premier radio en Franche-Comté, il est 8h.
01:01:07 Le Grand Besançon.
01:01:09 Si vous êtes au volant, sachez que dans le Grand Besançon,
01:01:15 les principales difficultés, là pour l'instant,
01:01:17 c'est l'axe Recolonche-Maudin,
01:01:19 avec la fermeture de la montée de Pouillet-les-Vignes.
01:01:22 Vous êtes très nombreux à passer par là, ça se ressent.
01:01:24 Et puis dans le Grand Besançon, globalement, c'est quand même assez chargé.
01:01:26 Il y a du monde ce matin au volant.
01:01:28 La météo, Dimitri Humbert ?
01:01:29 Eh bien, disons-le tout de suite, ça ne sera vraiment pas terrible.
01:01:31 Et ça ne va pas s'améliorer de la pluie toute la journée.
01:01:34 Pas plus de 17 au plus chaud aujourd'hui.
01:01:36 C'est un message d'unité, de dignité,
01:01:39 qui a été porté hier contre l'antisémitisme à Besançon.
01:01:42 Voilà ce que nous disait il y a quelques minutes
01:01:44 notre invité Franck Dufresne, le président de la LICRA à Besançon.
01:01:47 Même si tout le monde n'était pas présent hier à la manif,
01:01:51 c'était tout de même une vraie réussite.
01:01:53 400 personnes étaient présentes, selon la préfecture du Doubs.
01:01:56 Les manifestants étaient même 600, selon la LICRA,
01:01:58 contre, pour dire non, à la multiplication des actes antisémites
01:02:03 dans notre pays depuis le début de la guerre entre le Hamas et Israël,
01:02:07 le 7 octobre.
01:02:08 Dans les rangs des manifestants, il y avait notamment Jean-Marie,
01:02:11 une pancarte à la main.
01:02:12 Il voulait apporter son soutien aux Juifs,
01:02:14 mais aussi dénoncer l'action d'Israël.
01:02:17 Je suis venu pour dénoncer l'antisémitisme croissant,
01:02:20 effectivement, qui monte dans le pays.
01:02:22 Et en même temps, la montée de tous les racismes,
01:02:25 de toutes les exclusions qu'on connaît.
01:02:28 Et puis, je suis venu aussi pour me démarquer, disons,
01:02:32 de l'amalgame qu'il pouvait y avoir entre la politique de l'État d'Israël,
01:02:36 que je récuse, que vraiment je critique fortement,
01:02:39 et la communauté juive, les Juifs en général dans le monde.
01:02:43 C'est deux choses complètement différentes.
01:02:45 Je crains que la situation internationale
01:02:47 ne débouche sur une aggravation des récriminations des uns et des autres.
01:02:51 Donc, bon, c'est pour ça que j'avais ce panneau.
01:02:54 C'était pour manifester que je considérais que le soutien
01:02:58 au peuple palestinien n'était pas du tout contradictoire
01:03:01 avec le soutien à la communauté juive.
01:03:04 Et les photos de la manif sont à retrouver sur francebleu.fr.
01:03:07 Besançon, la manif a également rassemblé une centaine de personnes
01:03:11 à L'Onsle Saunier, 70 à Vesoul.
01:03:13 Les manifestants, qui étaient un peu plus de 100 000 à Paris,
01:03:16 pas loin de 200 000 personnes au total,
01:03:18 ont défilé un peu partout en France.
01:03:20 A la une également, cette sordide histoire de kidnapping.
01:03:23 À Dôles, quatre hommes ont été arrêtés et placés en détention provisoire.
01:03:26 Vendredi, à Besançon, les victimes sont deux jeunes femmes
01:03:29 qui ont été séquestrées dans la nuit du 14 au 15 octobre.
01:03:32 Elles auraient subi des menaces, des violences et des attouchements.
01:03:35 Un calvaire qui a duré plusieurs heures sur fond de trafic de stupéfiants.
01:03:39 Leurs agresseurs, des jeunes de 19 à 21 ans, ont été mis en examen
01:03:43 par le parquet de Besançon pour séquestration.
01:03:45 Un cinquième est toujours en fuite.
01:03:48 Il est activement recherché par la police.
01:03:50 Sur le front des inondations, ce n'est pas encore aujourd'hui
01:03:53 que les habitants du Pas-de-Calais vont retrouver un peu de tranquillité.
01:03:56 Après une accalmie de 48 heures, les pluies vont faire leur retour
01:04:00 dès ce soir dans le département.
01:04:02 Et le retour de ces intempéries fait craindre sur place
01:04:05 un nouvel épisode de difficile Loubordie.
01:04:07 Le Pas-de-Calais traverse aujourd'hui un nouvel épisode pluvieux
01:04:10 qui pourrait une fois encore engendrer des crues dévastatrices.
01:04:13 Les sols sont déjà saturés et les précipitations attendues
01:04:17 devraient monter en intensité entre aujourd'hui et demain.
01:04:20 La journée de demain d'ailleurs pourrait être marquée par des pluies
01:04:23 encore plus intenses, encore plus importantes, avec évidemment
01:04:26 un impact considérable sur les cours d'eau.
01:04:29 Une situation jugée préoccupante par la préfecture.
01:04:32 Dans ce contexte, elle a donc décidé de maintenir fermés
01:04:35 les établissements scolaires des 279 communes les plus touchées
01:04:39 par les inondations.
01:04:41 Les crèches, écoles, collèges et lycées sont concernés.
01:04:43 Pas de cours donc pour les élèves, mais les parents qui n'ont pas
01:04:46 de solution de garde peuvent déposer leurs enfants.
01:04:49 Plus de 6 jours après le début des inondations,
01:04:51 les évacuations continuent dans le département.
01:04:54 Beaucoup de foyers restent privés d'eau potable.
01:04:56 7200 personnes encore hier soir et 700 foyers toujours sans électricité.
01:05:01 Les précisions de Lou Bordy.
01:05:03 C'est une étude qui en dit beaucoup sur l'accès aux soins en France.
01:05:06 Plus la distance grandit entre le logement et l'hôpital,
01:05:09 et moins les habitants s'y rendent.
01:05:11 En chiffre, les ruraux consomment jusqu'à 20% de soins hospitaliers,
01:05:15 de moins que les urbains.
01:05:16 Étude lancée par l'Association des maires ruraux de France.
01:05:19 Des inégalités étroitement liées au désert médicaux
01:05:22 et au manque de généralistes.
01:05:24 On décortique les résultats de cette étude en Franche-Comté
01:05:27 avec Marie-Caura Lifournier tout à l'heure à 8h15.
01:05:30 Dans le Plus de l'Info.
01:05:31 France Bleu, il est 8h05.
01:05:33 Face à la crise énergétique, les projets de parcs photovoltaïques
01:05:36 ont le vent en poube dans notre région.
01:05:38 À preuve, il se multiplie dans le Jura.
01:05:40 On en compte pas loin d'une vingtaine dans les cartons.
01:05:42 Mais ça inquiète beaucoup l'association Jura Nature Environnement.
01:05:45 Pour faire simple, le développement de l'énergie solaire, c'est oui.
01:05:48 Mais pas forcément n'importe comment.
01:05:50 Car le nombre de ces projets risque d'empiéter sur des espaces naturels.
01:05:54 Pour l'association, ces parcs doivent être construits en priorité
01:05:58 sur des terrains déjà dégradés d'un point de vue environnemental.
01:06:01 Des surfaces déjà imperméabilisées comme des toitures, des hangars ou des parkings.
01:06:05 Et la multiplication également des projets inquiète,
01:06:08 nous dit Vincent Dames.
01:06:09 Il est chargé de mission à Jura Nature Environnement.
01:06:11 On a déjà un gros combat qu'on mène sur l'aumône sur monnaie.
01:06:15 On est sur le plateau de Champagnole où là c'est 74 hectares de forêts qui sont menacées.
01:06:21 Des forêts dites non productives mais qui sont pour nous d'une belle richesse.
01:06:26 Et aussi, ce qu'on voit arriver, c'est des projets qui vont s'implanter sur ce qu'on appelle les communaux.
01:06:32 Les parcelles communales qui avaient des valeurs agronomiques très faibles
01:06:35 parce que sur du sol très insuffisant et de la roche mer affleurante.
01:06:38 Ces communaux-là qui n'ont plus trop de valeur pour les filières comptées
01:06:41 et les activités agricoles rentables sont visés par des projets,
01:06:45 notamment en petite montagne jurassienne où là on en est à quelques dizaines de sites qui sont menacés
01:06:50 à coups de 5, 10, 15 ou 20 hectares.
01:06:54 Un projet peut être isolé, pourquoi pas, mais il n'y a aucun recul sur le cumul de tous ces projets-là.
01:06:59 Donc ça nous pose vraiment des questions et des grosses inquiétudes pour la suite.
01:07:02 Et de ce point de vue, les membres de l'association doivent bientôt les porter
01:07:06 lors d'une rencontre avec la préfecture.
01:07:08 Les élus du conseil municipal de Vesoules se réunissent ce soir à 18h30
01:07:13 au programme des orientations budgétaires pour l'année prochaine,
01:07:16 mais également un audit de la Chambre régionale des comptes sur les dépenses de la ville en matière d'énergie.
01:07:22 Deux semaines de course en mer, ou plutôt d'odyssée, parce que les conditions sont dantesques.
01:07:27 C'est le breton Armel Le Cleac'h qui a remporté pour la première fois hier la Transat Jacques Vabre
01:07:32 en duo avec Sébastien Joss. La Transat, une traversée de l'Atlantique entre le Havre et la Martinique.
01:07:39 Les deux hommes ont parcouru 15 000 km face aux éléments déchaînés,
01:07:44 donc dans une mer démontée, et ils ont mis seulement deux semaines pour boucler la course.
01:07:49 Le foot, avec les derniers matchs hier de la 12e journée de Ligue 1,
01:07:53 l'Anse reprend un peu du poil de la bête. Victoire 1 à 0 face à Marseille,
01:07:57 ce qui permet aux 100 ailleurs de remonter à la 6e place.
01:08:00 Le PSG, lui, a retrouvé dès samedi la tête du classement.
01:08:03 L'OM se retrouve 10e. Enfin, dans les résultats du week-end,
01:08:06 on retiendra en Ronde que l'ESBF a renoué avec la victoire samedi face à Mérignac sur le score de 30 à 28.
01:08:12 Victoire qui permet aux Byzantines de remonter à la 7e place du classement.
01:08:16 Enfin, Sochaux a signé une nouvelle victoire face à Cholet.
01:08:19 Les jaunes et bleus sont 6e de National 1.
01:08:21 Ça se passe comment aux entrées de Besançon, Paul ?
01:08:25 Vous avez le temps d'admirer le paysage, c'est ça qui est bien aujourd'hui.
01:08:29 C'est un peu ralenti, c'est ça ?
01:08:30 Oui, c'est ça.
01:08:31 C'est bouchonné partout, au nord, au sud, à l'est ou à l'ouest,
01:08:35 peu importe où vous arrivez.
01:08:37 Sur les boulevards, sur la descente de Morges, sur la descente de Larneau,
01:08:40 et puis toujours sur l'axe difficile en ce moment en raison des travaux à Pouillet-les-Vignes,
01:08:44 dans le secteur de Serres-les-Sapins, Recologne, Chemaudin, et Ayubon.
01:08:49 Ça se bouscule un peu.
01:08:50 Sur la Haute-Saône, pour l'instant, ça reste assez calme.
01:08:52 La Nationale 19, pas grand-chose à vous signaler là-dessus.
01:08:55 Et puis sur l'axe Vesoules-les-Vauges, là, ça roule aussi très bien,
01:08:58 pas de soucis majeurs pour le moment.
01:09:00 La météo ?
01:09:01 Brushing...
01:09:04 Il n'y a pas de soucis non plus.
01:09:05 Non.
01:09:06 C'est automne.
01:09:07 C'est automne.
01:09:08 Le brushing va en prendre un coup, 75 km/h de vent en rafale quand même aujourd'hui,
01:09:11 avec de la pluie tout au long de la journée.
01:09:14 Principalement d'ailleurs sur la Haute-Saône cet après-midi, ça pourra tomber fort.
01:09:17 Des températures en revanche douces, puisqu'on sera entre 15 et 17 au meilleur de la journée cet après-midi.
01:09:23 Pontarlier, 15 degrés à l'usine où on fabrique le Nesquik, par exemple.
01:09:27 15 degrés aussi sur le plateau Méchois.
01:09:29 Vous aurez 16 degrés à Marnay ou encore à Lure.
01:09:32 Je vois ce que vous mettez ce matin, le matin dans le lait du petit déjeuner.
01:09:35 17 degrés à Besançon.
01:09:37 Mais oui, c'est fait chez nous le Nesquik.
01:09:38 Mais tout à fait.
01:09:39 Il faut le dire quand même, quand vous passez à Pontarlier, que ça sent le chocolat.
01:09:42 Les petites et les grosses boîtes jaunes.
01:09:43 Absolument, ça sort de chez nous.
01:09:45 La météo 100% locale, avec les meubles Étienne Mougin, meubles, salons, literie et décorations au Russée.
01:09:51 Plus d'informations sur meubles-mougin.fr
01:09:54 France Bleu, il est 8h09. Bonjour !
01:09:57 Allez tiens, dans un instant, on reviendra avec Marion sur cette étude des maires ruraux
01:10:06 qui indique que quand on est à la campagne, on va beaucoup moins à l'hôpital que quand on est en ville.
01:10:10 Et les chiffres, franchement, sont alarmants ce matin.
01:10:13 Oui, parce qu'effectivement, on imagine bien que quand on est à 60 km d'un CHU,
01:10:18 c'est plus compliqué que quand on est à 5 km.
01:10:20 Mais les chiffres sont quand même assez inquiétants.
01:10:23 C'est parfois des questions de vie et de mort.
01:10:25 Ce matin, on est aussi avec notre Miss Franche-Comté, Sonia Coutan.
01:10:28 Ça va, Sonia ?
01:10:29 Ça va très bien.
01:10:30 Vous, vous bossez dans le milieu de la santé.
01:10:31 C'est ça qui est intéressant.
01:10:32 Vous avez un parcours vraiment inspirant.
01:10:34 Vous avez été gendarme, aujourd'hui vous êtes aide-soignante.
01:10:36 C'est quoi, justement, le quotidien d'une aide-soignante ?
01:10:38 On se lève aussi très tôt ?
01:10:39 On se lève très tôt, on est fatiguée.
01:10:42 Une journée type, par exemple, je pouvais faire du 6h45, 14h15 ou 14h15, 21h.
01:10:49 Et puis, il y a certains établissements qui travaillent en 12h,
01:10:51 ce qui nous permet d'avoir un planning un peu plus, comment je peux dire, malléable.
01:10:55 Et les tâches d'une aide-soignante, c'est quoi ?
01:10:57 Parce qu'infirmière, on voit à peu près, il y a des soins, il y a des piqûres.
01:11:00 Aide-soignante, c'est quoi le cœur de métier ?
01:11:02 Le cœur de métier, c'est vraiment, ça va être l'accompagnement de la personne âgée,
01:11:05 que ça soit dans sa toilette, dans les soins du quotidien, dans l'aide au repas.
01:11:09 Mais ça va surtout dépendre du secteur où on travaille.
01:11:12 J'ai eu la chance de travailler en secteur sécurisé Alzheimer.
01:11:14 Là, c'est des gens qui sont déments la plupart du temps.
01:11:18 Et c'est vraiment un accompagnement au quotidien.
01:11:20 C'est des gestes qu'ils oublient finalement.
01:11:23 Vous avez travaillé dans quel établissement par exemple, en Franche-Comté ?
01:11:26 Là, je travaillais à l'EHPAD de Franne.
01:11:28 Et puis, j'ai dû mettre mon métier un peu de côté, forcément, pour la préparation pour les Miss.
01:11:32 Bon, et vous espérez y retourner ?
01:11:34 Oui, bien sûr, mais résident me manque.
01:11:37 Évidemment, c'est un métier qu'on fait par cœur et avec passion, on l'imagine.
01:11:41 Vous restez avec nous, Sonia.
01:11:42 Si vous avez des questions à poser à notre Miss Franche-Comté
01:11:44 avant son départ dans quelques heures pour l'aventure Miss France,
01:11:47 03883311 ce matin,
01:11:49 c'est elle qui vous fera jouer au Compté Pas Compté ce matin.
01:11:53 On joue ensemble dans moins de 20 minutes. Bienvenue sur France Bleu.
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01:46:14 Les 9h moins le quart jusqu'à 9h, on est en compagnie de Miss Franche-Comté
01:46:18 parce que si on l'a invitée ce matin, c'est parce qu'il va falloir qu'on se dise au revoir
01:46:21 parce que vous allez partir dans quelques heures.
01:46:23 C'est ça, mais quand je vois la météo, je suis contente de m'envoler pour la Guyane.
01:46:26 Oui, la Guyane, le voyage de préparation de Miss France.
01:46:29 Alors, qu'est-ce qu'on écoute quand on est Miss Franche-Comté ?
01:46:32 Qu'est-ce qu'on a dans la playlist ? C'est l'heure de l'info Expresso.
01:46:35 Tiens, parmi les chansons qu'écoute Sonia, il y a ça par exemple.
01:46:39 [Musique]
01:46:42 C'est l'automne.
01:46:44 C'est Vivaldi.
01:46:45 Oui, absolument.
01:46:47 C'est étonnant parce qu'à 24 ans, on ne se dit pas "Tiens, on va écouter Vivaldi".
01:46:51 Non, mais dans mes 15 métiers, j'ai aussi été en fac de médecine
01:46:55 et j'écoutais ça à la bibliothèque.
01:46:58 Et ça m'aidait à réviser du coup.
01:47:00 J'ai cru que vous entendiez ça dans les salles d'attente.
01:47:02 Non, non.
01:47:03 Ou alors à la gendarmerie, la musique d'attente.
01:47:06 C'est un peu ça, oui, je crois.
01:47:08 Dans la playlist de Sonia, notre Miss Franche-Comté, il y a ça aussi.
01:47:12 [Musique]
01:47:21 Ça change de Vivaldi quoi, Angele et Damso.
01:47:24 C'est opposé, mais ça me représente bien finalement.
01:47:27 C'est "Démon", le titre.
01:47:29 Oui, non, ça ne me représente pas.
01:47:31 [Rires]
01:47:33 Il y a ça aussi.
01:47:34 [Musique]
01:47:41 C'est Adèle Foyer.
01:47:45 Mais c'est sympa ça.
01:47:46 Pourquoi on ne passe pas sur France Bleu ?
01:47:48 Je ne sais pas.
01:47:49 Demandez à nos directeurs.
01:47:50 [Musique]
01:47:53 La musique, c'est tout le temps alors chez vous ?
01:47:55 C'est du matin au soir.
01:47:56 Je porte mes écouteurs plusieurs heures par jour.
01:47:58 Maintenant, je n'ai plus trop le temps, mais avant c'était ça.
01:48:00 Et puis, il y a cette chanson qu'on écoute beaucoup sur France Bleu
01:48:03 et qu'on a découverte à l'occasion de l'Eurovision l'année dernière.
01:48:06 [Musique]
01:48:16 On est étonné que si vous écoutez ça au volant, vous défoncez votre voiture il y a deux jours.
01:48:19 C'est un peu ça. Je me suis lâchée sur l'accélérateur.
01:48:22 Le camion était trop près.
01:48:24 C'est Loren Tatou.
01:48:26 Ça nous vient de Suède.
01:48:28 Vous regardez, vous suivez un peu l'Eurovision ?
01:48:30 Ou non, c'est vraiment la chanson-là qui fait que ?
01:48:32 Oui, j'ai vu que Slimane était envoyé à l'Eurovision 2024.
01:48:36 Avec sa chanson "Mon amour".
01:48:38 C'est numéro un chez les bookmakers.
01:48:40 Alors, espérons que Miss France Compté soit aussi numéro un sur les bookmakers.
01:48:43 On n'a pas encore d'infos là chez les bookmakers pour notre Miss ?
01:48:46 Non, c'est trop tôt.
01:48:47 Pas encore.
01:48:48 Mais vous savez, il y a Miss France, il y a le top 15.
01:48:50 Donc, il faut se sélectionner pour le top 15.
01:48:52 Après, il y a le top 5.
01:48:53 Et Sonia, elle ressort quand même très souvent dans les top 15 des fans.
01:48:56 C'est ça.
01:48:57 C'est un signe.
01:48:58 C'est un signe, mais oui, là, je peux le voir comme un signe.
01:49:00 Bon, Miss France Compté est avec nous ce matin jusqu'à 9h.
01:49:03 On reviendra dans quelques instants sur votre incroyable parcours, très inspirant.
01:49:07 Parce que voilà, Sonia, elle a commencé gendarme, elle a été malade, elle a dû changer de métier.
01:49:12 Aujourd'hui, elle est aide-soignante, elle a envie d'être chirurgienne cardiothoracique.
01:49:15 C'est absolument fou.
01:49:17 Elle est toujours là, on ne l'attend pas.
01:49:19 Et elle est avec nous jusqu'à 9h, tout à l'heure.
01:49:21 En attendant, c'est le Dr Kiersegg qui nous rejoint.
01:49:24 Notre Dr France Bleu qui, chaque matin, met à votre disposition tous ses conseils, ses consultations.
01:49:30 Docteur, bonjour.
01:49:32 Vous avez repéré une nouvelle étude scientifique sur nos muscles qui explique pourquoi, avant de faire du sport,
01:49:38 il est très important de s'échauffer.
01:49:40 Vous êtes sur France Bleu et comme chaque matin, matin rime avec médecin.
01:49:44 Bonjour Dr Kiersegg.
01:49:46 Alors, vous avez repéré une nouvelle étude scientifique sur nos muscles
01:49:49 et qui explique pourquoi l'échauffement est capital avant l'activité physique.
01:49:53 Bonjour à tout le monde.
01:49:54 Oui, tout le monde connaît l'importance d'échauffer des muscles avant une séance d'entraînement.
01:49:58 Mais que se passe-t-il réellement à l'intérieur de nos muscles ?
01:50:01 Assez paradoxalement, on ne le savait pas.
01:50:03 Les données scientifiques n'étaient pas très claires.
01:50:05 Et là, une nouvelle étude récemment publiée dans le journal de physiologie,
01:50:09 une équipe de l'université d'Osaka,
01:50:11 a révélé comment l'échauffement, ou le chauffage du muscle,
01:50:14 affecte la contraction des différents éléments, et notamment les protéines.
01:50:18 Et ça pourrait bénéficier non seulement à ceux qui en ont besoin,
01:50:21 à celles et ceux qui ont besoin d'améliorer leur performance physique,
01:50:24 on pense aux sportifs,
01:50:26 mais c'est aussi valable quand vous avez une activité physique plus modérée.
01:50:30 En fait, il y a le cœur qui est un muscle aussi,
01:50:32 puis il y a nos muscles squelettiques, nos biceps, nos quadriceps,
01:50:36 bref, les muscles des jambes.
01:50:37 Ces muscles-là, pour se contracter, ont des protéines, des cellules musculaires.
01:50:41 Et c'est ces protéines qui se contractent et qui vont permettre de bouger.
01:50:45 L'équipe a précédemment exploré comment les contractions du muscle cardiaque s'opéraient
01:50:49 versus les contractions du muscle squelettique, les muscles de nos membres.
01:50:53 Ils ont aperçu que les muscles du cœur ou les muscles des membres
01:50:56 n'étaient pas affectés par la température de la même manière.
01:50:59 La température n'influence pas les contractions cardiaques,
01:51:02 j'allais dire heureusement.
01:51:03 En revanche, la température, et quand on augmente la température,
01:51:07 ça va permettre d'améliorer la contraction de nos muscles du corps
01:51:11 et de nos muscles des membres.
01:51:12 Et ça, c'est intéressant, parce que ça va permettre aux muscles squelettiques
01:51:16 de s'adapter à la température extérieure.
01:51:18 Et éventuellement, d'économiser de l'énergie.
01:51:21 Donc ce sont autant d'informations sur la façon, au niveau moléculaire,
01:51:25 au niveau des protéines, dont l'échauffement avant l'exercice
01:51:28 améliore la contraction musculaire.
01:51:30 Bon, petite question docteur, ça c'était pour l'échauffement,
01:51:32 mais on parle aussi, quand on fait du sport, d'étirements.
01:51:35 C'est important aussi ?
01:51:36 C'est pareil pour les étirements, la science n'a pas tranché.
01:51:39 Et vous avez des adeptes de l'étirement après, en disant
01:51:43 ça diminue les contractures, les courbatures, etc.
01:51:46 Et en fait, c'est un peu plus compliqué que ça.
01:51:48 Et on n'est pas sûr que ce soit l'accumulation d'acide lactique
01:51:51 à l'intérieur du muscle qui soit responsable des courbatures.
01:51:54 Alors, ce que disent les coachs et les spécialistes,
01:51:56 c'est qu'on peut s'étirer après un entraînement,
01:51:59 mais pas immédiatement à la fin de votre séance.
01:52:02 Après l'effort, les récepteurs de la douleur sont beaucoup moins sensibles.
01:52:05 Donc vous pourriez vous étirer et vous faire mal.
01:52:07 Vous risqueriez d'aggraver les micro-traumatismes.
01:52:09 Donc on peut faire un petit stretching doux, s'étirer un petit peu.
01:52:12 Mais il faut attendre plus tôt, quelques heures ou quelques minutes après l'exercice.
01:52:17 Et surtout pour éviter les courbatures, hydratez-vous.
01:52:19 C'est le seul message. D'ici là, portez-vous bien.
01:52:22 Merci beaucoup Dr. Kierzek pour vos conseils qu'on retrouve chaque matin
01:52:25 sur francebleu.fr ou l'appli ici par France Bleu et France 3.
01:52:29 Miss Franche-Comté, elle fait du sport ?
01:52:31 Elle n'est pas très sportive. Miss Franche-Comté, elle le fait quand elle y est forcée.
01:52:34 D'accord. Mais ce n'est pas comme quoi ? Ce n'est pas non plus obligatoire ?
01:52:38 Non, pas du tout. On a l'image de la Miss très sportive.
01:52:41 Mais moi je vais contre cette image. Vraiment.
01:52:43 Du coup, on va quand même vous demander de danser pour le show de la soirée Miss France.
01:52:47 Vous avez déjà dansé un petit peu dans votre vie ou non ?
01:52:51 Ça va être une grande découverte.
01:52:53 J'ai dansé à l'élection Miss Franche-Comté. C'était déjà bien.
01:52:56 Mais je n'ai jamais fait de danse ou de sport.
01:52:59 J'ai fait de la gymnastique quand j'étais petite.
01:53:00 Mais ça n'a rien de comparable à faire un spectacle pour une élection.
01:53:03 On est quand même bien préparé. On a plusieurs semaines de répétition avant.
01:53:06 Donc on peut y arriver même si on n'a pas fait de danse dans sa vie.
01:53:11 Bien sûr. Je pense surtout qu'on peut arriver à tout à partir du moment où on se donne les moyens.
01:53:14 Là, c'est le cas. On sent qu'elle est déterminée.
01:53:17 En tout cas, Sonia, notre Miss Franche-Comté, on la retrouve dans un instant pour terminer l'émission.
01:53:21 Mais avant ça, on avait envie de s'écouter un petit coup d'Etienne Dao, son dernier album "Tirer la nuit sur les étoiles".
01:53:25 Voici un nouvel extrait. Ça s'appelle "Le Phare" sur France Bleu.
01:53:28 C'est comme un tremblement subtil dans l'air pur.
01:53:35 Ta lueur de lundi d'été, une brûlure.
01:53:39 Un délicieux baiser, une morsure, un pacte secret.
01:53:46 Ce sont deux merveilleux moments où l'on sait ces instants de nos yeux.
01:53:53 Flèches d'acier comme de fleurs et blancs
01:53:57 Se sont croisés avant d'échanger.
01:54:02 C'est comme un phare dans le soir.
01:54:07 C'est comme un feu silencieux.
01:54:11 C'est comme un phare et les autres n'y voient que du feu.
01:54:18 Comme deux invisibles fiançailles que trahissent un geste.
01:54:24 Un détail, un regard qui couronne et qui médaille, fait battre les sangs.
01:54:33 Quelle est la part de chance du divin et la part du hasard de l'instinct
01:54:41 Qui se dévoile de nos destins, ma pacte en secret.
01:54:49 C'est comme un phare dans le noir.
01:54:53 C'est comme un désir impérieux.
01:54:57 C'est comme un phare et les autres n'y voient que du feu.
01:55:04 C'est comme un phare dans le soir.
01:55:08 C'est comme un feu silencieux.
01:55:12 C'est comme un phare et les autres n'y voient que du feu.
01:55:19 Le phare d'Etienne Dao, extrait de son dernier album sur les étoiles.
01:55:36 Il est 6h55, le gars qui n'est pas du tout en décalage horaire.
01:55:41 Sonia Coutan, Miss Franche-Comté, La Champagne-Eulesse part demain,
01:55:45 après-demain, dans quelques heures, pour Paris, puis ensuite pour la Guyane
01:55:49 avant l'aventure Miss France qui aura lieu aux Éniles de Dijon.
01:55:52 D'ailleurs, si vous voulez y aller, il y a des places qui sont remises en vente ce soir à 18h.
01:55:56 Si vous voulez aller soutenir Sonia.
01:55:58 En quelques mots, Miss France, ça représente quoi pour vous ?
01:56:02 Souvent on dit "c'est mon rêve de petite fille".
01:56:04 Vous, c'est quoi ?
01:56:05 Alors moi, je ne suis pas du tout dans cette idée-là de "c'est mon rêve de petite fille".
01:56:09 Je pense plutôt que c'est une question d'opportunité.
01:56:12 J'ai vraiment envie de saisir cette chance.
01:56:14 Je viens d'une famille modeste, je viens de la classe moyenne.
01:56:17 Et j'avais un peu cette idée de "Miss France, il faut faire des grandes études,
01:56:20 il faut avoir un métier incroyable".
01:56:21 Et finalement, non.
01:56:22 Me voilà en direction de Miss France.
01:56:24 Et j'ai vraiment envie de montrer que c'est juste une question de se donner les moyens,
01:56:29 d'arriver, de saisir une opportunité, et de montrer qu'on peut réussir,
01:56:32 peu importe son mode de vie, peu importe qui on est.
01:56:36 C'est d'ailleurs un peu le fil conducteur de votre vie.
01:56:38 C'est-à-dire que vous êtes gendarme, c'est votre passion, c'est votre objectif de vie.
01:56:41 Vous êtes obligée de changer de métier parce que la santé fait que vous êtes obligée
01:56:45 de tout remettre en question.
01:56:46 C'est pareil, à ce moment-là, ça doit être quand même un sacré coup.
01:56:49 Je l'ai vécu comme un échec.
01:56:52 Parce que pour moi, ma vocation, c'était d'être gendarme.
01:56:54 Ma vie, elle était toute tracée.
01:56:55 Je finirais gendarme.
01:56:56 La vie, on a décidé autrement pour moi.
01:56:58 J'ai dû me relever.
01:56:59 Ça n'a pas été facile.
01:57:01 Mais finalement, je me dis que le destin est bien fait.
01:57:03 Et sans ça, je n'aurais pas été Miss.
01:57:05 Bon, il nous reste 30 secondes.
01:57:06 Chaque Miss part à Miss France avec une cause à défendre.
01:57:09 En tout cas, une volonté de faire briller quelque chose.
01:57:12 Vous, ce serait quoi ?
01:57:13 Moi, ce serait l'endométriose en partie.
01:57:15 Ce n'est pas la seule cause que j'ai envie de défendre.
01:57:17 J'ai envie de montrer aux gens qui sont aujourd'hui dans la souffrance, dans l'errance médicale,
01:57:20 dans la douleur, qu'on a de l'espoir.
01:57:23 On a des solutions qui vont s'ouvrir.
01:57:25 J'ai vraiment envie de leur montrer que je suis passée par là aussi et que j'ai fini par m'en sortir.
01:57:29 J'ai vraiment envie de donner un message d'espoir.
01:57:31 Sonia Coutin, notre Miss France comté, qui part donc à Miss France et qu'on retrouvera le 16 décembre prochain.
01:57:38 Il faudra la soutenir évidemment pour que la France comté puisse ramener cette couronne dans le Jura et dans toute la région.
01:57:45 Bonne chance ! Vous n'allez pas me répondre, je suis sûr que vous êtes plus masticieux.
01:57:48 Bon voyage, amusez-vous bien et saisissez cette opportunité.
01:57:52 On se voit demain nous ?
01:57:54 Mais pourquoi on ne se verrait pas ?
01:57:56 On se voit demain, 6h à la radio, 7h à la télé.
01:57:58 Le 6/9 revient. D'ici là, vous pouvez tout réécouter ou tout revoir sur francebleu.fr.
01:58:02 Bonne journée, à demain les amis.