• l’année dernière
Chaque semaine, le tour de l'actualité cinéphile avec des sujets inédits, des entretiens, des analyses de séquences, des archives, des montages et des nouvelles rubriques pour combler les amoureux du cinéma.
Transcription
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00:22 -Sometimes, people ask if what they see in the film
00:26 is art direction.
00:27 No, it's not art direction.
00:33 Or, depending on the situation, I sometimes lied.
00:37 Of course it's art direction.
00:39 And the person looked impressed.
00:41 -Hello everyone and welcome to "Ciné + Classique".
00:44 It's time for your cinema life,
00:45 dedicated this week to the Brazilian filmmaker
00:48 Cleber Mendoza Filho.
00:50 At the top, the Rosebud by Frank Capra,
00:53 the Melody of Happiness by Eliot Harman,
00:56 and a brief meeting with Patrick Bouchiter.
00:58 Are you ready? Let's go.
00:59 ...
01:02 -Hahaha!
01:05 -Hahaha!
01:06 -Cleber Mendoza Filho was born and raised in Recife,
01:10 the capital of the Brazilian North-East.
01:12 Before becoming the director
01:13 and the acclaimed author of "Recife" and "Aquarius",
01:17 he was a film critic and a programmer.
01:20 Cleber has always lived for and by cinema.
01:24 In "Portrait Fantôme", he offers us a journey
01:26 between documentary and fiction.
01:29 A life of cinema in which the mythical rooms of Recife
01:32 are the heart of a film
01:33 crossed by ghostly memories.
01:36 We had the pleasure of meeting him
01:38 at the last Festival Lumière in Lyon
01:40 around "Portrait Fantôme".
01:42 ...
01:48 -Quand je suis allé chercher des images de ma maison
01:50 pour faire cette montée,
01:52 j'ai vu qu'il y avait un appartement de vie commun
01:56 et un appartement de cinéma.
01:58 ...
02:01 -J'ai vraiment pensé au film
02:02 comme un archive personnel que je partage,
02:06 presque comme un album, un photo-album
02:08 que je m'ouvre et que je présente
02:12 pour que les gens puissent regarder et voir.
02:16 -J'avais 10 ans quand on est venus vivre dans cet appartement
02:19 que ma mère a acheté par la Caixa Econômica Federal en 1979.
02:23 Et cette nouvelle maison a signifié
02:27 un nouveau début de vie pour ma mère
02:29 juste après la séparation de mon père, Cleber.
02:33 -Je pense que, au final,
02:36 ce n'était jamais l'intention de faire un film sur moi-même,
02:39 mais quand je parle d'un appartement,
02:42 je dois dire qui cet appartement appartient à.
02:46 -Je devais avoir fait entre 10 et 13 films.
02:50 -La plage signifie le paradis.
02:54 -Le focus de cette caméra est à zéro.
02:57 -Et je pense qu'il y a des éléments fictifs
03:01 que j'aime beaucoup.
03:02 Et ils ne viennent pas seulement de la dernière séquence,
03:05 mais de la sonorité.
03:06 C'est un documentaire qui se déroule avec la sonorité de la fiction.
03:12 Et j'aime ça.
03:13 -Dans "Portrait fantôme", Cleber Mendonça Filho
03:27 nous propose un voyage au coeur de sa ville de Récif,
03:30 qu'il filme depuis des décennies.
03:32 Ce cinéaste cinéphile invente un film hybride,
03:35 sorte de journal intime en trois parties
03:37 qui mélange vie privée et cinéma, documentaire et fiction.
03:42 On passe de son appartement transformé en studio de cinéma
03:45 au centre-ville de Récif, avec ses salles qu'il filme
03:48 à la fois comme des lieux de vie
03:50 et comme de véritables temples païens dédiés au 7e art.
03:54 ...
04:01 -C'est vraiment le genre de cinéma
04:04 qui fait de l'espace.
04:08 Vous avez mentionné Casavetes.
04:11 Il et Gina Rawlins ont utilisé leurs vies
04:13 dans un certain nombre de films.
04:15 Je pense que c'est naturel quand on fait des films inexpensifs.
04:19 Et ça est arrivé naturellement,
04:21 parce que je me suis rendu compte
04:23 qu'en 20 ans, j'avais filmé mon appartement
04:28 de différentes manières.
04:29 Et quand on met tout ça ensemble,
04:31 on arrive à un montage presque soviétique,
04:36 parce que c'est tout là-bas,
04:38 mais dans différents angles et différentes images,
04:41 mais c'est le même endroit.
04:43 Donc je pensais que ça serait le coeur du film.
04:46 ...
04:51 -En filmant sans cesse sa ville et ses cinémas,
04:53 Kleber nous propose une visite de Récif
04:55 au travers de ses archives personnelles,
04:58 où l'on découvre avec émotion
05:00 comment ces images ont été contaminées par sa cinéphilie.
05:04 ...
05:09 -When I remembered and rediscovered that footage,
05:12 I thought a lot about the great fiction films
05:16 that, for me, are almost like a documentary.
05:18 And one of them is "Le 400 coups".
05:21 A true false film is shot on the street,
05:25 many times from upwind windows.
05:28 And he has a long lens, and Jean-Pierre Léaud is always,
05:32 you know, moving from one side of the street
05:34 to the next side of the street.
05:36 And it's also an interesting documentary
05:39 about the cinemas of Paris in 1958.
05:43 And I really love that about cinema,
05:45 the way you're actually telling a story,
05:48 but you're also making a documentary,
05:50 but you're not even thinking about the documentary,
05:53 because you're so open to the city
05:56 that you will inevitably make a documentary.
06:00 But it's not a documentary, it's fiction.
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06:04 -This relationship with the Centre is through the cinemas.
06:09 Between the ages of 13 and 25,
06:11 I go to the Centre to watch films several times a week.
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14:18 Finalement, j'ai besoin de quelque chose.
14:20 Vous devez rester de toute façon, puisque...
14:23 Vous m'avez prescrive ma médecine, vous vous souvenez ?
14:26 "Mange avec l'homme"
14:28 Vous savez, je ne comprends pas pourquoi quelqu'un n'a pas vous écrasé il y a longtemps, Mlle Rogers.
14:34 Eloïse.
14:35 Eloïse ?
14:38 Oui.
14:39 C'est horrible, n'est-ce pas ?
14:41 Oh, c'est pas grave ! Il nous faut faire quelque chose ensemble.
14:44 C'est pas grave.
14:46 Ce sont les acteurs, ici Eleonore Parker et Frank Sinatra, qui tirent leur épingle du jeu.
14:50 Capra les aimait tant qu'il savait les mettre en valeur comme personne.
14:54 Le public aima le film, qui reçut l'Oscar de la meilleure chanson originale,
14:58 et fut un joli succès commercial,
15:00 mais Capra ne retrouva jamais la magie qui avait été la sienne avant-guerre.
15:04 Pour voir briller les derniers feux d'une légende d'Hollywood,
15:08 retrouvez "Un trou dans la tête", avant-dernier film de Frank Capra,
15:11 actuellement sur Ciné+ Classique et à tout moment sur My Canal.
15:15 Comme son nom ne l'indique pas, Elliot Harman est le fils du compositeur de la B.O. d'Amélie Poulain,
15:28 Ian Tiersen.
15:29 Mais ses chansons, chantées en anglais,
15:31 en font plutôt l'héritier français d'émouvants chanteurs folk-rock
15:34 tels que Nick Drake ou Elliot Smith.
15:37 Pour Viva, Elliot Harman nous dévoile à la guitare sa mélodie du bonheur.
15:41 J'ai choisi la B.O. du "Château dans le ciel", qui a été composée par Joe Izaiki.
16:03 Miyazaki, c'est vraiment mon réalisateur préféré.
16:06 Et le "Château dans le ciel", c'est vraiment un film magnifique.
16:09 C'est le premier que j'ai vu de lui d'ailleurs, quand j'étais petit.
16:11 Ce qui est génial avec la collaboration de Joe Izaiki et Ayao Miyazaki,
16:15 c'est qu'ils ont commencé avec "Nausicaa" et "La vallée du vent",
16:18 premier long-métrage de Miyazaki,
16:20 et ils ont toujours travaillé ensemble par la suite.
16:23 On dirait une symbiose, vraiment, il n'y a pas plus complémentaire
16:26 entre la musique et le film.
16:28 Je trouve que c'est vraiment incroyable et c'est hyper marquant.
16:31 C'est comme ça.
16:33 Il a vraiment choisi des thèmes différents pour chaque personnage.
16:51 Quand c'est Shiita et Pazu, c'est toujours très nostalgique, mélancolique.
16:56 C'est toujours des mélodies très douces, c'est rêveur, c'est beaucoup de violons.
17:00 C'est très romantique, en fait.
17:02 Il y a toujours des personnages d'enfants dans les films de Miyazaki.
17:13 C'est souvent le rapport de l'enfance avec le monde adulte
17:16 et cette différence qu'il y a.
17:18 Souvent, les adultes sont hyper mal vus dans les films de Miyazaki.
17:21 C'est les enfants qui, dans leur candeur, sont justes,
17:24 sont droits, sont honnêtes, ont une sorte de candeur et de justesse.
17:30 Il y a un mélange entre la musique japonaise,
17:39 la culture musicale japonaise et énormément de culture occidentale.
17:44 Sur cette BO, il a essayé d'être plus pop,
17:47 une musique un peu plus populaire, plus pop,
17:50 pour que ce soit plus facile émotionnellement de s'identifier.
17:54 Quand ça évoque la guerre et qu'il y a le gouvernement ou l'armée,
18:00 à chaque fois, c'est toujours des thèmes mineurs,
18:04 et c'est avec des synthés.
18:06 C'est souvent très électronique.
18:08 Je pense que c'est pour faire écho à l'avancée technologique,
18:11 avec un trait de dérangement, tu te sens mal à l'aise.
18:14 C'est Miyazaki qui a écrit les paroles du générique.
18:21 Au début, je voulais chanter en japonais, mais je suis incapable.
18:25 J'ai aussi une très mauvaise mémoire.
18:27 Phonétiquement, ça ne marche pas.
18:29 J'ai lu une traduction des paroles.
18:32 Du coup, j'ai réinterprété à partir de ce qu'il disait
18:35 pour le faire à ma sauce.
18:37 [Musique]
18:42 [Musique]
18:46 [Musique]
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19:07 [Musique]
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19:22 Enregistré sur une île écossaise,
19:26 le deuxième album d'Eliott Harman est annoncé pour janvier 2024,
19:30 un horizon idéal pour les amateurs de spline.
19:33 [Musique]
19:36 [Musique]
19:41 [Musique]
19:44 Plus connu en tant qu'acteur, Patrick Bouchiter est aussi réalisateur.
19:48 Avec "Lune froide" 1991, il transposait en Bretagne
19:51 l'atmosphère des nouvelles de Charles Bukowski
19:54 autour de l'errance de deux loulous
19:56 faisant une rencontre aussi inattendue que sacrilège.
19:59 Patrick Bouchiter revient sur cette oeuvre singulière,
20:02 merveilleux conte pour adulte,
20:04 trop vite éclipsé par un scandale à sa sortie.
20:07 [Musique]
20:10 J'avais entendu parler de Bukowski,
20:25 et puis je m'intéressais beaucoup à la ligne d'adaptation américaine,
20:28 Shelby, tout ça, Fonte,
20:31 et puis je suis tombé sur les nouveaux contes de La Folie Ordinaire,
20:34 et franchement, ça a été assez fort pour moi,
20:40 et surtout je trouvais que c'était très visuel, très cinématographique, les nouvelles.
20:44 La première nouvelle, "La sirène baiseuse de Venice, Californie",
20:48 cette nouvelle m'a imprimé un peu la pellicule.
20:52 Dans un premier temps, la nouvelle de Bukowski
20:57 donne lieu en 1989 à un court métrage.
21:00 Remarqué jusqu'à décrocher un César,
21:02 il donne envie à Bouchiter d'en retrouver deux ans plus tard les personnages,
21:05 cette fois-ci avec un long métrage.
21:08 Ce qui m'a permis de faire le court métrage,
21:11 c'est l'idée qu'il redonnait la vie à cette sirène, à cette femme,
21:15 qu'il l'amenait à la mer, et là elle reprenait vie.
21:18 C'est pour ça que j'ai pu le faire,
21:20 parce que sinon dans la nouvelle, c'était vraiment de la viande pour les requins.
21:24 Moi j'avais besoin de faire un personnage, celui de Stéphenin,
21:27 qui tombait amoureux et qui redonnait la vie à cette sirène.
21:32 [Rires]
21:34 Je trouvais que ce qui se passait entre nous sur le court métrage
21:47 méritait d'aller un peu plus profondément sur les personnages.
21:50 C'était un secret entre eux, cette histoire de beuverie, la nuit,
21:54 ce cadavre qu'ils emportaient.
21:56 Je trouvais que c'était intéressant de faire comme un flashback
22:00 et de développer les deux personnages dans leur errance, leur solitude,
22:03 leur conflit d'ailleurs, parce que c'était une amitié un peu biscornue, bizarre.
22:08 On a écrit le scénario du long, et puis on l'a tourné deux ans après.
22:14 Donc ça faisait vraiment un flashback, même à l'image des personnages.
22:18 - Alors j'y vais.
22:28 - Chut, chut.
22:30 Je disais, la difficulté, c'est de trouver la morte.
22:46 En fait, pas du tout, parce que moi, j'étais tellement porté par le sujet,
22:49 par cette histoire, que toutes les femmes que je rencontrais,
22:52 à qui je parlais de mon histoire, elles ont fait des essais,
22:56 et elles rentraient dans une confiance, et elles donnaient leur corps,
22:59 puisqu'on tirait sur un drap, et tac, elles s'abandonnaient à l'image.
23:02 Karine, je lui avais demandé, moi, d'aller à la piscine,
23:07 et de s'accrocher à une gueuse, et de rester le plus longtemps possible,
23:11 de contrôler sa respiration.
23:12 Elle a fait tout un travail, parce que c'est pas si évident de s'abandonner comme ça.
23:16 Elle l'a fait très bien.
23:19 [Bruit de la piscine]
23:30 Je voulais des décors, genre entrepôt, un peu, voilà, un peu brut de fond.
23:40 J'ai trouvé que le port de Lorient était dans l'esprit totalement.
23:44 En plus, la maison, on tourne, elle est dans le port.
23:47 C'est-à-dire que tout se tenait.
23:49 Même la boîte de nuit, c'était là, c'était le bar du port.
23:54 [Musique]
24:04 J'ai été amené à jouer Dédé, l'autre personnage,
24:06 qui alors, lui, est un petit peu mythomane, qui a pas trop de sentiments.
24:12 Lui, c'est du rodéo.
24:15 [Musique]
24:25 Si le public fut effarouché par la part provoquante de Lune froide,
24:28 il n'en a pas moins eu les honneurs du Festival de Cannes 1991,
24:32 où il fut présenté en compétition.
24:34 Tu parles plus ça, hein ? Tu parles plus ça, hein ? D'accord ? Tu parles plus ça, hein ?
24:38 La première fois que j'ai vu le film mixé fini, c'est dans la grande salle.
24:43 C'était assez impressionnant de voir ça dans cette grande salle.
24:47 Émouvant, quoi.
24:49 Il y a eu des gens qui m'ont félicité ou encouragé.
24:53 Je me souviens de Lolo Bregida qui est sorti en disant "C'est un scandale, comment on peut ?"
24:58 alors que Lelouch était positif.
25:03 Il y avait du pour et contre.
25:05 Je n'ai pas trop analysé tout ce qui pouvait se passer autour.
25:10 C'est un peu un film inconscient.
25:13 Après le recul, quand je l'ai revu, j'ai dit "C'est quand même bizarre comme histoire."
25:19 Les rayons de Lune froide reviennent éclairer les salles obscures dès le 15 novembre.
25:24 Et n'oubliez pas votre vivabrie de mille feux sur les réseaux sociaux de CINÉ+
25:28 et vous attend à tout moment sur myKanal.
25:31 [Générique]