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00:00 Parce que c'est pas 17 suppositions d'emploi, c'est 30 suppositions d'emploi dans la première vague.
00:04 Sinon, dans le PSG, j'arrive à créer 13 postes. Donc 30 moins 13, ça fait 17.
00:09 Là, vous êtes déçu. Vous attendez à ce que les propositions...
00:12 On est remonté, on est en colère, c'est pas possible là.
00:14 Et ils disent n'importe quoi. Ils vont reclasser les 8 contrôleurs, c'est pas prévu.
00:18 On a prévu que les 6 dehors et les 8 contrôleurs, plus le responsable des contrôleurs.
00:22 Ça fait 9. C'est pas prévu de les reclasser. Parce qu'ils veulent calmer un peu.
00:26 Mais là, ils nous ont mis en colère. Depuis ce matin, on est en colère.
00:28 Parce qu'ils ont balancé le PSG hier, comme ça, depuis hier soir.
00:32 Alors qu'on est dans une situation, au lieu de calmer, d'apaiser, ils sont en train de nous exciter.
00:37 Nous, on est pacifiques depuis lundi, on fait des solutions. On n'a pas de compromis.
00:40 Mais là, qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ils ont fait qu'enflammer, attiser.
00:43 Il y a sens ! Alors, ils sont là ce soir-là. Et c'est pour nous dire qu'il y a un PSG balancé.
00:48 Vous nous l'avez dit hier soir. Vous êtes en train de plaisanter.
00:51 Vous pensez que nous, on va rester les bras croisés. C'est pas possible, ça. C'est pas possible.
00:54 C'est zéro licenciement. Zéro licenciement. Il faut trouver les sommes, mettre les sous dedans.
00:59 C'est 3 millions. C'est pas 30 millions, c'est 3 millions. Trouvez les 3 millions et on redémarre.
01:03 Vous pensez à tous les emplois. Nous, on n'est pas là. Vous disiez, ils sauvent la SPL.
01:08 Il faut sauver tous les emplois. Eux, ils disent, il faut sauver la SPL.
01:11 Ben oui, il faut sauver la SPL. Mais tous les emplois avant.
01:16 Là, vous allez durcir le mouvement ?
01:17 Ah, bien sûr. Ah, ben là, là, je vous dis. Là, je sais.
01:21 Pratiquement, il n'y a pas tous les salariés. Quand on va leur annoncer ça, ça va les mettre dans une colère.
01:27 Pas possible. C'est pas possible. Mais nous, on veut rentrer au combat.
01:29 Il faut qu'ils nous reçoivent pour nous redire en face qu'ils vont mettre...
01:34 Ils ne vont pas trouver d'autre solution que de faire ça.
01:36 La révision du contrat, emmener des sous, tout ça, il faut mettre dedans.
01:40 Parce que là, il n'y a pas de proposition.
01:42 Il n'y a rien, là. Là, c'est pas... Ils ne respectent pas nos revendications.
01:47 Nos revendications ne sont pas respectées. Il n'y a rien qui est respecté.
01:50 Et là ils nous apportent rien, ils sont en train de nous prendre pour des couillons.
01:53 Ah oui !