Marion Maréchal et les cultes : "Il n'y a qu'une seule religion qui pose des problèmes en France, c'est l'islam"

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Marion Maréchal et les cultes : "Il n'y a qu'une seule religion qui pose des problèmes en France, c'est l'islam"
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00:00 Moi je vais vous répondre très franchement, je considère qu'aujourd'hui il y a une religion qui pose un certain nombre de difficultés en France, c'est la religion islamique.
00:08 Il n'y a pas de problème avec la religion catholique, il n'y a pas de problème avec la religion protestante, il n'y a pas de problème avec la religion bouddhiste, il n'y a pas de problème avec la religion juive.
00:15 Il y a aujourd'hui une partie de la communauté musulmane, je dis bien une partie, une partie de courants également musulmans, une partie d'États étrangers aussi, de pays musulmans,
00:24 qui cherche à mettre à l'épreuve, on en a parlé tout à l'heure avec l'école, nos institutions, nos principes, nos cadres législatifs, pour imposer la sharia dans le territoire français.
00:37 Il y a parmi ces courants, un courant dont on a beaucoup parlé ces dernières semaines qui s'appelle les frères musulmans, qui est le même courant d'ailleurs que celui du Hamas, qui a frappé Israël,
00:45 qui a aujourd'hui en France pignon sur rue à travers une organisation qui s'appelle le Conseil des musulmans, qui est le LexUIF, qui a plusieurs centaines de mosquées qui sont rattachées à elle,
01:02 qui a des imams qui en sont adhérents, qui a des centres socio-culturels, qui a des clubs sportifs, et qui, d'une certaine manière, embrigade toute une partie de la communauté musulmane
01:16 pour les pousser à une lecture fondamentaliste, radicale, qui parfois, malheureusement, se traduit de manière violente à travers les attentats terroristes que nous avons connus.
01:26 Donc, moi, je considère qu'à partir du moment où c'est aujourd'hui la religion, ou en tout cas certains courants de cette religion qui posent un problème, la réponse politique, elle doit être là-dessus.
01:36 Et donc, la première chose à faire, me semble-t-il, c'est d'ores et déjà de se poser la question aujourd'hui de qui finance et qui organise ces courants dans notre pays.

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