• l’année dernière
Le marché de Noël de Grenoble en pleine installation sur la place Victor Hugo. Décoration, gastronomie, ou économie sociale et solidaire, il ouvrira jeudi prochain et jusqu'au 24 décembre. Avec cette année une petite polémique après des changements dans les critères d'attribution des chalets. Loin du tumulte de la ville, Michel joue les chefs de gare dans son jardin au Sappey en Chartreuse. Passionné de modélisme ferroviaire, ce retraité aménage depuis plus de 20 ans locomotives, wagons, ponts, tunnels mais aussi Mais pour le visiter il faudra attendre le retour du printemps. Et puis le festival Migrants Scène est lancé ce vendredi soir à Grenoble. Jusqu'au 5 décembre, une dizaine d’événements mêlant la culture et les arts aux questions qui entourent les migrations sont programmés. Stéphane Dezalay, coprésident de la Cimade Grenoble, qui organise ces rendez vous, est l'invité du JT.

Category

📺
TV
Transcription
00:00 [Musique]
00:09 Le marché de Noël de Grenoble en pleine installation sur la place Victor Hugo,
00:14 décoration, gastronomie ou économie sociale et solidaire,
00:17 il ouvrira jeudi prochain et fermera le 24 décembre,
00:21 avec cette année une petite polémique après des changements dans les critères d'attribution des chalets.
00:26 Loin du tumulte de la ville, Michel joue les chefs de gare dans son jardin,
00:30 au sapé en chartreuse.
00:32 Passionné de modélisme ferroviaire, ce retraité aménage depuis plus de 20 ans locomotive, wagon, pont, tunnel.
00:38 Mais pour le visiter, il faudra attendre le retour du printemps.
00:41 Et puis le festival Migrant Scène est lancé ce vendredi soir à Grenoble jusqu'au 5 décembre.
00:46 Une dizaine d'événements mêlant la culture et les arts aux questions qui entourent les migrations.
00:51 Stéphane Desallais, coprésident de l'ACIMA de Grenoble qui organise ces rendez-vous est l'invité du JT.
00:58 Bonsoir à tous, bienvenue dans ce JT du vendredi 17 novembre 2023.
01:04 Du lundi au vendredi, à partir de 18h, l'essentiel de l'actualité du Grand Grenoble.
01:08 C'est une tradition qui nous vient d'outre-Rhin et de l'Est de la France,
01:13 mais à Grenoble, on l'a adoptée avec joie, le marché de Noël.
01:17 Les petites maisons de bois et les décorations se font jour sur la place Victor Hugo avec une centaine de demandes.
01:23 Pour une soixantaine d'emplacements disponibles, il y a forcément des déçus.
01:27 D'autant que la prime au sortant n'est plus garantie.
01:31 En contrepartie, de nouvelles propositions font leur apparition pour le public.
01:36 Les critères ont modestement évolué par rapport à l'édition précédente.
01:40 Ce qui a principalement évolué, c'est qu'on a eu beaucoup plus de candidatures
01:43 qui étaient sur des segments d'activité beaucoup plus diversifiés.
01:46 On a pu beaucoup mieux respecter les critères de sélection qu'on avait fixés pour les éditions précédentes.
01:51 On a notamment une présence accrue cette année d'artisans et de créateurs
01:54 qui ont repris des couleurs depuis la fin de la crise Covid, qui les avaient fortement mis à l'épreuve.
01:59 Je trouve que c'est très positif d'avoir cette recrudescence de créateurs,
02:04 notamment de créateurs de bijoux, de créateurs de vêtements, de créateurs d'articles vendus au détail
02:08 qui permettent justement de redonner cette diversité au marché de Noël
02:12 qu'il avait peut-être un petit peu moins sur les éditions précédentes.
02:14 On a plusieurs commerçants malheureusement qui n'ont pas été retenus cette année,
02:18 certains qui étaient là depuis longtemps.
02:20 Mais je pense que quand on édicte des critères qui permettent des jugements de manière objective,
02:25 on doit s'y tenir et on doit justement être en capacité de permettre à tout le monde
02:30 d'être traité de manière équitable, que tout le monde soit logé à la même enseigne.
02:33 Ça fait parfois des malheureux, j'en suis désolé, c'est triste, c'est comme ça.
02:37 Mais bon voilà, il n'y a pas assez de place pour tout le monde, on est obligé de faire une sélection.
02:40 Je pense qu'aujourd'hui on a bien travaillé pour faire en sorte qu'on ait un marché de Noël de qualité.
02:44 Ce qui ne veut pas dire qu'on renie la qualité du travail qui a été fourni par des commerçants
02:48 qui étaient parfois là depuis longtemps.
02:50 Mais aujourd'hui on a des dossiers qui ont été de très bonne tenue.
02:53 Il y a eu beaucoup de concurrence et il a bien fallu faire des choix.
02:56 La facture pour les commerçants a aussi changé cette année.
02:59 Pour un chalet classique de 3 mètres par 2, il faut débourser 4 165 euros contre 3 749 en 2022.
03:08 C'est un cadeau qu'on retrouve souvent sous le sapin à Noël, un petit train électrique.
03:14 Mais pour celui que Lina Badreddine va vous présenter, il va falloir un très très gros sapin.
03:19 Elle a rencontré Michel, passionné de modélisme ferroviaire au sapé en chartreuse.
03:23 En voyant ses modèles à l'échelle 1/32, on présume qu'il a été vraiment très sage.
03:28 De bon matin, un tout petit train roule roule avec entrain dans le jardin de Michel.
03:36 Alors c'est une centrale station qui commande tous les trains.
03:41 Donc je vais vous le faire parler parce que mes trains ils parlent.
03:44 Voilà, ils parlent trois langues mes trains.
03:55 L'allemand, l'italien et le français car les trains de Michel sont suisses.
03:59 Dans son jardin, il a créé son propre réseau. On appelle ça du modélisme ferroviaire.
04:06 Je suis passionné du train depuis l'âge de deux ans.
04:10 Les trains suisses en particulier parce qu'ils sont d'abord à l'heure et qu'ils sont très propres.
04:16 Ici, on se trouve à la gare de Madulin qui se situe sur la ligne de l'Enquart à Fili-sur.
04:26 C'est dans le canton des Grisons en Suisse.
04:28 Donc sur la gauche, il y a un train de bois.
04:31 Au milieu, l'automotrice qui s'appelle Capricorne.
04:34 Ce sont les nouvelles automotrices des chemins de fer hérétiques.
04:37 Et il y a le glacier express qui est du côté droit.
04:41 Ces trains sont des reproductions parfaites des trains existants à une échelle de 1,22 et demi
04:47 qu'il a installé sur 250 mètres de rail avec 16 aiguillages et deux croisements.
04:52 Le réseau, je l'ai fait de moi-même. C'est un réseau qui n'existe pas.
04:57 J'aime bien un peu les courbes et tout.
05:00 J'avais décidé de faire une voie en S.
05:03 Et puis, là, il y a un réseau qui est indépendant.
05:07 Et de bons trains, mais surtout de bon cœur, Michel invite les curieux à venir sur le quai de son réseau ferroviaire
05:16 dans son jardin, au Sapé-Enchartreuse.
05:19 Et si vous devez prendre le gros train ce week-end, prenez votre mâle en patience.
05:26 La SNCF engage des travaux d'étanchéité et de consolidation sur le pont ferroviaire de Saint-Egreve.
05:31 Un chantier en continu de 53 heures.
05:33 Résultat, l'ETG de Paris-Grenoble voit leur trajet allongé de 30 minutes à une heure.
05:38 Et côté TER, les liaisons Grenoble-Valence, Saint-André-le-Gas-Grenoble et Rives-Grenoble sont fortement perturbés.
05:44 Des autocars de remplacement sont mis en place.
05:46 Toutes les infos sur ter.sncf.com/auvergneronalpe.
05:51 Qu'est-ce qui a changé en cinq ans ?
05:54 Pas grand-chose à en croire ceux qui ont participé au mouvement des Gilets jaunes.
05:59 Pour la hausse du pouvoir d'achat le 17 novembre 2018, le mouvement prenait forme sur les ronds-points.
06:05 Et certains sont toujours là, comme à Krol où ils invitent leurs concitoyens samedi à un pique-nique partagé.
06:10 Et pour un débat sur le thème du changement, avec pour intitulé, je cite,
06:15 "Faut-il changer la Ve République ou seulement Macron ?"
06:18 Rendez-vous à partir de 10h30.
06:22 Comment parler d'immigration autrement ?
06:25 La CIMAD organise en ce moment un peu partout en France le festival Migrants Scènes.
06:30 Du ciné, du street art, de la musique ou même du slam.
06:33 Ça vient de commencer à Grenoble et ses environs et ça se poursuit jusqu'au 5 décembre.
06:38 Pour en parler, j'ai à mes côtés Stéphane Desallais.
06:41 Bonsoir.
06:42 Vous êtes coprésident de la CIMAD à Grenoble.
06:46 Rappelez-nous en quelques mots, avant de débuter, la CIMAD c'est quoi ? Qu'est-ce que vous faites ?
06:50 La CIMAD c'est une association nationale qui a été créée en 1939 pour venir en aide aux étrangers
06:56 qui avaient déjà beaucoup de difficultés.
06:58 C'était déjà indésirable à l'époque.
07:00 En 1939, ça commençait à sentir pas très bon.
07:02 Voilà. Et puis ça a continué parce que ça n'a pas beaucoup arrangé depuis.
07:05 Bien sûr, la guerre est finie.
07:07 Mais après, il y a eu d'autres difficultés.
07:09 Et aujourd'hui, la CIMAD est présente dans environ une centaine de villes en France.
07:14 À Grenoble, nous sommes une cinquantaine de bénévoles actifs
07:19 et nous faisons des permanences juridiques pour défendre le droit et la dignité des personnes migrantes.
07:25 On fait des cours de français et on va aussi beaucoup dans les établissements scolaires pour les préjugés, combattre les préjugés.
07:33 Avant de parler du festival, on va parler très vite de préjugés.
07:38 Un mot peut-être sur la loi asile et immigration.
07:41 Le Sénat l'a votée cette semaine en durcissant même certains aspects.
07:46 Votre réaction sur ce texte initial et puis le choix du Sénat ?
07:50 Alors déjà, on était inquiets sur le texte initial du gouvernement.
07:54 C'est une loi qui ne servait à rien parce que déjà, tous les dispositifs sont là si on veut expulser les étrangers ou restreindre encore des droits.
08:05 Mais alors devant la réaction du Sénat, là on est sidérés carrément parce que les mesures sortent complètement du droit français.
08:15 D'ailleurs, certains ont annoncé qu'ils voulaient sortir des traités internationaux.
08:19 Donc la suppression, par exemple, deux, trois exemples, la suppression de l'AME, l'Aide médicale d'État, qui devient une AME,
08:28 c'est-à-dire qu'on ne pourra soigner qu'en urgence et réserver à des maladies graves les personnes migrantes, c'est un non-sens.
08:37 Ça va coûter cher, ça va engorger les hôpitaux.
08:39 Qui va déclarer que c'est une maladie grave ? C'est inapplicable et coûteux pour tout le monde, en plus d'être dangereux pour la santé des Français,
08:47 puisque si les personnes ne se soignent pas, on risque des épidémies.
08:50 Donc, voyez, ce genre de mesures montre à quel point c'est absurde et c'est une volonté idéologique de montrer les muscles pour dire,
08:59 "Regardez, on vous protège, on empêche les étrangers de prendre votre place."
09:04 Ce texte, il devrait être remodifié en passant à l'Assemblée nationale, mais de toute façon, le texte initial est déjà, selon vous, problématique.
09:15 Alors quand même, d'habitude, ce sont les sénateurs qui sont les plus sages et les plus modérés.
09:20 Là, on a l'impression que c'est le contraire, puisque l'Assemblée nationale dit, "On va revenir sur un certain nombre de dispositions."
09:26 Parce qu'effectivement, ça va trop loin.
09:29 Même les Républicains, même les Républicains, il y a des gens au sein des Républicains qui disent, "Mais ça n'est pas sérieux."
09:37 Donc, ce ne sont pas de bonnes analyses.
09:39 Mais au fond, je pense que les législateurs sont des gens qui réfléchissent.
09:46 Mais il y a une posture, il y a une posture qui est très cynique et qui est très hypocrite dans toute cette affaire.
09:54 On va, par exemple, priver d'hébergement d'urgence les migrants, alors que c'est un droit inconditionnel garanti par la loi.
10:02 Vous voyez, on va contre toutes les lois actuelles.
10:05 Donc, ce projet de loi, on ne sait pas où il va.
10:09 Espérons qu'il ne sera pas voté, finalement, s'il n'arrive pas à s'entendre.
10:13 – On entend parler ici et là d'une éventualité d'un référendum au sujet de l'immigration.
10:19 Est-ce que ça vous paraît être une bonne idée ?
10:21 – Alors, pas du tout.
10:23 Pourquoi ? Parce qu'en fait, l'immigration, c'est quelque chose de complexe.
10:28 Donc, un référendum, ça doit trancher sur un choix avec une alternative simple.
10:35 – Comme c'est ce qui peut exister en Suisse, par exemple.
10:38 Ce n'est pas du tout la même chose.
10:40 – Oui, absolument.
10:41 Là, le référendum, ça sera effectivement une manipulation.
10:45 Il y a un risque énorme.
10:47 Ce qu'on demandait plutôt, c'est faire plutôt une convention pour rassembler un certain nombre de citoyens
10:53 qui réfléchissent, qui étudient de différents bords et qui éclairent un peu le projet.
10:58 Mais là, le référendum, non, clairement non.
11:00 – Alors, pour en revenir au festival Migrants Seine,
11:03 son rôle, c'est aussi de combattre les fausses idées, la peur et la haine.
11:06 – Voilà, alors on combat toute l'année.
11:08 On combat toute l'année, mais effectivement, il y a un temps fort avec le festival
11:13 pendant trois semaines qui commence à mi-novembre, tous les ans,
11:16 et qui est culturel, festif, convivial,
11:19 qui permet de porter un autre regard sur l'immigration.
11:23 Et donc, là aussi, on essaie de déconstruire les préjugés
11:27 en invitant à rencontrer les étrangers dans ce qu'ils font.
11:33 – Et le thème cette année, c'est "liberté" au pluriel,
11:36 "liberté dont l'égalité et la solidarité".
11:38 Qu'est-ce que ça signifie ?
11:39 – Alors, ça paraît un petit peu compliqué comme ça.
11:41 En fait, c'est relativement simple.
11:43 C'est-à-dire qu'il n'y a pas de liberté et il n'y a pas d'égalité
11:47 sans accès effectif à tout cela.
11:50 C'est simple à comprendre quand on dit que, par exemple,
11:53 si on empêche les gens d'accéder à la justice, il n'y a pas de vraie liberté.
11:58 Voilà, c'est ça le thème.
12:00 – Il y a de plus en plus de films, de spectacles qui sont pas de ce sujet.
12:04 Tout ça, ça permet de créer le débat.
12:07 On va voir quelques images de films que vous allez programmer,
12:10 comme par exemple "Tori" et "Torica" le 28 novembre à Villarbono,
12:15 un film des frères Dardenne.
12:17 Dites-nous deux mots de cette histoire peut-être ?
12:19 – Alors, sur le film, moi je ne l'ai pas encore vu, je vais le découvrir.
12:23 – Mais en tout cas sur ces…
12:24 – C'est l'équipe de Migrancène qui a choisi ce film
12:26 et on est très content de pouvoir passer un film des frères Dardenne.
12:29 – Évidemment.
12:30 – Bien entendu.
12:31 – Mais en tout cas sur ce foisonnement…
12:34 – Alors oui, c'est vrai que le monde culturel…
12:36 – …de fiction même, pas que des documentaires, il y a aussi des documentaires.
12:39 – Le monde culturel, comme vous le disiez, s'est emparé de cette problématique
12:43 qui concerne toute notre société.
12:46 Combattre les migrants, ce n'est pas seulement rejeter des personnes étrangères,
12:50 c'est finalement combattre toutes les personnes précaires.
12:53 Donc il y a une sensibilité dans la société, heureusement, qui s'exprime
12:57 et qui débouche sur un certain nombre d'œuvres comme celle-là.
13:01 – Alors on va voir aussi quelques images du "Chant des vivants" de Cécile Allégra.
13:05 Là, il s'agit d'un documentaire.
13:08 Mais c'est vrai qu'on a l'impression qu'on en parle de façon très abstraite
13:13 et ces films, ces documentaires, ça permet de casser ces fausses idées.
13:20 – Et ça met de l'épaisseur dans ce qu'on montre.
13:24 On montre du vécu et c'est ça tout le problème.
13:27 C'est-à-dire on va parler des migrations en disant
13:29 "il y a combien de sans-papiers ? Combien il coûte ?" etc.
13:32 Tout ça est abstrait et déshumanisé complètement.
13:35 En fait, quand on regarde la situation sur le terrain,
13:39 ce sont des hommes et des femmes et des enfants comme nous.
13:43 Et vraiment, à ce moment-là, la peur disparaît
13:47 parce que c'est la peur qui crée le racisme ou la xénophobie ou ce rejet.
13:51 C'est ça qu'il faut combattre.
13:53 – Vous programmez aussi une soirée "Iran".
13:56 – Oui.
13:57 – Alors l'Iran, on a un peu tendance à l'oublier ces temps-ci.
14:00 On le voit de loin peut-être comme quelque chose qui plane au-dessus de tout ça.
14:04 Mais c'est important d'en parler encore.
14:06 – L'Iran, ça nous permet quand même de parler de la cause des femmes là-bas
14:10 qui est dramatique avec une population très courageuse.
14:14 Ces femmes qui refusent de porter le voile malgré les persécutions.
14:19 – Il y aura donc un concert, je signale juste que vous programmez
14:22 un concert d'Araj Sarkechich à la Fayencerie.
14:25 Ce sera le 22 novembre.
14:26 – Oui, absolument.
14:28 – Oui, ces femmes qui refusent de porter le voile et qui risquent leur vie.
14:31 – Avec un courage extraordinaire.
14:33 – Et donc on voulait effectivement regarder cette question en face.
14:37 – Merci beaucoup Stéphane Desallais.
14:39 Il y aurait plein de choses à dire et on retrouve tout le programme sur migrancen.org.
14:43 Merci.
14:44 – Voilà, merci.
14:45 – Allez, comme à la cantine, Télé Grenoble vous propose jusqu'à dimanche
14:48 du rap de rencontre cinémontagne avec des films et des extraits de soirée
14:52 avec Samdi Nupce, une quête dans l'Himalaya.
14:55 Rise with Juliette du Freeride, au ski de haute montagne.
14:59 Et Frill Fliff, la famille de l'Eru en ski pulka en Norvège.
15:04 Et puis dimanche, deux films avec Benjamin Védrine, Edge of Reason et de Laurembart.
15:09 Et puis Fils du Vent, un trek dans les montagnes du Kirghizistan et du Tadjikistan.
15:14 Séance dans votre canapé à 20h30 samedi et 21h40 dimanche.
15:18 N'arrivez pas en retard, il n'y a pas de replay.
15:20 Et si vous êtes fan de hockey sur glace, je vous rappelle que Télé Grenoble diffuse
15:24 aussi ce week-end des matchs de la Continental Cup qui a lieu jusqu'à dimanche à Pôle Sud.
15:28 Ce vendredi à 23h mais aussi samedi à 23h et dimanche en direct à 19h.
15:33 D'où le décalage du cinémontagne.
15:35 Des matchs avec les Brûleurs de l'Ou qui retrouveront en quarts de finale de la Coupe de France Rouen.
15:40 Ce sera en Normandie le 28 novembre.
15:42 Le tirage au sort n'a pas été très clément avec les grenoblois.
15:45 Dans l'agenda également, Régis Truchy est excentrique.
15:49 C'est le nom de son spectacle à découvrir samedi soir au Théâtre en Ronde de Sassnage.
15:53 L'artiste référence de la danse hip-hop joue avec son corps tel un clown désarticulé.
15:57 Avec humour, poésie et énergie, il nous fait revivre l'histoire de la danse
16:01 en convoquant les plus grandes figures de la discipline.
16:03 Charlie Chaplin, Michael Jackson, Bumfos ou encore Daft Punk ou Madonna.
16:07 Cet homme est un véritable cartoon vivant.
16:11 Tout ce qui me rappelle Grenoble me fait horreur.
16:14 Non horreur, c'est trop noble. Mal au cœur.
16:17 Même si Stendhal n'a pas toujours été très tendre avec sa ville natale.
16:20 En témoigne cette phrase issue de ses mémoires.
16:22 La capitale des Alpes ne lui en tient pas rigueur et propose cet automne,
16:27 à l'occasion du 240e anniversaire de la naissance de l'auteur du Rouge et le Noir
16:30 et de la chartreuse de Parme, une série d'événements.
16:32 Avec par exemple ce samedi, une rencontre Stendhal pour les nuls au musée de l'appartement Gagnon
16:37 ou une balade littéraire dans la ville.
16:40 Et puis dimanche à 14h15, la compagnie de l'Elan Théâtre propose une balade théâtrale
16:46 au cimetière Saint-Roch en attendant Stendhal.
16:49 Avec une question sur un éventuel retour de la dépouille de l'écrivain à Grenoble.
16:54 Sur un ton humoristique évidemment.
16:57 Retour de l'actu dans une heure et en replay sur Télégrenoble.net.
17:00 On se quitte en musique avec Ibrahim Malouf qui sera en concert samedi soir au Somme Homme
17:05 et bien sûr avec son tube Beyrouth.
17:07 Belle soirée, excellent week-end à tous.
17:10 [Musique]
17:36 [Musique]

Recommandations