Didier Deschamps, le sélectionneur des Bleus, à la veille de la réception de Gibraltar, explique que certains éléments du groupe jouent une carte importante sur ce rassemblement et donc dès ce samedi à Nice.
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00:00 Ils le savent déjà là pour y être avec les absents.
00:04 Ils savent très bien que d'être durant l'année le plus souvent possible dans la
00:11 liste des 23 avec la concurrence qu'il y a.
00:14 Mais ils savent bien, c'est normal que ça soit comme ça.
00:18 Le temps de jeu qu'ils auront à disposition, ils ont tout intérêt à être le plus performant
00:25 possible, même s'il n'y a pas d'examens de passage quand c'est la première ou les
00:34 premières sélections aussi.
00:35 Des fois, il faut un petit peu de temps, mais la richesse des joueurs à disposition
00:41 est sélectionnable.
00:42 Là, je n'ai pas besoin d'insister là-dessus.
00:45 Ils savent très bien et c'est pour ça que dans leur état d'esprit de compétiteur,
00:52 c'est très bien ce qu'on a fait, mais il faut toujours aller chercher des choses au-dessus,
00:58 des nouveaux objectifs à travers ce match et celui qu'on aura mardi en Grèce aussi.
01:05 Je ne pose vraiment pas la question, je n'ai pas fait de photo.
01:08 Parce que je sais trop bien que la photo d'aujourd'hui peut ressembler peu ou pas, ou beaucoup.
01:15 Donc j'attendrai d'avoir tous les éléments et ça se fera au mois de mai.
01:19 En revanche, sur une grande majorité de joueurs qui sont déjà venus ou qui pourraient venir,
01:25 d'avoir le maximum d'informations sur eux par rapport au groupe jusqu'au jour ou au
01:32 mois de mai où il y a des cases à remplir et forcément avec la concurrence, ça penche
01:38 plus pour l'un que pour l'autre.
01:40 Si tout le monde est à disposition et sans problème, oui, il y en a certains, vous le
01:48 connaissez aussi.
01:49 Vous y serons.
01:50 Je n'ai pas besoin de vous les donner.
01:51 Mais bon, il faut prévoir aussi, anticiper ça.
01:54 On l'a toujours fait, au cas où et heureusement.
01:56 Ce n'est pas la dernière compétition qu'on a jouée à la Côte du Monde.
02:01 Parce qu'autrement, on y serait arrivé peut-être en caleçon et ce n'est pas comme ça qu'on
02:06 obtient des résultats.
02:08 Donc il y a à faire des choses qui ne vont pas à l'encontre de l'objectif immédiat
02:13 qui est le nôtre.
02:14 Même si on est qualifié, d'aller chercher, d'être tête de série malgré tout.
02:22 Et puis même sur le match anglais, il y a toujours.
02:26 Et puis on aura deux matchs amicaux au mois de mars.
02:30 Ce sera de la répétition.
02:31 Est-ce que ce sera le même groupe ? Je ne sais jamais.
02:34 Mais plus il y a un noyau dur important qui est là à chaque stage, mieux c'est parce
02:40 qu'ils se connaissent.
02:41 Et on peut travailler, perfectionner par rapport à ça.
02:46 Oui, si je fais ça, je fais jouer tout le monde de deux fois 90 minutes.
02:50 Ou pas tout le monde.
02:53 Mais à travers l'objectif du match, après avec le staff, évidemment je ne peux pas
03:00 atteindre tous ces objectifs-là.
03:02 Mais de pouvoir répartir quand il y a des doubles rencontres, bien évidemment.
03:08 Et c'est à travers du temps de jeu.
03:10 Le maximum possible.
03:12 Mais entre les données qui sont au départ.
03:16 Il peut y avoir des sures comme malheureusement celle d'Edouard Do.
03:20 Il y avait celle d'Aurélien avant.
03:23 Je m'adapte aussi.
03:25 Mais oui, pour avoir des réponses, ce n'est pas les ayants sur le banc ou à l'entraînement.
03:29 Certes, on peut avoir des réponses.
03:31 Mais qui ne sont pas totalement celles du terrain aussi.