Replay : Paris Saint-Germain - AS Monaco: La conférence de presse de Luis Enrique en direct du Campus
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04:26 Bonjour à tous ceux qui nous ont joignés et qui n'étaient pas avec nous.
04:30 A 16h pour le quart d'heure d'entraînement des joueurs du Paris Saint-Germain.
04:32 Conflit un petit peu plus tardif, c'est normal, c'est la rentrée David.
04:35 Demain, choc au sommet de ce championnat.
04:37 Le Paris Saint-Germain reçoit la S-Monaco.
04:39 La Ligue 1 est de retour, matchday 13 demain.
04:42 Au sommet du tableau, clash, 1er lieu contre 3er lieu.
04:45 Paris Saint-Germain jouant et S-Monaco.
04:47 Exactement, vous voyez le classement, le Paris Saint-Germain, juste avant la trêve, avait réussi,
04:51 pour la première fois de la saison, à prendre son fauteuil de leader.
04:55 Les champions de France sont désormais premiers du championnat,
04:58 à un point devant le Dauphin de l'OGC Nice,
05:00 et trois points devant leur adversaire de ce vendredi soir au Parc des Princes,
05:04 la S-Monaco.
05:05 Vous l'avez compris, ça va être très serré.
05:07 On va regarder la première place, S-Monaco va vouloir nous rejoindre.
05:10 Et le coach va venir.
05:27 Il est en forme en plus, c'est la rentrée, ça va coach ?
05:30 Bonsoir !
05:32 Bonsoir, ça va ?
05:34 Alors coach, on était en train de parler de la rentrée,
05:38 on joue un vendredi soir,
05:40 retour de trêve internationale,
05:42 qu'est-ce que ça change pour un coach dans l'approche du match,
05:47 au niveau de la récupération, les joueurs qui ont voyagé, qu'est-ce que ça change ?
05:52 Il va falloir étudier plein de facteurs,
06:08 comment ils ont joué, comment ils ont voyagé,
06:12 comment va leur état physique, pour essayer que tout le monde soit prêt demain au diapason.
06:16 Coach, c'est la première contre la troisième,
06:19 contre un adversaire qui a souvent été un peu dommage pour Paris Saint-Germain dans le passé.
06:24 Quelles sont vos vues sur cet adversaire demain ?
06:27 Vous l'avez compris, ça va être un match très difficile face à une des meilleures équipes de notre championnat,
06:54 autant individuellement que collectivement.
06:56 On a beaucoup de belles choses.
06:59 Je me suis noté 8 matchs où Luis Henrique a eu un impact concret sur le cours du match.
07:07 Toulouse, Mbappé rentre, but, lance, Fabian Ruiz rentre, but, 90e minute.
07:13 Nice, Colomogne rentre, pas décisive.
07:16 L'OM, évidemment doublé de Gonzalo Ramos, qui rentre.
07:20 Rennes, Colomogne rentre, but, après une minute de jeu.
07:24 Milan, Kanginli rentre, but, Montpellier, Vitinha rentre, but.
07:29 Reims, le dernier match, Barcola rentre, pas décisive.
07:32 Et évidemment, je n'ai même pas parlé de tous les autres matchs comme Milan.
07:35 Kanginli rentre, ça a fait poteau, ça s'est joué à pas grand chose.
07:39 Il y a eu 8 matchs où le joueur est sorti du banc de touche, il était remplaçant, il est arrivé sur le terrain,
07:44 et où il a été décisif, but ou pas décisif.
07:47 Déjà, bravo, coach, coaching gagnant.
07:49 Coach, comment est-ce qu'on fait pour que tous les joueurs se sentent impliqués ?
07:54 Pour avoir ces chiffres, il faut simplement avoir des joueurs bons sur le banc et sur le terrain.
08:00 Il n'y a pas d'autre.
08:01 C'est le mérite des joueurs et de leur qualité.
08:04 Et je suis fortuné de pouvoir avoir à mon disposition toutes ces possibilités.
08:10 Ensuite, ce que nous essayons de générer ici dans l'équipe, c'est la compétition.
08:16 Et que tous, Rivalry, que tous puissent jouer, que tous puissent jouer.
08:22 Ça génère de l'illusion, ça génère envie d'entraîner bien, ça génère l'envie de former un bon équipe.
08:28 Et c'est important, et je crois que nous pouvons le voir tous les jours.
08:31 Il y a quand même la vision du coach, l'adaptation tactique.
08:33 Il sait, il peut venir.
08:34 Ce n'est pas un hasard, coach, là, c'est quand même beaucoup.
08:37 Le joueur, le joueur.
08:38 Le coach aussi, moi je pense au coach.
08:40 Bravo, coach.
08:41 Allez, place à la conférence de presse.
08:43 Merci.
08:44 Le coach parle des joueurs, il dit que c'est grâce aux joueurs, le talent des joueurs.
08:47 Il y a de la chance de les avoir et qu'à chaque fois qu'ils rentrent,
08:50 ils ont la lucidité, en tout cas, de pouvoir se montrer décisifs.
08:53 Il est modeste, parce que quand même, ce n'est pas un hasard,
08:56 ce n'est pas une coïncidence autant de fois.
08:58 Le coaching gagnant.
08:59 Oui, exactement.
09:00 Le coach ne prend pas forcément le crédit.
09:02 Il dit que c'est grâce aux joueurs et il a de la chance de avoir des joueurs de cette qualité.
09:06 C'est à leur niveau, mais il a de la chance d'avoir des joueurs de cette qualité à son disposition.
09:11 Ce qu'il doit créer, c'est de la compétence.
09:14 Les joueurs doivent comprendre la façon de jouer.
09:16 Il doit y avoir un peu de rivalité entre les joueurs,
09:19 et comprendre que le coach est là et qu'il va y arriver.
09:23 On lui laisse parler.
09:25 Bon, il est 6h, non ?
09:30 Il est 6h, non ?
09:32 À partir de 6h ou avant 6h ?
09:34 Est-ce qu'il faut dire bonsoir avant ou après ? Est-ce que vous savez, vous ?
09:37 Allez, on y va.
09:39 Bonsoir, Luis Dominique 5, Le Parisien.
09:47 Pendant la trêve internationale, vous avez perdu deux joueurs,
09:49 Marquinhos et Warenza et Rémerie.
09:51 Est-ce que ce sont deux gros coups durs ?
09:53 Est-ce que vous estimez avoir l'effectif suffisant pour les remplacer à un niveau équivalent ?
09:58 Sans aucun doute.
10:03 J'ai un effectif qui est le meilleur effectif du championnat, selon moi.
10:07 La seule chose, c'est que chaque fois que tu as un joueur qui se blesse,
10:13 c'est un moment qui est extrêmement triste,
10:15 parce que ça signifie qu'il ne pourra pas jouer.
10:19 Mais l'effectif est très large et il a un excellent niveau.
10:22 Bonsoir, Damien Degor, l'équipe.
10:25 Vous vous apprêtez à affronter Monaco, une équipe qui a commencé la saison en étant très offensive,
10:29 en marquant beaucoup de buts, et depuis un mois,
10:31 on la sent sans cette équipe qui pense plus à bien défendre qu'à attaquer.
10:34 Demain, vous vous attendez à quel visage de la SEM ?
10:37 Monaco est une équipe qui me plaît beaucoup,
10:45 parce que c'est une équipe qui ne calcule pas,
10:48 elle ne pense pas aux résultats,
10:50 elle a un pressing haut, qu'il gagne ou qu'il ne gagne pas.
10:54 En phase d'attaque, ils ont toujours un niveau très bon,
11:00 et qui a un très bon bloc de défense.
11:02 Donc je pense que c'est derrière nous, l'équipe qui génère le plus d'occasion
11:07 et qui a marqué le plus de buts.
11:09 Et je crois qu'il devrait aussi avoir quelques points de plus.
11:15 Si on parle de la statistique des expected goals,
11:18 elle est placée très haut.
11:20 Donc c'est une équipe à notre niveau,
11:22 et qui aspire à être encore plus haut au classement.
11:26 Bonjour, Baptiste Becquart de l'AFP.
11:29 Est-ce que être désormais leader du championnat donne une nouvelle sérénité
11:33 au coach que vous êtes, et aussi à l'équipe,
11:35 pour aborder notamment des échéances qui vont être compliquées en Ligue des Champions ?
11:43 C'est sûr que c'est toujours mieux d'être premier que deuxième.
11:46 Je ne sais pas si ça donne plus de tranquillité, plus de sérénité.
11:49 Mais l'objectif, c'est de gagner le championnat, c'est évident,
11:53 et d'être la meilleure équipe du championnat.
11:56 Quel que soit le trophée pour lequel tu joues, pour lequel tu te bats,
12:00 c'est un objectif qu'on a.
12:02 C'est un objectif très ambitieux,
12:04 mais je pense que c'est l'objectif que mérite ce club.
12:07 Nicolas Payet, InfoSport +, Canal +.
12:09 Programme chargé pour le PSG pour les sept prochains matchs,
12:13 deux matchs de Ligue des Champions, la réception de Monaco,
12:16 il y a Lille, il y a le déplacement au Havre, Metz et Nantes également.
12:20 Avec les deux blessures, est-ce que ça va compliquer la tâche
12:24 ou pas pour cette période qui est cruciale finalement pour le PSG ?
12:27 Merci.
12:28 Non.
12:32 On parle évidemment de quelque chose de crucial, c'est la Champions League,
12:37 parce qu'évidemment, deux matchs de Champions,
12:39 c'est ce qui va déterminer si on passe la phase de groupe ou pas.
12:43 Mais ensuite, les cinq matchs de Ligue 1,
12:46 ce sont des matchs clairement très importants aussi,
12:49 mais pour un championnat qui dure toute la saison.
12:52 On a beaucoup d'envie après cette trêve.
12:58 On veut se préparer, on veut avoir des bons résultats
13:01 et continuer sur notre ligne d'avant la trêve.
13:05 Bonjour coach, Bruno Salomon, Radio France, France Bleu Paris.
13:08 Je voudrais revenir quelques instants avec vous.
13:10 Il y a eu ces deux blessés, Waren Zahir-Emery et Marc Inos,
13:13 mais quel regard portez-vous sur ces trêves internationales
13:16 qui se sont enchaînées ces derniers temps, vous qui avez été sélectionneur ?
13:20 Est-ce qu'il y en a trop ?
13:21 Certains joueurs, comme Jules Koundé, ont commencé à dire
13:23 que les cadences étaient un petit peu lourdes pour les joueurs.
13:27 Est-ce que vous partagez cet avis ?
13:28 Quel est votre regard sur tout cela ?
13:30 Merci.
13:34 C'est une polémique dans laquelle je ne voudrais pas vraiment rentrer.
13:37 Il y a un calendrier, il est comme il est.
13:40 Tous les joueurs veulent être internationaux et jouer pour leur pays.
13:44 Moi aussi, c'était mon cas, je voulais jouer pour mon pays.
13:46 À partir de là, je fais mon travail comme entraîneur,
13:49 qui est de tenter de générer une charge raisonnable à mes joueurs.
13:54 J'essaie de contrôler ce que moi je peux contrôler,
13:56 mais tout le reste, je ne peux pas le contrôler.
13:58 Moi, je sélectionne mes joueurs pour ce qu'ils sont.
14:02 L'équipe a des ressources suffisantes pour résoudre tous ces problèmes qui se présentent.
14:07 Que ça me plaise ou que ça ne plaise pas, je ne vais pas en parler,
14:10 parce que c'est le calendrier.
14:12 Il y a des gens qui ont décidé que le calendrier serait ainsi.
14:14 Et nous, et dans mon cas, je m'adapte à la situation telle qu'elle est.
14:19 J'espère que les joueurs vont récupérer le plus vite possible,
14:22 pas seulement ceux du PSG, mais tous les joueurs qui se sont blessés,
14:25 quel que soit le moment de la saison et quelle que soit la compétition.
14:28 - On parlait tout à l'heure de votre adversaire Monaco.
14:32 C'est un match important dans la course au titre.
14:34 Est-ce que vous diriez que ça peut même être un tournant
14:36 et que c'est d'autant plus fondamental de les battre demain ?
14:39 Merci.
14:40 - C'est important pour ce que ça signifie,
14:47 parce qu'évidemment, c'est un rival direct.
14:50 Mais il reste encore beaucoup de temps dans ce championnat.
14:53 Il y a encore beaucoup de matchs à jouer.
14:55 Mais c'est sûr que pour les équipes qui ont les mêmes aspirations que toi, que nous,
15:00 ce sont des matchs particulièrement importants.
15:03 Mais ça n'est pas particulièrement décisif pour que le championnat soit joué.
15:08 Il s'agit de jouer un match de haut niveau,
15:10 d'essayer d'être meilleur que ton adversaire,
15:12 de lui prendre le ballon,
15:14 d'avoir le maximum d'occasions de but,
15:17 de faire en sorte qu'eux n'en aient pas trop.
15:20 Donc ce sera un match difficile.
15:23 Mais je n'ai pas vu, pour l'instant, de match facile en Ligue 1.
15:28 - Bonsoir, Louis-Anthony Resch, RMC Sport.
15:31 On sort de deux journées de championnat pas très prolifiques en termes de but sur l'ensemble des rencontres.
15:37 Il y a eu un débat derrière, notamment avec une prise de position de Thierry Henry, le sélectionneur des espoirs.
15:41 Vous qui avez connu d'autres championnats,
15:43 est-ce que vous trouvez que la Ligue 1 n'est pas spectaculaire, voire parfois ennuyeuse ?
15:47 Merci.
15:48 - La Ligue française aburrida ?
15:55 Ennuyeuse ? Non, pas du tout, pour moi.
15:58 Je dirais même plus, j'aimerais qu'il y ait encore plus de contrôle.
16:02 Et au contraire, je vois des matchs très ouverts.
16:05 Toutes les équipes ont beaucoup d'occasion de marquer.
16:08 Je pense que c'est une Ligue qui est bien meilleure que ce que je pensais.
16:11 Et parfois aussi, tu entends des opinions et tu la répètes sans vérifier.
16:18 Mais moi, je pense bien au contraire que c'est une Ligue puissante,
16:22 une bonne Ligue avec des bons joueurs,
16:25 qui ensuite partent souvent jouer dans de très bonnes Ligues aussi,
16:28 comme la Ligue anglaise.
16:30 Facile, elle ne l'est pas.
16:32 Ennuyeuse, encore moins.
16:34 Et il y a beaucoup d'alternatives possibles et des possibilités au score.
16:40 - Coach, bonsoir. Mourad Sefian pour la Source parisienne.
16:43 Coach, le club a levé l'option de Gonzalo Ramos.
16:46 On voit beaucoup de choses en match, à la télé, en public.
16:48 Mais qu'est-ce que vous pouvez nous dire sur le match ?
16:50 Qu'est-ce qu'il apporte et qu'est-ce qu'il peut apporter à l'avenir au club ?
16:53 Merci.
16:55 - C'est une très bonne nouvelle qui me réjouit
17:04 pour tout ce que signifie Gonzalo Ramos comme footballeur.
17:09 Mais si je pense à Gonzalo Ramos en tant que personne,
17:13 je suis encore plus content.
17:15 C'est un joueur d'avenir pour le club, un attaquant qui est très impressionnant.
17:20 Il peut faire face à des situations de jeu très diverses.
17:23 Il a une capacité de tir, une capacité de jeu, d'entraînement.
17:28 C'est pour moi une magnifique acquisition et je suis très content que l'option soit levée.
17:32 - Luis, est-ce qu'on peut avoir des nouvelles de Presnel Kimpembe ?
17:35 Comment se passe sa réintégration avec vous et comment il revient de ses pépins ?
17:39 - Oui, c'est un très bon souvenir.
17:42 Je ne suis pas un médecin et je ne peux pas vous donner des informations exactes.
17:46 Mais depuis deux semaines à peu près, il est de retour dans le groupe.
17:50 Il s'entraîne avec tout le monde.
17:53 Il va bien, il va très bien.
17:56 Moi, je le connaissais déjà et je le connaissais quand il pouvait être au meilleur niveau
18:01 parce que j'ai joué contre lui.
18:04 Mais maintenant, j'ai vraiment très envie de jouer contre lui.
18:08 Mais maintenant, j'ai vraiment très envie qu'il revienne dans le groupe complètement.
18:12 C'est pour moi un des leaders du groupe, l'un des capitaines potentiels.
18:16 Et le processus doit être suivi, ce sont les médecins qui vont en décider.
18:21 Mais il s'entraîne déjà avec nous la plupart du temps.
18:24 Donc je suis content.
18:26 C'est très triste quand un joueur se blesse,
18:28 mais c'est toujours un très beau moment quand il revient après plusieurs mois.
18:32 - Bonjour coach, Baptiste Durieux pour RTL.
18:35 On a traversé plus d'un tiers du championnat, ça fait plusieurs mois que vous êtes là.
18:38 Je voulais savoir quelle est votre principale satisfaction en tant qu'entraîneur du PSG aujourd'hui ?
18:43 - Merci.
18:45 La principale ?
18:49 Je vais vous dire que j'ai eu beaucoup de satisfaction.
18:54 Parce que quand on arrive dans un club qu'on ne connaît pas,
18:57 on se fixe toujours une série d'objectifs.
19:01 Mais je dois vous dire qu'en général,
19:05 depuis longtemps déjà, je me sens comme à la maison.
19:08 Et ce que je reçois de la part de mes joueurs,
19:10 ce que je perçois autant à l'entraînement que lors des compétitions,
19:13 c'est quelque chose qui me plaît beaucoup.
19:15 Je vois encore cette marge de progression.
19:18 Je ne suis pas un entraîneur conformiste,
19:21 les joueurs non plus, et je veux toujours plus.
19:24 Il ne s'agit pas seulement de gagner,
19:26 il s'agit de gagner et de gagner.
19:28 Il ne s'agit pas seulement de bien jouer,
19:31 mais de gagner, d'être compétitif,
19:33 d'essayer d'être meilleur quand on peut l'être,
19:35 à titre individuel et à titre collectif,
19:37 durant chaque match et chaque entraînement.
19:39 Et ça c'est une ambition que j'ai,
19:41 et que j'essaie de transmettre à mes joueurs.
19:43 - Daniel Opereira et Asensio maintenant s'entraînent normalement avec le groupe,
19:47 sont sortis définitivement de l'infirmerie.
19:49 Est-ce que demain, ça fait longtemps qu'ils ont joué,
19:51 est-ce que demain ils sont prêts à commencer le match ?
19:57 - Et dès le moment où tu reviens dans le groupe,
19:59 tu peux commencer à jouer.
20:02 Donc ensuite ce sera ma décision d'entraîneur,
20:04 mais oui, les deux sont à disposition.
20:07 - Merci, muchas gracias.
20:11 - Et voilà David, c'est tout pour la conférence de presse de Luis Enrique,
20:14 qui n'a pas taré d'éloge, notamment à l'égard de Prestel Kimpembe.
20:17 Il a dit "c'est triste quand tu ne sais pas comment te faire,
20:20 mais tu es là pour te faire plaisir,
20:22 et tu es là pour te faire plaisir,
20:24 et tu es là pour te faire plaisir,
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