Grèves dans le secteur public « On va faire ce qu’il faut pour l’avenir de l’école publique »
Des enseignants de Montréal se sont levés de bonne heure ce jeudi 24 novembre pour manifester devant chaque école de la ville. Ils sont membres de la Fédération autonome de l'enseignement (FAE), qui a entamé une grève générale illimitée.
Carolane Sauvé-Tétreault est l'une des manifestantes. L'enseignante de 32 ans dit qu'en cinq ans dans la profession, elle a vu les conditions de travail se dégrader.
"Je ne veux pas faire partie des fameuses statistiques des nouvelles enseignantes qui quittent la profession", dit-elle. Près d'une enseignante québécoise sur cinq abandonne ce travail dans les cinq premières années.
"Ce qu'on veut, c'est que le gouvernement nous entende. On va aller jusqu'au bout. On va faire ce qu'il faut pour l'avenir de l'école publique", dit la prof de l'école primaire Saint-Anselme, dans le quartier Centre-Sud.
La présidente de l'Alliance des professeurs de Montréal, Sophie Laflamme, dit qu'elle souhaite une entente rapide avec Québec.
"On veut que nos conditions de travail soient améliorées, mais on veut aussi que l'éducation soit une priorité pour le gouvernement", dit-elle.
Les enseignants revendiquent notamment une augmentation salariale de 20 % sur cinq ans, une réduction de la surcharge administrative et une amélioration des conditions de travail des éducateurs spécialisés.
La grève générale illimitée a commencé le 24 novembre et pourrait durer plusieurs semaines.
Des enseignants de Montréal se sont levés de bonne heure ce jeudi 24 novembre pour manifester devant chaque école de la ville. Ils sont membres de la Fédération autonome de l'enseignement (FAE), qui a entamé une grève générale illimitée.
Carolane Sauvé-Tétreault est l'une des manifestantes. L'enseignante de 32 ans dit qu'en cinq ans dans la profession, elle a vu les conditions de travail se dégrader.
"Je ne veux pas faire partie des fameuses statistiques des nouvelles enseignantes qui quittent la profession", dit-elle. Près d'une enseignante québécoise sur cinq abandonne ce travail dans les cinq premières années.
"Ce qu'on veut, c'est que le gouvernement nous entende. On va aller jusqu'au bout. On va faire ce qu'il faut pour l'avenir de l'école publique", dit la prof de l'école primaire Saint-Anselme, dans le quartier Centre-Sud.
La présidente de l'Alliance des professeurs de Montréal, Sophie Laflamme, dit qu'elle souhaite une entente rapide avec Québec.
"On veut que nos conditions de travail soient améliorées, mais on veut aussi que l'éducation soit une priorité pour le gouvernement", dit-elle.
Les enseignants revendiquent notamment une augmentation salariale de 20 % sur cinq ans, une réduction de la surcharge administrative et une amélioration des conditions de travail des éducateurs spécialisés.
La grève générale illimitée a commencé le 24 novembre et pourrait durer plusieurs semaines.
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