• il y a 2 ans
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00:00 *Musique*
00:16 *Bruit de la rue*
00:31 *Bruit de la rue*
00:47 Il y a une certaine volonté aussi d'interdire les hommages à Thomas. Pourquoi ? Parce que ça ne sert pas le narratif du vivre ensemble.
00:55 Ça ne sert pas le narratif qui dit "oui la France Black Mamba qui vit tous ensemble". Malheureusement, ce n'est pas forcément la réalité que nous constatons.
01:02 Et il faut rappeler que les agresseurs sont venus pour tuer du blanc, tuer Thomas et ses amis parce qu'ils sont français, français d'origine.
01:09 Il n'y a qu'à voir. En fait, selon nous, les sociétés multiculturelles sont par définition, par essence, violentes.
01:16 Je n'ai pas d'exemple historique de sociétés multiculturelles qui va bien. Regardez aux Etats-Unis, il y a énormément d'inégalités économiques.
01:26 Il y a énormément de personnes de couleur noire en prison qui sont surreprésentées parmi les personnes pauvres.
01:31 Moi, ce n'est pas quelque chose que j'ai envie d'avoir en France. D'un côté, une France qui réussit. D'un côté, une France qui est jetée en prison.
01:37 Ce n'est pas la société d'un avenir dont je rêve. J'ai envie d'une société où on puisse vivre tranquillement, comme il s'est passé chez nous il y a 30-40 ans.
01:48 Où les gens m'ont raconté que je laissais mon scooter dans la rue, je n'avais jamais de problème. Il y a une certaine perte de liberté.
01:54 En termes de partis politiques, nous n'avons pas de partis politiques vraiment préférés. Mais oui, nous avons appelé à voter Rassemblement National et Reconquête aux dernières élections.
02:07 Justice pour Thomas ! Justice pour Thomas !
02:29 On est là, Thomas !
02:41 Il a été assassiné par une bande de racailles en défendant ses amis. Il y a eu, lors de cette attaque, 17 blessés, dont deux en urgence absolue.
02:51 Depuis la mort de Thomas, il y a eu un formidable élan de solidarité du peuple français. Partout, il y a eu des rassemblements en hommage à Thomas.
03:00 Partout, les Français se sont levés pour dire "stop" au massacre. Pendant ce temps, l'État a montré une fois de plus sa défaillance.
03:08 On a parlé de hate, on a parlé d'une bagarre qui a mal tourné. On a parlé comme d'un frédivère. Mais ce n'est pas un frédivère.
03:16 C'est l'assassinat d'un Français par la racaille, comme il y en a chaque semaine. En plus de refuser de reconnaître ce qui se passe,
03:24 Armandin et Dupond-Moriqui ont ouvert un chasse-papillote, manifestation interdite, comme celle-ci il y a encore quelques heures.
03:32 Garde à vue, perquisition pour l'écolage d'affiches. Ce soir, face à la racaille et face à cet État qui veut nous faire taire, il est temps de se lever et de se battre.
03:41 Justice pour Thomas ! Justice pour Thomas !
03:52 Ce qui s'est passé, c'est le fléau de vos 40 ans. 40 ans de laissez-faire. 40 ans de laxisme en matière d'immigration. Donc on dit "stop".
04:06 Français, réveille-toi ! Tu es ici, chez toi !
04:14 Si pensez pour notre cher préfet de police, Laurent Nunez, qui, sur ordre de Gérard Darmanin, le ministre de l'Intérieur, ministre qui a plus de préoccupations,
04:39 qui a plus de préoccupations, il est temps de se mettre à l'abri. Il est temps de se mettre à l'abri.
04:46 Il est temps de se mettre à l'abri.
04:51 Alors on va chanter pour Darmanin. Darmanin, démission !
05:08 En prison, l'Arakan ! Dans l'avion, en prison !
05:20 On savait déjà tous que l'État ne dépendait plus du peuple. Maintenant, ça fait quelques jours aussi que sa justice, ses préfets, ses sbires,
05:28 jouent tous complètement contre nous et créent même des avions de circonstance avec l'Arakan, une cité comme Sainte-Dix-Fort dans la Cité de la Monnaie.
05:35 La mort de Thomas, comme l'a dit Antoine, n'est pas un simple fait divers, mais le résultat d'un processus bien précis.
05:42 Ce crime, au-delà de l'horreur qu'il représente, est l'illustration parfaite d'un narcissisme judiciaire organisé par l'État depuis des milliers d'années.
05:49 Inutile de leur peuple de terre, on a vu qu'ils ont eu leurs collègues de l'Ola par une Algérienne, ou encore la non-incarcération de Thomas, le violeur de Légane à Cherbourg, malgré qu'il soit connu du service de police.
05:59 Vous connaissez déjà toute l'histoire qui se répète encore et encore.
06:05 D'ailleurs, de quoi les mesures n'ont jamais été aussi criantes par les 9 interprètes de l'affaire Thomas, ce 9 raconte le thème que l'offre des polis.
06:12 Trois ont déjà été amenés à liberté. Dans le même temps, déjà trois s'étaient manifestés dans le quartier à 600 cibles de la Monnaie.
06:18 Samedi, on a coupé de très lourds noms de peines de prison ferme. Là, avec une lutte de 18 ans, on va passer 6 mois derrière les barreaux pour avoir participé à une simple manifestation.
06:27 Un couple à Lyon a également été placé en garde à vue pour avoir simplement collé des affiches pour rendre hommage à Thomas.
06:37 Évidemment, pendant ce temps, aucune info sur ce fameux jeune du quartier qui ont kidnappé et massacré un couple de golfs à des manifestants, après évidemment l'avoir menacé de brûler vite.
06:48 On ne verra jamais, bien sûr, que ça a été parié par nos chers CRS qui déguerrent un pilastrant dans un quartier à 600 cibles, cette fois-ci, sous les ordres du préfet.
06:57 (Cris de la foule)
07:18 Alors comment ne pas avoir la haine contre ce pouvoir qui n'a que faire des nôtres ?
07:23 Toute la classe médiatique et politique est obsédée par une guerre à 3 000 cluels de chez nous, mais personne ne parle de terrorisme du quotidien qui traite des Français sur leur propre sel.
07:33 Parce que oui, quand des bandes ethniques armées s'organisent pour aller tuer des Blancs, c'est du terrorisme, même s'ils n'ont pas ou pas encore de cash-t-cuffs.
07:41 Notre devoir à nous, c'est de résister.
07:44 Et c'est pour cela qu'il faut se réveiller en France, parce qu'il veut imposer la répartition des migrants, des clandestins, dans tous les villages de France, pour qu'il n'y ait plus un Trépole, ni tout Trépole, pas Trépole.
07:58 C'est pour cela que le pouvoir veut interdire toute manifestation, toute critique.
08:04 Et c'est pour cela qu'il faut se réveiller contre cela.
08:08 L'argument de M. Mugniz pour interdire cette manifestation, c'est qu'elle aurait été contraire à l'ordre public immatériel.
08:19 Mais pas au désordre dans la rue, comme les gauchistes, comme le Bloc le font, non, à l'ordre public immatériel.
08:27 Qu'est-ce que c'est que l'ordre public immatériel, tel que vu par M. Carvaneau ou M. Mugniz ?
08:34 C'est la doxa politique Montcorrec, c'est la politique du gouvernement, c'est aussi l'interdiction de pouvoir dire qu'il y a un lien entre l'immigration et l'islamisme,
08:49 entre l'immigration et le terrorisme, entre l'immigration et la délinquance.
08:56 Qu'est-ce que c'est que l'ordre public immatériel ? Ce serait de ne pas pouvoir prôner la remigration.
09:03 Et bien oui, nous avons le droit de dire les faits, nous avons le droit de prôner la rédemption, et nous défendrons nos libertés.
09:16 C'est aussi de rendre hommage, je vais vous demander à tous le silence, et on va commémorer ensemble l'allumement des taurins.
09:29 [bruit de la pluie]
09:40 [bruit de la pluie]
10:04 Cette fumigène représente une flamme, cette flamme qui vient de chanter entre nous, cette flamme qui nous pousse à nous engager,
10:12 qui nous pousse à défendre nos idées, à prendre des risques pour nos convictions, parce que le combat qu'on mène, c'est le combat pour demain,
10:20 c'est le combat pour nos enfants, le combat pour notre terre. Alors on va chanter "Français, réveille-toi, tu es ici, chez toi" !
10:27 [Chant]
10:47 Le collectif Nemesis, collectif qui dénonce les violences contre les femmes, notamment par les personnes sous l'immigration.
10:58 Bonsoir à tous, merci beaucoup aux organisateurs de ce rassemblement qui m'a accueilli, il ne peut pas avoir lieu,
11:04 parce qu'apparemment dans notre pays, on n'a pas le droit d'honorer nos morts, il y a certains qui ont le droit d'être honorés, mais les nôtres visiblement ce n'est pas le cas.
11:11 Alors moi je suis venue aujourd'hui pour prendre la parole, notamment parce que d'abord j'ai un grand frère,
11:17 et que je ne supporterais jamais que mon grand frère puisse mourir de cette façon, et encore moins que l'on puisse pas organiser des manifestations en son honneur à sa mémoire.
11:27 La deuxième raison pour laquelle je suis là, c'est qu'un jour je serai maman, j'aurai très certainement des garçons,
11:32 et que je ne supporterais pas que mes garçons, mes cossons, mes filles aient à vivre dans ces conditions-là,
11:36 c'est quelque chose qu'en tant que Français, qu'en tant que Française, on n'a pas à accepter.
11:41 On nous force à vivre depuis des années avec des personnes avec qui il est devenu impossible à vivre, pour plusieurs raisons.
11:47 La première c'est qu'il y a une éducation de décalage, nous ne sommes pas éduqués de la même façon,
11:52 il y a des jeunes garçons qui aujourd'hui ont une vision ultra sexiste des femmes,
11:57 qui ont une vision ultra violente de comment on règle un conflit,
12:02 et qui sont capables de planter un garçon parce qu'on aurait tiré les cheveux de l'autre.
12:06 C'est quelque chose que vous n'accepteriez jamais.
12:08 La deuxième chose que l'on ne peut pas accepter, c'est évidemment cet écart de culture qui existe,
12:15 puisqu'il y a une immigration qui arrive, une immigration qui est soit là depuis plusieurs générations,
12:21 et qu'on retrouve dans cette haine de la France, dans cette haine du blanc,
12:24 puisque je le rappelle, ces jeunes hommes, et dites et mont le dit, sont venus pour planter du blanc,
12:28 ils sont aussi venus pour draguer des filles avec des couteaux de 20 cm,
12:31 je me demande de quelle manière ces gens-là draguent les filles d'habitude.
12:34 Et il y a une autre immigration qui nous arrive, qui est plus récente,
12:38 et qui là, pareil, viole des femmes, quel que soit le quartier, quel que soit l'âge,
12:42 parfois c'est dans les EHBAD, parfois c'est à partir de 12 ans, dans l'espace public,
12:46 et c'est quelque chose que là aussi je n'accepterais jamais.
12:49 Et je vous engage à ne pas l'accepter, ce sont les minorités qui font l'histoire,
12:53 si ça peut vous donner un petit peu d'espoir de vous dire cela, alors je retourne au travail ce soir.
12:57 Merci beaucoup.
12:59 Français, réveille-toi ! Tu es ici, chez toi !
13:11 Cela fait maintenant presque 15 jours que Thomas a été assassiné à Krépol,
13:17 mais sa mort ne passe pas, notre tristesse ne passe pas, notre colère ne passe pas,
13:23 et nous ne pardonnons pas à faire notre deuil.
13:26 Nous ne pardonnons pas à faire le deuil parce que depuis sa mort,
13:29 les autorités et les médias voudraient nous faire croire que Thomas est mort de façon fortuite,
13:34 accidentelle, que sa mort relève de la fatalité.
13:37 Mais pas du tout, non.
13:39 Lors des optiques de Thomas, son grand-père a eu le courage de dire la vérité,
13:43 en déclarant à propos des attaquements de son fils,
13:46 ces sauvages doivent être mis très rapidement à l'écart de notre société.
13:51 En effet, Thomas n'est pas mort comme on a pu l'entendre,
13:54 parce qu'il était au mauvais endroit au mauvais moment.
13:57 Thomas était au contraire tout à fait à sa place.
13:59 Il faisait sa fête avec ses amis dans son village.
14:03 C'est bien normal, là-dedans.
14:05 En revanche, ces assassins, eux, étaient bien au mauvais endroit, au mauvais moment.
14:09 En tout cas, ils étaient là où ils n'auraient jamais dû être,
14:12 là où on n'aurait jamais dû permettre qu'ils soient,
14:15 parce qu'à ce que je sache, la France n'est pas un pays
14:17 où l'on se rend à un bal avec des coutures de boucher pour planter du blanc.
14:21 Donc non, ces racailles n'auraient pas dû être là.
14:24 Et si nous avions un Etat signé de ce monde,
14:26 ces assassins n'auraient pas été là,
14:28 ils auraient été dans leur pays d'origine ou en prison,
14:31 et Thomas serait encore en vie.
14:33 Thomas, comme tout autre avant lui, n'est pas mort par hasard,
14:39 il est mort parce que l'Etat français a créé une condition de sa mort.
14:43 Immigration de masse, impunité judiciaire,
14:46 répartition forcée de la criminalité dans toute la France.
14:50 C'est bien sûr la raison pour laquelle les médias, eux,
14:53 étaient si empressés de passer à autre chose, d'oublier Thomas.
14:57 Thomas, pour eux, se laissait faire le book-casting,
14:59 Thomas était trop blanc, trop populaire, trop français.
15:03 Alors insidieusement, ils ont commencé à réécrire l'histoire.
15:07 Thomas est présenté comme un rugbyman,
15:09 le jeune rugbyman décédé lors d'une rixe.
15:12 Ça n'a interpellé personne.
15:14 Pensez-vous qu'il aurait été présenté comme un fénissement
15:16 s'il avait préféré la rinquette au ballon ovale ?
15:19 Moi je vous le dis, non !
15:21 Mais ça collait si bien avec cette théorie fumeuse de la rixe.
15:24 Oui, dès le début, c'est la guerre des mots.
15:27 On aurait pu dire "le jeune Thomas, à peine 16 ans, est mort,
15:31 assassiné par des racailles".
15:33 On a préféré "le jeune rugbyman décédé lors d'une rixe".
15:37 Tout de suite ça passe mieux.
15:38 Bah oui, parce que vous comprenez,
15:40 Thomas c'est ce profil de gros lourdeau de compagnard
15:43 qui se bat garé pendant un troisième mytho.
15:45 Une rixe, finalement, c'est une malheureuse altercation qui dégénère.
15:49 Mais non, moi je vais vous dire qui était Thomas.
15:52 C'était un jeune homme de 16 ans, plein de vie,
15:54 très aimé de ses amis,
15:56 quelqu'un sans problème et très sage.
15:58 Et ces mots, ce ne sont pas les miens,
16:00 ce sont ceux de sa mère.
16:01 De la même façon, ce qui s'est passé ce samedi soir,
16:04 ce n'est pas une rixe.
16:05 Une bande de racailles qui attaque un bal populaire
16:07 et saigne tous ceux qui leur passent sous la main,
16:09 ce n'est pas une rixe.
16:11 Une bande, ce n'est pas un bançon.
16:13 Non, c'est une scène de guerre qui ressemble à une boucherie.
16:16 Et là encore, ce ne sont pas mes mots,
16:17 ce sont ceux de Josette, une habitante de Crépole.
16:20 Et malgré tous ces mots,
16:22 certains, sans aucune honte,
16:24 arrivent encore à affirmer que le véritable problème dans cette affaire,
16:28 c'est l'extrême droite.
16:29 L'extrême droite qui se saisit de l'affaire
16:32 pour faire avancer son idéologie nauséabonde.
16:35 BFM TV titre dans la foulée
16:38 Crépole, du pain béni pour l'extrême droite.
16:41 Ouuuuh !
16:45 Oui, c'est ça !
16:47 Je vous le dis, ces gens doivent consulter,
16:50 parce qu'à ce niveau-là, la mauvaise foi et l'indécence deviennent pathologiques.
16:54 Sur BFM TV, toujours une amoniate explique
16:57 que ces pauvres jeunes se sont peut-être soudainement
17:00 transformés en assassins, après je cite,
17:02 "en délire sa gueule".
17:04 Oui, c'est vrai ça.
17:05 Une bande qui débarque armée de couteaux,
17:07 c'est pourtant tout ce qu'il y a de plus angélique, non ?
17:09 Les couteaux, c'était peut-être pour casser la croûte
17:12 avec les vieux du village en regardant les jeunes danser.
17:15 Alors soit cette dame est parfaitement déconnectée,
17:17 et dans ces cas-là, elle doit nous faire pitié,
17:20 soit elle est d'une mauvaise foi à faire pâlir,
17:22 et dans ces cas-là, elle devrait rugir de culpabilité et de honte.
17:26 Ouuuuh !
17:30 Il y a toujours encore Isabelle Véra Masson
17:33 comparée, l'attaque de Kripoll, à Roméo et Juliette.
17:37 C'est du Shakespeare, oui.
17:43 Cette dame est directrice de recherche au CNRS.
17:46 Cette dame et ses amis sont censés être la fille fleur
17:49 des analystes en France.
17:51 Ouuuuh !
17:54 Ils viennent faire des parallèles et des règles qui n'ont aucun sens,
17:57 comme des pauvres bacheliers qui pégaient en oral
17:59 tentant de sauver les meubles avec les seules références étudiées.
18:02 Regardez, Madame Véra Masson !
18:04 Non, les tuels d'honneur entre des familles italiennes
18:07 et clients verts n'ont rien à voir avec l'assassinat tragique
18:10 de Thomas au cri de "Viens là, sale guerre !"
18:13 Ouuuuh !
18:17 Alors d'habitude, on garde le meilleur pour la fin.
18:19 Aujourd'hui, je vous ai gardé le pire.
18:21 Si l'indécence devait avoir un nom,
18:23 ce soir, elle s'appellerait Patrick Cohen.
18:26 Ouuuuh !
18:29 Dans la bouche de ce dernier,
18:32 Thomas deviendrait presque le coupable.
18:35 Un jeune rugbyman raciste qui aurait tiré le cheveu de son agresseur,
18:38 qui, lui, est le pauvre privé venu de la cité.
18:41 Finalement, tout ceci, pour M. Cohen,
18:44 ça n'était qu'un bal tragique, une soirée qui dégénère.
18:47 Jeu de main, jeu de vilain, on nage en plein délire !
18:50 M. Cohen, comment pouvez-vous,
18:53 comment pouvez-vous sous-entendre que finalement,
18:56 Thomas l'avait un peu cherché ?
18:59 Vous rendez-vous compte de l'horreur de vos propos ?
19:02 Imaginez-vous, la mère de ce pauvre garçon,
19:05 entendre pareille chose ?
19:07 Et France 5, qui vous suit, titre en l'émission
19:10 "La mécanique de la haine et du mensonge".
19:13 La haine, ce soir, du 18 novembre,
19:16 elle venait de la cité de Romain Sulizer.
19:19 Elle s'appelait Akamichahid Yazan Ilyes.
19:22 Elle vous a idées à ce moment-là.
19:25 Pour Piri, Kanel, Tiersi, Ramdahi, Faïkal,
19:28 et Shortya Kaïs, et le mensonge d'aujourd'hui,
19:31 ils appellent Patrick Cohen !
19:34 Comment s'en confient-ils ?
19:37 Ils s'en font compte !
19:39 Mais elles sont dans leur rôle, tous ces elite-wokes,
19:41 ces médias mainstream.
19:43 Ça manque tellement de classe de défendre la vie des QTE.
19:45 Ça coûte tellement de reconnaître les erreurs de 50 ans
19:48 de politiques migratoires dédastreuses.
19:51 Vous savez, derrière tous ces discours,
19:53 tout ne peut m'empêcher de voir un certain snobisme.
19:56 Politiciens, journalistes, avocats,
19:59 tous profitent de l'occasion pour défendre l'indéfendable.
20:02 C'est l'occasion rêvée de rappeler qu'ils ont fait des études,
20:05 qu'ils font partie d'une certaine élite intellectuelle.
20:08 C'est certain, nous pouvons leur reconnaître cela.
20:11 Il faut seulement faire preuve d'une certaine gymnastique intellectuelle
20:14 pour parvenir à défendre des assassins.
20:17 Ces événements prouvent que les réactions archontiques
20:19 valent définitivement mieux que les pirouettes intellectuelles.
20:22 Voici les mots de Théo, l'ami de Thomas.
20:25 On a la haine, personnellement j'ai un sentiment de violence incontrôlable.
20:29 Alors les ayatollahs de la tolérance condamnent ressurement
20:32 cet ignoble appel à la haine.
20:34 Mais moi je voudrais lui dire à Théo, ne t'en fais pas,
20:37 derrière toutes ces marionnettes de la bienfance
20:39 et leurs pilules de vous ne le promets,
20:41 il y a une France qui comprend ta colère.
20:43 Car oui, nous sommes en colère.
20:45 Nous sommes en colère contre un gouvernement défaillant.
20:48 Nous sommes en colère contre des politiciens vols et lâches.
20:51 Nous sommes en colère contre des médias menteurs et hypocrites.
20:55 Alors nous sommes ici pour pousser un immense cri de colère
20:58 puis de sacré d'amour pour nos martyrs.
21:00 Thomas, mais aussi Lola, Enzo, Philippe, Alban, Mélanie,
21:04 Axel, Laura, Morane, on ne vous oubliera pas.
21:08 Non au racisme non du plan !
21:15 On ne vous oubliera pas et surtout on va dire un message ce soir.
21:18 On est chez nous !
21:39 Allons enfants de la famille, le jour de gloire est arrivé.
21:47 Contre nous de la tyrannie, les pandas sont l'enfermé.
21:58 Justice pour Thomas !
22:11 Français, réveille-toi, tu es ici, chez toi !
22:17 Français, assassins, darmanins, complices !
22:30 La manifestation est terminée, j'appelle à la dispersion dans le calme.
22:38 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
22:41 Les médias ne sont pas des médecins, ils sont des scientifiques !

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