GENESIS. "Nursery Cryme".
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Style de vieTranscription
00:00 bonjour ok je fais ce tutoriel, je fais angliciser ce tutoriel du zed génicis
00:09 vous avez devenu thème au sujet de ces stu...
00:13 Steve Hackett qui est décédé, ça a l'air d'avoir pas assez eu de Gibson des riffs
00:20 let's go
00:27 donc c'est à propos de la typique chanson hermaphrodite, la chanson c'est
00:35 fountain of salmacis, ça fait 200 fois pas loin de 20 fois mettons que j'en parle
00:41 de cette toune que j'ai écouté, dont écouter ce... oui ce recording, que j'ai rappelé
00:47 c'est peut-être la technique technique de Steve Hackett mais je pense c'est un peu abstrait
00:51 aussi, il a appris quelque chose, autrement il a appris X-classique et après ça il a passé
00:54 à aléatoire à la Robert Fripp même, même Fripp a passé à autre chose de jazz
01:02 en plus, ce qui est plus un sacrilège à la musique
01:08 la musique classique d'appointement qui prenait même des rendez-vous de santé
01:13 pour en jouer
01:16 je parle évidemment de celle-là, évidemment
01:22 l'introduction, premièrement Steve Hackett joue l'effet de pédale de volume
01:27 avec de la réverbération, c'est des effets très simples, j'ai aimé comme le Zeppelin
01:31 moins l'effet Black Sabbath qui avait une couple de pédales de Hendrix
01:47 donc je parle évidemment de la fontaine typique de Salmah 6, en tout cas ma voix
01:54 elle est vraiment naturelle, c'est bien ma voix de 56 ans et non pas ma voix de 71 comme
01:59 Steve Hackett lorsqu'il avait 25 ans, ou 25, quand il avait je pense 19 ans
02:06 je pense qu'il avait 19 ans, donc quand Steve Hackett a 19 ans c'est autre chose que
02:10 Hackett à 77 ans, même si on dirait que de 17 ans à 77 ans, par lèvre de Beau Dommage
02:18 c'est pas juste abseil, c'est pas mal, ça en est quasiment vulgaire
02:23 quasiment vulgaire aux grosses livres, donc je vous garantis pas que c'est ça
02:30 mais en tout cas ça sonne pas similaire, évidemment j'ai pas de pédale d'amplificateur
02:38 j'ai pas de pédale de réverbération directement, si on en remplit
03:07 la composition en demeure pas, moins un petit peu recherchée, pas comme Rush
03:14 pas comme des groupes Rush, évidemment notre bon groupe de Toronto
03:19 et des fois, je sais pas s'il vienne encore, on sait que Neil Peart est disparu en pot de drame
03:33 Robert Fripp, quand je parle de, ça sonne un peu comme ça, tu parles de Leather King
03:40 je parle pas de Jim Morris, non, je parle pas de Rob Pinochle, non c'est pas moi, c'est pas ma spécialité
03:46 donc comme Robert Fripp, ça sonne un petit peu comme ça, l'album de St-Léon de King Crimson
03:57 qui était King Leather, je crois que c'était un Leather King, pas Snake King, pas King Snake
04:07 en tout cas, ça sonne un peu de même, c'est comme Wade ça
04:15 (musique)
04:40 (musique)
05:01 avec l'effet de réverbération, comme sur Audacity, le software, l'application
05:11 (musique)
05:40 ça c'est l'introduction, je te la montrais, l'introduction, un petit peu après, ce petit motif là
05:51 (musique)
06:09 il y a bien des petits pauses en même, évidemment il n'y a pas enregistré ça d'une traite, mais en tout cas
06:14 c'est fait sur des bandes magnétiques, que tu pourrais accélérer, tu pourrais décélérer, tu pourrais le modifier
06:24 en ajoutant des samples, c'est pas virtuel, tu pourrais ajouter comme un gain de goal, beaucoup modifier
06:33 son récital de piano est complètement modifié pour que ça donne quasiment David Bowie à du rythme
06:45 évidemment c'est l'introduction, c'est ça que je te disais, après, c'est Mike Richoffer qui a fait un peu de guitare
06:59 aussi, un peu de guitare Mike Richoffer, avec la bague, si tu prends la basse, si tu prends ça
07:05 (musique)
07:27 avec un rapport, évidemment, avec un rapport
07:30 (musique)
07:39 évidemment la tune commence, c'est l'intro, mais la chanson commence vraiment de même, ils ont rajouté
07:44 une élaboration, ils ont rajouté comme ABA, c'est comme ABA, mais beaucoup réparti, beaucoup réparti
07:52 en plusieurs mesures, plusieurs improvisations aussi, mais ils avaient déjà fait du jazz, comme Tony Iommi
08:03 comme Tony Iommi avait déjà fait du jazz, il avait déjà fait du classique à la Vivaldi, ou à la Eric Satie
08:11 (musique)
08:40 donc voilà l'introduction, évidemment, après ça, la tune commence avec un solo de basse, avec un envolé de basse
08:50 (musique)
09:19 (musique)
09:34 en tout cas, pour le reciter, pas par coeur, là (musique)
09:47 évidemment, la guitare, à ce moment-là, prend un autre envolé, un autre envolé
09:51 (musique)
09:58 c'est ça, dans le temps des débuts de discothèque, des débuts de disco funk, reggae, on parle de 68, 69
10:08 (musique)
10:23 (musique)
10:43 (musique)
10:56 parce qu'il parlait de Sylvain, il m'appelait Sylvain, tu sais, puis il parlait de Sylvain, des Sylvains, il parlait des Sylphides, des Sylviards
11:04 il parlait des, pour les Beatles, il parlait des Sylvains à un temps de l'antiquité, genre Fontaine de Selmasis
11:12 (musique)
11:18 ok, donc on est rendu à, on va voir, à la troisième partie
11:21 (musique)
11:25 il y a un solo, je te le dis, le solo même, c'est un peu difficile, ok, je ne suis pas le gars qui a été au conservatoire
11:33 à l'académie de Montréal, de Paris
11:36 (musique)
12:05 (musique)
12:13 je change la toune complètement, je vais me compliquer un petit peu à mon habitude, je suis un petit peu distrait, comme mon cousin Norman
12:19 un peu distrait dans l'interprétation de Rush, je pense
12:23 (musique)
12:52 (musique)
13:21 (musique)
13:50 (musique)
14:19 (musique)
14:46 (musique)
15:15 (musique)
15:44 (musique)
15:49 donc, je vais me souvenir de ce qu'il y a avec l'autre partie, après avoir pendu la caméra supposément 100 fois
15:55 avant de complètement quitter la musique dans les années 70-10
16:00 bon, le défile, surtout sur Peter, évidemment, qui d'autre