• l’année dernière
« Je n'ai pas tué Narumi (Kurosaki) »: au premier jour de son procès en appel à Vesoul, où il doit répondre d'assassinat, le Chilien Nicolas Zepeda a contesté toute implication dans la disparition en 2016 de son ex-petite amie japonaise.

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Transcription
00:00 Demain, mardi 5 décembre 2023, ça fera exactement 7 ans.
00:06 7 ans que Narumi Kurosaki a été assassiné par Nicolas Zepeda.
00:10 Donc c'est une épreuve extrêmement douloureuse pour la famille
00:13 qui habituellement passe ce temps-là dans le recueillement
00:16 et très isolée et très en retrait au Japon.
00:19 [Bruits de pas]
00:41 - Tu es innocent !
00:42 [Bruits de pas]
00:46 7 ans et ils ne se battent pas encore.
00:49 - N'importe qui ne peut assurer que Narumi est mort aujourd'hui.
00:54 Ce n'est pas possible scientifiquement.
00:56 Et c'est ce qui est le plus grave de tout ça.
00:59 Nous sommes dans le siècle XXI.
01:01 Il ne peut pas être que dans un pays
01:04 aussi développé que la France,
01:06 une personne est coupée pour 28 ans
01:11 à travers une hypothèse.
01:14 - Nicolas, tu es tranquille ?
01:16 [Bruits de pas]
01:38 - La famille, aujourd'hui, vient sans aucun espoir,
01:43 ni de révélation, ni d'aveu,
01:46 ni de vérité de la part de Nicolas Zepeda.
01:48 Elle en a fait son deuil.
01:50 Si la famille est là aujourd'hui, par famille j'entends
01:53 madame Kurosaki et ses deux filles, Onami et Kurumi Kurosaki,
01:59 c'est pour une seule et unique raison,
02:01 c'est pour honorer la mémoire de Narumi Kurosaki.
02:06 [Bruits de pas]

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