• il y a 2 ans
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00:00 *Musique*
00:16 *Musique*
00:44 Pour demander la vérité, la justice et pour faire en sorte de ne plus vivre dans une société dans laquelle on met des personnes en danger,
01:03 certaines personnes en danger de mort, sans avoir à respecter le principe de responsabilité.
01:16 Les personnes qui mettent les gens en danger doivent en subir les conséquences.
01:21 *Applaudissements*
01:27 Les personnes qui en ont été les victimes doivent obtenir, et ce n'est pas toujours possible, la réparation.
01:37 *Applaudissements*
01:41 Et le tabou organisé par tous ces médias, par tous ces éditocrates, par tous ces bien-pensants, tous ceux qui ont toujours raison,
01:54 tous ces fact-checkers qui veulent nous faire taire, qui veulent nous empêcher de penser, qui veulent nous empêcher d'exister,
02:06 ce tabou, nous le brisons, nous ne le respectons pas, il n'a rien à faire dans notre pays.
02:12 Nous, nous ouvrons nos bouches et nous disons ce que nous avons à dire.
02:18 *Applaudissements*
02:20 Vérité ! Vérité ! Vérité !
02:24 Justice ! Justice ! Justice ! Justice !
02:32 Nous nous battons depuis maintenant des années, toujours dans cette quête de liberté, de vérité et de justice.
02:43 Aujourd'hui, dans de plus en plus de pays, la vérité commence un petit peu à arriver, à pointer le bout de son nez.
02:55 Mais la chape de plomb en France est encore quasi totale.
03:01 Il faut donc que nous fassions un maximum de bruit pour empêcher cette chape de plomb de nous enfermer,
03:08 de nous baïonner et de mettre fin à ce que nous avons de plus cher, notre intégrité physique.
03:17 Nous défendons les Français, leur corps, leur liberté !
03:21 *Applaudissements*
03:25 Il va y avoir aujourd'hui plusieurs interventions.
03:31 Une fois n'est pas coutume, Florian Philippot va dire un mot et un mot grave aujourd'hui.
03:39 *Applaudissements*
03:41 Merci. Bonjour à tous. Avant de prendre la parole, je vous remercie d'être là un jeudi à 10h.
03:49 J'en suis bien conscient, ça n'est pas simple, mais nous souhaitions que ce ministère et son ministre soient là.
03:56 Ils ont plus de chance d'être là qu'un samedi pour les interpeller.
04:01 Peut-être, s'ils ont un peu de courage, qu'ils viennent débattre avec nous, on l'accueillera courtoisement.
04:08 Mais on sera sans concession sur le fond.
04:11 Nous l'invitons à venir, puisqu'on sait qu'il aime bien prendre des photos et mettre des tweets quand il y a des manifs.
04:17 On l'invite s'il a un peu d'honneur, de courage et s'il est sûr de ses arguments, à venir débattre avec nous.
04:23 Il lui reste quelques dizaines de minutes pour le faire.
04:26 Avant cela, je vois beaucoup de visages, souvent jeunes, de noms tragiques qui s'affichent.
04:35 Destin tragique de jeunes, de personnes tuées.
04:40 Les effets secondaires, dit-on, les injections, dans le déni médiatique, politique quasi complet.
04:48 Alors je souhaiterais qu'avant de commencer les interventions, nous fassions une minute de silence.
04:55 Celle qui leur est interdite.
04:57 Ici, nous la fassions avec respect, gravité et dignité pour toutes les victimes de ces injections et des effets secondaires.
05:04 Et j'y ajoute Michel Rivasi, qui nous a quittés de manière soudaine et brutale cette semaine.
05:13 Et qui menait un gros travail contre Big Pharma au Parlement européen.
05:18 Nous l'associons à cette minute de silence. Merci.
05:21 Merci à vous. Merci pour eux.
05:37 Et merci d'être toujours au rendez-vous pour le combat que nous menons aujourd'hui.
05:43 On se bat pour aujourd'hui, mais on se bat aussi évidemment pour l'avenir, pour ce que nous avons de plus précieux.
05:50 Les jeunes, les enfants, les générations futures, l'avenir de notre pays.
05:56 Un résistant de la première heure est là parmi nous, qui se bat au sein de Verity France notamment, mais sur plein d'endroits,
06:11 pour obtenir la vérité, la transparence, la justice.
06:17 Vous connaissez son combat et ce qu'il s'est passé pour Morissette.
06:22 Je vous prie d'écouter et d'applaudir Marc Douayet.
06:27 Alors moi j'ai été surpris parce que je suis garé là-bas devant le ministère de la Santé.
06:32 C'est vrai que j'ai été surpris, bon j'ai pas l'habitude, je suis désolé, je suis encore un novice, d'avoir des cartes de CRS devant le ministère de la Santé.
06:40 Je me demande bien de quoi ils ont peur finalement, puisqu'on est venu là simplement ce matin pour avoir des réponses.
06:47 On essaye d'ailleurs depuis longtemps d'avoir des réponses.
06:51 Comme l'a dit Florian tout à l'heure, moi j'aimerais effectivement que le ministre de la Santé nous reçoive.
06:58 J'ai des documents d'ailleurs en ma possession que je souhaite lui remettre aujourd'hui.
07:04 Vous en avez certainement entendu parler, il y a des députés européens qui ont écrit à l'EMA et il y a eu une réponse de l'EMA qui, à mon sens, aurait dû faire la une de tous les médias en France.
07:15 C'est-à-dire que, je vais vous faire court, l'EMA reconnaît qu'il y a des effets secondaires.
07:20 Donc ça, je pense que, pour monsieur le ministre qui visiblement est un amateur de bullying,
07:26 puisque effectivement la dernière fois, moi j'ai été extrêmement choqué par son tweet et sa photo qu'il a prise là-haut de sa tour d'Ivoire,
07:33 où il se moquait du nombre de participants de la manifestation.
07:37 Alors moi je l'invite à organiser une manifestation pour les gens qui pensent qu'il n'y a pas d'effets secondaires.
07:45 Et je serai le premier à ne pas le critiquer parce que je sais que c'est difficile d'organiser des manifestations.
07:50 Et je voulais vous remercier aujourd'hui d'être là, même si vous n'êtes...
07:53 Alors pour certains vous serez nombreux, pour d'autres vous serez peu nombreux.
07:57 Ce qui est important c'est qu'on soit là ensemble.
07:59 Je crois que, dans l'histoire de notre pays d'ailleurs, c'est une minorité qui a libéré la France.
08:05 Il y a des gens qui se sont battus.
08:07 Aujourd'hui j'ai l'impression que c'est un petit peu pareil, voilà.
08:09 Il y a toujours moins de courageux, mais c'est souvent les courageux qui sauvent les libertés dans tous les pays.
08:16 Ça a toujours été comme ça.
08:18 L'EMA quand même répond qu'il y a des effets secondaires.
08:22 L'EMA répond que ces vaccins ne devaient pas être administrés à tout le monde.
08:28 Le président de la République a décidé, lui, qu'il fallait vacciner tout le monde.
08:32 Il n'est pas le seul, ça s'est fait dans de nombreux pays.
08:35 Et aujourd'hui, dans de nombreux pays, on reconnaît qu'il y a des effets secondaires.
08:39 On nous parle de morts inexpliquées.
08:41 Moi, vous savez, j'ai 57 ans, je n'ai jamais entendu parler autant d'aujourd'hui de morts inexpliquées.
08:47 En général, on est quand même toujours capable d'expliquer les décès.
08:51 Donc voilà.
08:53 J'invite le ministre Rousseau à écouter ce que l'on dit, nous, famille de victimes.
09:00 Et je demande, on le demande d'ailleurs, à ce qu'il y ait une enquête parlementaire.
09:05 Je voulais aussi vous faire remarquer qu'il y a quelques jours, Cédric Villani,
09:08 avec qui moi j'avais eu une conversation téléphonique il y a plusieurs mois,
09:12 et que j'assume totalement, parce que dans mon combat, j'utilise les armes que j'ai à ma disposition,
09:18 j'ai enregistré cette conversation.
09:20 Je l'assume totalement.
09:22 Aujourd'hui, quand je vais voir mon épouse, elle est au cimetière.
09:24 Hier, j'avais ma petite-fille qui me parlait de sa grand-mère, elle a 4 ans,
09:28 elle l'a connue à peine, et c'est toujours difficile pour moi de lui répondre.
09:32 Donc, mon combat, comme le combat de Frédéric Beltra, il sera jusqu'à notre dernier souffle,
09:40 et on utilisera toutes les armes en notre possession pour y arriver.
09:43 Donc Cédric Villani a dit aussi il y a quelques jours à un colloque,
09:47 il a reconnu lui-même qu'il y avait des effets secondaires,
09:50 puisque je pense que parmi ses proches, il en a été victime lui-même.
09:54 Donc je lance encore aujourd'hui un appel à Cédric Villani pour qu'il parle.
09:58 Il y a eu une commission à l'OPEPS, donc il était le président.
10:02 Il y a quelques jours, quand j'ai été reçu au Sénat avec d'autres, par des sénateurs,
10:07 j'ai parlé de cette commission de l'OPEPS.
10:09 Est-ce que vous savez ce qu'on m'a répondu ?
10:11 On m'a répondu que pour l'instant, elle avait été enterrée,
10:13 parce que les effets secondaires, c'était pas la priorité, c'était pas une priorité.
10:16 Donc voilà ce qui se passe dans notre pays.
10:18 [Cris de foule]
10:21 Alors oui, je crois que là, on peut les siffler, parce que quand vous avez des sénateurs,
10:25 donc qui sont des élus, et qui vous répondent que finalement,
10:28 une commission d'enquête est enterrée, parce que simplement,
10:31 on considère que le décès de certaines personnes, ce n'est pas prioritaire,
10:37 je trouve que c'est une honte absolue.
10:40 Donc quoi vous dire d'autre ?
10:42 Malheureusement, tous les jours, moi, je reçois des témoignages,
10:48 on reçoit des témoignages à Verity France,
10:51 qui nous disent que malheureusement, on avait raison.
10:55 Il n'y a que le ministre de la Santé qui lui a eu quand même l'horreur absolue
11:01 de déclarer au mois d'octobre qu'il n'y avait pas d'effets secondaires.
11:06 Est-ce que vous vous rendez compte un petit peu de la plaisanterie ?
11:09 [Cris de foule]
11:12 Et je voudrais ajouter une chose, c'est que face à lui, ce jour-là,
11:15 il y avait une journaliste qui n'a même pas eu le courage de lui dire
11:18 "Mais monsieur le ministre, c'est extraordinaire ce que vous êtes en train de m'apprendre."
11:22 C'est-à-dire qu'il y aurait un vaccin, un médicament,
11:25 pour lequel il n'y aurait pas d'effets secondaires.
11:27 Alors qu'on le sait tous, quand on prend un médicament, un vaccin,
11:30 il y en a forcément des effets secondaires, et ça, on va jeter la pierre à personne,
11:34 c'est comme ça.
11:36 Ce qui expliquerait quand même aussi, et je terminerai là-dessus,
11:39 mais c'est central dans tout ce qu'on a vécu,
11:42 ce qui expliquerait qu'aujourd'hui, on n'a même plus besoin d'avoir des preuves
11:45 qu'Emmanuel Macron, celui qui a décidé que nous devions tous nous vacciner,
11:48 n'est lui-même pas vacciné, puisque quand vous voyez la réponse de l'EMA,
11:53 c'est tout à fait logique que ces médecins lui aient dit
11:57 "Non, monsieur le président, on ne peut pas vous vacciner,
11:59 parce qu'on n'a aucune garantie que vous n'aurez pas un effet secondaire."
12:01 Donc moi, je le dis haut et fort, et là, je vais me tourner devant le ministre de la Santé,
12:05 votre président de l'Assemblée publique n'est pas vacciné,
12:08 il a décidé de nous faire tous vacciner,
12:11 ma femme est au cimetière, le fils de Frédéric Beltra est au cimetière,
12:15 voilà ce qu'il nous reste.
12:16 Donc croyez-moi que vous pouvez rester dans votre tour d'ivoire,
12:19 mais moi et d'autres, un jour, on vous en fera descendre,
12:22 juste parce qu'on veut la vérité, et on vous lâchera pas.
12:25 Vérité, vérité, vérité, vérité, vérité !
12:32 Nous avons un intervenant aujourd'hui, qui s'est illustré
12:36 dans son implication forte au sein du Conseil scientifique indépendant,
12:44 très loin, très loin du Conseil scientifique de Macron,
12:50 qui s'est couvert de honte, mois après mois.
12:54 Il s'est également illustré au sein de Réinfo-Liberté,
13:02 mesdames et messieurs, Vincent Pavan !
13:06 Bonjour à tous, merci beaucoup d'être là dans la froidure aujourd'hui,
13:10 merci beaucoup de continuer le combat, effectivement,
13:13 puisque comme vous le savez, et vous avez peut-être lu,
13:16 moi j'ai lu le livre de Delphrécy, pour le travail, pas pour le plaisir,
13:19 mais qui disait qu'il fallait tourner la page,
13:22 que les Français voulaient plus entendre parler du Covid, du vaccin.
13:27 C'est pas vrai, parce qu'effectivement, il y a une lumière à faire,
13:31 il y a une justice à rendre,
13:33 et si on ne montre pas notre détermination, c'est évident que ça va être enterré.
13:38 Alors moi je suis là aujourd'hui parce qu'effectivement,
13:41 je ne supporte pas l'idée qu'un ministre de la Santé puisse avoir dit
13:45 qu'il n'y avait pas d'effet indésirable.
13:47 C'est absolument scandaleux, c'est criminel, et c'est même une dérive sectaire,
13:51 parce que je vous rappelle que quand Réinfo-Liberté avait, en août 2022,
13:55 produit des affiches à Toulouse, qui, d'après les calculs d'Emmanuel,
13:59 qui va venir tout à l'heure, expliquaient qu'il y avait un effet grave
14:02 pour 100 injections.
14:04 Non seulement le préfet de la Haute-Garonne nous a interdit
14:08 cette campagne d'affichage, mais ça fait plus d'un 18 mois
14:12 qu'on est devant le tribunal administratif de Toulouse
14:14 pour tenter de faire annuler cette décision absolument atroce,
14:17 et essayer de faire comprendre qu'il existe encore un droit à liberté d'expression
14:21 dans ce pays, qu'on essaie de nous refuser.
14:23 Et donc aujourd'hui, moi ce que je viens d'énoncer,
14:25 c'est la dérive sectaire du gouvernement.
14:27 Et c'est pas une blague, c'est pas juste des mots.
14:30 C'est une véritable dérive sectaire qui nous entraîne dans un état totalitaire,
14:33 un vrai état totalitaire, avec des morts à la clé,
14:37 des morts qui sont hélas produites de manière industrielle.
14:39 Et c'est ça un des gros problèmes, ça nous rappelle des trancs
14:42 extrêmement troubles de l'histoire, et il faut absolument ne pas lâcher.
14:47 Pour l'instant, on a officiellement, avec Eva Musso,
14:50 une seule personne qui, en France, a été reconnue
14:53 comme étant morte du vaccin.
14:55 Les calculs le denirent en cours au Canada,
14:57 qu'on a pu rentrer à l'ICS en Roumanie récemment,
15:01 montrent que manifestement, le taux de mortalité du vaccin
15:06 est entre 1 pour 1 000 et 2 pour 1 000.
15:08 Ce qui fait que si vous calculez le nombre de personnes
15:11 qui ont été vaccinées et qui sont mortes du vaccin,
15:13 les travaux de dénirent en cours, relayés par Peter Maculot,
15:16 disent qu'il y a environ 13 millions de personnes
15:19 qui ont pu décéder du vaccin sur le monde.
15:21 Donc on en est encore loin.
15:23 C'est le plus grand scandale sanitaire qu'on ait jamais vu,
15:26 et aujourd'hui, moi, je veux exprimer devant ce ministre de la Santé
15:32 que dire qu'il n'y a pas d'effet indésirable, c'est juste criminel.
15:36 Bravo !
15:38 Nous allons écouter maintenant une membre, elle aussi,
15:42 du Conseil scientifique indépendant,
15:44 également membre de Réinfo Liberté,
15:47 femme courageuse, Emmanuelle Darle.
15:50 Bravo !
15:52 Merci à tous, et merci de nous accueillir
15:55 pour nous donner la parole.
15:57 Donc je voudrais remettre l'Église un peu au cœur du village,
16:00 puisque pour le ministre de la Santé,
16:03 il n'y a pas d'effet indésirable.
16:06 Début juillet 2021, nous posions avec Vincent Pavant
16:10 le constat que la balance bénéfice-risque était négative,
16:14 quelle que soit l'éclase d'âge.
16:16 En octobre 2021, après notre première analyse
16:20 des données brutes de l'EMA,
16:22 nous constations que tous les indicateurs ne mentaient pas.
16:26 On y découvrait notamment des signaux d'alerte
16:29 concernant les thromboses, les AVC, les myocardites,
16:33 mais aussi les échecs vaccinaux et les morts subites.
16:36 Un an après, l'analyse brute des données de la NSM,
16:41 transmise suite à une demande CADA,
16:44 on révélait que les mêmes indicateurs statistiques
16:47 étaient également présents.
16:49 Mais en plus de ça, on a découvert
16:53 que la NSM mentait et trompait frauduleusement le public,
16:58 en annonçant par exemple 30% de moins de décès
17:02 dans ses rapports officiels par rapport aux données brutes.
17:06 On y découvrait que les échecs vaccinaux
17:12 étaient la première cause de mortalité,
17:14 ainsi que les morts subites et les morts inexpliquées.
17:17 Si les échecs vaccinaux ont fait l'objet d'une surveillance par l'EMA,
17:22 les morts subites et les morts inexpliquées
17:25 ne sont pas toujours sous surveillance.
17:28 La commission d'enquête sur les effets indésirables,
17:31 dans laquelle nous avons été auditionnés le 8 avril 2022,
17:34 a reconnu de façon extrêmement parsimonieuse,
17:37 et j'insiste bien, parsimonieuse,
17:40 la réalité de ces effets secondaires.
17:42 L'EMA savait, le CDC savait, la FDA savait,
17:45 la NSM savait, ils savaient tous.
17:48 Mais pour le ministre Aurélien Rousseau, non.
17:51 Tout va bien, il n'y a pas d'effet indésirable.
17:55 [Applaudissements]
17:59 Vincent Pavon a parlé de dérive totalitaire,
18:02 on pourrait aussi parler d'absurdistan.
18:05 Nous sommes en absurdistan depuis maintenant des décennies.
18:09 Est-ce de l'incompétence ?
18:11 Est-ce une défaillance de nos institutions ?
18:13 Ou est-ce tout simplement de la corruption ?
18:16 Là est la question.
18:18 [Brouhaha]
18:21 Nous en sommes au début,
18:23 puisqu'aujourd'hui il est avéré, notamment,
18:25 que les plasmoïdes d'ADN,
18:28 contenus dans ces fioles,
18:31 sont capables de rentrer dans le génome.
18:33 Ces plasmoïdes d'ADN contiennent l'activateur du gène SV40,
18:38 le gène responsable de multiples cancers.
18:41 On pourrait penser qu'ils ont injecté les gens sciemment,
18:45 peut-être, à des fins de dépopulation.
18:47 Là est la question.
18:49 Tant est-il que dans l'avenir,
18:51 ce sont des milliers, peut-être des millions d'enfants,
18:54 qui vont avoir des cancers.
18:56 Et ça reste intolérable.
18:59 Alors, pour Aurélien Rousseau, lui, tout va bien,
19:04 ministre de la Santé,
19:06 ancien enseignant de géo,
19:09 peut-être que finalement, il devrait reprendre ses fonctions à l'éducation nationale,
19:13 et qu'il n'a rien à faire dans sa tour d'ivoire.
19:16 Voilà, merci.
19:18 Et merci à tous les combattants de la liberté,
19:21 qui ne comptent pas leurs heures,
19:25 qui bravent les risques, les menaces, les insultes,
19:30 pour faire triompher la vérité.
19:33 Une autre résistante que vous connaissez tous,
19:36 et présente aujourd'hui,
19:39 elle fait partie de cette catégorie de journalistes qui se bat,
19:45 qui n'a pas sa langue dans sa poche,
19:47 et qui n'a pas honte de penser juste,
19:51 qui n'a pas honte de dire les choses,
19:53 qui ne se couche pas face au système,
19:56 mesdames et messieurs, Myriam Palombar !
20:00 Bonjour à tous.
20:02 Bravo d'avoir bravé le froid aujourd'hui,
20:05 on n'est pas si nombreux que ça, c'est bien dommage,
20:08 parce que je trouve que c'est un sujet très important.
20:11 On se bat depuis deux ans,
20:13 afin de dénoncer les effets indésirables de ce vaccin.
20:17 Moi, si j'ai pris la parole depuis le départ,
20:20 c'est parce que j'avais vu très vite que ce vaccin était délétère,
20:25 et surtout, ce qui me touchait énormément,
20:28 c'est qu'on voulait vacciner tous les enfants,
20:31 pour une maladie dont ils ne risquaient rien,
20:33 sous prétexte qu'ils pouvaient contaminer papi, mamie,
20:37 et je ne sais qui d'autre,
20:38 alors qu'en fait, le vrai problème,
20:40 et qui n'a toujours d'ailleurs pas été réglé,
20:42 c'est que notre hôpital, depuis des décennies, est en souffrance.
20:46 Alors, monsieur Rousseau, qu'avez-vous fait,
20:48 vous et vos prédécesseurs, jusqu'à présent,
20:51 pour faire en sorte qu'en France,
20:53 on puisse soigner des gens quand il y a une maladie,
20:56 comme la grippe, qui sévit pendant les hivers,
21:00 parce que le vrai problème, aujourd'hui, c'est qu'on manque de lits,
21:03 qu'ils ont cessé de les supprimer,
21:05 et qu'ils ont voulu faire vacciner tout le monde,
21:07 uniquement pour ne pas surcharger les hôpitaux,
21:11 ce qui est complètement aberrant,
21:13 ce qui n'est pas du tout sanitaire,
21:17 et qui, aujourd'hui, on se rend bien compte,
21:19 a de nombreuses conséquences,
21:21 parce que de nombreux jeunes,
21:23 ont eu des effets indésirables graves,
21:26 là, on les voit sur les affiches,
21:28 il y a Claire, il y a aussi Sophia,
21:30 il y en a plein d'autres qui, malheureusement,
21:32 sont morts des effets indésirables,
21:34 et je crois qu'aujourd'hui, pour eux,
21:36 il faut continuer à se battre,
21:38 et on continuera à se battre, toujours et encore,
21:40 on ne lâchera rien,
21:42 car, aujourd'hui, on le voit,
21:44 ils continuent à vouloir vacciner sans arrêt nos enfants,
21:47 avec le cardésil, aller dans les écoles,
21:49 faire cette promotion,
21:51 comme si le vaccin était une solution à tout,
21:54 le vaccin n'est pas une solution à tout,
21:56 le vaccin permet d'enrichir des groupes pharmaceutiques,
22:00 et que des effets indésirables,
22:02 il y en a énormément,
22:04 et qu'on ne vaccine pas une population comme ça,
22:07 pour une maladie,
22:09 où on peut se soigner en plus,
22:11 voilà, donc, je tenais à le rappeler,
22:14 parce qu'évidemment, Marc disait
22:16 qu'il y avait des effets indésirables,
22:18 il y a effet indésirable et effet indésirable,
22:20 quand on nous a menti,
22:22 quand on nous a dit que ce vaccin,
22:24 on ne risquait rien avec ce vaccin,
22:26 moi, je suis heureuse de ne pas avoir fait vacciner mes enfants,
22:29 et de ne pas m'être fait vacciner,
22:31 mais j'ai, et malheureusement, dans mon entourage,
22:33 des gens qui se sont fait vacciner,
22:35 on leur a fait croire qu'ils pouvaient y aller les yeux fermés,
22:38 et que tout allait bien se passer,
22:40 et bien non, c'est faux, c'est faux,
22:42 parce que les effets indésirables peuvent être graves,
22:44 et oui, il y a des effets indésirables,
22:46 mais ce qui est important de dire,
22:48 c'est que ces effets indésirables sont très graves,
22:50 et pour certains, ça leur a coûté la vie,
22:52 alors voilà, il ne faut pas lâcher,
22:54 il faut continuer, et on ne lâchera pas, monsieur Rousseau.
22:57 Pour clôturer ces discours,
23:02 mesdames et messieurs,
23:04 écoutons Florian Philippot.
23:06 Merci, bravo à vous tous,
23:10 et je remercie les intervenants du fond du cœur,
23:12 qui nous ont éclairé de leur savoir,
23:14 de leurs expériences,
23:16 et de leurs combats,
23:18 et chacun se bat,
23:20 pour la vérité et la justice,
23:22 et être capable aussi,
23:24 dans différents événements,
23:26 de se retrouver, c'est très bien,
23:28 et j'ai le souvenir du Conseil scientifique indépendant de Sint,
23:30 il y a quelques,
23:32 pour la centième,
23:34 il y a quelques mois maintenant,
23:36 qui était un magnifique événement,
23:38 et une autre preuve qu'en travaillant ensemble,
23:40 on est évidemment plus fort.
23:42 Alors on est ici,
23:44 d'abord et avant tout, pour briser la chaîne du mensonge,
23:46 parce qu'il y a trop de mensonges,
23:48 depuis le début.
23:50 Et le dernier en date, bien sûr,
23:54 il a été beaucoup cité, parce qu'il est particulièrement choquant,
23:56 c'est celui de l'actuel ministre,
23:58 Florian Rousseau, qui a dit "il n'y a pas d'effet secondaire".
24:00 Alors ça suit une litanie de mensonges,
24:10 on ne va pas rappeler tous les mensonges de Véran,
24:12 ou de Macron, il n'y aura pas d'obligation vaccinale,
24:14 on n'y aura jamais de passe vaccinale,
24:16 95% d'efficacité,
24:18 etc.
24:20 On connaît ça absolument,
24:22 on ne le connaît que ça d'ailleurs,
24:24 on connaît ça par cœur.
24:26 Et puis,
24:28 mensonge incroyable, ce rapport qui devait sortir,
24:30 Marc en a parlé aussi,
24:32 de l'OPECST,
24:36 l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques,
24:38 on a eu le rapport d'étape en juin 2022,
24:42 on n'a pas le rapport final,
24:44 sur les effets indésirables,
24:46 on n'a pas le rapport final.
24:48 C'est que ça doit être sacrément gênant,
24:50 et oser nous dire que c'est parce que ça n'est pas suffisamment intéressant,
24:52 c'est quand même...
24:54 Je ne pensais pas qu'ils allaient atteindre ce niveau de cynisme.
24:56 Alors ce n'est pas acceptable, ce n'est pas possible,
25:00 parce que le mensonge, il ajoute de la souffrance à la souffrance,
25:02 il y a déjà suffisamment de souffrance comme ça.
25:04 Il ajoute de l'injustice à l'injustice,
25:08 il y a déjà suffisamment d'injustice comme ça.
25:12 Stop ! Stop !
25:14 On a besoin de vérité et de justice.
25:16 Marc Doyer a besoin de vérité et de justice.
25:22 Toutes les victimes,
25:24 les parents, les proches, de tous les visages affichés,
25:28 ont besoin de vérité et de justice.
25:30 Le pays a besoin de vérité et de justice.
25:34 Et de respect.
25:38 Parce que derrière la vérité et la justice,
25:40 il y a la dignité et le respect.
25:42 Tout simplement.
25:44 La situation, évidemment, est grave.
25:46 Je suis d'accord, c'est largement
25:48 le plus gros scandale sanitaire
25:50 du 21ème siècle
25:52 et même de tous...
25:54 de tous les temps.
25:56 C'est en même temps le plus gros
25:58 scandale de corruption.
26:00 Et c'est en même temps
26:02 le plus gros scandale
26:04 pour nos libertés publiques.
26:06 Alors ça fait beaucoup.
26:08 La surmortalité, elle est là.
26:10 Les morts subites de l'adulte,
26:12 moi je n'achète pas.
26:14 Je n'achète pas cette version-là.
26:16 Les nombreuses crises cardiaques,
26:18 étonnantes, à 25 ans,
26:22 à 30 ans, 35 ans, ça peut arriver, bien sûr.
26:24 Enfin là, la fréquence
26:26 et la régularité
26:28 sont un peu étonnantes.
26:30 Les AVC, les turbocancers,
26:32 tous les autres effets
26:36 indésirables, comme on dit pudiquement,
26:38 qu'on connaît également par cœur,
26:40 stop. Il y a des responsables,
26:42 il y a des coupables
26:44 dans les labos,
26:46 dans les institutions européennes,
26:48 dans le gouvernement,
26:50 dans les administrations,
26:52 dans les autorités sanitaires,
26:54 dans les médias, au Parlement.
26:56 Et bien ces gens-là,
26:58 comme tout adulte,
27:00 ils doivent rendre des comptes
27:02 et ils doivent être jugés.
27:04 Et si certains doivent finir en tôle,
27:06 et bien ils finiront en tôle.
27:08 D'autant que ça bouge
27:26 dans le monde entier.
27:28 Cette semaine, regardez,
27:30 le Texas a déposé
27:32 une plainte pénale
27:34 contre Pfizer sur l'affaire
27:36 des injections.
27:38 En Roumanie,
27:42 pour la première fois dans le monde,
27:44 un ex-premier ministre et deux
27:46 ministres de la Santé vont se retrouver
27:48 devant la justice pour la même raison.
27:50 La Slovaquie, cette semaine,
27:54 a annoncé qu'elle
27:56 refuserait le traité mondial sur les pandémies
27:58 de l'OMS.
28:00 Toujours cette semaine,
28:02 Anthony Fauci
28:04 a appris
28:06 qu'il serait convoqué
28:08 pour Obama aux 14 heures
28:10 d'interrogatoire devant le Congrès
28:12 en plénière les 8 et 9 janvier
28:14 prochain.
28:16 Hier,
28:18 s'est ouverte une commission
28:20 d'enquête sur le Covid au Parlement
28:22 britannique.
28:24 En Nouvelle-Zélande,
28:26 un lanceur d'alerte
28:28 risque
28:30 7 ans de prison parce qu'il
28:32 travaillait au sein de l'autorité sanitaire du pays
28:34 et qu'il a fait fuiter des données
28:36 sur les injections, prouvant
28:38 la surmortalité et le lien,
28:40 évidemment. Nous devons le soutenir.
28:42 Il a risqué sa peau et sa liberté.
28:44 Il sera jugé. Mais là-bas,
28:46 il y a un grand mouvement de soutien populaire
28:48 qui se lève pour lui. Et il faut
28:50 qu'il sache que c'est à travers le monde entier.
28:56 En France, si on est là,
28:58 c'est parce que la France est un pays très verrouillé.
29:00 Les médias sont verrouillés.
29:02 Les institutions sont verrouillées.
29:04 Les contre-pouvoirs sont effondrés.
29:06 Conseil d'État, Conseil constitutionnel,
29:08 on l'a vu.
29:10 Alors on est là, directement
29:12 sous les fenêtres du ministre pour l'interpeller
29:14 et ne pas faire
29:16 sombrer, taire
29:18 cet élan de vérité et de justice
29:20 qui ne doit certainement pas s'éteindre. Au contraire.
29:22 Oh, mais en France, soyez-en certains,
29:24 il y a une vraie prise de conscience sur Big Pharma.
29:26 Regardez les taux d'approbation
29:28 de la dernière dose,
29:30 de la dernière injection,
29:32 les taux de réalisation
29:34 de ces injections au plus bas.
29:36 Ça chute. Ils s'en lamentent tous les jours.
29:38 Mais c'est normal. Comment voulez-vous
29:40 que les gens aient encore confiance
29:42 après tant de mensonges ?
29:44 Ça n'est plus possible. La confiance est détruite.
29:46 Et c'est bien normal.
29:48 Le soutien populaire des Français est massif
29:50 par rapport aux médecins persécutés
29:52 par le Conseil de l'Ordre,
29:54 voire par la justice. Et nous, nous serons
29:56 toujours là, patriotes et résistants,
29:58 pour leur apporter notre indéfectible soutien.
30:00 [Applaudissements]
30:02 [Résistance ! Résistance ! Résistance !]
30:14 La prise de conscience sur l'Union Européenne
30:16 aussi est là.
30:18 Les plaintes pénales contre Ursula von der Leyen
30:20 sur les SMS échangées avec Bourla
30:22 se multiplient encore cette semaine.
30:24 Un parti belge est allé porter plainte.
30:26 Moi-même, je l'ai fait en notre nom
30:28 à tous au début de l'été
30:30 à Liège, auprès d'un
30:32 juge d'instruction.
30:34 Et l'affaire suit son cours. En janvier,
30:36 nous aurons le premier jugement
30:38 concernant la plainte du New York Times.
30:40 Il a fallu un média américain
30:42 pour aller chercher la vérité parce que les nôtres
30:44 sont soumis. Voilà. Les nôtres
30:46 ne disent rien.
30:48 Même la médiatrice
30:50 de l'Union Européenne
30:52 a secoué les médias
30:54 en disant "mais qu'est-ce qui vous arrive ?
30:56 Vous ne faites rien, vous n'enquêtez pas sur Ursula von der Leyen".
30:58 Ils craignent la vérité,
31:00 ils craignent le débat.
31:02 En témoigne l'article 4 de la loi
31:04 qu'ils sont en train de faire sur les
31:06 dérives sectaires. La vraie dérive sectaire
31:08 elle est là, elle est chez eux.
31:10 Cet article 4, il est scandaleux.
31:12 Il vise à museler la science.
31:14 Il vise à museler le débat scientifique.
31:16 Et nous devons le faire savoir
31:18 à tous nos compatriotes.
31:20 Alors nous continuerons de nous battre
31:22 pour la vérité, pour la justice,
31:24 pour chacune et chacun de ces visages
31:26 et de ces vies et de ces parcours de vie
31:28 qui ont été stoppés brutalement de manière
31:30 honteuse. On sera là
31:32 pour la justice et la vérité.
31:34 Vive la liberté, vive la résistance
31:36 et vive la France libre !
31:38 [Applaudissements]
31:40 Nous allons
31:42 chanter la marseillaise bien sûr.
31:44 Après cela, il y aura une autre chanson
31:46 par nos amis
31:48 du CSI et de Réinfo Liberté
31:50 avec Chris.
31:52 Et ensuite,
31:54 je vous inviterai tous, il y a une très
31:56 grande banderole là sur la rue,
31:58 "Vérité sur les effets secondaires" qui donne
32:00 Rousseau la voix de sa fenêtre.
32:02 J'espère que celle-ci il l'aura prise en photo aussi.
32:04 Nous, en restant sur la place,
32:06 vous vous mettrez tous derrière
32:08 si vous voulez bien qu'on fasse une très grande photo
32:10 avec cette banderole.
32:12 [Chant]
32:14 [Chant]
32:16 Contre nous de la tyrannie, les trendards semblant délever, les trendards semblant délever, aux arts citoyens, trois, trois, trois, trois...
32:35 [Musique]
32:55 On te l'a dit, ne pose pas trop de questions, aux citoyens, reste bien dans ton salon, à quoi ça sert de vouloir tout savoir, regarde autour et pique-toi comme tout le monde.
33:19 On te l'a dit, faut écouter la science, parce qu'on t'a pas dit que ce n'est qu'une histoire de finance.
33:31 Véran t'a dit, vas-y te faire vacciner, et tu l'as fait, forcé ou apeuré, qui a le droit, qui a le droit, qui a le droit de faire ça à des humains empoisonnés.
34:00 Par le venin, entre manipulant, tout à la fois, et tu dis oui, pourquoi, c'est toi qui vois, tu as le choix, tu es divin, en tant qu'humain.
34:28 On te l'a dit, écoute bien le refrain, il y a plusieurs chaînes, mais il n'y a qu'un seul récit, alors pourquoi, tu écoutes l'heure du prix, réveille-toi, essuie tes ressentis.
34:52 A toi aussi, c'est sûr qu'on t'a menti, de beaux mensonges que tes enfants ont subis, alors maintenant, qu'agisse la justice, écoute en chœur, ton corps et ton esprit.
35:16 Qui a le droit, qui a le droit, qui a le droit de faire ça à des humains empoisonnés.
35:34 Par le venin, entre manipulant, tout à la fois, et tu dis oui, pourquoi, c'est toi qui vois, tu as le choix, tu es divin, en tant qu'humain.
36:01 Qui a le droit, qui a le droit, qui a le droit de faire ça à des humains empoisonnés.
36:19 Par le venin, entre manipulant, tout à la fois, et tu dis oui, pourquoi, c'est toi qui vois, tu as le choix, tu es divin, en tant qu'humain.
36:45 En tant qu'humain.
37:01 [Applaudissements]
37:07 [Cris de la foule]
37:33 Justice, vérité, vérité.
37:37 Au Texas, ça se fait, ça vient de l'autre côté.
37:41 On ne lâche rien.
37:47 [Cris de la foule]
38:11 [Musique]
38:31 [SILENCE]

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