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TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.


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Transcription
00:00 Donc il y a la ligne du 11 du métro de Paris qui sera étendue dans l'Est après plusieurs années de travaux,
00:04 qui accueillera une nouvelle station nommée Serge Gainsbourg.
00:06 - Hum hum, bien.
00:07 - Une station qui se situera dans la ville d'Elyla.
00:09 - Ah oui. - Voilà.
00:10 - Poissonneur d'Elyla.
00:11 - Et problème, plus de 3500 personnes ont signé une pétition contre ce nom.
00:14 Serge Gainsbourg considéré comme un homme, je cite, "violent, misogyne, notoire et chanteur de l'inceste".
00:20 Donc comprenez-vous cette décision ?
00:22 Regardez.
00:23 Non, on va même pas voir.
00:24 Bah voilà, je vous l'ai dit, dites-moi ce que vous en pensez.
00:26 Oui, non.
00:27 Est-ce que vous comprenez ?
00:28 Comprenez-vous l'indignation ?
00:29 Comprenez-vous l'indignation de Gilles Verdez ?
00:31 Bien sûr, oui.
00:31 - Oui. - Oui, Gilles Verdez, oui.
00:33 - Tout ce qu'il a fait, ses chansons et puis la manière...
00:35 Moi, je prends la manière dont il a traité Whitney Houston en l'insultant.
00:38 Un homme qui...
00:39 Ah bah, excusez-moi.
00:40 Bah, il l'a fait ou pas ?
00:41 - Oh, flemme. - Il l'a fait ?
00:42 Non, mais excusez-moi, Cyril.
00:43 C'est le chauffeur de salle qui fait "Ah, derrière, quand je pars, maintenant..."
00:47 - C'est génial.
00:53 C'est génial.
00:57 C'est génial.
00:58 Vous voulez qu'on voit la scène avec Whitney Houston ?
01:00 C'est un complot.
01:00 Attendez, 2 minutes, je vérifie si c'est payant.
01:02 - Allô ? - C'est payant.
01:03 - Ça va, c'est payant. - Whitney Houston, c'est payant ?
01:04 - Ça va, c'est très cher. - C'est très cher, même.
01:05 Vous êtes sûrs ? C'est pas un ami ?
01:06 Bah non, c'est France 2.
01:07 C'est pas... C'est pas moi qui produisais, ça ?
01:09 - C'est Lina, c'est fait il y a 30 ans, ça. - C'est France 2.
01:11 - Non, non, non, non, non. - C'est Brucker.
01:12 - Mais il a racheté, il attend. - C'est Michel Drucker.
01:13 - J'ai pas racheté ça, d'accord. Merci. - Non, non. C'était pas mis en souris.
01:18 - Non, on la met pas. Merci. - Explique la scène.
01:21 - Non, mais il dit à Whitney Houston, en gros, j'aimerais bien faire l'amour avec vous de manière...
01:27 - Il lui dit "I want to fuck you". - "I want to fuck you".
01:30 - Je veux pas dire ça, mais... - C'est extrêmement vulgaire.
01:34 - "I want to fuck you", tout le monde le dit. - OK.
01:35 - Comme moi, à la boulangerie, parfois...
01:37 - "I want to fuck you". - Tu vois.
01:39 - Et bah rien que pour ça, pour moi... - Il avait envoyé des fleurs.
01:42 - Il avait envoyé des fleurs et tout. Jean-Pierre Foucault nous l'avait...
01:45 - Oui, après. - Michel Drucker nous l'avait raconté.
01:46 - T'as fait aucune erreur dans ta vie, toi ? - Bah si, il a fait que ça.
01:49 - J'ai pas une station de métro à mon nom, connard.
01:52 - C'est vrai. Donc toi, t'es contre ? - Oui.
01:54 - Pourquoi ? - Pour la polémique.
01:55 - Bah parce que, je viens de vous le dire, la manière dont il s'est comporté,
01:57 notamment avec Whitney Houston, avec les femmes, plus des chansons qui peuvent poser question aujourd'hui,
02:02 je ne suis pas pour qu'il ait une station de métro à son nom, même si c'est un grand artiste.
02:06 - T'as signé la pétition ? - Non, j'ai pas signé la pétition.
02:08 - Ils ont besoin de renfort, parce que là, ça décolle pas.
02:10 - 3 500. À mon avis, elle va se faire, la station de métro, je te le dis.
02:13 - Peut-être. - 3 500.
02:15 - Je m'arrêterai avant, j'irai pas, voilà. - Non, mais...
02:17 (Rires)
02:25 - Ça, c'est pas mal. Ça, c'est une bonne batte.
02:29 J'avoue, là, franchement, tu nous acquêtes.
02:33 - Non, franchement, c'est pas nul.
02:36 Qui veut défendre le nom devant Gilles Verdez, quelqu'un de sympa ?
02:40 Géraldine, tu veux pas le défoncer un peu ? Vraiment, vas-y.
02:43 - Moi, je dis qu'il faut le faire, parce qu'il y en a marre de tout le temps les mêmes trucs,
02:46 Victor Hugo, Charles de Gaulle, machin, tout le temps les mêmes noms.
02:48 Là, au moins, ça bouge, ça change.
02:50 - C'est peut-être moins quelqu'un d'autre pour défendre.
02:52 - Moi, j'aime bien. - Dans ce cas-là, Victor Hugo avait des maîtresses.
02:55 - Mais voilà, à ce moment-là, tu nommes personne.
02:59 - En tout cas, quand c'est mal comporté avec ses femmes, tu le montres.
03:01 - Voilà, donc, en fait, le problème, c'est... - Souleuze Autrec, on n'en parle pas.
03:03 - A qui il était condamné ? - Il est allé au bordel, etc.
03:05 - Souleuze Autrec ? - Il a été condamné, dans l'Organisme.
03:07 - Non, non, non. - Ça veut dire que toi, Géraldine,
03:09 - Il n'y a pas de front judiciaire, Géraldine. - Ça veut dire que t'es plus fort que la justice.
03:11 - Non. - T'es au-dessus.
03:13 - Plus fort que toute ma vie. - Bah si, puisque tu veux que la morale...
03:15 - C'est le début de la police de la pensée.
03:17 C'est-à-dire que dans son monde à lui, il y a ce qui est moral,
03:21 et ce qui ne l'est pas.
03:23 - C'est la même chose que les talibans, je l'ai déjà dit.
03:25 - Voilà, merci. - C'est exactement la même chose.
03:27 C'est une police de la pensée. - Un taliban.
03:29 - Bah oui, t'es un taliban de la morale, en fait.
03:31 C'est-à-dire que ce que tu veux, c'est... - Tu le sais, en plus.
03:33 - Une société indiscipine, une société sans aspérité,
03:35 - Tu le sais, si tu le sais.
03:37 - Une société où il n'y a rien qui... Voilà, il n'y a rien qui dépasse.
03:39 - T'es sonné, là. - Tout le monde est gentil.
03:41 - C'est une espèce de truc, un monde des bisounours.
03:43 - Attendez, parce qu'il y a un gars qui m'appelle
03:45 comme si on était dans la rue, tranquille.
03:47 C'est la seule émission...
03:49 C'est la seule émission... Mais attends, attends.
03:51 C'est la seule émission où il y a des gars qui t'appellent comme si t'étais dans la rue.
03:53 "Cyril ! Viens dans la salle, toi, tu vois."
03:55 "On peut faire un selfie ?"
03:57 Le gars m'a appelé
03:59 comme un gars qui voulait faire un selfie dans la rue.
04:01 "Cyril ! Qu'est-ce que tu veux ?"
04:03 - Est-ce que tu serais OK qu'on mette ton nom
04:05 dans une station de service entre Barbès et Bellevue ?
04:07 - Station de métro, quoi. - Station de métro.
04:09 (Rires)
04:11 - Il n'y a rien qui va.
04:13 Il n'y a rien qui va.
04:15 - Oh, putain !
04:17 - Mais sans déconner, comment vous voulez
04:19 que j'ai une équipe de bras cassés pareils ?
04:21 Non, mais les gens se disent...
04:23 Les gens se disent... J'imagine les gens
04:25 des autres chaînes. "Comment il a fait, il a un oeil à 2 millions d'oeufs ?"
04:27 - On peut regarder. - On peut regarder
04:29 ce qu'ils ont fait un peu, là.
04:31 Les gars...
04:33 Avec cette équipe-là.
04:35 Non, mais sans déconner,
04:37 il y en a pas un qui en met une dedans.
04:39 On s'en chie à rien, les gars. Non, mais franchement...
04:41 C'est Rasta Roquette, les gars.
04:43 Sans déconner.
04:45 - Station de métro, en plus.
04:47 (Rires)
04:49 - J'ai failli dire station de métro.
04:51 En plus, Bellevue, c'est le sujet.
04:53 - Bon, allez.
04:55 - Après, ce qui est dramatique, c'est qu'on fait un débat
04:57 juste parce que 3 000 personnes ont dit...
04:59 - 3 500, ouais. - 3 500 personnes.
05:01 Et on en fait un débat. Il y a eu des débats
05:03 toute la journée sur toutes les chaînes info. C'est ça qui est dramatique.
05:05 - Alors, regardez le sondage. Après, j'ai une 3e question.
05:07 Chéri, non, écrasant. Gilles Verdes, toujours.
05:09 Gilles Verdes qui... Gilles Verdes, sans rigoler.
05:11 Sinon, l'on chienne les défaites. Sans déconner.
05:13 - À moins que ça crase en une minute.
05:15 - C'est vraiment...
05:17 [Musique]

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