Luis Enrique assume avoir joué le nul à Dortmund

  • l’année dernière
C’est une scène qui avait beaucoup fait parler ce mercredi en Ligue des Champions. Accrochés par le Borussia Dortmund (1-1), les Parisiens n’avaient pas souhaité pousser pour tenter d’arracher la victoire et donc terminer en tête. Les hommes de Luis Enrique, sur consigne du technicien espagnol qui savait que son équipe était qualifiée, avaient calmé le jeu et temporisé en fin de rencontre. Et cela n’avait pas du tout plu à Kylian Mbappé qui avait plusieurs fois râlé auprès de ses coéquipiers.

Category

🥇
Sports
Transcript
00:00 Bonjour Louis-Henrique et Hugo Delon du journal l'équipe.
00:07 Je voulais vous poser une question par rapport à vos déclarations de mercredi soir après la qualification.
00:12 Vous expliquez à quel point vous étiez convaincu du fait que l'équipe allait progresser.
00:16 Est-ce que cette progression passe aussi par le recrutement d'un joueur au mercato hivernal ?
00:20 Un joueur qui assurerait une plus grande maîtrise au milieu de terrain ?
00:25 Première question.
00:26 Ma seconde question concerne votre relation avec Luis Campos.
00:29 Comment se répartissent vos rôles au quotidien par rapport au management des joueurs et notamment dans tout ce qui est discipline ?
00:37 Merci à vous.
00:38 L'amélioration que l'équipe va avoir, évidemment c'est mon avis.
00:52 Cela est sujet à des analyses.
00:59 Cela se base dans la confiance dans ce que les joueurs me transmettent tout au long de ces mois.
01:04 Et c'est aussi lié à ma façon optimiste de voir le développement de l'équipe.
01:12 Je suis clairement optimiste parce que cela signifie.
01:20 On a eu un groupe qui n'était pas un groupe normal.
01:26 C'était le groupe le plus difficile de la compétition.
01:29 Après nous avoir qualifiés, on va jouer comme si c'était des quart de finale, des huitièmes de finale ou des demi-finales.
01:39 Milan a été le dernier demi-finaliste.
01:41 Nous avons réussi à nous qualifier.
01:44 L'expérience, le bagage et l'information que nous avons reçue et acquis dans ces types de matchs, nous la considérons très positive.
01:51 Si on regarde les statistiques de l'équipe, on parle d'une équipe qui est leader dans presque tous les aspects importants.
01:58 Possession, frappe au but, chance de but, expected goals.
02:03 Sans aucun doute, c'est une des meilleures équipes.
02:05 Et on ne joue pas une phase de groupe en jouant contre des adversaires comme ceux qu'on va affronter dans les huitièmes ou dans les quart de finale.
02:14 Nous sommes très optimistes, nous sommes positifs.
02:19 Évidemment, le football va mettre chacun à sa place.
02:23 Et c'est tout.
02:25 A partir de là, le mercat de l'hiver, c'est toujours un marché très compliqué.
02:30 Parce qu'il est conditionné par les besoins, en tant que blessure.
02:36 Et parce que c'est difficile de trouver des joueurs de haut niveau.
02:39 Mais nous sommes toujours ouverts à améliorer notre effectif.
02:44 C'est notre objectif.
02:46 Depuis la direction sportive de Luis Campos, jusqu'à moi en tant qu'entraîneur de la première équipe, il faut toujours améliorer l'effectif.
02:55 On est ouverts à que cela se fasse.
02:58 Il est possible qu'il y ait des joueurs qui viennent, qui ne viennent personne, que plusieurs joueurs viennent.
03:02 On est toujours ouverts à améliorer notre effectif.
03:05 Et pour le reste, comment on gère un effectif ?
03:10 Moi, comme je suis né dans des grandes équipes, j'ai vécu dans des vestiaires de grandes équipes presque toute ma vie.
03:17 Cela se gère avec de la normalité, avec des principes humains.
03:22 De la même façon qu'une équipe de moindre niveau, avec des normes et des disciplines.
03:27 Cela fait que la cohabitation soit très bonne.
03:31 Je dois dire que c'est une équipe à niveau humain dans laquelle c'est le plus facile de gérer.
03:37 Parce que tous sont très professionnels.
03:39 Il y a une ambiance très bonne et très positive.
03:42 Et parce que c'est un plaisir d'entraîner un groupe de joueurs comme celui-là.
03:45 Bonjour coach.
03:50 Excusez-moi, Stéphane Bianchi.
03:52 On n'est pas nombreux, je vais m'autoriser plusieurs questions dans une question, si vous voulez bien.
03:56 Il y a 4 défenseurs, c'est bon.
03:59 Vous êtes 4, il y a 4 défenseurs, c'est bon.
04:01 Autour de Kylian Mbappé notamment, l'année passée, ça a quasiment fait un psychodrame, le fait qu'il joue dans l'axe en pointe de l'attaque.
04:15 Comment vous avez réussi à le convaincre, si tant est que vous avez eu à le convaincre de jouer à ce poste-là ?
04:22 Et ne craignez-vous pas, si la situation perdure, de perdre des joueurs comme Randall Kolomwani ou Gonzalo Ramos qui jouent à ce poste-là ?
04:32 Je n'ai pas à convaincre quiconque de rien du tout.
04:41 Kylian Mbappé a la même liberté depuis le jour que je suis arrivé aujourd'hui jusqu'à aujourd'hui.
04:46 Je ne sais pas si dans le futur cela va changer, je ne pense pas.
04:49 En premier lieu, parce que nous parlons d'un joueur top mondial, sans aucun doute, et un joueur qui nous rapporte 50 buts et 25 passes décisives par an.
04:59 Peu importe c'est qui l'entraîneur, c'est 50 buts et 25 passes décisives.
05:05 A partir de là, Kylian Mbappé, même si vous insistez, il ne joue pas en tant que numéro 9, il joue avec de la liberté.
05:12 Il a la capacité de jouer entre les centraux, côté droite, côté gauche, en fonction de lui, où il va jouer, nous allons compenser.
05:20 Vous pouvez dire ce que vous voulez, mais je vais répéter tout le temps la même chose.
05:24 Je n'ai pas eu à convaincre quiconque.
05:26 Si j'avais eu à convaincre quelqu'un et je pense que quelque chose va améliorer l'équipe, je le ferai.
05:31 Parce que l'équipe passe avant tous les joueurs, tous les entraîneurs et tous les directeurs sportifs.
05:36 Et plus beaucoup, si cela va affecter plus un joueur qu'un autre, c'est évident que les décisions des entraîneurs ont des répercussions dans les joueurs.
05:46 Et des fois, jouer d'une façon ou d'une autre, cela implique que celui qui va jouer avec Kylian, ce sera un joueur plus positionnel ou plus sur le côté.
05:56 Cela c'est évident, les décisions sont là.
05:59 Et je répète, en tant qu'entraîneur, ce n'est pas mon égo, ce n'est pas ce que les gens vont dire sur moi.
06:08 Ce qui me motive, c'est que l'équipe va jouer, elle va participer dans la compétition dans la façon dont je veux qu'elle joue.
06:15 Et pour conquérir des titres. Merci.
06:17 Bonjour Nicolas Payet, Infosport +, Canal +.
06:20 Dans quel domaine vous attendez des efforts et des améliorations pour que l'équipe soit meilleure en février, comme vous l'avez annoncé après le match de Dortmund ? Merci.
06:30 Je n'ai aucun doute qu'on va être meilleurs.
06:34 Ce n'était pas du courage après le match.
06:40 Toutes mes équipes ont été meilleures au fur et à mesure des années, au long des mois.
06:44 Après on a eu des meilleurs ou des pires résultats. Mais je n'ai aucun doute qu'en février on va récupérer des joueurs.
06:50 Des joueurs qui sortent de blessures, des joueurs importants.
06:55 Nous sommes toujours ouverts à la possibilité de pouvoir acheter des joueurs.
07:02 Pourquoi est-ce que je dois être négatif, ou victimiste, ou un peu pessimiste ? Je suis optimiste.
07:09 Parce que c'est ma nature. Et parce que les résultats et les statistiques que cette équipe est en train d'avoir.
07:15 Et sinon vous prenez toutes les statistiques de la Champions League dans un groupe qui n'est pas un groupe normal, je répète.
07:21 Nous avons les numéros que nous avons.
07:24 En ce qui concerne les buts, les chances de but, les frappes au but, les situations de jeu.
07:32 Celui qui ne voudra pas le voir, il ne le verra pas.
07:37 Bonjour, Baptiste Beccard de l'AFP.
07:40 Est-ce que vous considérez que ce groupe difficile a pu aussi peut-être retarder, pour des raisons pragmatiques,
07:47 la transition vers un jeu de construction plus que vous vouliez, au détriment du jeu de transition qui était là,
07:54 plutôt dans l'esprit des joueurs quand vous êtes arrivés ?
07:56 Est-ce que d'une certaine manière, la volonté, le besoin d'avoir des résultats très vite, vous a peut-être ralentié ?
08:02 Est-ce que vous vous sentez plus de temps, plus de latitude pour mieux travailler dans votre optique ?
08:08 Nous sommes une équipe de possession.
08:16 Les numéros dans la Champions League, nous sommes la troisième équipe avec le plus de possessions.
08:22 Je pense que c'est la deuxième, je ne les ai pas inventés.
08:26 C'est des données publiques.
08:30 Nous sommes une équipe clairement de possession, avec la capacité que quand nous récupérons la balle,
08:36 nous avons aussi la possibilité de faire des transitions.
08:39 Et ça, c'est merveilleux.
08:40 Nous avons l'option de jouer de différentes façons et de bien profiter de nos ressources.
08:45 Je ne vais jamais mettre un frein à des situations de jeu dans lesquelles nous sommes très puissants.
08:49 A partir de là, je pense que le groupe, une fois que nous nous sommes qualifiés, a été merveilleux.
08:58 Cela nous a fait grandir.
09:01 Cela nous a fait avoir beaucoup plus d'informations avec des adversaires de notre niveau,
09:06 des adversaires qui sont arrivés très loin dans la compétition.
09:11 Et nous n'avons pas joué une phase de groupe normale.
09:15 Nous avons joué des matchs de quart de finale, de demi-finale, dans les six premiers matchs de la compétition.
09:23 Quel était le risque ? Ne pas avoir été qualifiés.
09:26 Que cela aurait pu se donner à cause de la difficulté du groupe ?
09:29 Cela a été difficile à assimiler et difficile pour nous en termes de croissance.
09:33 C'était le meilleur groupe qu'on aurait pu avoir.
09:36 De cette façon, nous avons grandi, nous avons fait la formation des matchs de haut niveau.
09:40 Et maintenant, nous devons nous améliorer et je pense qu'on doit nous améliorer.
09:45 Je suis très content avec la sensation de mon équipe et avec ce que je vois.
09:49 Bonjour coach, Aïch Illach pour BRFM.
09:53 Un des facteurs essentiels au bon fonctionnement de votre groupe est la gestion des émotions.
09:57 Qu'en est-il de Levin Kerzawa qui fait partie intégrante de votre groupe,
10:01 mais qui peine à obtenir du temps de jeu dans votre équipe ?
10:04 Quel est son rôle au sein de l'équipe ?
10:06 Et est-ce qu'on va le revoir avant la trêve hivernale ?
10:09 Pouvez-vous répéter le joueur qui n'a pas entendu le traducteur ?
10:18 Un des facteurs essentiels au bon fonctionnement de votre groupe est la gestion des émotions.
10:25 Qu'en est-il de Levin Kerzawa qui fait partie intégrante de votre équipe, de votre groupe,
10:30 mais qui peine à obtenir du temps de jeu ?
10:32 Quel est son rôle au sein de l'équipe ?
10:34 Et est-ce qu'on le reverra avant la fin de la trêve hivernale ?
10:38 Non, il n'y a rien qui se passe avec Levin Kerzawa.
10:45 Il est dans l'effectif, c'est un joueur qui s'entraîne chaque jour avec une attitude impressionnante.
10:51 Il y a eu une possibilité cet été qu'il sorte, mais il n'est pas sorti.
10:56 Il savait que ça allait être difficile pour lui d'avoir des minutes.
11:00 Il a décidé de rester, de la façon dont il s'entraîne,
11:06 dont il participe à la compétition avec nous, et le niveau qu'il a.
11:10 Je suis très content de l'avoir dans l'effectif,
11:12 c'est un joueur qui va nous apporter des choses à chaque entraînement.
11:16 Et comme on lui avait déjà dit à ce moment, il n'allait pas avoir beaucoup de minutes,
11:20 il n'est pas en train d'avoir des minutes, mais je n'ai pas de complaintes.
11:24 Au contraire, c'est un des joueurs qui mieux s'entraîne de l'effectif.
11:28 Bonjour, Gary de Jesus pour Stats Perform.
11:34 Vous avez utilisé Vitinha beaucoup plus bas qu'à l'accoutumée contre Dortmund.
11:39 C'était assez rare de le voir dans cette position-là avec le PSG,
11:43 mais c'est quelque chose qu'il avait déjà fait, à Porto notamment.
11:46 Est-ce que vous en avez été content d'abord ?
11:49 Et ensuite, est-ce que vous allez le refaire si une équipe presse haut,
11:54 comme le faisait Dortmund ? Est-ce que ça peut être le cas demain contre Lille ?
11:58 Vous avez vu le match ? Vous avez aimé Vitinha ?
12:03 Moi aussi, j'ai bien aimé.
12:06 Les joueurs de qualité dans une équipe comme la nôtre,
12:10 des fois, ils doivent jouer dans des positions qui ne sont pas les leurs.
12:13 Vitinha joue en tant que numéro 8, mais il peut jouer en tant que numéro 6.
12:17 Il l'a démontré.
12:18 Et pour un style de jeu comme le nôtre, en tant que numéro 6, il aura des minutes aussi.
12:22 Même si sa position, c'est en tant que numéro 8, il peut aussi jouer sur le côté,
12:26 à droite, à gauche.
12:28 Il pourrait même jouer…
12:30 Quand vous êtes ouvert d'esprit et que vous avez la qualité et l'intention
12:35 et que vous avez vraiment envie, vous pouvez jouer n'importe quelle part.
12:39 Ça, c'est pour moi le joueur qui a toujours à avoir dans son équipe.
12:42 Ici, c'est un de ces joueurs.
12:44 Il a beaucoup joué cette saison, dans beaucoup de positions.
12:46 Je suis sûr qu'il préférerait avoir plus de matchs dans sa position naturelle,
12:51 mais ça, c'est la haute compétition.
12:52 Vous devez aider l'équipe.
12:54 Vous devez avoir l'attitude de l'équipe, tous les matchs, toutes les minutes,
12:59 n'importe quelle est la position.
13:01 On n'arrive pas tous les jours à jouer dans sa position.
13:04 Moi aussi, je dois dire que j'ai adoré le match de Vitinha.
13:07 En tant que numéro 6, il a joué de façon exceptionnelle,
13:11 avec sa force et sa personnalité, avec la balle.
13:14 C'est un joueur qui marque des différences.
13:16 J'ai adoré son match, sa capacité à défendre, son effort physique.
13:21 Je pense que c'est un match très complet de Vitinha à Dortmund.
13:25 Bonjour, Luis Mariazé, RMC Sport.
13:29 Pour revenir sur le match de mercredi,
13:31 est-ce que vous comprenez la réaction de Kylian Mbappé à la fin du match,
13:34 un peu agacé de devoir temporiser ?
13:37 Est-ce que vous vous regrettez d'avoir dû temporiser à la fin de ce match ?
13:41 Oui, bien sûr, je comprends.
13:47 C'est moi qui donne tous les ordres dans l'équipe.
13:49 C'était une des meilleures décisions de ma carrière sportive.
13:52 Avec 1-2 à Newcastle, Milan qui gagne, minute 88,
13:58 je dis à mes joueurs qu'il ne faut pas prendre autant de risques.
14:02 Il faut essayer de marquer un but, évidemment.
14:04 On continue.
14:05 Si vous voyez ça, nous avons continué.
14:08 Nous sommes allés dans la surface de Dortmund deux ou trois fois.
14:11 Oui, évidemment, c'est une très bonne décision.
14:13 Ce n'est pas seulement ma décision, c'est aussi celle de mon staff.
14:16 C'est moi qui prends les décisions à partir de là.
14:18 Je comprends clairement les joueurs.
14:21 Je comprends qu'ils soient exposés à des émotions.
14:26 C'est logique. Ils sont en train de jouer.
14:28 Notre objectif depuis le début du match, c'était de gagner le match.
14:31 Aucun doute.
14:32 Pendant une grande partie du match, Newcastle et Milan,
14:38 c'était un match nul.
14:42 Nous, on était qualifiés.
14:43 Il n'y a pas eu un ordre de calme.
14:45 Non, non, il faut gagner le match.
14:46 Il faut marquer un but.
14:47 Mais minute 88, il y avait deux buts de différence.
14:50 Ça aurait été très ridicule de prendre un but pour avoir pris des risques
14:54 qui n'étaient pas nécessaires.
14:56 Ça aurait été très ridicule.
14:57 C'était une très bonne décision, prise à un moment de tension maximale.
15:02 À un moment comme ça, on peut se tromper.
15:05 Mais dans ce cas, c'était une bonne décision de mon staff et moi,
15:09 parce que c'est moi qui prends les décisions.
15:11 Bonjour, Luis.
15:13 Vous affrontez demain une belle équipe de Lille,
15:15 une équipe qui est aux portes des trois premières places.
15:18 À quel type de confrontation vous vous attendez face à cette formation
15:21 qui reste invaincue depuis fin septembre maintenant ?
15:24 Depuis le 26 septembre, pour être plus exact.
15:30 Non, peut-être que je me trompe.
15:32 J'espère sans aucun doute.
15:35 Je dirais une équipe avec la balle qui fait les choses les plus similaires à ce que nous faisons.
15:43 Monsieur Fonseca est un entraîneur de très haut niveau.
15:46 J'aime beaucoup ce que Lille fait avec et sans la balle,
15:48 mais spécialement avec la balle.
15:50 C'est une des équipes derrière nous qui a le plus de possession de balle.
15:54 Ils savent ce qu'ils font avec la balle.
15:56 Ils occupent les espaces très bien.
15:58 Ils les occupent de façon différente.
16:00 Donc, ça crée dans l'adversaire beaucoup de problèmes.
16:02 Ils ont de la qualité.
16:04 Ils ont des situations de jeu dans lesquelles ce ne sera pas facile de prendre la balle.
16:09 J'aime beaucoup.
16:10 J'aime beaucoup aussi sans la balle.
16:12 C'est une équipe, je crois, la deuxième qui prend le moins de buts.
16:16 On joue chez eux.
16:18 C'est une équipe agressive.
16:20 C'est un des matchs les plus difficiles du championnat.
16:25 Une des meilleures équipes du championnat, à mon avis,
16:28 parce que je pense que ça se rapproche beaucoup de ce que nous faisons avec la balle.
16:33 Je serais enchanté de dire bonjour à Monsieur Fonseca et de le féliciter pour son équipe.
16:39 Merci beaucoup.
16:41 Merci.
16:43 merci à bientôt !
16:45 Merci.

Recommandée