Anne Laure Delinot Liste Unique de la Résistance aux Européennes. Paris/France - 17 Décembre 2023 - Vidéo Dailymotion

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Transcript

00:00 [Musique]

00:16 Donc, que Agnlore prenne le micro pendant, voilà, une 10 à 15 minutes si tu veux bien, Agnlore.

00:24 Ce sera avec bonheur, voilà.

00:26 [Applaudissements]

00:30 Mais voilà, je pense qu'on est nombreux ici à être investis depuis assez longtemps à l'intérieur,

00:36 surtout depuis l'arrivée du Covid.

00:39 On est nombreux à soudain s'être intéressés beaucoup plus à ce qui est la politique systémique,

00:44 même si on était déjà potentiellement intéressés par la vie de la cité,

00:48 sur les choses qui nous tenaient à cœur, chacun dans notre domaine d'expérience, d'affect.

00:55 Et de territoire.

00:57 Et au cours des trois dernières années, on a rencontré beaucoup de gens, tous, je pense,

01:04 avec un objectif commun, à savoir, Christian a parlé très bien,

01:09 le concept de la souveraineté populaire, qui est celle qui est en tout cas prévue en France.

01:17 Je n'ai pas la prétention de connaître toutes les constitutions.

01:20 Mais en tout cas, en tant que Française, celle de la France, on en est sûre,

01:25 la souveraineté est censée être populaire.

01:27 Et beaucoup de groupes à travers la France espèrent la mettre en place,

01:31 parce que ce jour, elle n'existe pas.

01:33 On a plusieurs moyens de réussir à mettre en place cette souveraineté populaire.

01:39 Certains partent du principe que les urnes sont une aberration

01:42 et que ça ne sert absolument à rien d'y aller parce que c'est fichu d'avance.

01:46 Alors il y a quand même une partie du "c'est fichu d'avance" qui est fichu d'avance

01:49 si jamais on ne s'unit pas.

01:51 Parce que les urnes, ce sont des process, et les élections ne sont pas faites pour les citoyens.

01:57 Je vous invite à y sortir, regardez le mémento du candidat et du mandataire financier.

02:04 Je vous conseille de bien le lire.

02:08 On peut se retrouver assez facilement avec des complexités.

02:11 Il y a des gens qui pensent qu'ils ont créé un parti politique,

02:13 mais ils ne sont pas sur le CNCCFP, et du coup,

02:16 ils ne peuvent pas avoir l'agrément pour un compte de campagne.

02:18 Il y a pas mal de questions qu'on oublie de se poser en amont.

02:21 Personnellement, je ne suis pas une personne qui a fait beaucoup d'élections.

02:24 Je ne m'intéressais pas aux élections systémiques avant le Covid.

02:27 J'avais voté 4 fois dans ma vie.

02:29 Je suis allée prendre ma carte d'électeur à 27 ans

02:31 parce que j'avais un copain qui militait pour le vote blanc.

02:34 Donc je suis allée prendre ma carte d'électeur pour aller voter blanc.

02:37 Et après, je n'ai pas voté grand-chose.

02:39 Je fais partie des gens qui n'ont pas beaucoup voté avant.

02:44 Mais parce que j'avais mon côté plutôt anarchiste,

02:48 et je partais du principe que si on crie un petit peu et qu'on n'était pas content,

02:51 ça allait bien s'entendre,

02:53 qu'on ne pouvait pas se faire entendre avant.

02:55 Mais je partais du principe qu'à partir du moment où il y avait les réseaux sociaux et Internet,

02:59 soudain, on ne pourrait plus faire croire à chacun que l'autre était un imbécile barbare

03:03 et que c'était lui le méchant.

03:05 Or, si, ça fonctionne toujours.

03:07 Maintenant, c'est vrai qu'on est beaucoup à considérer, effectivement,

03:11 et qu'on doit comprendre qu'on vit à l'intérieur d'un storytelling propagandé par l'argent et le pouvoir.

03:18 Et que face à l'argent et au pouvoir, c'est compliqué de faire sortir une vérité.

03:25 Donc on se retrouve avec une partie de la population qui ne comprend pas ce qui se passe.

03:30 Et puis après, il y a aussi une partie de la population qui a les têtes dans le guidon.

03:33 J'avoue que moi, j'ai nous mis, ma chatte, en responsabilité.

03:38 On est responsable de ce qu'on gère.

03:42 Maintenant, il y a des gens qui ont des enfants, qui se réveillent, qui se piquent pour donner un petit déjeuner,

03:46 pour courir, pour habiller, pour se demander ce qu'on fait le samedi après-midi,

03:49 qu'est-ce qu'on fait pendant les vacances, comment on va manger.

03:52 Ces gens-là, je comprends qu'ils n'ont pas le temps, parce qu'ils ont la tête dans le guidon,

03:56 ils ont le quotidien, il faut survivre.

03:58 Ils n'ont pas forcément le temps d'avoir regardé, cherché, et pris toutes les informations qui existent.

04:06 On a des conflits qui naissent à travers le monde, qui sont créés par des personnes,

04:12 qui ont un intérêt financier, qui ont un conflit d'intérêts.

04:16 Je suis toujours étonnée lorsqu'il y a des gens qui font une pirouette de 8-9 milliards

04:21 en shortant des actions d'American Airlines la veille du 11 septembre,

04:26 et que derrière, il n'y ait pas d'enquête, et qu'on le sache.

04:29 C'était un attentat par un mec sous-yalise à l'intérieur d'une grotte,

04:33 fait par des mecs qui n'avaient jamais touché un outil de cette capacité.

04:38 Quand on regarde les mouvements financiers qui ont lieu à chaque fois qu'il y a un conflit,

04:45 j'invite la Cour des comptes à faire une véritable enquête,

04:50 à faire un audit sur les short d'action, les achats d'action, les transferts d'action.

04:54 Maintenant, étant donné qu'on est conscient, et Christian Penel l'a très bien dit,

04:58 il y a des gens qui ont déjà fait toutes les études,

05:00 et bien, on est infiltrés à l'intérieur de la fonction publique pour faire ces audits,

05:04 les audits des communs. On les a déjà, ils sont faits.

05:08 Maintenant, il faut les organiser, il faut les faire valider,

05:12 et je suis assez d'accord avec Christian.

05:15 Je fais partie des gens qui ont été aussi dans les commissariats et autres,

05:19 qui ont vérifié, qui ont envoyé les lettres recommandées avec accusé de réception

05:25 aux institutions nationales, que ce soit des commissariats, que ce soit les chefs d'armée.

05:30 Maintenant, quand on a parlé en comité de défense pour du sanitaire,

05:33 on s'imagine bien qu'elle ne va peut-être pas demander à son numéro 2, à son numéro 3,

05:37 et à son numéro 4 de faire en sorte que les choses se passent mieux,

05:41 et que les vérités éclatent.

05:43 Donc, nous avons énormément de choses qui existent, qui ont été faites.

05:46 On a eu un petit audit de la Sécurité sociale qui nous disait

05:51 "Non, on n'est pas du tout en déficit de 11, on est en excédent de 9,

05:54 si jamais l'industrie du tabac et si le budget de l'État est respecté."

05:58 Donc, à partir du moment où il y a des législateurs, un exécutif et des fonctionnaires,

06:02 si les fonctionnaires ne sont pas capables de fonctionner,

06:04 ce qui a été demandé par la législation d'être exécuté,

06:07 eh bien, peut-être qu'il faut effectivement attaquer à titre personnel et aux fonctionnaires,

06:11 et s'y mettre un petit peu plus.

06:13 Il y a des gens qui sont déjà sur les procès,

06:15 il y a des gens qui sont en train de faire des listes de personnes à battre.

06:19 Personnellement, je ne suis pas forcément dans ces groupes-là,

06:24 on ne peut pas être tous partout, mais on se connaît.

06:27 On se connaît et on est d'accord sur l'objectif.

06:29 En revanche, on est en général en désaccord sur les moyens.

06:33 Il y a un moment, sans méchanceté, les moyens, on s'en fiche.

06:38 Puisqu'il y en a 15, des moyens, faisons écho sur chacun des moyens de tous,

06:44 et qu'en fonction des échéances qui arrivent, on soit tous ensemble.

06:49 On peut changer la société en allant aux urnes,

06:54 en partant du principe qu'effectivement, ce serait bien de s'unir,

06:56 parce qu'on a tendance à aller aux urnes de nos jours,

06:59 en faisant des accords techniques, avec des partis traditionnels,

07:02 parce que les urnes, soyons conscients,

07:05 c'est celui qui est candidat et qui se présente aux urnes

07:09 qui va payer les petits boutons de vote qui seront à l'intérieur du bureau.

07:13 Donc pour les européennes, je crois qu'en dessous de 600 000 euros,

07:18 c'est compliqué quand même.

07:20 Je ne sais pas quel est le groupe qui peut fournir cet argent,

07:25 en étant de son côté, alors qu'ensemble, sincèrement,

07:29 on a non seulement les 600 000 euros, mais on a aussi le budget com,

07:32 on a même à la limite, on a tout.

07:35 On a vraiment ce qu'il faut pour y arriver.

07:38 On est chacun une pièce du puzzle avec chacun notre niveau de connaissance,

07:41 de compétence, et à un moment, c'est l'heure de l'assemblage.

07:45 Il faut s'emboîter. Il faut que le puzzle fasse un joli paysage.

07:49 Donc il y a des personnes qui ont la prétention de dire

07:53 qu'ils se fichent de l'ordre de la liste et que c'est l'objectif principal,

07:56 et puis au final, quand on leur dit qu'on va voter la tête de liste,

07:59 on va voter l'ordre de la liste, là, soudain, c'est compliqué.

08:02 Donc je comprends aussi qu'il y a des gens qui ont plus de financement que d'autres,

08:05 et que quand on met de l'argent sur la table, on se dit que c'est compliqué

08:08 si jamais il y a un hold-up et qu'il y a d'autres personnes

08:11 qui ont d'autres moyens qui sont prévus pour y arriver.

08:14 Les deux plus grandes désaccords qu'on peut trouver, je crois...

08:17 Enfin, les deux plus grandes... Pas désaccords, pardon.

08:20 La plus grande séparation, c'est ce qui part du principe qu'il faut uniquement les outils.

08:24 Puisque nous voulons mettre en place la démocratie,

08:27 il faut que les outils démocratiques existent.

08:30 Les outils démocratiques, déjà, eux, c'est intéressant, mais il y en a plein.

08:36 Quelle est la priorité, même quand on est d'accord sur les outils démocratiques ?

08:39 Quel est le premier à mettre en place ? Le référendum ? Parfait.

08:43 Tout le monde est d'accord pour faire des référendums.

08:45 Tout le monde part du principe que la population doit être informée

08:51 pour avoir une information éclairée et fiable,

08:55 de façon à pouvoir faire un choix en conscience.

08:59 Maintenant, à ce jour, comment mettre en place l'iségorie

09:04 de façon à assurer un débat contradictoire en toute matière,

09:07 de façon à assurer un véritable audit,

09:11 et que les gens puissent prendre des décisions ?

09:14 Il y a plein de choses sur lesquelles je ne sais pas ce que je veux,

09:16 parce que je sais que je n'ai pas le niveau d'information nécessaire.

09:19 Je ne sais pas, et il y a certainement des gens, même dans cette pièce,

09:25 qui en pourront parler après, qui pourront me dire,

09:28 et qui m'expliqueront tout très bien,

09:30 mais par exemple, est-ce que j'ai envie de sortir de l'OTAN ? Je ne sais pas.

09:32 À titre personnel, je ne sais pas.

09:34 Parce que je ne sais pas, je sais qu'on n'a plus la Légion étrangère,

09:36 je sais que la France n'est pas censée s'armer,

09:40 et que ça fait un bon moment que l'argent qu'on a pour la défense,

09:44 ça arrive à l'Europe, et quand l'Europe, d'ailleurs,

09:47 a voulu faire son propre système de défense,

09:51 Washington a bien rappelé que non, non, non, on est là pour faire le chèque.

09:55 On n'est pas là pour réfléchir et pour se défendre nous-mêmes.

09:58 Donc comment est-ce que la France peut s'en sortir ? Je ne sais pas.

10:01 Donc moi, si on me dit "sortie au nom de l'OTAN",

10:03 à ce jour, je suis dans les "ne se prononce pas"

10:06 ou "je veux le débat contradictoire"

10:08 et je ne suis pas plus bête que quelqu'un d'autre.

10:10 On est tous anthropologues, on a tous la compétence et la capacité d'être anthropologues

10:13 à partir du moment où on a des vérités en face de nous.

10:16 Donc les outils, déjà, je pense qu'on est tous d'accord pour dire

10:19 qu'il faut mettre en place des outils.

10:21 Mais même sur les outils.

10:24 Quel vote ? Qui décide de qui décide ?

10:27 Comment est-ce qu'on vote ? Par quel scrutin ?

10:29 Avec quels moyens ? Sur quelle plateforme ?

10:31 Sur la plateforme, si j'allais à l'informatique,

10:33 qui détient le route pour pouvoir vérifier ?

10:36 On se bat sur ça quand même, les amis.

10:38 On est quand même en train de se prendre la tête

10:40 et de ne pas réussir à s'unir,

10:42 parce qu'on n'est pas d'accord sur comment est-ce qu'on comptabilise

10:45 les "ne se prononce pas" à l'intérieur d'une votation.

10:48 Ça peut faire un split avec deux équipes.

10:50 Ils sont en train de faire des accords techniques,

10:53 ils sont en train de donner des pouvoirs supranationnels à l'OMS

10:56 et de respecter la propre procédure du Parlement.

10:59 Donc, unissons-nous sur toutes les échéances.

11:03 Il y a des gens qui veulent prendre de force l'hémicycle.

11:07 Pourquoi pas ? J'ai fait partie de ceux qui appelaient l'armée.

11:10 Je suis plus pour qu'il y ait l'armée, parce que ça peut être propre.

11:13 C'est simple, comme l'a dit Christian.

11:16 Arrestation, réquisition, audite, procès.

11:20 Et après, liberté ou peine.

11:23 Après, je suis un peu fasciste, parce que moi,

11:25 je vais passer des cailloux pendant très longtemps.

11:28 Donc, moi, qui ai des gens qui se rencontrent à l'intérieur de la prison

11:31 et qui arrivent à créer des attentats en se rencontrant en prison

11:34 avec la salle de sport et Canal+,

11:36 on a quand même en France, l'hiver dernier,

11:38 des SDF qui étaient en train de faire des petits vols

11:41 de façon à dormir et manger en prison.

11:44 Mais non, il y a des gens, ils sont en prison, ils se rencontrent,

11:47 et c'est formidable.

11:49 Et nous, on est en train de se prendre la tête

11:52 et de se diviser sur les outils, le monde impératif.

11:55 Super, quelle plateforme, comment, quel quota, sur quoi,

11:58 quelles sont les bases.

12:00 La reconnaissance du vote blanc, je crois qu'on est tous d'accord,

12:03 ça fait l'unanimité.

12:05 Après, il y a la charte de l'élu.

12:07 En même temps, une charte n'engage en rien.

12:09 On a quand même Macron et Castaner en 2017

12:11 qui nous rappellent l'engagement du gouvernement

12:13 à sortir du glyphosate avant 2020.

12:15 En attendant, on vient de ressigner.

12:17 Donc, les engagements, c'est bien.

12:20 L'idée, là, à ce jour, c'est pas de faire un programme

12:22 pour les européennes, c'est de faire un projet.

12:25 Un projet général, un projet pour la vie de la France.

12:30 C'est un projet pour les européennes,

12:32 c'est un projet pour les municipales.

12:35 Parce que sans les municipales, les présidentielles,

12:38 on voit bien ce que ça donne, on n'a pas les parrains.

12:41 Donc, c'est un projet pour les municipales,

12:43 c'est un projet pour les présidentielles,

12:45 c'est un projet pour les cantonales,

12:47 c'est un projet pour les législatives.

12:49 Donc, il y a un moment où il faut se unir.

12:51 En mars, j'étais en Russie,

12:54 et en Russie, ils veulent, pareil,

12:56 des petites cellules avec trois personnes.

12:58 Et puis, une fois qu'on a trois personnes,

13:00 on a une cellule, un commune.

13:01 Et même quand on est tous d'accord à travers le monde,

13:03 en Allemagne, pareil, j'y étais en juin,

13:05 j'ai rencontré plein de régionalistes

13:06 qui veulent faire des accords avec des produits de Russie

13:09 parce qu'on fait passer par la Chine et l'Inde

13:11 pour des gazoducs.

13:12 Je ne vais pas rentrer dans le détail

13:13 de tout ce qui est énergie et autres,

13:16 et je ne vais pas me prendre pour Aurore Stéphan

13:18 ou Loïc Lofland-Brigent,

13:20 ils sont bien meilleurs que moi pour en parler.

13:22 Mais je les écoute, j'écoute,

13:24 et je pense qu'on est tous capables d'être anthropologues,

13:26 que ce soit au niveau de l'énergie, de l'industrie,

13:29 au niveau de la santé, de la pédocriminalité,

13:32 au niveau du handicap, de la recherche,

13:36 de la sécurité, la dette.

13:38 Là, on a quand même l'Europe qui est encore en train,

13:40 en ce jour, de se demander comment donner

13:42 50 milliards à Kiev.

13:45 On n'est pas en guerre.

13:47 Il y a une opération spéciale entre la Russie et l'Ukraine,

13:50 et nous, on va aller encore se demander

13:53 comment donner 50 milliards à Kiev.

13:56 À un moment, est-ce que nous, on nous demande,

13:58 si on a envie d'être en conflit,

14:01 est-ce qu'on nous demande comment on nous allie

14:03 à une dette avec un taux d'intérêt ?

14:05 Il y a des personnes bien mieux placées que moi

14:07 pour parler de la création de la dette,

14:09 et pareil pour les énergies aussi.

14:13 Je sais qu'il y en a qui sont bien plus légués que moi

14:15 pour en parler aussi.

14:16 Mais le respect de la sentience animale,

14:18 il y a 90% des Français qui veulent

14:21 plus de transparence dans le caddie.

14:23 Il y a des OGM de nouvelle génération qui...

14:25 Donc, en fait, il y a les outils.

14:27 Déjà, on n'arrive pas à se mettre d'accord sur les outils.

14:30 Et ensuite, il y a des gens qui partent du principe

14:32 qu'il faut les outils, mais il y a des urgences tout de suite.

14:35 On va pas revenir sur énergie, industrie,

14:37 la pédocriminalité, pouvoir de l'OMS sur la santé.

14:41 Et après, on voit aussi des choses qui se passent.

14:44 On nous dit "Ah, regardez, il y a plein de choses bien.

14:46 On voyait les décarbonneurs."

14:48 Je lis les décarbonneurs, je suis désolée de citer eux.

14:51 Mais je me dis "Ah, c'est pas mal."

14:53 Et au final, je regarde les propositions,

14:55 mais oui, elles sont basées sur les résultats du GIEC.

14:57 Faire des propositions en partant d'un constat

14:59 qui est déjà biaisé de base pour la plupart des gens

15:01 qui ont analysé le résultat,

15:03 je suis désolée, mais l'électrique, c'est fantastique.

15:05 C'est pas possible, le GIEC, c'est la fête.

15:07 À un moment, encore une fois, je vais pas me prendre pour or,

15:10 mais la façon de traiter les matières premières,

15:12 l'électrique, c'est quoi ?

15:14 C'est 4 fois plus de cuivre, 7 fois plus de cobalt.

15:16 Il y a plus de cobalt en 2050.

15:18 À part pour la pérennité des bienfaits, des finances

15:20 de l'industrie automobile, sincèrement,

15:22 le GIEC, à part pour l'automobile,

15:24 pareil, l'éolien, que ce soit terrien,

15:26 ou marin, c'est super bien.

15:28 Je suis vraiment pas sûre.

15:30 Pareil, même bilan, même constat, même réflexion.

15:33 Encore une fois, c'est pas le couteau qui plante,

15:35 c'est la main qui le tient.

15:36 Moi, j'ai rien contre l'intelligence artificielle.

15:38 Maintenant, on la programme, on lui demande quoi ?

15:41 Voilà, parce qu'après tout,

15:43 si l'humain est égoïste

15:45 et qu'il est incapable de réfléchir

15:47 avec ses congénères,

15:49 sur certains points, ça ne me dérange pas

15:51 qu'on dise... l'intelligence artificielle

15:53 ne me dérange pas plus que ça.

15:54 Maintenant, quelle est la main qui tient, quel couteau ?

15:56 Même le système actuel,

15:57 on a tous les gardes fous qui sont sautés.

15:59 On a à ce jour pas mal de listes, du coup,

16:01 qui sont en train de naître en France

16:03 et qui disent la même chose.

16:04 Même des groupes...

16:05 Enfin, j'ose pas en citer,

16:07 parce que quand on cite un truc d'humain,

16:08 si il y en a un, il va me le revoir,

16:09 donc je vais pas en citer l'autre.

16:10 Mais les 577 de Prévost,

16:12 c'est comme les apices de Fortanet,

16:13 c'est la même chose que l'Assemblée citoyenne

16:15 de la Ruche citoyenne de Germes de France,

16:19 c'est la même chose que l'Assemblée nationale parallèle,

16:22 c'est la même chose que le groupe Structuration.

16:24 Mais on n'est pas d'accord,

16:27 parce que non, il faut du papier,

16:28 parce que dès qu'on en arrive sur l'informatique,

16:30 et puis même quand on est sur l'informatique,

16:31 encore une fois, comment est-ce qu'on vote ?

16:33 Comment est-ce qu'on fait quoi ?

16:34 Qui décide de qui décide ?

16:36 Et on se prend la tête,

16:38 et on se divise sur ceci.

16:41 J'attendais, je me demandais

16:42 si tu allais parler du fait

16:43 qu'ils étaient en train de discuter du sexe des anges.

16:46 Donc voilà, discutons bien du sexe des anges,

16:49 pour ceux que ça intéresse,

16:51 ou sinon, pour ceux qui ont vraiment envie

16:53 de faire quelque chose,

16:54 peut-être qu'on pourrait juste trouver,

16:56 plutôt qu'un accord technique

16:58 de façon à pouvoir exister financièrement

17:00 avec d'autres listes,

17:01 un accord technique entre nous,

17:03 à défaut d'accords politiques,

17:04 alors qu'on devrait être capable

17:05 de faire un accord politique tous ensemble,

17:07 faisons un accord technique, c'est pas grave.

17:09 Mais on le fait entre nous.

17:10 On a assez de groupes en ce moment

17:11 qui sont en train de faire des listes,

17:14 avec la prétention de pouvoir y arriver seul,

17:16 sachant qu'il y en a qui ne savent pas

17:17 ce que c'est qu'un bon matériel financier,

17:19 et qui se disent juste "on s'en fiche,

17:20 on va imprimer nous-mêmes nos bulletins,

17:21 on va tenter à les imprimer,

17:22 du coup ça va bien se passer".

17:25 C'est bien, c'est bien, c'est joli.

17:27 Maintenant, on le voit bien,

17:30 celui qui a fait le meilleur score,

17:32 je crois que c'est Jérémy Clément,

17:33 le seul à avoir réussi à avoir une fois un pour cent

17:35 en tant que citoyen au niveau des régionales.

17:39 On est beaucoup à avoir coupé du 0,79 sur plein de trucs.

17:43 Faisons les 5% ensemble, nous, ensemble.

17:46 Et puis en plus on peut se faire écho.

17:48 Et si on n'est pas en train de se faire bouffer par...

17:50 parce qu'au final on se retrouve à être

17:51 le laissé pour compte de la liste

17:53 avec laquelle on est en train de faire

17:54 un accord technique de toute façon,

17:55 en général, alors que si vraiment les démocrates

17:59 avec les vraies écologies,

18:00 ceux qui veulent un état géné...

18:03 On veut des états généraux de tout.

18:05 On veut les états généraux de la presse,

18:07 on veut les états généraux de l'énergie,

18:08 on veut les états généraux de la recherche pour la santé.

18:13 Et le Parlement européen a le pouvoir

18:16 de revoir les traités.

18:18 Il a le pouvoir d'être...

18:20 Il a en théorie la compétence de contrôle

18:24 financière et budgétaire.

18:25 Il est censé être impliqué du début à la fin.

18:28 Merci à certains eurodéputés tels que Rivasi

18:31 d'avoir posé des bonnes questions

18:32 qui n'ont pas encore de réponse.

18:34 Et bien moi je demande aux prochains eurodéputés

18:36 qui seront dans l'hémicycle pour la France

18:39 de continuer.

18:40 Et puis pas que pour la France,

18:41 parce que justement elle le disait très bien Rivasi.

18:43 Il y a les Allemands, tout le monde le demande.

18:45 Tout le monde en Espagne,

18:46 on a les Italiens ici aussi.

18:49 Tout le monde attend la même chose.

18:50 On a croisé les Bulgares à Paris,

18:52 il y a encore un an prochain des Russes.

18:55 À travers le monde,

18:56 toutes les populations attendent la même chose.

19:00 Donc même en Europe,

19:02 si on arrive à créer dans tous les pays d'Europe

19:05 des listes qui sont en accord technique

19:07 ou politique idéalement bien sûr,

19:11 sur les bases d'outils qui sont à mettre en place

19:14 pour mettre en place la démocratie

19:16 et voir un peu quelles sont tout de même

19:19 les urgences qui sont en train de se passer,

19:21 on peut même se faire écho à travers l'Europe.

19:24 On est plusieurs à avoir rencontré

19:27 pas mal d'autres groupes à l'intérieur de l'Europe.

19:30 En Europe, on peut se faire écho

19:32 si on a un nombre de dénominateurs communs

19:34 qui est impressionnant

19:35 et on se prend la tête sur des points virgules

19:39 de façon de mettre en place des choses.

19:42 C'est, je pense, à peu près tout ce que...

19:47 Donc il y a FaxMatter,

19:48 il y en a plein qui ont fait énormément de choses.

19:50 Faisons des audits,

19:51 mais mettons-nous dans les mêmes cellules

19:53 ou faisons un accord.

19:54 On peut regarder et faire un accord technique,

19:56 j'en sais rien,

19:57 mais vu qu'on le fait avec d'autres groupes,

19:59 que ce soit pour les législatives ou autres,

20:01 si on arrive à faire des accords techniques avec d'autres,

20:04 faisons des accords techniques entre nous.

20:06 Que la liste de Jérémy Clément,

20:08 que la liste des CISAN nous-mêmes,

20:09 que la liste de Fortanet,

20:10 que la liste de Prenon ou Romain,

20:11 que tout le monde se mette ensemble

20:13 sur des dénominateurs communs

20:15 et qu'on avance et qu'on fasse un vrai bruit

20:17 et qu'on se fasse écho à travers l'Europe.

20:19 Au revoir.

20:20 Au revoir.

20:21 (Applaudissements)

20:23 (...)

20:25 (...)

20:27 (...)

20:29 (...)

20:31 (...)

20:33 (...)

20:35 (...)

20:37 (Générique)

20:38 ---

20:42 ---

Anne Laure Delinot Liste Unique de la Résistance aux Européennes. Paris/France - 17 Décembre 2023

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