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AmusantTranscription
00:00 Et Philippe, nous recevions donc ce matin Dominique Schellcher, le patron de Sistemu.
00:04 Ce qu'on veut, c'est des valeurs fortes et des prix bas.
00:07 Et allez, Rodimille pour Laurent Deutsch, il va encore s'acheter un survet.
00:11 Ça serait bien s'il s'en achetait un.
00:14 Un demi-survet, en plus vous avez vu, il s'achète que le haut.
00:18 C'est hallucinant.
00:19 En fait c'est Guy Roux historien.
00:20 Exactement, c'est Guy Roux.
00:22 Alors, Dominique Schellcher, très sympa.
00:26 Et puis bonne nouvelle, on se rend compte de tout ce qu'on parle Alsacien, parce qu'on a compris.
00:29 Finalement on a compris sa langue.
00:31 Et tiens, on a une petite innovation technologique à la matinale.
00:34 On peut retranscrire en musique l'état d'esprit de l'invité grâce à l'intelligence artificielle.
00:39 Par exemple sur le dossier de Casino et sur la chute de l'Empire Stéphanois, le concurrent.
00:44 *musique*
00:47 Bon, il a dit qu'il était triste.
00:49 C'est toujours triste un concurrent qui meurt.
00:54 Philippe, vous vouliez sur revenir sur l'intervention du chef de l'état hier soir dans ses tabous.
00:59 Oui, puisqu'on va parler santé avec Jimmy et Mohamed, parlons fin de vie car elle existe.
01:03 Des médecins maladroits.
01:05 Le président a déclaré à propos de la fin de vie, il faut tous aller à ce dossier avec beaucoup d'humilité.
01:09 On a tous eu envie de lui dire, file le dossier à quelqu'un d'autre parce que tu vas mal le faire.
01:14 Ce n'est pas son point fort l'humilité.
01:17 Macron, il n'a pas envie de faire voter la loi trop vite sur la fin de vie,
01:20 parce qu'il s'est dit, vu le moral des Français,
01:22 il y en a un sur deux qui va prendre rendez-vous pour la fin de semaine.
01:24 Puis ce n'est pas la période.
01:26 Il sent les Français, Macron.
01:27 Il a cet instinct, tu vois.
01:28 Il dit fin de vie, magie de Noël, soin palliatif d'Indomarron.
01:33 Il ne le sent pas.
01:34 Ce n'est pas le bon timing.
01:36 Alors moi, perso, je n'ai pas peur de la mort.
01:39 Enfin, celle des autres.
01:42 La mienne, ça me contrarie.
01:43 Et puis la mort, ce n'est pas un problème.
01:45 Déjà, la mort des gens que tu n'aimes pas, ça peut même être une source de joie.
01:50 Ça arrive.
01:52 Un mot de l'AME, le RN affirme que certains clandestins viennent en France
01:55 pour se faire poser des anneaux gastriques et recoller les oreilles.
01:58 Alors moi, je n'y crois pas trop.
01:59 Jimmy Mohamed hausse les sourcils.
02:02 Je suis bien d'accord.
02:04 Vous avez vu les images des Erythréens, des Somaliens sur les bateaux.
02:07 Il y a peu de gros.
02:09 Le sang papier est souvent à l'abri de l'obésité.
02:12 Non, mais ils ne réalisent pas la chance qu'ils ont d'avoir un si bon métabolisme.
02:16 Je ne vois jamais une Erythréenne, l'Irbiba, avec son body summer, toute soucieuse.
02:20 Quant à la question des oreilles décollées,
02:22 on imagine mal les migrants dire "Boubacar !"
02:25 avec les cages à miel qu'il a.
02:27 On a pris un vent au départ de Tunis.
02:30 On a l'impression d'être Tabarly sur Pennevique.
02:32 On a fait Tunis-Lampedusa, 1h25.
02:35 45 heures de neune moyenne.
02:37 J'ai sorti les oreilles de Boubacar.
02:43 Laurent Ruquier, très vite.
02:44 Oui, il était là il y a quelques minutes.
02:46 Ah, Laurent Ruquier !
02:48 C'est formidable, la pièce a l'air très bien.
02:50 Laurent, c'est un grand découvreur de talent.
02:52 Il a découvert Gaspard Proust au Café Théâtre.
02:55 Le gars tourne dans des films, dans des pièces.
02:57 Il découvre Jérémy Ferrari.
02:59 Le gars demande qu'il y ait Henri Régis.
03:01 Il est zénith maintenant.
03:03 Il m'a découvert à RTL.
03:05 Et aujourd'hui, je suis à RTL.
03:07 Oh !
03:10 Merci Philippe !
03:11 À demain, 7h55.
03:13 Vous allez voir.