“C’est très traumatisant, on ne se sent plus chez soi”: Zinedine Bouzourene, influenceur, a été cambriolé en août dernier
Zinedine Bouzourene, un influenceur, a été cambriolé en août dernier. Il raconte sur BFMTV comment il a vécu et quelles habitudes de vie il a changé depuis qu'il s'est fait cambriolé.
Transcript
00:00 En fait, je pense qu'en tant qu'influenceur, on expose beaucoup trop notre vie.
00:02 Mais sans le faire exprès.
00:04 Et en fait, je pense qu'on donne envie à tous ces cambrioleurs de venir voler à la maison.
00:09 Quand on filme notre vie, quand on fait des stories, des vidéos,
00:15 on peut voir qu'il y a des objets qui sont posés là, d'autres objets là.
00:19 Et en fait, je pense qu'on donne envie à ces gens-là.
00:21 Mais sans le faire avec ça, parce que nous, on doit bien travailler.
00:24 Déjà, quand tu rentres chez toi et que tu vois qu'il y a des scellés sur ta porte,
00:26 tu vois ta porte qui est cassée,
00:28 donc tu dis qu'il y a des gens qui sont rentrés chez toi.
00:30 Pour le coup, ils avaient fumé une cigarette, il y avait de la sangle par terre.
00:34 Donc ils ont fumé une clope chez moi.
00:36 Et en plus, ils ont volé tout ce que nous, on a construit en soi,
00:39 parce que c'est à nous, c'est notre argent, on a tout payé de notre poche.
00:42 Donc eux, ils arrivent comme ça, ils se serrent dans ton intimité,
00:46 ils fouillent tes vêtements, tes caleçons, tes chaussettes.
00:48 Non, c'est très traumatisant, tu ne te sens même plus chez toi après.
00:52 Alors, ce que je fais maintenant, c'est que je ne fais plus de stories.
00:55 Donc, je ne fais plus de directs.
00:57 Je ne mets plus quand je vais au restaurant, quand je vais faire les magasins,
00:59 tout ça, je ne le fais plus.
01:01 Quand on part en vacances, oui, on le dit,
01:04 mais du coup, on doit payer quelqu'un qui vient rester à la maison
01:07 pour garder notre chien à la maison.
01:09 Tout ce qu'on avait d'objet de valeur, on a tout enlevé.
01:11 Comme ça, si quelqu'un vient quand même,
01:14 quand on a des personnes à la maison, on n'a plus rien à voler.
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