Qué Importa | Programa Completo 27/diciembre/2023
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00:00 Qu'est-ce que vous en pensez des beaux bisous du magnifique William Ledy ?
00:04 A la fraise ? A la mangue ? A la michote ?
00:07 Alors aujourd'hui, nous allons vous en dire !
00:08 A la chicharron avec du jus de guanabana.
00:11 Shrek et Fiona sont en colère et sont prêts à tout pour générer des revenus.
00:17 Le Mexique est surréaliste, oui, oui.
00:20 Bon, parlons d'un autre type de produit national.
00:22 Le limon est une fruite, un gel, un sazonateur.
00:26 Et comme nous le montre cette jeune, le limon peut aussi être un sauve-vie en événements sociaux
00:32 de haute categorie.
00:34 Voyons ses utilités.
00:36 Ma soeur, elle a oublié de me mettre de l'humidifiant.
00:39 Je demande un extra limon avec ta boisson, ma soeur. Prêt.
00:43 Très bien !
00:46 Que c'est bon !
00:49 Avant de savoir tout ça, je vais mettre un kilo de limon dans la casserole
00:54 et ensuite je vais faire une michelada pour m'en sauver de la salle.
00:57 Exact, exact.
00:59 Le problème, c'est que quand tu pleures, tu vas sentir la odeur de Margarita, de Zabala.
01:05 Non ? Ça va être bizarre.
01:09 En parlant de cette ex-pareille présidentielle,
01:12 Philippe, quand tu pleures, ils disent que tu sent le jus de vampire.
01:16 Et de la coca aussi.
01:19 De la coca.
01:20 On verra plus tard.
01:21 Mais bon, au moins, je me peinais comme ça,
01:25 parce que sinon, le pauvre limon,
01:27 il aurait aussi dû être utilisé comme gel pour se mettre sur la coque.
01:30 Je veux dire, de la coque, pour ne pas qu'il se fasse les cheveux.
01:32 Je voulais dire que c'est comme ça que je me peinais ma mère quand j'étais enfant,
01:35 mais non, non, je veux dire, le cheveu, non.
01:38 Exact.
01:39 Bon, et dans l'une de ces, le limon, il sert aussi pour la défilade, non ?
01:43 Mais, à peu près, les limons décollent le beau public.
01:47 Non, bon, si, si tu donnes assez de limons, je crois que si.
01:51 Tu restes sans rien.
01:53 C'est pour ça que je vois des gens un peu agris par là-bas, dans la rue, non ?
01:57 Ça doit être ça.
01:59 Hé, c'est ici, et nous sommes dans cette,
02:00 c'est inévitable qu'on te demande,
02:02 quel limon préfères-tu ?
02:03 Des limons de nylon ou un limon de colima ?
02:07 Fais attention, en réalité,
02:08 j'aimerais te donner un limon de culiacan pour que tu ne le prennes pas.
02:11 C'est le bon !
02:12 Oui, c'est le bon !
02:14 Et maintenant que tu es à Chicago,
02:15 que dirais-tu, tu l'as déjà plus proche,
02:17 que dirais-tu d'un limon de Detroit ?
02:20 Wow !
02:20 Quelle variété de limons, quel brut !
02:23 Quel horreur !
02:24 Et de limon, passons au champignon,
02:26 le champignon qui croît dans tes pieds.
02:28 Bon, il se trouve que les ongos peuvent croître
02:30 dans des environnements très inhospitables et hostiles,
02:33 comme ce petit ongot qui a trouvé son habitat
02:35 où personne ne l'attendait.
02:37 Regarde-toi là-bas.
02:38 Dans un camion ?
02:44 Ah, regarde !
02:45 Non !
02:46 Regarde, quelle tendresse !
02:49 Dans le micro !
02:50 Champignon de camion, quel brut !
02:53 Je savais qu'il y avait des ongos dans les micros,
02:54 mais là, je ne sais pas.
02:56 Tu sais quoi ?
02:57 Il ne manque plus qu'il y ait Mme Pelos
02:59 qui installe son comal et qui les transforme en quesongos.
03:02 Parce qu'ils sont déjà prêts.
03:04 Non, il ne peut pas être là-bas,
03:06 parce que c'est un type spécial de champignon.
03:08 C'est le champignon galais.
03:10 Ne me dis pas !
03:11 Oui.
03:12 Je ne sais pas si c'est le champignon gota,
03:14 l'un des deux,
03:15 mais c'est bien que les camions
03:17 se deviennent si organiques aujourd'hui.
03:20 Oui.
03:21 En fait, si tu manges le champignon gota,
03:23 celui qu'ils ont vu,
03:25 tu manges un de ces ongos
03:26 et le voyage n'est plus un camion,
03:27 c'est un voyage astral,
03:29 c'est un voyage mystique.
03:30 Oui.
03:31 Magique.
03:32 Et le champignon guisa...
03:35 Non, ça, c'est bon.
03:36 Si tu prends beaucoup d'attention
03:39 et tu approches des champignons qui sont dans le micro,
03:41 tu peux trouver Papa Pitoufo.
03:43 Ah !
03:44 Oui.
03:45 Ou le Pitoufo de ton ami de siège,
03:47 si tu cherches bien.
03:48 Alors, comment on voit
03:52 que nous avons arrêté de sanitiser les surfaces
03:53 depuis que l'affaire de la pandémie a été aménagée ?
03:56 Tout le monde va à la gorge.
03:58 Bon, allons parler de sexe et de politique,
04:02 parce que les deux choses vont de la main.
04:04 Parce que jusqu'à aujourd'hui,
04:06 vous ne saviez peut-être pas qui était
04:07 Juan Carlos Azueta,
04:09 et nous ne le culpons pas,
04:10 nous ne le savions pas non plus.
04:11 Mais il est un acteur de porno
04:13 qui va maintenant incursionner dans la politique.
04:16 Après ce jour,
04:17 vous ne oublierez pas le grand,
04:19 que je dis grand,
04:20 le gigantesque Carlos Azueta.
04:22 Regardez-le.
04:24 Mon objectif est de contendre
04:25 pour un poste de l'élection populaire en 2024.
04:28 Oh mon Dieu !
04:30 Qu'est-ce que vous en pensez ?
04:32 Nous sommes en train de faire la merde
04:33 et de faire la merde et demi.
04:34 Maintenant, suivez-nous,
04:36 suivez-la sur Twitter,
04:37 suivez les fans de Lennon,
04:38 vous verrez les meufs
04:39 que nous allons subir.
04:40 La vérité,
04:41 cette fille, oui, mon fils,
04:43 elle est la même.
04:45 A voir si vous comprenez bien
04:46 ce que nous avons vu.
04:47 C'est un acteur de porno
04:48 qui veut être politique
04:49 et il va incursionner dans la politique.
04:50 Pourquoi la fille avait cette chose
04:51 sur sa tête ?
04:53 Exactement.
04:54 Il n'y a pas grand-chose
04:55 de différent entre les deux travaux.
04:57 Dans les deux travaux,
04:58 on doit laisser aller quelqu'un.
05:00 Dans le cas des politiques,
05:02 on laisse aller nous-mêmes,
05:04 les citoyens.
05:05 Exactement.
05:06 Maintenant, vous savez quoi ?
05:08 Je l'aime.
05:09 Je l'aime parce que
05:10 quand la chose devient dure,
05:11 il va savoir
05:12 ce qu'il va faire avec la chose.
05:14 Il va pouvoir la gérer.
05:16 Oui.
05:17 Est-ce qu'il est membre du PRD ?
05:19 Oui.
05:21 Ou il va s'affilier ?
05:23 Parce qu'ils disent que,
05:24 comme le PRD,
05:25 il s'incline un peu à gauche.
05:27 Mais un peu, rien de plus.
05:29 Je n'ai pas vu.
05:30 La vérité, c'est que
05:31 si les politiques nous vont incursionner,
05:33 nous préférons qu'un expert
05:34 nous incursionne sur le sujet.
05:36 Que ce soit n'importe qui.
05:38 C'est bien qu'il soit un acteur
05:39 qui sache comment.
05:41 Regarde, ça me semble
05:42 comme une manque de respect.
05:44 Quoi ?
05:45 Pour ne pas dire autre chose.
05:47 Rien de plus.
05:49 Désolé, candidat,
05:50 mais à la discussion,
05:52 il va y aller avec ou sans vêtements ?
05:55 Et il va laisser tomber ses adversaires ?
05:57 J'imagine que oui.
05:58 Avec la protection.
06:00 Je veux penser que c'est avec la protection,
06:01 avec la sécurité.
06:02 Bien.
06:03 Il, comme ce vieil politique mexicain,
06:06 sait que à la verre garanties,
06:08 il n'y a pas de violence.
06:10 C'est vrai.
06:12 À la verre garanties,
06:13 il n'y a pas de violen...
06:14 Qui ne voudrait pas savoir
06:17 à quoi ressemblent les bisous
06:19 de son acteur préféré ?
06:21 César Bono ?
06:23 Pocholo !
06:25 Pocholo, il est parti.
06:27 Mais on peut résoudre une question.
06:29 À quoi ressemblent
06:30 les bisous délicieux de William Levy ?
06:32 Le problème, c'est que ça ne sera pas
06:34 ce que vous avez imaginé
06:35 ou savouré.
06:36 Regardez.
06:37 Le rhum de la Guanaana.
06:40 Ce sont les bisous de William.
06:42 OK, OK.
06:44 La seigneurite est en train de dire
06:45 que William se mange
06:47 les bisous de Chicharron
06:48 quand il vous fait un bisou.
06:49 Il se mange les bisous de Chicharron.
06:51 Mais de qui ?
06:52 C'est ce que nous voulons savoir.
06:54 Parce que William prépare
06:56 des bisous délicieux
06:57 de pressage.
06:58 En style russe.
07:00 Oui, oui, oui.
07:02 Avec Sébastien Rully, non ?
07:05 Oui, exactement.
07:06 Les bisous de Rully.
07:08 Si quelqu'un lui a dit
07:09 "Oh, William,
07:10 que tu te fasses la bouche
07:11 à Chicharron"
07:12 ou pourquoi ?
07:13 Exactement.
07:14 Vous savez que pour ça,
07:15 avant de faire un bisou,
07:17 William met de la sauce verte
07:18 dans le nez.
07:19 Oui, pour quoi ?
07:21 Pour que ça se mange.
07:22 Si ceux de Timbiriche
07:23 ont des bisous de sandre,
07:24 pourquoi ne peut-il pas
07:25 William Levy avoir
07:26 des bisous de chorizo ?
07:27 Oui, bien...
07:28 Et en parlant de tacos
07:30 et de carnitas,
07:31 qui dirait que William Levy,
07:33 le boucher,
07:34 savoure les bisous de Chicharron ?
07:35 Le boucher, c'est le boucher.
07:36 Le boucher, c'est le boucher.
07:37 Le boucher, c'est le boucher.
07:38 Et William Levy,
07:39 le boucher,
07:40 savoure les bisous de Chicharron.
07:41 Bien sûr, non ?
07:42 Que bizarre !
07:43 Je me souviens,
07:44 il y a beaucoup d'années,
07:45 je me suis fait baiser
07:46 dans une boisson.
07:47 J'ai baisé le potrillo.
07:48 Et à lui,
07:49 il ne savoure pas
07:50 les bisous de Chicharron.
07:51 À qui ?
07:52 À Chloro.
07:53 Non !
07:54 Hey, attends,
07:55 tu as dit
07:56 que dans une boisson,
07:57 tu n'étais pas sûr
07:58 si tu lui avais baisé
07:59 la bouche,
08:00 c'est pour ça
08:01 qu'il t'avait dit Chloro.
08:02 Oh !
08:03 Que horrible !
08:04 Allons-y !
08:05 Avec Barbie !
08:06 Ou bien,
08:07 Gabi Graf,
08:08 regarde comment elle se porte aujourd'hui !
08:09 Que horrible
08:10 les choses qui se disent ici !
08:11 Mais bon,
08:12 les Méxicains
08:13 dans l'étranger
08:14 se font la fête.
08:15 Checo Pérez,
08:16 Canelo Álvarez,
08:17 et cette danseuse
08:18 qui a sorti
08:19 "Les Prohibits"
08:20 dans le concert
08:21 de Katy Perry.
08:22 Regarde
08:23 et applaudis
08:24 à cette jeune fille.
08:25 A voir,
08:26 a voir.
08:27 Que t'appelles-tu ?
08:28 Maman !
08:29 Maman !
08:30 Maman !
08:31 Maman !
08:32 Maman !
08:33 -Matheo Samuel, Mexico.
08:36 -Youhou !
08:41 -Matheo !
08:42 -Venga.
08:43 -Y esto qué ?
08:45 ¿Qué haces ?
08:46 -Fue otro contrincante también que subieron ahí a...
08:50 -Venga. -¿Qué es ?
08:52 -Al baile.
08:53 -Venga, compatriota.
08:54 -Échale.
08:56 Muy bien.
08:58 -Que hubo, que hubo, que hubo ?
09:00 -Aja, que tenga.
09:02 -Vamonos !
09:03 -Waouh !
09:04 Con Twike y todo !
09:07 -Pues lo hizo impresionante, eh.
09:10 Que manera de bailar.
09:11 -Ah, le rompo la chingue.
09:13 -Primero, aquí lo que yo me pregunto es
09:17 ¿Qué hacía Katy Perry en el gran show de esta mujer ?
09:21 ¿Qué hace ahí ?
09:22 -Bravo, paisana.
09:23 Y el otro wey, el gabacho ese que estaba bailando,
09:26 ese pobre hombre acabó humillado y sin ropa.
09:28 -Sí, sí, es cierto.
09:29 -Aunque sospecho que no es la primera vez que le vienes a ver.
09:31 -Au revoir.
09:32 -Puede ser.
09:33 Et cette femme, en deux minutes,
09:35 a fait plus pour le Mexique que Peña en six ans.
09:38 -Sopa.
09:42 -Vous savez quoi ?
09:43 Ils disent à Gabi qu'ils la cherchent déjà
09:45 pour la vacciner contre le moquillo.
09:47 -Quoi ?
09:48 -Son bail était bien, mais...
09:50 -Sí, c'était bien.
09:51 -Mais c'était très bien.
09:52 -Ecoutez, écoutez, je dois dire quelque chose.
09:54 Vous voyez, les femmes ?
09:55 Quand tout est donné au moment,
09:58 il ne faut pas plus de 30 secondes.
10:01 -Ah, c'est ça.
10:02 -Comme ça, rapidement.
10:04 -Il y a même du temps.
10:05 -Oui.
10:06 -C'est incroyable.
10:07 Ces pas améliorent la vie,
10:10 pas comme les 12 pas auxquels je veux me porter, non.
10:14 Ceux à qui parle Calderon, non.
10:16 -Vous savez, je n'avais pas eu la chance
10:19 d'être un Mexicain depuis que je suis né.
10:22 La vérité, c'est...
10:23 -C'est bien, j'ai aimé.
10:25 -C'est bien, c'est bien.
10:26 -C'est bien, j'ai aimé.
10:28 Le football sort notre pire côté.
10:31 Nous sommes capables de ne pas connaître notre proche,
10:34 comme l'ont fait ces deux messieurs
10:37 qui se sont battus contre un enfant innocent.
10:40 Regardez.
10:41 -Les enfants de Sushi.
10:42 -Ici sont les deux messieurs.
10:47 -Très enragés.
10:48 -Et le enfant ?
10:49 -Et comment est le enfant ?
10:50 Avec son poker face.
10:53 -Un 0.
10:54 -Un 0, papa.
10:56 -Un 0.
10:57 -Un 0, papa.
10:58 -Waouh.
11:02 -Un idole.
11:03 -Je ne sais pas si je vois un enfant
11:04 se comporter comme un adulte
11:05 ou deux adultes se comporter comme des enfants.
11:07 -Ici, il y a deux adultes qui se comportent
11:09 toujours comme des enfants.
11:10 -Ce enfant, il a mis de la gazoline
11:12 et il a ouvert un ceril.
11:13 Ce enfant est un malade, vous l'avez vu ?
11:15 -Pardonne-moi, Gabi,
11:16 mais ce enfant, sans aucun doute,
11:18 c'est le "stacke" de l'enfant.
11:19 -Oui.
11:20 -C'était comme ça.
11:21 Je l'ai connu à l'époque.
11:22 -Mais je ne l'ai pas levé,
11:23 c'est un enfant.
11:24 -Mais bon, c'est bien que ça ne se soit pas passé en Mexique.
11:28 C'est bien que ça ne se soit pas passé en Mexique.
11:30 Ici, cet enfant aurait été utilisé comme un ballon.
11:32 -Non.
11:33 -Exactement.
11:34 -Ce enfant ne s'est pas laissé.
11:36 Cet enfant est si rude que quand il est né,
11:38 il a élevé le docteur.
11:39 -Ah, oui ?
11:40 -Quand il est né, il a embarqué la médecin.
11:43 -Quoi ?
11:44 -Il est sorti de l'hôpital en marchant
11:46 et a conduit le taxi.
11:47 -Waouh.
11:48 -Exactement.
11:49 Et vous savez quoi ?
11:50 Il n'a pas besoin de dire une seule parole
11:52 pour faire enranger ses adversaires.
11:54 Comme Philippe Calderon,
11:55 il ne respire que et il s'enrange tout le temps.
11:58 C'est fou.
11:59 C'est la faute de tout le temps.
12:01 -De Philippe.
12:02 -De tout.
12:03 -Aujourd'hui, j'ai appris quelque chose dans ce programme,
12:05 je ne peux pas croire.
12:06 -Oui.
12:07 -Hésitez-moi plus en langue des signes.
12:10 -Ah, bien reçu.
12:12 -Mais bon, Conor McGregor est sans doute
12:15 l'un des meilleurs combattants du monde.
12:18 Mais quand il se bat contre des personnes,
12:20 il n'a pas le droit de dire une seule parole.
12:24 Littéralement.
12:25 Voici pourquoi.
12:26 -Allez.
12:27 -Allez, c'est fort.
12:31 -Vous avez vu le numéro 1 ?
12:35 -Le numéro 1.
12:36 -Le même numéro 1 ?
12:37 -Oui, regarde.
12:38 -Le même numéro 1 du garçon qui l'a fait se moquer.
12:42 -Regarde, Conor.
12:44 -Ce coup, le seul qui l'a blessé,
12:47 c'est l'ego de Conor McGregor.
12:48 -Oui.
12:49 -Oui, oui, oui.
12:50 En fait, il se bat plus fort que la machine
12:53 après les 40 ans de sa vie.
12:56 -Jusqu'à la vie de 30 ans.
13:00 Je ne sais pas qui est le pire.
13:02 La machine ou Conor qui se moque de la machine ?
13:06 -Exactement.
13:08 -C'est un peu fort.
13:09 Mais bon, Conor,
13:10 parfois, même si tu as beaucoup de chance,
13:12 tu ne peux pas te battre fort.
13:14 -Oui, non.
13:15 -Consulte ton médium.
13:16 -Exactement.
13:18 -Exactement.
13:19 -Tu sais quoi ?
13:20 En fait, ils disent que la machine
13:21 lui a mis un gancho au livre.
13:23 C'est-à-dire, le courage qu'elle a eu
13:24 quand elle a vu son numéro 1,
13:26 le mal qu'elle lui a fait.
13:27 -Non, non, non, Staka.
13:29 Cette machine est comme la Vénézuéla.
13:31 Même si elles essayent de lui battre fort,
13:34 personne ne se bat.
13:35 -Pas de chance.
13:37 -Nous allons se battre.
13:39 -Nous allons se battre.
13:40 -Merci, Gabriela Graff.
13:42 -Merci à vous.
13:43 -Allez, mettez-le là.
13:45 -Mais maintenant, parlons de la crise.
13:47 La crise est en train de se faire.
13:49 Aujourd'hui, il faut avoir deux ou trois travaux
13:52 pour compléter les dépenses.
13:54 Que ce soit qui que ce soit,
13:55 même les personnages de films pour enfants
13:57 vivent de ça.
13:58 Regardez comment ils se passent mal.
14:00 Shrek et compagnie pour se rassembler pour les dépenses.
14:02 Regardez.
14:03 -Qu'est-ce qu'il y a ?
14:09 -Pour les fêtes, ils se rentrent.
14:10 -Encourage la fête, Shrek et le Bourreau.
14:12 -Ils sont là, ils sont là.
14:14 -L'Ada.
14:16 -Et l'Ada, à tous.
14:18 -La fête est bien.
14:21 Le gâteau avec ses chaussures
14:24 n'est pas allé.
14:25 -Pourquoi ?
14:27 -Parce qu'une dame a adopté le gâteau.
14:30 -Ah, oui ?
14:31 -Elle l'a comme amante.
14:32 -Ah, ok.
14:33 -Ne me dis pas.
14:34 -Il y a des femmes qui aiment les gâteaux.
14:36 -Oui, oui, oui.
14:37 -Passez-moi le téléphone de l'Ada, non ?
14:40 Elle était cool.
14:41 C'est pour le contrôler pour un show privé.
14:43 -Ah, ok.
14:44 -De un ami.
14:45 -C'est pas pour moi.
14:46 -Je me ferais peur des shots
14:48 de la Vibora de la mer,
14:50 vu que le Bourreau est de près.
14:52 -Ah, oui.
14:53 -Je suis abstentieux, je ne le choupe pas.
14:55 -A la fin de la fête,
14:57 ils ont joué à la queue du Bourreau.
14:59 -C'est ce qu'ils ont joué.
15:01 -Je vais dire quelque chose.
15:02 Dans une fête,
15:03 après 10, 11 heures du matin,
15:05 on se voit tous comme Shrek.
15:07 Tous.
15:08 -Oui.
15:09 Et à 12 heures,
15:10 on se voit tous comme des princesses.
15:12 On ne se voit plus comme des fionas.
15:14 -Exact.
15:15 Je vais te dire quelque chose.
15:17 Tu ne devrais plus te vêtre comme ça.
15:19 -Pourquoi ?
15:20 -Pour respecter Miguel Galván.
15:22 En paix, reste.
15:23 Laisse-le en paix.
15:24 -Salut, Miguel.
15:25 On t'a mis au courant.
15:26 Tout était de la rire et de la fun
15:28 jusqu'à la fête.
15:29 Parce que le mari,
15:30 bizarrement,
15:31 a trouvé à sa femme
15:32 une marque verte
15:33 ici, dans le Scottish.
15:36 -Non !
15:37 -Non, dis-moi !
15:39 Dis-moi !
15:40 Et tu sais quoi ?
15:41 En laissant de côté ce que tu viens de dire,
15:44 ils n'ont pas seulement travaillé en fête.
15:46 Regarde ce qu'ils doivent faire dans la rue
15:48 pour compléter les dépenses de la maison.
15:51 -Bien, bien.
15:52 -Il y a Fiona !
15:54 -Oui, il y a Fiona en haut.
15:57 Et il y a Shrek.
15:58 -Si, on voit qu'il les va mal.
16:00 Il est très flac, Shrek.
16:02 -Exact.
16:03 -Oh, mon amour.
16:05 -Pitoyable qu'ils n'aient pas renouvelé le contrat
16:07 pour signer Shrek 5,
16:08 la vengeance du bourreau.
16:10 -Non !
16:11 -Non, dis-moi !
16:12 Et si le bourreau s'est fait venger ?
16:15 Enfin, oui.
16:16 Bon, ok.
16:17 Pauvre Shrek.
16:18 La vérité, ce qui se passe,
16:19 c'est qu'il n'a pas réussi
16:20 à le faire pour le prévial de la plage
16:21 et il doit faire ses choses.
16:22 Et bien, la réalité s'impose.
16:24 Vous pensez que vous avez le meilleur travail du monde ?
16:27 Alors, renoncez !
16:29 Parce qu'il y a un travail beaucoup mieux.
16:31 Tout ce qu'ils doivent faire,
16:33 c'est être vivants
16:35 et qu'ils aiment l'aïe.
16:36 Parce que, vous,
16:38 vous avez cette merveilleuse façon de gagner de la vie.
16:41 Il suffit simplement de goûter des gâteaux.
16:43 Que pensez-vous ?
16:44 -Voilà, avec une marque très, très, très succueuse au monde,
16:47 Maxibon.
16:48 -Ils vous donnent 1 000 euros pour goûter un Maxibon,
16:51 qui est un sandwich d'ailée,
16:52 de la fameuse marque
16:54 que nous ne pouvons pas mentionner
16:55 parce que nous n'avons pas payé
16:57 ni un seul euro.
16:58 Alors, nous ne allons pas dire la marque.
17:00 -Je sens que j'ai passé toute ma vie
17:01 en trainant pour ce travail
17:03 et je ne le savais pas.
17:04 C'est le moment.
17:06 -Le truc, c'est que le produit qu'ils vous donnent
17:09 est terminé et ils veulent voir
17:10 si ça ne goûte pas
17:11 ou si ça vous fait mal.
17:12 C'est ce qu'ils veulent savoir.
17:13 -Ah, putain, oui.
17:15 Je sens que si j'avais eu ce travail,
17:17 quelque chose serait mal
17:19 et inévitablement,
17:20 ils me finiraient en courant.
17:22 Comme ici.
17:23 Par ailleurs, aujourd'hui, c'est ma dernière nuit.
17:24 Merci à tous d'avoir été ici.
17:26 Qui importe ?
17:27 On se voit.
17:28 -Reste à l'esprit.
17:29 J'avais un cousin
17:30 à qui ils payaient 1 000 euros
17:31 pour mettre une palette de grosseille entière.
17:34 Mais ce n'était pas dans la bouche.
17:37 C'était un truc de fête,
17:39 un truc de magie.
17:41 -Pour 1 000 euros,
17:43 tu mettais une palette de grosseille ?
17:45 -Non, non, c'est que c'était un cousin,
17:47 ce n'était pas moi.
17:48 -Oui, c'est vrai.
17:49 Bon, pour 2 000 euros ?
17:51 -Je le pensais, je le pensais.
17:54 -Le seul truc qui pourrait améliorer ce travail
17:56 c'est que l'élat me le donnait Sébastien Rulli
17:58 sans veste.
17:59 -Va y, l'élat.
18:00 -Exact.
18:01 -Je sens que ce travail est trop bon pour être vrai.
18:06 Et quand tu arrives à l'interview de travail,
18:08 ils t'essayent de vendre un temps partagé.
18:10 Ce n'est pas possible qu'ils te donnent
18:12 tant d'argent pour manger de l'élat.
18:14 -Si vous avez du mal à avoir un travail,
18:17 nous avons de bonnes nouvelles.
18:18 Parce que certaines universités en Europe
18:20 ouvrent une licence en tant qu'influenceurs.
18:25 -Quoi ?
18:26 -Oui, vous pouvez passer 3 ans de votre vie
18:30 apprenant à faire de l'élat pour que les gens te payent
18:32 pour faire de l'élat.
18:34 Et ne jamais travailler dans votre vie.
18:36 Certaines de ses thèmes sont
18:38 la cancellation de la cancellation,
18:40 la photo de votre déjeuner,
18:43 le blocage des abonnés,
18:46 et comment bien te voir en bikini
18:48 même si tu es homme.
18:50 -C'est intéressant, hein ?
18:51 Je suis intéressé par son dernier thème.
18:53 Maintenant, ça ne m'importe pas
18:54 si tu n'as pas terminé la prépa,
18:56 ou la secondaire, ou le Kinder.
18:58 Ils ne te demandent pas de papiers, c'est génial.
19:01 -Ce n'est pas surprenant.
19:03 Il y a aussi une course
19:05 où ils te payent pour ne rien apprendre.
19:07 La communication.
19:09 -C'est ça !
19:10 -Moi aussi.
19:12 -Je m'imagine qu'ils ont aussi une course
19:14 où ils t'enseignent à aller dans les restaurants
19:17 et dire qu'au lieu de payer,
19:18 tu vas leur payer avec des likes.
19:20 Si je suis un influenceur très célèbre,
19:22 prenez-moi de la nourriture.
19:23 Non !
19:24 -Et le diplôme de cette course
19:26 est le même que celui de la licence en philosophie.
19:29 -Oui, ils t'en donnent
19:31 déjà fait, roulé et assez épais.
19:33 -C'est pareil.
19:34 -Ils te le donnent, c'est prêt.
19:36 -Dames et messieurs,
19:37 prenez soin du prochain épisode
19:38 et dites-nous,
19:39 quel pain d'amour a mangé après ?
19:41 La conche de sa grand-mère ?
19:43 -La donne pelue de sa copine ?
19:47 -Ou un virot de Jalissien ?
19:50 On va le découvrir en revenant à "Qu'importe".
19:55 ♪ ♪ ♪
20:00 ♪ ♪ ♪
20:03 -Antes de le corter,
20:04 les preguntamos,
20:05 que pan dulce comió después ?
20:08 -Después.
20:09 -La concha de su abuela ?
20:11 -Una dona de pelos ?
20:13 -Un virote Jalissiense ?
20:15 Vamos a ver.
20:17 -Hijole, pobre mujer.
20:18 Ay, ay, ay.
20:20 Ay, ay, ay.
20:22 Ah !
20:24 -Oh !
20:25 -Oh !
20:26 (rires)
20:28 ♪ ♪ ♪
20:30 -Je crois que non,
20:31 c'était pas mal.
20:32 -Ah, c'était grave.
20:33 -C'était amortissant.
20:34 -Un peu amortissant.
20:35 -Mais j'ai senti que,
20:36 au final,
20:37 j'ai vu qu'il avait les lèvres
20:38 cassées.
20:39 -Oh !
20:40 -Je crois que c'était très froid.
20:42 -Ah, OK.
20:43 -C'est sûr.
20:44 -Il était très sec.
20:45 Bonne nuit, Barbie.
20:46 -Bonne nuit.
20:47 (applaudissements)
20:48 -Papa de Ken.
20:49 (rires)
20:50 ♪ ♪ ♪
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21:09 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]