Kamal se dévoile pour ses fans... #short

  • il y a 7 mois
Kamal se dévoile pour ses fans...
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Transcript
00:00 Chocolat, chocolat, avec un peu de lait façon la Coca-Cola.
00:05 Fanta, avec un peu de fraise façon la.
00:08 Hello, c'est moi Kamal Arulève, artiste rappeur, chanteuse ivoirienne.
00:11 Je suis dans l'inside sur l'infodrome.
00:13 Kamal, c'est un mot arabe.
00:19 Ça signifie la perfection.
00:21 Le nom Kamal, d'abord c'est la signification qui m'a attirée en fait.
00:25 Parce qu'au quartier, les gens donnaient des noms.
00:28 Mon nom à l'état civil, c'est pas trop rappeux.
00:30 Ils vont me prendre genre une petite fille façon, des blazes.
00:33 C'est comme ça qu'on appelle dans le rap, ton blaze et tout.
00:36 Moi je voulais pas prendre mon nom à l'état civil.
00:38 Donc je me promenais sur Google et puis j'ai vu le mot Kamal.
00:41 Je me dis mais ce mot là, ça signifie quoi ? Ça m'attire.
00:44 Je vais voir, on me dit c'est un mot arabe qui signifie la perfection.
00:48 Or moi je veux être parfaite dans ce que je veux faire.
00:50 Dans ce que je voulais faire en fait.
00:52 Parce que j'étais pas encore dans le rap.
00:54 Du coup j'ai préféré m'attribuer ce nom là.
00:56 D'abord il faut dire qu'avant, quand je voulais commencer la musique,
01:00 je voulais apprendre à chanter.
01:01 Et puis j'ai croisé un ami, lui il m'a dit,
01:04 "Tu as une voix, si tu rappes là, ça va attirer les gens.
01:09 Ta voix est imposante. Il faut essayer un peu de chanter là.
01:12 Après tu vas faire ça."
01:13 Le rap là, c'est la musique de Demé.
01:16 C'est le style de Demé.
01:17 Donc il lui a dit mais rappe là, moi je sais pas faire.
01:20 Et puis c'est du, des trucs tu sais là, tatatatata.
01:23 Des trucs tu sais là, tatatatata.
01:25 Il dit je vais t'apprendre.
01:26 Je lui ai dit ok, si tu veux m'apprendre, apprends-moi.
01:28 C'est là qu'on a commencé à faire le rap ensemble jusqu'à...
01:31 On s'est perdu de vue.
01:33 Mais moi j'ai continué.
01:34 Voilà pourquoi aujourd'hui je suis dans le rap.
01:35 D'abord, la joconde, il faut comprendre que c'est un état d'esprit.
01:43 Je sais que beaucoup connaissent Leonard de Vinci,
01:46 qui a fait son tableau le plus populaire au monde.
01:48 Quand on a appelé la joconde, il y a d'autres qui appellent ça Mona Lisa.
01:51 En fait, il faut que chacun se voie en ce tableau là.
01:54 Il faut te voir en un tableau vivant.
01:56 Quels que soient tes défauts, dis-toi que tu es la joconde.
01:59 Tu peux être populaire comme tout le monde.
02:00 C'est ça qui te rend exceptionnel en fait.
02:03 Donc, faut pas te focus sur tes défauts pour dire non moi j'ai ça,
02:07 je peux pas faire ce travail, moi j'ai ça, je peux pas faire tant.
02:09 Tu peux tout faire.
02:10 C'est à toi de te mettre en valeur en fait.
02:12 Moi jusqu'à présent, c'est toujours cet artiste là que moi j'écoute.
02:19 Il y a un seul artiste qui m'a inspiré à venir à la musique.
02:21 C'est le rappeur français, Meg Gims.
02:24 Aujourd'hui on l'appelle Gims, donc voilà.
02:26 Les genres musicaux sur lesquels je peux chanter facilement,
02:32 c'est d'abord tout ce qui est rap, old school, trap, drill, ça c'est le rap.
02:36 Mais il y a de l'afrobeat parce que je fais de l'afrobeat aussi.
02:39 Et il y a de la pop aussi.
02:40 Mon plus grand rêve, où je suis là, c'est de remplir Arena.
02:48 Comment je vais remplir ça là ?
02:50 C'est ça mon objectif.
02:51 Donc je fais tout ce qu'il y a autour pour arriver là-bas.
02:54 Je sais qu'un jour je vais arriver là-bas.
02:56 Le projet, il faut dire que j'ai des tas de projets au studio.
03:03 Les sons sont finis.
03:04 Si je peux faire un album, même 10 albums je peux faire.
03:07 Il y en a beaucoup.
03:08 Mais le prochain c'est, on ne sait pas encore.
03:10 Voilà, parce que tu peux donner un son, ça c'est en 2024 on va sortir ça.
03:14 Pourtant, l'inspiration peut venir, tu peux sortir un autre, ouais.
03:17 Ça peut être chic.
03:18 Sinon pour le moment, c'est un afrobeat.
03:20 Bien dansant à l'ivoirienne, qui parle des beaux-brousseurs, des gens dans la société,
03:25 parce que c'est des réalités.
03:26 Moi je parle toujours des réalités, de nos réalités, de la Côte d'Ivoire, de l'Afrique.
03:32 Du quotidien.
03:33 Je parle toujours du quotidien, de ce qui se passe entre nous.
03:36 Je ne vais pas ailleurs, je ne voyage pas.
03:38 Je reste ici et puis j'explique ce qui se passe ici.
03:40 En gros, je suis la voix du public quoi.
03:42 quoi.
03:43 [Musique]

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