Regardez Anthony qui brise le silence ce matin sur Cnews et répond à sa soeur Anouchka: "Tout cela n'est pas une affaire d'héritage ! Ma soeur a 50% et moi 25%, tout est réglé !". Anthony a estimé face à Pascal Praud que cette histoire n'avait ren à voir avec l'affaire Hallyday par exemple.
Alain Delon a annoncé hier, porter plainte contre son fils Anthony, après une interview choc de ce dernier qui dénonce l’état de santé déclinant de la star de 88 ans et accuse sa demi-sœur Anouchka de le manipuler.
Selon Anthony Delon, si ces tests cognitifs avaient été connus, cela aurait permis d’alerter sur les actions de sa « dame de compagnie », Hiromi Rollin, qui aurait abusé de lui. « Cela rend [Anouchka] indirectement complice de tous les abus et violences dont [Alain Delon] a été la victime », témoigne Anthony au magazine.
« D’après les médecins, ces tests démontrent une dégradation cognitive qui place mon père en position de faiblesse psychologique et donc de vulnérabilité », insiste le fils aîné. Dans cette interview, il revient également sur le quotidien de son père qu’il décrit comme très affaibli. « Il y a de forts risques que ce soit son dernier [Noël] », raconte-t-il. « Il parle peu, ça le fatigue ou bien ça l’énerve quand on le fait répéter, car sa voix n’est plus toujours placée, je veux dire audible », ajoute-t-il.
Dans la même journée, Anouchka Delon annonce également déposer plainte contre son frère Anthony, pour « diffamation », « dénonciation calomnieuse », « menaces » et « harcèlement », indique Le Figaro . Cette dernière se dit « très choquée et attristée par les propos mensongers et insultants » tenus par son frère dans Paris Match, précise son avocat, Me Ayela, le même que son père.
Alain Delon a annoncé hier, porter plainte contre son fils Anthony, après une interview choc de ce dernier qui dénonce l’état de santé déclinant de la star de 88 ans et accuse sa demi-sœur Anouchka de le manipuler.
Selon Anthony Delon, si ces tests cognitifs avaient été connus, cela aurait permis d’alerter sur les actions de sa « dame de compagnie », Hiromi Rollin, qui aurait abusé de lui. « Cela rend [Anouchka] indirectement complice de tous les abus et violences dont [Alain Delon] a été la victime », témoigne Anthony au magazine.
« D’après les médecins, ces tests démontrent une dégradation cognitive qui place mon père en position de faiblesse psychologique et donc de vulnérabilité », insiste le fils aîné. Dans cette interview, il revient également sur le quotidien de son père qu’il décrit comme très affaibli. « Il y a de forts risques que ce soit son dernier [Noël] », raconte-t-il. « Il parle peu, ça le fatigue ou bien ça l’énerve quand on le fait répéter, car sa voix n’est plus toujours placée, je veux dire audible », ajoute-t-il.
Dans la même journée, Anouchka Delon annonce également déposer plainte contre son frère Anthony, pour « diffamation », « dénonciation calomnieuse », « menaces » et « harcèlement », indique Le Figaro . Cette dernière se dit « très choquée et attristée par les propos mensongers et insultants » tenus par son frère dans Paris Match, précise son avocat, Me Ayela, le même que son père.
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00:00 -Moi je voudrais, parce que tout ça c'est bien, on le sait,
00:05 moi je veux commencer par éteindre un incendie,
00:09 qui pour moi c'est très important,
00:12 parce que toutes ces histoires d'argent, d'héritage,
00:16 toutes ces supputations, moi ça me rend malade,
00:20 parce que c'est pas ça.
00:22 Et je ne veux pas, je ne veux absolument pas que,
00:26 même si j'ai beaucoup de respect pour Johnny,
00:29 je ne veux pas qu'on soit associé à Johnny Betancourt
00:32 ou je ne sais qui.
00:34 Donc en fait je voudrais dire les choses telles qu'elles sont,
00:37 je veux dire la vérité.
00:39 Et je veux dire aussi pourquoi il y a ce conflit aujourd'hui.
00:42 Parce que ce n'est pas un problème d'héritage,
00:45 ce n'est pas un problème de succession.
00:47 Pourquoi ? Parce que la succession,
00:49 même si je l'ai dit dans une ligne dans Paris Match,
00:51 mais je pense qu'il faut que, je ne sais pas,
00:54 aujourd'hui il faut dire les choses jusqu'au fond,
00:57 je l'ai dit que je serais transparent, je le suis aujourd'hui,
00:59 je ne pensais pas que ce serait maintenant, mais bon.
01:01 La succession elle est réglée.
01:03 Le problème d'argent il n'y en a pas.
01:05 Tout est acté.
01:07 Donc si vous voulez, aujourd'hui,
01:09 et c'est là où je vais être transparent,
01:11 c'est très simple.
01:13 Ma sœur, elle a 50% de toute la fortune de mon père.
01:18 Mon frère et moi, on est ce qu'on appelle à la part de réserve.
01:22 Donc on a 25%.
01:24 C'est acté, c'est terminé, c'est fini.
01:27 Voilà.
01:28 Donc il n'y a pas de conflit.
01:30 Il n'y a pas de guerre, d'héritage, tout ça.
01:32 Tout ça, ça n'existe pas.
01:34 Maintenant, le combat d'aujourd'hui, il est où ?
01:38 Après je répondrai à toutes vos questions,
01:40 je vous parlerai de Paris Match si vous voulez,
01:42 pourquoi j'ai fait ça, qu'est-ce qui se passe,
01:44 mais vous allez le comprendre tout seul.
01:46 Le combat d'aujourd'hui, il est où ?
01:48 Il n'est que mon frère et moi.
01:50 Même si c'est à nos dépens.
01:53 Nous voulons que mon père,
01:56 que la volonté de mon père soit respectée.
02:00 Mon père, il a construit cette maison avec Mireille il y a 40 ans.
02:05 Douchy, c'est chez lui.
02:07 Il y a le cimetière des chiens, il y a l'église, il y a tout,
02:10 c'est chez lui.
02:11 C'est sa maison.
02:12 C'est un homme de la terre, c'est un terrien.
02:16 On veut, il veut,
02:18 et nous on veut que cette volonté soit respectée
02:20 et qu'il finisse ses jours à Douchy.
02:23 Voilà.
02:25 Ma sœur, et j'ai entendu hier un journaliste bienveillant
02:29 qui est sympathique, et d'ailleurs c'est rare, mais il y en a,
02:32 a dit, "Ah oui, elle veut le ramener en Suisse
02:37 pour être auprès de lui."
02:39 Non.
02:40 Si ma sœur, elle veut être auprès de mon père,
02:42 elle vient à Douchy.
02:44 Je veux dire, ces trois dernières semaines,
02:45 à part le Nouvel An, elle n'était pas là.
02:48 Elle a fait une photo d'otage avec le journal
02:51 pour prouver qu'elle était là le 31, enfin bon, bref.
02:54 On s'en fout.
02:55 Mais ce que je veux dire, du journal,
02:57 pas qu'elle n'était pas là pendant trois semaines.
02:59 Donc si vous voulez, si elle veut être auprès de lui,
03:02 elle vient, elle a même une maison attitrée à Douchy,
03:05 à côté, une petite maison.
03:07 Mais ce n'est pas ça.
03:09 C'est qu'en fait, ma sœur, si vous voulez,
03:11 elle veut ramener avec son avocat,
03:13 toujours le fameux, on en parlera tout à l'heure
03:15 par rapport à l'affaire Rollin,
03:16 elle veut ramener mon père en Suisse.
03:18 Pourquoi ? Parce que leur angoisse,
03:21 c'est pour ça que j'ai dit tout à l'heure
03:22 à nos dépens, on s'en fout.
03:24 Pourquoi ? Parce que leur angoisse, si vous voulez,
03:26 c'est que mon père soit redéfini français.
03:29 Citoyen français.
03:31 Depuis le 3 juillet, où on a fait cette opération,
03:35 mon père est en France.
03:37 Il était peut-être avant, combien de temps, quoi,
03:39 mais en tout cas, depuis le 3 juillet, il est là.
03:41 Donc ça, ça les fait flipper. Pourquoi ?
03:43 Parce que s'il est redéfini comme citoyen français,
03:46 eh bien, il va y avoir un énorme impôt.
03:49 Il va y avoir une énorme taxe.
03:52 Et nous, comme mon père d'ailleurs,
03:54 parce que payer une taxe post-mortem,
03:55 il n'en a rien à foutre.
03:57 Et il a raison, parce qu'il a travaillé toute sa vie.
03:59 Donc il a le droit aujourd'hui de décider, de choisir
04:02 où il veut mourir.
04:03 Est-ce qu'il va être enterré à Douchy ?
04:04 Est-ce qu'il va être enterré avec sa mère dans le caveau ?
04:06 On ne le sait pas encore.
04:07 Mais en tout cas, tout est prêt.
04:09 Il a le droit de décider de ça.
04:10 Et il s'en fout qu'il y ait un redressement fiscal
04:12 après qu'il soit mort.
04:13 C'est son argent.
04:15 Mais eux, ils ne s'en foutent pas.
04:17 Et nous, on s'en fout.
04:18 C'est-à-dire que ce n'est pas notre problème.
04:20 Et donc les deux autres, en fait,
04:21 ils veulent le ramener en Suisse,
04:22 ma sœur et son avocat, à cause de ça.
04:26 Et la volonté de votre père, c'est d'être à Douchy.
04:28 Vous avez déposé une main courante contre votre sœur.
04:33 Une main courante parce que vous n'avez plus accès
04:35 à des documents, des expertises
04:38 montrant que votre père était diminué intellectuellement.
04:41 Qu'est-ce que ça aurait changé pour vous
04:45 si vous aviez appris que votre père
04:47 était diminué intellectuellement ?
04:50 Intellectuellement, oui.
04:55 Vous n'avez pas ces facultés cognitives.
04:57 Cognitivement.
04:58 Voilà.
04:59 Qu'est-ce que ça aurait changé pour vous,
05:01 pour lui, pour Anoushka Deme ?
05:03 Beaucoup de choses.
05:04 Pour moi et pour mon frère,
05:06 mais pour moi, je vais parler pour moi.
05:08 Le fait qu'elle ne nous ait pas communiqué,
05:10 ces cinq tests cognitifs,
05:12 appelés tests de démence,
05:14 pour moi c'est très très grave.
05:15 Pourquoi ?
05:16 Parce que, un, si elle nous les avait communiqués,
05:19 on aurait agi plus tôt dans l'affaire Rollin.
05:22 Deux, si elle nous les avait communiqués,
05:28 on les aurait donnés à la gendarmerie.
05:31 On les aurait inclus dans la plainte,
05:33 en disant "attention, regardez ce qui se passe.
05:36 Il y a eu cinq tests qui ont été faits,
05:38 il est en position de faiblesse,
05:40 il est vulnérable,
05:42 il faut le sortir de là."
05:44 Est-ce que ça aurait changé quelque chose pour elle ?
05:49 Pour moi, éthiquement, c'est très grave.
05:51 D'abord, nous avoir menti, nous avoir manipulé,
05:53 et après, ce que je vais dire, c'est peut-être dur,
05:56 mais c'est ma façon de voir les choses.
05:58 D'une certaine manière,
06:00 pour des raisons diverses et variées,
06:03 elle se rend complice indirect de Rollin,
06:08 parce qu'elle a laissé mon père là-bas.
06:11 Mon père.
06:12 Même si cette affaire a été classée,
06:14 et moi, je me porterais partie civile,
06:17 parce que, ça on va en parler après,
06:21 si vous voulez, mon père, on l'a récupéré
06:24 dans un état physique, psychologique,
06:27 comment dire, de délabrement,
06:31 il était très touché.
06:34 Mon avocat te l'a dit hier, on a des photos,
06:36 on a des enregistrements, on a des choses.
06:38 Évidemment qu'on ne peut pas communiquer à la force.
06:40 Il a été maltraité ?
06:41 Bien sûr !
06:42 Mais vous savez, moi j'ai été chaud.
06:45 Maltraité psychologiquement, maltraité physiquement ?
06:47 Non, il n'a pas été battu.
06:49 Mais si vous voulez, par exemple,
06:52 il y a eu une bagarre de chiens,
06:54 ils ont été mordus tous les deux,
06:56 et c'est ce jour-là où mon frère
06:59 est rentré dans la propriété.
07:03 Elle a été à l'hôpital, chez le médecin,
07:07 elle a été accompagnée par, vous savez,
07:09 la campagne, par la dame qui vend les journaux,
07:11 mais mon père l'a laissé là.
07:13 [SILENCE]