• il y a 11 mois
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Transcription
00:00 On parle maintenant de la suite du procès de l'affaire Théo.
00:02 Trois policiers comparaissent devant les assises de Seine-Saint-Denis.
00:06 Ils sont jugés pour violences aggravées après une interpellation brutale
00:10 il y a sept ans à Olnay-sous-Bois.
00:12 La victime, Théo Luaka, avait notamment reçu un coup de matraque au niveau de la zone rectale.
00:17 Jean-Baptiste Marty, vous suivez ce procès pour Europe 1.
00:20 Aujourd'hui, à la barre, un enquêteur de l'IGPN,
00:23 il a interrogé le principal accusé de cette affaire.
00:26 Oui, à la barre, les yeux cernés, le commissaire divisionnaire de l'IGPN
00:30 revient sur ce moment marquant de sa carrière.
00:32 Quand on me parle d'un viol collectif sur un jeune de Cité,
00:35 j'ai d'abord cru à un bisutage parce que je venais d'arriver dans le service.
00:39 Se remémore-t-il, sourire en coin.
00:41 Puis l'enquête progresse, les témoignages se confrontent.
00:45 Le sérieux revenu, le commissaire s'interrompt quelques secondes
00:48 puis déclare d'une voix assurée.
00:49 L'élément clé dans cette enquête, c'est la vidéosurveillance.
00:52 Il revient sur les versions opposées.
00:55 D'un côté, celle de Théo Luaca qui dit avoir reçu des coups de pied volontaires
00:59 et ce coup de matraque.
01:00 De l'autre, celle du policier qui lui réfute toute violence
01:03 et dit ne pas se souvenir de ce coup de matraque.
01:06 Le policier semblait sincère dans sa version,
01:09 assure l'enquêteur de l'IGPN face à la présidente.
01:12 Finalement, le viol est écarté grâce à la vidéosurveillance.
01:15 Le caractère violent de l'interpellation,
01:18 notamment dû à la résistance de Théo Luaca,
01:20 est toutefois retenu pour ces violences aggravées
01:23 qui ont causé des dommages irréversibles sur la victime,
01:26 le principal accusé en cours jusqu'à 15 ans de prison.
01:29 Jean-Baptiste Marty aux assises de Seine-Saint-Denis pour Europe 1.

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