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Matam : Le collectif des enseignants républicains se range derrière Farba Ngom pour l'élection de Amadou Ba

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00:00 avec la vague effective de Matissa. Construction et équipement d'édifices
00:05 sanitaires et scolaires, financement des jeunes et des femmes, ralliement des
00:09 responsables de l'opposition à la mouvance des états-unis. C'est pourquoi nous lançons un
00:13 appel solennel à tous les responsables du département de Matam et de la région,
00:18 à se joindre à Fadango pour continuer ce travail en tant que groupe, à unir leurs forces pour
00:24 rester plus forts et engagés solidairement. L'élection présidentielle en vue a atteint toute
00:30 querelle de tendances qui n'ont aucun aboutissement si ce n'est notre forte fragilisation.
00:35 A accueillir le président de la république et son candidat à Moudouba prochainement dans la
00:40 ferveur, l'unité et l'esprit militant comme nous l'avons fait toujours. C'est ainsi que nous allons
00:46 appeler les cadres de la coalition Benin-Gokaya-Kaar en général et les enseignants républicains en
00:52 particulier à se joindre en nous dans le combat de sensibilisation, de remobilisation pour une
00:58 belle victoire au soir de l'élection présidentielle du 25 février 2024, dès le 1er août de cette
01:04 fois-ci. Nous réitérons notre engagement et notre soutien et l'explicit au côté du coordonnateur
01:10 départemental, Monsieur Fadango, député maire des Agnabes. Vive la coalition Benin-Gokaya-Kaar,
01:17 vive Amodouba, vive Parangon.
01:22 [Applaudissements]
01:24 [Quel est la position de la coalition des enseignants républicains?]
01:30 Bon, la coalition des enseignants républicains, vous le faites quand même appeler à l'émission.
01:38 Parce qu'aujourd'hui, au regard de ce qui passe dans ce département, cette tendance se dégage et nous pensons
01:45 pour mieux faire, pour mieux oeuvrer, pour l'intérêt du département, nous devons toujours frapper dans
01:54 la même direction, regarder dans la même direction à l'émission. Restons ensemble. J'ai l'habitude de
01:59 dire "ensemble on peut". Unis, on peut tout faire. Mais dans la deuxième, nous pouvons quand même avoir
02:07 notre sécurité. Et ce n'est pas le lieu de se démobiliser. Il faut à la mobilisation, il faut à l'unité.
02:17 Et nous appelons tous les responsables politiques du département à l'unisson. Nous tous, si nous nous unissons,
02:26 nous allons avoir, mercredi matin, un département qui sera un département en émergence.
02:33 Une question, où en êtes-vous avec... vous avez parlé de la construction des salles de classe et autre chose,
02:39 maintenant où en êtes-vous avec le déficit créant des enseignants dans le département de Matam ?
02:43 Il y a aussi un manque créant de créants dans certaines écoles.
02:47 Vous savez que l'éducation est un crédit. Où l'offre et la demande, il y a toujours cette offre là qu'il y a.
02:55 Il y a toujours cette demande et ce sont... Chaque année les parents demandent.
03:00 Vous savez que le gouvernement du Sénégal a mis l'accent sur l'équité et le transport.
03:09 Chaque enfant a besoin d'être, d'avoir un enseignant, d'être éduqué. C'est pourquoi chaque fois qu'il y a des demandes,
03:19 l'État est obligé d'ouvrir des salles de classe. C'est ce qui crée ce déficit là.
03:23 Mais aussi nous sommes dans un département, dans une région de départ où les gens demandent.
03:30 Parce que tout le monde veut aller dans les autres lieux, on les comprend.
03:34 Parce que ce sont des zones où il y a d'autres lieux qui poussent, qui puissent continuer d'être éduqués.
03:39 C'est pourquoi ils demandent d'aller à l'école.
03:41 Matam est une zone de départ, ce qui fait qu'à chaque fois nous constatons ce déficit là.
03:47 Mais l'État n'a pas à essayer. Avec ces démembrements, surtout au niveau des services décentralisés,
03:58 qui ont eu à régler ce problème par la création des classes spéciales.
04:03 Parce que nous avons eu à créer des classes spéciales pour permettre aux enfants d'avoir ce droit là, ce droit à l'éducation.
04:12 Alors moi je vais sur Onaspe, c'est l'appel à l'aspect d'abord.
04:16 Allez-y, pour les questions.
04:23 C'est l'appel à la paix qui doit transcendre quand même au-dessus de toutes les parties.
04:29 Ça c'est Onaspe. Et la deuxième question c'est sur le fichier électoral.
04:33 Donc merci.
04:35 La troisième question c'est sur la pertinence du parrainage.
04:42 Donc c'est toi qui le fais.
04:44 D'accord, je vous remercie.
04:46 Donc c'est par rapport au parrainage, d'abord je vais commencer.
04:50 Aujourd'hui tous les Sénégalais sont félicités.
04:52 Il y a ceux qui décriaient ce parrainage, aujourd'hui savent la pertinence de ce parrainage.
04:58 Regardez 200 candidats au départ, nous nous retrouvons aujourd'hui avec 21.
05:03 Et sur ces 21, il y a des gens même qui se disaient que ce parrainage, ils n'avaient pas confiance parce qu'ils ne passeront pas.
05:09 Aujourd'hui, dans un système bien mouillé et huilé, on a eu la chance d'avoir un comité de parrainage
05:17 où le mandataire même du parti, du candidat s'est représenté.
05:23 Et sur des bases claires, on te dit ce fichier là, il est bon, il n'est pas bon.
05:27 Ce nom, il y a des remarques qu'on a faites.
05:33 Quand ils sont allés, ils ont corrigé, ceux qui ont pu corriger ont été réintégrés sur la liste.
05:37 Donc aujourd'hui, nous nous félicitons qu'il y ait...

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