18/01/2024 - Le 6/9 de France Bleu Breizh Izel en vidéo

France Bleu Breizh Izel

il y a 9 mois

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00:00:00 Vous êtes bien sur France 3 Bretagne.

00:00:02 Ici c'est France Bleu Brésilienne à la radio sur l'appli Ici tous les réseaux et sur France 3 Bretagne.

00:00:15 Excellent réveil !

00:00:19 Merci d'être avec nous ce matin. Heureux de vous retrouver en ce 18 janvier. Bonjour Delphine Gauthier.

00:00:26 Bonjour Baptiste. France Bleu Brésilienne le matin avec vous bien sûr en direct jusqu'à 9h. Soyez les bienvenus.

00:00:32 On vous souhaite un bon réveil. Bon courage. On sort de la couette. C'est parti 7h.

00:00:36 Et on commence cette journée avec une très bonne nouvelle. Le soleil fera donc son retour.

00:00:47 Aujourd'hui c'est officiel. Ce matin, cet après-midi. C'est le voilu possible ce matin mais relativement léger quand même pour les températures 1 à 4 degrés.

00:00:55 Dans nos départements bretons et pas plus de 7 degrés notamment dans le sud Finistère et dans le sud du Morbihan.

00:01:02 Ce sera en milieu de journée. On va détailler tout ça bien sûr à la fin du journal.

00:01:06 L'actualité c'est donc avec vous ce matin Delphine Gauthier. L'uniforme de la Discord est plus visible après de gain de gants.

00:01:12 Oui les habitants ont découvert hier dans les médias que leur commune serait la seule en Bretagne à tester la tenue unique, autrement dit l'uniforme, à la rentrée de septembre.

00:01:22 C'est le président de la République lui-même qui l'a directement révélé en tweetant après sa conférence de presse de mardi soir

00:01:29 la carte de France des 100 établissements scolaires prêts à expérimenter son idée.

00:01:33 Mais les parents des 144 élèves de l'école primaire de Plouisy sont divisés sur la question.

00:01:39 Un peu moins dans les rues de la commune des Côtes d'Armor où vous êtes rendu Dylan Jaffrelot.

00:01:44 Oui le petit Lucas attend devant le terrain de foot pour aller s'entraîner. Il est en CM1 à l'école de Plouisy donc sera concerné par ce test.

00:01:52 C'est bien comme ça tout le monde ne pourra pas se moquer des vêtements des autres.

00:01:56 Bah au foot il y en a ils se moquent d'autres parce qu'ils ont des vêtements moins beaux que les siens.

00:02:03 Sandra, mère de deux filles scolarisées à l'école primaire pense aussi que ça pourrait effacer les différences sociales mais elle n'est pas sûre que ça plaise à ses enfants.

00:02:11 Faut voir ce qu'ils vont demander quoi. Si c'est un pantalon et un pull suite les enfants seront contents de le mettre sinon malheureusement ils risquent d'être dressés au pacard.

00:02:21 A voir si c'est le pull en laine, ils ne le mettront pas.

00:02:24 Autour du terrain de pétanque, Patrice et Jean-Yves se remémorent avec une certaine nostalgie les années avec un uniforme à l'école.

00:02:30 On était tous pareil. Tout le monde en mettait la blouse, même on partait de la maison on avait la blouse sous le manteau.

00:02:36 La blouse grise. Tout le monde jouait en même temps, personne ne faisait de chichi. Je suis pour oui, moi je serais pour.

00:02:42 Bien sûr c'est rétrograde, bien sûr, non mais c'est sûr. Mais ça évite un peu l'échamaillerie entre gamins quoi.

00:02:47 Mais pas entre le maire et les représentants des parents d'élèves de Plouisy qui se plaignent de ne pas avoir été concertés.

00:02:53 Reportage Dylan Jaffrelot et justement mardi prochain 18h30 une réunion organisée à Plouisy avec l'équipe enseignante, les parents d'élèves, la mairie pour parler de ce projet et essayer de trouver un consensus.

00:03:06 Alors est-ce que c'est une bonne idée cette fameuse tenue unique scolaire ?

00:03:11 Est-ce que l'uniforme permet de réduire les inégalités ? Ou est-ce que vous avez peut-être, vous aussi portiez des blouses à une certaine époque ?

00:03:18 Vous pouvez nous raconter tout ça au 02 98 53 65 65 pour ou contre l'uniforme à l'école.

00:03:26 On vous attend, ce sera aux alentours de 7h50, vous pouvez d'ailleurs déjà vous inscrire dès maintenant.

00:03:31 Ils espèrent un jeudi noir partout en France, un mouvement initié par les syndicats Alliance et une Sapolice.

00:03:37 Ils demandent des mesures exceptionnelles en contrepartie de leur mobilisation pour assurer la sécurité aux Jeux Olympiques de Paris, garantir leur droit au congé d'été, prime.

00:03:50 Et aussi ils demandent des aides à la garde d'enfants en Bretagne.

00:03:53 Des rassemblements sont prévus à 11h15 devant les commissariats notamment à Lagnon, Saint-Brieuc, Rennes, Brest ou encore l'Orient.

00:04:00 Ils reconnaissent un demi-verre de trop, le député des Côtes d'Armor, Michael Cosson, contrôlé positif samedi dernier à Plédran, à la sortie d'une cérémonie de vœux.

00:04:10 Son permis de conduire a été suspendu pour deux mois.

00:04:13 Il devra également faire un stage payant de sensibilisation à la sécurité routière.

00:04:18 L'élu contacté par nos collègues de France Bleu Armorique fait son méa culpa, j'ai fauté, je me conformerai à ce qui est prévu.

00:04:25 Mon seul traitement de faveur, dit-il, c'est que je vais évidemment être cité et critiqué.

00:04:31 Une femme de 32 ans placée en détention provisoire à Brest en attendant son procès en comparution immédiate, ce sera demain.

00:04:38 Elle est soupçonnée d'avoir frappé son ancien conjoint à Landernot dans la nuit de lundi à mardi.

00:04:43 Malgré une interdiction d'entrée au contact avec lui à cause d'une précédente condamnation déjà pour violence,

00:04:49 elle l'hébergait de temps en temps dans sa cave. Quand les forces de l'ordre sont arrivées, l'ex-concubin avait le visage en sang.

00:04:56 Le site de Thalès porte de plus années à Brest en pleine croissance.

00:05:00 60 ans après sa création, il n'a jamais compté autant de salariés. 1800 aujourd'hui, dont 1200 ingénieurs,

00:05:08 puisqu'on y fait essentiellement de la recherche et développement dans le domaine de l'électronique de défense, l'une des activités du géant français.

00:05:15 En 5 ans, les effectifs ont progressé de 25%, 173 personnes recrutées l'année dernière et cela va continuer, assure le directeur de Thalès DMS Brest, Patrick Lelourec.

00:05:25 Nous avons accueilli 173 nouveaux arrivants cette année, en 2023.

00:05:29 A la suite d'une année 2022 où nous avions aussi accueilli beaucoup de monde, puisqu'on avait accueilli à peu près 160 personnes,

00:05:34 donc une dynamique très positive, une dynamique d'embauche, une dynamique aussi de construction,

00:05:39 puisque nous avons construit deux nouveaux bâtiments pour accueillir cette croissance d'activité.

00:05:45 Donc oui, un site qui se développe et qui progresse et qui évolue positivement.

00:05:49 On va continuer nos développements, donc on va doubler notre capacité industrielle concernant la production d'équipements rafales,

00:05:57 voire la tripler dans les 8 années qui viennent.

00:06:00 On a un véritable succès à l'export avec nos sonars, donc on va voir aussi notre activité grossir sur ces enjeux-là.

00:06:07 On a des développements en cours, je ne pourrais pas vous en donner plus de détails,

00:06:10 mais des nouveaux programmes qui arrivent sur le site.

00:06:13 Donc effectivement, beaucoup d'activités pour 2024 à venir et pour les années d'après aussi.

00:06:18 Patrick Lelourec, le directeur de Thalès Brest avec Nicolas Olivier.

00:06:21 Vous retrouverez le reportage à l'intérieur de Thalès Brest à 8h12 d'ici un peu plus d'une heure.

00:06:29 C'est à retrouver aussi évidemment sur francebleu.fr.

00:06:32 Ce matin, ce sont encore 25 départements placés en vigilance orange, neige et verglas par météo France.

00:06:39 Des Hauts-de-France, de la Normandie, la région parisienne et Auvergne-Rhône-Alpes.

00:06:43 Il a beaucoup neigé cette nuit dans le nord de la France.

00:06:45 La dépression irène se décale maintenant vers l'est et le centre.

00:06:49 Interdiction jusqu'à nouvel ordre de ramasser et de consommer tous les types de coquillages à Ploubalanek.

00:06:56 Il y a eu des rejets d'hydrocarbures dans le port de Port-Cévennes à cause de l'enlisement d'un engin de manutention.

00:07:02 L'arrêté préfectoral demande également le retrait du marché de tous les coquillages issus de cette zone depuis mardi.

00:07:10 Trois projets bretons autour de la santé mentale soutenus financièrement par le ministère de la Santé.

00:07:15 Une enveloppe de 811 000 euros répartie entre un hôpital de jour sur les psychotraumatismes à Quimper,

00:07:22 un dispositif de gestion des crises par l'hôpital de Morlaix.

00:07:26 Il y aura là une ligne téléphonique 7 jours sur 7 et une unité mobile pour tenter d'éviter les hospitalisations.

00:07:32 Et puis dernier projet, l'organisation de consultations d'infirmiers psychiatriques en téléconsultation

00:07:37 sous la houlette de l'hôpital Charcot à Codence et dans le Morbihan.

00:07:42 C'était le match des invaincus.

00:07:45 Et ce sont les filles du BBH qui le remportent.

00:07:47 Les handballeuses brestoises sont allées gagner sur le terrain de messe.

00:07:50 23 à 22 grâce notamment à leur gardienne qui a stoppé un pénalty dans la toute dernière seconde du match.

00:07:56 Les brestoises reviennent à un point seulement des messines et peuvent voir loin.

00:08:01 Pablo Morel, l'entraîneur du BBH, revient sur cette rencontre, altente au micro de Thomas Laveau.

00:08:07 C'est sûr que le scénario était un peu fou, un peu dur pour les nerfs, je pense pour les deux coaches, les deux équipes.

00:08:12 Agréable peut-être à regarder dans des tribunes, mais oui, il y a eu un gros début de match de messe.

00:08:17 On savait, ils sont chez eux, c'est une équipe qui met énormément de rythme.

00:08:20 Et nous, on a perdu un peu trop de ballons en attaque, mais on s'en est nourri.

00:08:25 Avec les rotations, on a changé un petit peu les articulations défensives.

00:08:29 Et les filles ont fait beaucoup d'efforts sur ce secteur-là et ça nous a permis de les user, je pense.

00:08:34 Et aussi les forcer à attaquer longtemps, alors que c'est une équipe qui a besoin d'avoir du rythme.

00:08:40 Être capable de venir gagner ici, ça montre qu'on travaille aussi, qu'on a des arguments.

00:08:46 Après, la pièce, elle est tombée de notre côté aujourd'hui.

00:08:48 On prend, franchement, on est flatté, on est fier de ce qu'on a réalisé.

00:08:53 Mais je pense que c'est surtout un beau spectacle et un beau visage du championnat français.

00:08:58 Le coach Brestois Pablo Morel qui sera en Pologne la saison prochaine.

00:09:03 Le club de Gloria Buzo l'a annoncé hier.

00:09:05 Pablo Morel a signé pour deux ans à compter du 1er juillet.

00:09:09 Est-ce que désormais tu me détestes ?

00:09:12 Et le temps d'une soirée en hommage à Jeanne Birkin.

00:09:16 On va retrouver Miossek, il va remonter sur scène.

00:09:18 Le chanteur Brestois est à l'affiche du concert hommage à la chanteuse qui est décédée en juillet.

00:09:24 Ce sera le 3 février à l'Olympia à Paris.

00:09:26 Il a chanté plusieurs fois en duo avec Jeanne Birkin.

00:09:29 Vous savez qu'en octobre, Christophe Miossek avait dû renoncer à sa tournée 2024.

00:09:34 Son cancer est guéri, mais il a abîmé ses cordes vocales.

00:09:37 On sera ravis de le retrouver, ne serait-ce que pour une chanson.

00:09:40 Le 3 février à l'Olympia à Paris.

00:09:43 C'est sûr une idée d'Etienne Dao qui a organisé cette soirée-événement avec son ami de longue date, Jean-Louis Pierrot.

00:09:53 Il est 7h09, on s'intéresse aussi à votre météo du jour.

00:09:57 Le soleil sera clairement présent sur la Bretagne aujourd'hui.

00:10:01 Ça va nous faire un bien fou, mais alors un bien fou.

00:10:04 On va revivre.

00:10:06 Je vais sortir mes lunettes de soleil.

00:10:08 C'est un démoralisme incroyable.

00:10:11 Et le ciel gris.

00:10:13 Et le ciel gris, c'est vrai que ce n'est pas terrible.

00:10:16 Là, ce sera pas mal puisqu'on aura du soleil ce matin et cet après-midi sur la Bretagne.

00:10:20 Grand soleil pour tout le monde, peut-être un peu ciel voilé, un peu léger ce matin.

00:10:23 C'est pas grave, on ne va pas se plaindre non plus.

00:10:25 4 degrés pour les températures.

00:10:27 On se réveille avec 4 degrés à Lorient, 4 à Brest, 3 à Quimper, 3 à Morlaix, 4 à Paimpol.

00:10:33 Et même chose dans le Trégor.

00:10:35 Avec 7 degrés à Trégastel, si vous êtes dans les Côtes d'Armor.

00:10:39 Même chose du côté de Péros-Guiraïque.

00:10:41 6 degrés sur Guingamp seulement.

00:10:43 Dans le Finistère cet après-midi, 7 degrés du côté de Pont-l'Abbé et Brest même.

00:10:48 Même chose à Saint-Paul-de-Léon.

00:10:50 6 degrés si vous êtes sur Quimperlais et le Trévoux.

00:10:52 Et puis en Morbihan, 5 degrés à Gourin cet après-midi.

00:10:54 6 à Pont-Yvie en milieu de journée ainsi qu'aux Sournes.

00:10:58 Et puis 7 degrés sur Lorient, l'Annester.

00:11:01 Attention, attention, chute des températures en vue la nuit prochaine.

00:11:05 Entre -1 et -3 degrés d'annoncés déjà demain matin sur la Bretagne.

00:11:11 Le grand yo-yo des températures.

00:11:13 Hier il faisait 11, demain il va faire -3.

00:11:16 Et là vous vous rendez compte, Paris, ils sont bloqués.

00:11:19 Il y a sa de neige, les gars ils sont bloqués.

00:11:21 Paris est sous la neige.

00:11:23 Du coup c'est panique générale.

00:11:25 J'ai vu il y a des articles partout, c'est incroyable.

00:11:27 Panique générale.

00:11:29 7h11 avec vous ce matin sur France Bleu Brésil.

00:11:31 Le 18 janvier avec vous, c'est un plaisir de vous accueillir.

00:11:41 On va accueillir Josiane qui est avec nous dans le Pays Bigoudin à Tréhougate.

00:11:44 Bonjour Josiane.

00:11:46 Bonjour Baptiste.

00:11:48 Finistère, Pays Bigoudin à Tréhougate, pas loin de Plonéon, l'Anvers, mais encore de Pont-l'Abbé.

00:11:50 Comment ça va ce matin ?

00:11:52 Je sais pas, je suis encore au lit alors je sais pas.

00:11:54 Vous avez raison, vous avez de la chance.

00:11:56 Moi j'ai du mal à sortir de la couette aussi.

00:11:58 Bon, Josiane, deux paquets de café Jacques Vabre, ça peut être cadeau pour vous.

00:12:04 Et en plus de ça, une super grille à déplier pour démoufler chez la grille.

00:12:08 Bretonne, une carte géante de la Bretagne, 2239 cases.

00:12:12 C'est ce qu'on va tenter de vous offrir si vous avez trouvé ce matin où se trouve Robin Aubry.

00:12:16 Et je crois que ça a été relativement facile quand même.

00:12:18 Oui, c'était facile.

00:12:20 Et donc dans quelle commune il est ?

00:12:22 C'est Guémené.

00:12:24 À Guémené, effectivement, Josiane, nous sommes dans le morbiant.

00:12:28 Je voudrais vous offrir une andouille au moins.

00:12:30 Ah bah oui, on peut pas tout faire non plus.

00:12:32 Ah bah Robin, peut-être vous en ramenez une ?

00:12:35 Du café, du café, ça te va pas mal.

00:12:37 Je vais essayer de vous ramener ça dans mon coffre, j'ai pas mal de place.

00:12:40 On va essayer alors. Alors dis-moi Robin, qu'est-ce qui va se passer ?

00:12:43 Comment ?

00:12:45 Je vais faire la rencontre de Jean-Pierre, qui est professeur de dessin ici à Guémené.

00:12:50 Puis on va parler passion, j'ai rendez-vous dans son atelier.

00:12:54 Ah ok, très bien. Et qu'est-ce que vous allez faire dans l'atelier alors du coup ?

00:12:58 Alors moi je vais m'essayer au dessin, je vais prendre un petit stylo.

00:13:01 Et puis voilà, on va voir un peu mes talents de dessinateur qui sont pas très bons.

00:13:05 Sinon on va voir depuis combien de temps il est à Guémené, ses élèves, comment ça se passe.

00:13:09 Comment ça se passe à Guémené pour prendre des cours de dessin.

00:13:11 Et bah c'est parfait tous, on vous retrouve d'ici quelques instants.

00:13:14 Merci à vous, bonne journée à Josiane depuis Tréhougate également.

00:13:17 On lui envoie ses cadeaux. Et puis on vous offrira aussi tout à l'heure, avant 9h, sachez-le,

00:13:22 deux invitations pour le concert de Véronique Sanson, qui elle sera à la Brest Arena le 2 février prochain.

00:13:29 Deux invitations à gagner, c'est avant 9h. On va l'écouter tout de suite.

00:13:32 Véronique Sanson et cette fameuse chanson sur "Ma drôle de vie".

00:13:37 Tu m'as dit que j'étais faite pour une drôle de vie.

00:13:42 J'ai des idées dans la tête et je fais ce que j'ai envie.

00:13:47 Je t'emmène faire le tour de ma drôle de vie.

00:13:52 Je te verrai tous les jours.

00:13:55 Si je te pose des questions, qu'est-ce que tu diras ?

00:13:58 Et si je te réponds, qu'est-ce que tu diras ?

00:14:00 Si on parle d'amour, qu'est-ce que tu diras ?

00:14:04 Si je sais que tu m'aimes la vie, que tu aimes au fond de moi.

00:14:09 Me donne tous tes emblèmes, me touche quand même du bout de ses doigts.

00:14:14 Même si tu as des problèmes, tu sais que je t'aime, ça t'aidera.

00:14:19 Laisse que les autres te t'aiment, t'es drôle de poème et viens avec moi.

00:14:24 On est partis tous les deux pour une drôle de vie.

00:14:30 On est toujours amoureux et on fait ce qu'on a envie.

00:14:35 Tu as sûrement fait le tour de ma drôle de vie.

00:14:40 Je te demanderai tous les jours.

00:14:43 Si je te pose des questions, qu'est-ce que tu diras ?

00:14:46 Et si je te réponds, qu'est-ce que tu diras ?

00:14:48 Si on parle d'amour, qu'est-ce que tu diras ?

00:14:52 Si je sais que tu m'aimes la vie, que tu aimes au fond de moi.

00:14:57 Me donne tous tes emblèmes, me touche quand même du bout de ses doigts.

00:15:02 Même si tu as des problèmes, tu sais que je t'aime, ça t'aidera.

00:15:07 Laisse que les autres te t'aiment, t'es drôle de poème et viens avec moi.

00:15:12 Et si je sais que tu m'aimes la vie, que tu aimes au fond de moi.

00:15:17 Me donne tous tes emblèmes, me touche quand même du bout de ses doigts.

00:15:22 Même si tu as des problèmes, tu sais que je t'aime, ça t'aidera.

00:15:27 Laisse que les autres te t'aiment, t'es drôle de poème et viens avec moi.

00:15:31 (La chanson se répète)

00:15:34 (La chanson se répète)

00:15:37 (La chanson se répète)

00:15:40 (La chanson se répète)

00:15:43 (La chanson se répète)

00:15:46 (La chanson se répète)

00:15:49 (La chanson se répète)

00:15:52 (La chanson se répète)

00:15:55 (La chanson se répète)

00:15:58 (La chanson se répète)

00:16:01 (La chanson se répète)

00:16:04 (La chanson se répète)

00:16:07 (La chanson se répète)

00:16:10 Véronique Sanson, chanson sur ma drôle de vie, 7h16, ce matin vous restez avec nous.

00:16:17 Avant 9h je rappelle qu'on vous offre ces deux invitations pour son concert à la Brest Arena d'ici quelques jours.

00:16:22 On revient dans quelques instants, on va tout de suite.

00:16:24 Ici matin, revient dans un instant.

00:16:31 Sur l'île de la Réunion, une enquête c'est d'abord un travail d'équipe.

00:16:35 Zacharia Belhem, officier de police judiciaire.

00:16:38 Mais faire équipe avec Catherine Jacob, ce n'est pas donné à tout le monde.

00:16:42 On va à l'institut médico-légal.

00:16:44 Il faut avoir les nerfs solides.

00:16:46 Il est rentré dans le bain trop tôt.

00:16:49 Et surtout, faire respecter la hiérarchie.

00:16:51 T'es vraiment obligé de me faire chaponner par ce mec ?

00:16:53 La Juliette qui poule, ok ?

00:16:55 Je n'aime pas votre ton condescendant, je suis votre supérieur, merci de ne pas l'oublier.

00:16:58 Qui aura le dernier mot ?

00:17:00 Moi je disais ça pour toi.

00:17:02 Un duo qui s'annonce volcanique, ce soir à 21h10 sur France 3 et déjà sur la plateforme France.tv.

00:17:09 Ce programme est disponible en audio description.

00:17:13 Le monde commence ici.

00:17:17 Retrouvez toute l'actualité régionale, nationale et internationale dans vos éditions ICI 12/13.

00:17:23 France Bleu Brésil, le 6/9, tout le monde l'écoute dans la région.

00:17:29 A 17h17, nous sommes à Gemnay, sur Scorf, à côté de Bubry.

00:17:34 Ou encore de beau dans le Morbihan.

00:17:37 Robin Ambrice est à vous.

00:17:39 Je suis accueilli par Jean-Pierre, professeur de dessin ici à Gemnay.

00:17:44 Dans son atelier, un atelier que j'aime beaucoup, avec des lampes qui sont sur les tables et qui éclairent par-dessus.

00:17:50 Qui font très bureau, parfait pour le dessin.

00:17:53 Avec beaucoup de choses autour de moi, des vases, etc. pour dessiner.

00:17:57 Jean-Pierre, merci beaucoup de m'accueillir ici.

00:17:59 - De rien, je vous en prie. Bonjour Robin.

00:18:00 - Depuis quand vous êtes à Gemnay ? Vous ne vous êtes pas originaire d'ici.

00:18:03 - Pas du tout, non. Moi je suis un Parisien émigré en Bretagne.

00:18:07 Je m'en trouve fort bien.

00:18:09 Mais la maison, je l'ai achetée il y a une dizaine d'années.

00:18:14 Mais je ne suis pas venu tout de suite, parce que j'avais des obligations qui me retenaient en région parisienne.

00:18:18 Je suis venu beaucoup plus tard.

00:18:19 Et depuis quelques temps, effectivement, j'ai repris une activité que j'avais déjà en région parisienne.

00:18:25 C'est-à-dire, je donne des cours de dessin ayant été dessinateur moi-même une bonne partie de mon existence.

00:18:31 - Donc c'est une vraie passion le dessin.

00:18:33 Mais pourquoi vous avez choisi de venir en Bretagne, la partager ?

00:18:36 - Ah ben parce que, si vous voulez, quand je suis parti de région parisienne,

00:18:40 j'avais le choix entre un certain nombre de régions où aller.

00:18:44 La Bretagne m'a paru la plus agréable, la plus sympathique.

00:18:46 Et je crois que j'ai eu raison, parce que Gemnay c'est vraiment un endroit que j'aime beaucoup.

00:18:51 Les gens sont adorables, ils sont charmants.

00:18:53 J'ai eu un accueil formidable.

00:18:54 Et voilà, en plus c'est très joli, Gemnay, une petite cité de Caracal.

00:19:00 - C'est très joli. Et la Bretagne aussi.

00:19:01 Si vous avez l'occasion de vraiment voyager en Bretagne, faites-le.

00:19:04 - Je commence à voyager un petit peu en Bretagne.

00:19:06 J'ai encore plein de choses à découvrir, évidemment.

00:19:08 Parce que j'y étais venu, bien sûr, auparavant, mais fort peu.

00:19:11 Et donc j'ai un tas de choses à découvrir.

00:19:13 Un peu moins au bord de la mer, parce que là j'ai parcouru.

00:19:16 Mais à l'intérieur des terres, il y a des trucs formidables à voir.

00:19:20 - Et pour le dessin aussi, je suppose que...

00:19:22 Alors peut-être que vous, vous êtes beaucoup plus sur les objets, etc.

00:19:26 Plutôt que les natures mortes.

00:19:28 Qu'est-ce que vous préférez ?

00:19:29 C'est quoi votre passion réelle pour ce dessin ?

00:19:31 - Alors ça c'est compliqué, parce que tout a un intérêt.

00:19:34 Vous savez, c'est une question difficile.

00:19:35 Les natures mortes, c'est formidable, parce que vous avez les objets,

00:19:38 la matière, la lumière, l'éclairage, etc.

00:19:41 qui donnent du caractère à ce que vous faites.

00:19:43 Les paysages, c'est formidable aussi, exactement pour la même raison.

00:19:46 Parce que vous avez la lumière, le lever de soleil, le coucher du soleil, etc.

00:19:49 qui donnent des ambiances tout à fait différentes.

00:19:51 Après, le dessin, si on veut interpréter, si on veut travailler la couleur et la lumière,

00:19:57 justement, on peut aussi passer à la couleur.

00:20:00 Mais ça, c'est autre chose.

00:20:01 Le dessin pur, on travaille les ombres et la lumière pour donner un effet.

00:20:05 Et à ce moment-là, peut-être que la nature morte est un peu plus payante.

00:20:09 - Il y a des millions de possibilités en dessin, comme en peinture,

00:20:12 comme dans l'art en général.

00:20:13 Et toutes ces techniques-là que vous avez commencé à me dire,

00:20:15 on va vraiment s'y intéresser.

00:20:17 Dans quelques minutes, on va voir.

00:20:18 Et je vais même prendre un crayon, Baptiste,

00:20:21 et je vais essayer moi-même le dessin, ça va être magnifique.

00:20:23 - Très bien, vous nous montrerez tout ça sur francebleu.fr.

00:20:26 Il est 7h20.

00:20:27 A tout à l'heure, depuis Guémenet, dans le Morbihan.

00:20:29 Et à cette heure-ci, de la broderie d'art à la boulangerie.

00:20:38 Le témoignage du jour.

00:20:40 - Oui, c'est Pascal Jaouen, le célèbre maître Quimperrois de la haute broderie.

00:20:44 Il avait pris sa retraite il y a quasiment un an avec son dernier défilé,

00:20:48 directement inspiré du costume traditionnel breton,

00:20:51 rehaussé de soie, bien sûr, de taffetas et de perles brodées.

00:20:55 Et bien, figurez-vous qu'avec la réforme des retraites,

00:20:57 Pascal a dû reprendre du service pour quelques mois.

00:21:00 Alors, pas dans son école de broderie d'art à Quimper,

00:21:03 mais à la boulangerie Kennec de Plone-et-Our,

00:21:06 l'Anverne, où Océanie Zitouni l'a rencontrée.

00:21:09 - On a cotisé, on a nos trimestres,

00:21:11 mais on ne peut pas bénéficier de notre retraite telle qu'elle était prévue au départ.

00:21:16 Elle est toute retardée de 6 mois.

00:21:18 Donc, en gros, nous payons actuellement une retraite

00:21:21 qui ne devrait pas être due, mais qu'on la doit.

00:21:24 - Vous le vivez comment ?

00:21:25 - Oh, écoutez, je le prends pas mal.

00:21:27 De toute façon, je suis obligé de le prendre.

00:21:29 Je regarde plus derrière parce que j'ai eu une petite rage,

00:21:32 mais la rage est passée.

00:21:35 - C'est quoi votre quotidien dans la boulangerie ? On vous reconnaît ?

00:21:37 - Les premières semaines, les gens se posaient la question.

00:21:40 Ils n'osaient pas me demander qui j'étais.

00:21:42 Ou alors, ils se demandaient si c'était un sosie.

00:21:45 Et puis, au fur et à mesure, les gens osaient me demander mon identité.

00:21:49 Je disais Pascal Jaouen.

00:21:50 Il y a même une dame qui m'a un jour demandé.

00:21:52 Non, mais c'est pas possible.

00:21:53 Je lui ai dit, vous voulez que je sorte ma carte d'identité ?

00:21:55 Oui, oui, oui, oui, parce que c'est ça, c'est pas possible.

00:21:57 Donc, j'ai sorti ma carte d'identité pour prouver que j'étais bien Pascal Jaouen.

00:22:01 C'est dans l'humour.

00:22:02 Donc, moi, ça me plaît.

00:22:03 Mais moi, j'aurais pu être Adolent Boulangerie

00:22:05 comme j'aurais pu être derrière un camion poubelle.

00:22:07 Moi, ça m'est complètement égal.

00:22:09 Parce que je trouve que les gens dont j'admire le travail,

00:22:13 ce sont les agriculteurs qui nous donnent à manger.

00:22:15 C'est eux qui nous fournissent à manger

00:22:17 et qui subissent des coûts économiques incroyables.

00:22:20 Il y a des gens même qui n'ont même pas à vivre et qui nous font vivre.

00:22:24 Je dirais agriculteurs et pêcheurs.

00:22:26 Ensuite, c'est les boulangers qui, grâce à la farine

00:22:28 et à tout ce que les agriculteurs ont cultivé,

00:22:30 nous donnent à manger, ainsi que les restaurateurs.

00:22:33 Et puis les derniers, je trouve que ceux qui méritent d'être cités,

00:22:37 c'est aussi les éboueurs qui sont derrière leur benne

00:22:40 et qui, entre guillemets, nous débarrassent de nos merdes.

00:22:43 On n'a pas suffisamment de reconnaissance pour ces gens-là.

00:22:46 Je suis un être humain, créateur ou pas, un non-connu aussi.

00:22:50 Mais je ne suis pas plus haut que les autres.

00:22:52 On est tous des humains.

00:22:53 Être dans une boulangerie aujourd'hui

00:22:56 ou être derrière un camion poubelle, moi, ça m'est égal.

00:22:58 C'est pas ça qui m'importe.

00:23:00 C'est d'être bien en moi-même, d'être sincère.

00:23:02 Et puis donner de la joie aux gens.

00:23:04 Ici, les gens me disent, quand on rentre dans la boulangerie,

00:23:06 il y a un soleil qui nous attend.

00:23:08 C'est beau d'entendre ça, non ?

00:23:09 C'est gratuit en plus, donc c'est beau.

00:23:11 Belle leçon de vie ce matin de Pascal Jaouen,

00:23:14 qui a donc repris pour quelques mois

00:23:17 pour réussir à toucher sa retraite.

00:23:20 Donc il est en contrat jusqu'à fin janvier dans la boulangerie.

00:23:22 Officiellement retraite le 1er avril.

00:23:24 Mais ne soyez pas étonnés, il a encore plein de projets

00:23:27 avec une nouvelle fève pour l'année prochaine, 2025,

00:23:30 qui pourra être une boucle d'oreille.

00:23:32 Et puis également une robe magnifique

00:23:35 à découvrir bientôt à Océanopolis, à Brest,

00:23:38 faite à partir des déchets récupérés dans l'océan,

00:23:41 comme les filets de pêche.

00:23:42 C'est un reportage à retrouver sur francebleu.fr.

00:23:44 Pascal Jaouen, qu'on salue d'ailleurs,

00:23:46 s'il nous écoute ce matin, peut-être dans sa boulangerie de Plodéon.

00:23:49 On revient dans Pays-Bi-Goudin, à quelques kilomètres de Pont-l'Abbé.

00:23:52 7h23, vous restez avec nous ce matin.

00:23:54 On va poursuivre, évidemment, avec...

00:23:57 Ben voilà, cette question, aujourd'hui, on se dit...

00:24:00 Est-ce que vous êtes pour ou contre l'uniforme à l'école ?

00:24:03 Le retour de cet uniforme, on l'a dit, c'est à Plouisy

00:24:05 que ça va se passer en Bretagne.

00:24:06 Ils font partie de cette centaine d'établissements scolaires

00:24:08 à tester le retour de l'uniforme à l'école.

00:24:10 Racontez-nous tout ça, ce sera aux alentours de 7h50.

00:24:13 Pour ou contre cet uniforme ?

00:24:15 Est-ce que ça vous est arrivé, peut-être vous aussi,

00:24:17 de porter une blouse à l'école à une certaine époque ?

00:24:19 02.98.53.

00:24:21 65.65, on en parlera aux alentours de 7h50.

00:24:25 On vous attend, le Celtic Social Club, pour la suite

00:24:28 et pour vous réveiller, c'est tout de suite.

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00:28:07 Manu Masco et toute son équipe le Celtique Social Club à 7h

00:28:13 28 ce matin on prend la direction de du Morbihan toujours avec Robin Aubry

00:28:18 on est à Gemnay sur Scoreform. France Bleu Brésil. Robin Aubry, mais t'es où ?

00:28:24 A Gemnay donc à côté de Beau ou encore de Pontivy toujours en direct avec vous Robin.

00:28:31 En direct de l'atelier de Jean-Pierre un professeur et passionné de dessin

00:28:37 j'ai pris un stylo gris maintenant je m'apprête à dessiner c'est un vase

00:28:42 c'est ça comment vous appelez ça exactement ? C'est une mesure en étain qui servait à

00:28:45 mesurer le grain donc on a un objet qui fait aller 20 cm de haut avec une

00:28:50 poignée c'est un objet du 19e siècle à peu près et voilà ce qui est

00:28:56 intéressant dans ce dans cet objet ce sont ces proportions la proportion entre

00:29:00 le la poignée et le contenant et puis surtout le rapport entre la hauteur et

00:29:06 la largeur comme dans n'importe quel dessin d'ailleurs la proportion c'est

00:29:09 les proportions c'est très important. La proportion et la lumière également la

00:29:13 lumière j'aurais du mal à dessiner mais je vais au moins essayer de dessiner

00:29:16 alors Lance est-ce qu'il faut commencer par quelque chose quand je veux dessiner

00:29:18 ce... Alors quand on dessine que ce soit ce modèle là ou autre chose il faut

00:29:23 commencer par un croquis c'est à dire une représentation rapide de l'objet de

00:29:27 son volume et des diverses parties qui la composent ensuite un petit temps

00:29:31 d'arrêt et on regarde si toutes ces parties sont proportionnées entre elles

00:29:35 si et ensuite on peut se lancer dans les détails. Bon alors je m'y attaque tout

00:29:40 de suite on va commencer par Lance et le côté Baptiste je vous enverrai une photo

00:29:43 de mon dessin, à mon avis ce ne sera pas incroyable mais je vais faire ce que je peux.

00:29:46 Et bien merci Robin on vous retrouve tout à l'heure l'info arrive dans

00:29:49 quelques instants vous restez avec nous sur France Bleu Brésil c'est ça ?

00:29:53 Ici matin revient dans un instant

00:30:01 cette semaine dans l'littoral le navigateur Arthur Levalliant nous emmène

00:30:06 dans la baie d'Audierne à la rencontre de Bruno André un sportif touche à tout

00:30:11 adepte du wingfoil. Le wingfoil sa force c'est justement ça vient d'un petit peu

00:30:17 de 30 années d'expérience de tous les autres sports de glisse. Une discipline

00:30:20 nautique récente qui a le vent en poupe le long des côtes bretonnes.

00:30:25 La sensation de voler elle est quand même excellente le fait que ça fasse pas du tout

00:30:28 de bruit sur l'eau. Aller on gonfle les wings et on se met à l'eau. Littoral dimanche à 12h55

00:30:33 sur France 3 Bretagne. Tous les jours sur France 3 l'info commence ici dans votre

00:30:41 région. Retrouvez toute l'actualité dans vos 48 éditions régionales. Ici 12/13

00:30:47 ici 19/20. Multipliez les regards. A la une ce soir en Auvergne. Multipliez les

00:30:52 points de vue. En Burgogne. Vivez l'actualité depuis votre territoire. Ici 12/13 et ici 19/20

00:31:01 toute l'info vu de votre région tous les jours sur France 3 et sur la plateforme France.tv

00:31:06 Vous êtes bien sur France 3. Quand vous écoutez France Bleu vous n'êtes pas n'importe où vous

00:31:20 êtes chez vous. France Bleu au coeur de nos régions de nos villes de nos villages. France Bleu

00:31:27 Breizh-Issel ici on parle d'ici. Cette météo le soleil est officiellement de retour aujourd'hui

00:31:33 dès ce matin cet après-midi également et les températures seront en baisse plutôt à partir

00:31:38 de la nuit prochaine. On attend jusqu'à 7 degrés grand maximum cet après-midi néanmoins dans le

00:31:43 Sud Finistère ou encore le sud du Morbihan on en parlera après l'info à 7h31. Avec vous

00:31:48 Joanne Bizien. Des enseignants vont debout contre l'expérimentation de l'uniforme voulu par Emmanuel

00:31:55 Macron. Songe Erskole Reine Menos, présidente de la République, vous Clévette et Brisonnec à

00:32:00 Ben Dioufi-Nutten. La fameuse campagne de recensement de ville 24 de l'INSEE commence donc aujourd'hui.

00:32:06 Et pour se poursuivre en Bretagne jusqu'au 17 février. Depuis 2004 le recensement de la

00:32:10 population est annualisé pour refléter davantage la réalité mais il n'est plus exhaustif. Un

00:32:16 cinquième des communes de moins de 10 000 habitants sont donc concernées cette année,

00:32:20 soit 232 communes bretonnes par émiel Brièque au nord de Quimper. Alors comment ça fonctionne

00:32:25 une campagne de recensement dans cette petite ville de 5900 habitants Thomas Biais ? Ça commence tôt.

00:32:31 La réflexion débute à partir de septembre. Patricia Gézéchel, la responsable du pôle

00:32:36 citoyenneté de la ville de Brièque. L'INSEE préconisait 12 agents, j'en ai que 9. Oui c'est

00:32:41 assez compliqué de trouver des personnes intéressées par ces opérations. Chaque agent visitera entre

00:32:45 250 et 300 logements pour y déposer les lettres d'explication. Dès aujourd'hui ensuite eh bien ça

00:32:50 dépendra du taux de réponse par internet des habitants. On souhaiterait atteindre au minimum

00:32:55 50% de réponse par internet. À partir de la semaine prochaine les agents feront donc du

00:32:59 porte à porte pour remplir les questionnaires. Maxime en a potentiellement 370 à visiter. Le

00:33:05 Brièque de 24 ans remplit après avoir déjà participé en 2018. Ça s'est très bien passé,

00:33:10 c'est le contact avec les gens, l'accueil qui m'a permis de mourir aux autres. Le jeune homme y

00:33:16 voit aussi un moyen de connaître la diversité de sa commune. Du fait d'avoir fait le premier

00:33:20 recensement ça m'a permis de connaître mon secteur. Pour celui-ci c'est beaucoup plus la

00:33:25 campagne donc maintenant je vais connaître beaucoup plus vraiment Brièque. L'adressage

00:33:28 a été totalement refait, à Brièque ce sera donc beaucoup plus simple de s'y retrouver mais ça

00:33:33 n'empêche pas le jeune homme d'avoir quelques craintes. Au niveau de tout ce qui est fermes,

00:33:37 des animaux, les chiens, j'ai pu approcher les chiens donc plus de peur que de mal.

00:33:42 Vous voilà prévenu si vous avez un chien de garde, soyez gentil, répondez au questionnaire

00:33:47 par internet. Ou alors vous pouvez aussi répondre sur votre smartphone directement,

00:33:51 c'est la nouveauté de cette année. Voilà et puis on a parlé de ça,

00:33:54 on va parler aussi des policiers qui appellent un jeudi noir partout en France. Un mouvement

00:33:58 initié par les syndicats Alliance et Insa Police pour demander des mesures exceptionnelles en

00:34:03 contrepartie de la mobilisation pour assurer la sécurité des prochains JO de Paris. Les forces

00:34:09 de l'ordre demandent donc la garantie de leur droit de congé d'été, des primes et des aides pour la

00:34:13 garde des enfants notamment. En Bretagne des rassemblements sont prévus devant les commissariats

00:34:18 de Lagnon, Saint-Brieuc, Rennes, Brest ou encore Lorient. Manifestation des producteurs de lait

00:34:22 prévue à partir de 11h ce matin devant l'usine Lactalis de Pontivy, l'une des plus importantes

00:34:27 en France. Les agriculteurs n'ont toujours pas trouvé d'accord avec les industriels et les

00:34:32 distributeurs sur le prix du lait. On en parle dans 10 minutes avec notre invité Jean-Jacques

00:34:36 Michard, président de la section laitière de la FDSEA dans le Morbihan. Le ministère de la santé

00:34:42 finance trois projets bretons concernant la santé mentale à hauteur de plus de 800 000 euros. Il

00:34:48 s'agit d'un hôpital de jour sur les psychotraumatismes à Quimper, un dispositif de gestion des crises

00:34:54 porté par l'hôpital de Morlay ou encore des téléconsultations psychiatriques proposées

00:34:59 par l'hôpital Charcot à Codan près de Lorient. Après le cyclone qui a touché l'île de la Réunion

00:35:05 il y a quelques jours, le secours populaire lance un appel aux dons. L'antenne brestoise

00:35:09 collecte de l'argent notamment pour soutenir les habitants victimes de Bellal. La préfecture des

00:35:14 Côtes d'Armor interdit jusqu'à nouvel ordre le ramassage et la commercialisation de tous les

00:35:19 coquillages notamment les huîtres à Ploubalanek en cause des rejets d'hydrocarbures dans le port

00:35:25 de Port-Sévenne. Et qu'est-ce que vous pensez vous du retour de l'uniforme à l'école ? On attend

00:35:30 vos témoignages ce matin 0 2 98 53 65 65. Et il est 7h35 on s'intéresse aussi à votre info en

00:35:38 breton car vous venez d'en parler l'expérimentation voulue par le président de la république de

00:35:42 l'uniforme à l'école ne plaît vraiment pas à tout le monde.

00:35:45 Toutes ces écoles sont en train de se faire vendre. Vous avez le nom d'Emmanuel Macron, vos écoles publiques sont à Pouilly, à Guingamp, à Nemetti, à Barvraud. Et tous ces écoles scolaires, lycées, France-Abaisse, tous les USA, sont en train de se vendre. On a besoin d'un temps de 10 euros. En ce qui me concerne, il y a une vente dans toutes ces écoles et dans toutes les villes. Je voudrais que vous vous rappelliez qui est le président de la république.

00:36:11 On va parler de Antoine Gauchard, scolaire de l'Université de Saint-Denis-Pépé.

00:36:18 Dans ce cadre, il y a une plateforme qui est en train de se faire vendre. C'est un projet qui est en train de se faire vendre. Il y a une plateforme qui est en train de se faire vendre. Il y a une plateforme qui est en train de se faire vendre.

00:36:30 Vous avez dit que vous étiez un sociologue de la France. Vous avez été un grand scientifique. Vous avez parlé de la France et de la France. Il y a une différence entre la France et l'Université de Saint-Denis-Pépé. Il y a une différence entre la France et l'Université de Saint-Denis-Pépé. Il y a une différence entre la France et l'Université de Saint-Denis-Pépé.

00:36:46 Il y a une différence entre la France et l'Université de Saint-Denis-Pépé. Il y a une différence entre la France et l'Université de Saint-Denis-Pépé. Il y a une différence entre la France et l'Université de Saint-Denis-Pépé. Il y a une différence entre la France et l'Université de Saint-Denis-Pépé.

00:37:06 En tout le bar d'Arto, c'est Français, ça vous va ouaissé ? Bah bref, c'était bien la quête. En va-ouaisse, d'au-vra à Trégon. Toma lé dey de Vézas, Kouet et Guasbet, à zé dans tout l'bar, né. Pas d'alois, diffé né dey, moné d'arronpré de gantant. Pédon nous est rédit, lune a dimeurs, vé fait, Roir-Vézé dans Trao et Barzun-Ti à l'an dernier.

00:37:24 Dîtes-nous, c'est la quête de Castelpaul, votre pote, à Trégon, vous avez fait la quête de Verret, dans le bar de Révaro, vous avez été le donton de la goutte rose néant, à Pavodote, en Archerienne, vous avez été le nez de la goutte rose néant, à Gugnon-Zobé, à Gloisette, à Émise, à Évène, à Évaux-Barnet, à Lesverne, à Brest.

00:37:43 Et pas de devise, nos autres Blénia et B, députés au chaud en arvor, Mickaël Cosson, goudé, béza et vété réal, col, ou à bécontrôle et nain, gand en Archerienne, ou Blénia et Otto, bé à Pédron-Kichène, Sainte-Brieuc, à zé, et ou à Dissadant-Danoze.

00:37:58 En Véladène, digustum, à zé, évite à Arscolidi, à zé, évite à Véchkenta, éché l'air, à Gouladéni, Palaise, Versailles et Brézon-Nenèque, quand nénar Ménos, Barsonge, Gaël Bilien, Léonardo Chaume, Paris, à Dalèque, Pentequenta, Miss Ferve, de Guéméret, à Galandevatt, Gantan, Brézon-Négérienne, et Yawank, à Arscolio, évite Gouladénou, Anchete, en Véladène, une heure vésenteur, base appartement chaud à Rouenne.

00:38:23 Là qu'elle voit Arscolidi, la gomme prend Pénose et Servigé à Palaise, et à Garpachier, là-dessus quoi il se quitte Galoudius et lui à Pévard-Zé.

00:38:34 - Il y a pas d'invité, mais il y a des caméros perdus à Arscolidi, et ils répondent à Gouladénou à Rhinotour, à Brézon-Négalius, il y a des flammes, il y a Véchkenta, il y a des clés, des oriées, des oriées minorelles et matassantes, et Palaise-Versailles.

00:38:53 - Le 9 janvier, il y a eu, je sais pas si c'est pas heureux, mais il y a eu des explosions, des explosions, et on espérait que le matin, Jean-Mé, et Tommy, ils ont fait un coup de feu à l'FLB, et ils ont fait 3 heures à Trihuguen, ils ont fait des bombes, et ils sont partis à Palaise.

00:39:20 - On va voir ce qu'il y a de plus important dans la Bresse, et ce qu'il y a de plus important dans le second état.

00:39:26 - BBH, Tripal-Varnhügen, Ouse, Douw-Varnhügen et Campionnat de France, on va voir ce qu'il y a de plus important dans la Bresse.

00:39:32 - On va voir ce qu'il y a de plus important dans la Bresse, et ce qu'il y a de plus important dans le second état.

00:39:36 - Charles Caudrelier à Tom Laperche, direct, Thomas Coville.

00:39:40 - On en revient à Distro, en éole, pour ce matin, après la pluie, le soleil.

00:39:44 - Oui, effectivement, du soleil qui est officiellement présent sur la Bretagne.

00:39:47 - Ce matin, cet après-midi, ce soir aussi, ça va nous faire du bien, si elle peut un peu voiler, on va dire, dans le Finistère, notamment ce matin.

00:39:54 - Et du côté de vos températures cet après-midi, pas plus de 7 degrés à Pont-l'Abbé et Brest, 6 à Quimperlé, 5 à Gourin et 6 du côté de Pont-Yvel.

00:40:01 - Évidemment, si vous avez des difficultés sur la route, vous nous appelez.

00:40:04 - Voilà, au 02 98 53 65 65, pour le moment, ça roule très bien sur la route.

00:40:09 - Robin Robry, sur France Bleu Brésil. Mais, t'es où ?

00:40:13 - Lui, il a roulé jusqu'à Guémenet, pas très loin de Bubry, pas très loin de Pont-Yvie ou encore de Beau.

00:40:19 - Nous sommes avec lui, c'est Robin Robry. On vous écoute, c'est parti.

00:40:23 - Je suis dans l'atelier de Jean-Pierre, qui est professeur de dessin et grand passionné à Guémenet, depuis une dizaine d'années.

00:40:29 - Vous transmettez votre passion à vos élèves. Comment ils vous trouvent, vos élèves, ici ? Et surtout, comment ils se débrouillent, vos élèves ?

00:40:36 - Ah ben, ça dépend. Mais en général, ils se débrouillent pas mal. Ils se débrouillent pas mal.

00:40:41 C'est un peu dur, parfois. Ça dépend des modèles que je leur redonne. Des fois, ils souffrent, il faut bien le dire.

00:40:47 Mais enfin, ça se passe bien. Globalement, ça se passe très bien.

00:40:50 J'ai même une élève, une jeune fille de 14 ans, qui veut en faire son métier, qui est tout à fait passionnée, qui est plongée dans le dessin tout le temps.

00:40:59 Je pense qu'elle est dans 24 heures sur 24. Elle est en train d'écrire sa propre histoire. Petit à petit, elle l'a bâtie, elle l'a construite.

00:41:09 - Donc, désignatrice et en plus, future écrivaine, peut-être ? Scénariste ?

00:41:12 - Scénariste, oui. Au moins, scénariste, oui. Parce qu'elle travaille énormément sur les caractères de ses personnages, sur leur apparence, sur ce qui leur arrive, sur leur passé, etc.

00:41:20 Pour aller leur bâtir un présent très concret. Et elle a un travail formidable. Et au niveau du dessin aussi, elle remplit des pages entières de croquis.

00:41:31 Et elle s'améliore tous les jours. Et je pense qu'avec un petit peu de chance en prime, elle devrait y arriver.

00:41:37 - Combien vous avez d'élèves, à peu près, ici ? - Une petite vingtaine.

00:41:41 - Une vingtaine qui vient quasiment toutes les semaines ? Ou c'est tous les mois ?

00:41:44 - Non, non, toutes les semaines. J'en ai une vingtaine qui vient quasiment toutes les semaines, sauf un empêchement parfois.

00:41:50 Non, j'ai des gens qui sont passionnés par le dessin, qui ont envie de faire quelque chose, que ça distrait, à qui ça apporte de l'évasion.

00:41:58 Parce que, comme on me dit souvent, quand on dessine, on pense plus à autre chose. Et ça, c'est bien aussi. Ça fait beaucoup de bien pour ça.

00:42:04 - Alors moi, j'ai dessiné à la Baptiste. J'ai dessiné un petit peu. Je pensais surtout à ne pas faire une erreur de dessin.

00:42:10 Mais j'ai été très bien accompagné. Merci beaucoup, Jean-Pierre, de nous avoir partagé votre passion.

00:42:14 Et Baptiste, c'est moi qui vais vous donner des cours de dessin.

00:42:16 - Ah bah, si vous voulez ! Avec grand plaisir, je vous attends. Merci beaucoup.

00:42:20 Robin, on se retrouve tout à l'heure après les infos de 8h.

00:42:23 Vous restez avec nous, on va parler de l'uniforme à l'école aussi. C'est l'une des mesures annoncées mardi soir par le chef de l'État, Emmanuel Macron.

00:42:31 Alors, est-ce que vous êtes pour ou est-ce que vous êtes contre ? On va en parler d'ici quelques instants.

00:42:36 - Robin, on est prêts. - Mais t'es où ?

00:42:39 Vous allez pouvoir, d'ailleurs, nous appeler maintenant 0298 53 65 65.

00:42:47 Est-ce que ça vous est arrivé de porter peut-être des blouses aussi, à une certaine époque, à l'école ?

00:42:51 Vous êtes pour ? Vous êtes contre ? Est-ce que vous pensez que l'uniforme permet de réduire les inégalités ?

00:42:57 Appelez-nous, vous allez pouvoir témoigner aux alentours de 7h50. Nous sommes le 18 janvier.

00:43:02 C'est un plaisir de vous accueillir, comme un air d'été, comme un air de vacances, avec un bon Ryan Paris.

00:43:08 Vous ne trouvez pas qu'on est bien, comme ça ? On va pouvoir sentir le Marcelle et une nuit de soleil. Ce sera encore mieux.

00:43:14 Voici la Dolce Vita. Ryan Paris vous accompagne ce matin sur France Bleu, près du Zèbre.

00:43:20 On marche comme dans la Dolce Vita. Cette fois-ci, on a tout ravi.

00:43:27 On vit comme dans la Dolce Vita. Je vais rêver ce soir.

00:43:35 On danse comme dans la Dolce Vita. Avec de la musique en fond.

00:43:43 Notre amour est fait dans la Dolce Vita. Personne d'autre que vous.

00:43:51 C'est la nuit sans fin. Ensemble avec notre amour de nouveau.

00:43:59 Une autre lumière. Avant que nous ne sommes éclatés dans la sombre.

00:44:05 Je dis que vous ne m'entendrez jamais. Je dis que vous allez m'aimer.

00:44:27 On est arrivé dans la Dolce Vita. Pourquoi vous enlever vos sentiments ?

00:44:34 On vit comme dans la Dolce Vita. Un jeu d'hier.

00:44:42 Je suis seul dans la Dolce Vita. Oh, mon amour, téléphone.

00:44:50 Cette magie est encore dans la Dolce Vita. Personne d'autre que vous.

00:44:58 C'est la nuit sans fin. Ensemble avec notre amour de nouveau.

00:45:06 Une autre lumière. Avant que nous ne sommes éclatés dans la sombre.

00:45:11 Je dis que vous ne m'entendrez jamais. Je dis que vous allez m'aimer.

00:45:18 C'est la nuit sans fin. Ensemble avec notre amour de nouveau.

00:45:26 Une autre lumière. Avant que nous ne sommes éclatés dans la sombre.

00:45:31 Je dis que vous ne m'entendrez jamais. Je dis que vous allez m'aimer.

00:45:38 [Musique]

00:46:04 Oui, on adore. Ça rappelle le film "Camping". Vous ne vous souvenez pas, Delphine ?

00:46:08 Avec Dubosc, Jacqui Pic.

00:46:11 Emplacement 17. Ah, vous ne l'avez pas vu ?

00:46:13 Non. Je sais, pardon. Ça remonte à ma culture.

00:46:16 Ça manque à ma culture. Si.

00:46:18 Ah, bah, bravo. Je vais me rattraper.

00:46:20 Je vous ferai le DVD.

00:46:21 Eh bien, je veux bien.

00:46:22 Parce que je l'ai.

00:46:23 Eh bien, avec plaisir.

00:46:24 Allez, les 7h46, vous restez avec nous, à tout de suite.

00:46:27 Ici, matin, revient dans un instant.

00:46:32 [Générique]

00:46:56 Le 6/9, France Bleu Brazzies Elle. Connecter à votre région.

00:47:01 Et ce matin, notre invité, Jean-Jacques Michard, président de la section laitière de la FDSEA du Morbihan.

00:47:10 Oui, parce qu'il y a des actions un peu partout en France, aujourd'hui, devant les usines du géant Lactalis.

00:47:15 Les jeunes agriculteurs et la FDSEA dénoncent le prix que le groupe laitier veut imposer à ses fournisseurs.

00:47:21 Un prix ridicule, disent les syndicats.

00:47:23 Une manifestation de producteurs de lait a lieu à 11h, aujourd'hui, par exemple, à Pontivy, devant l'usine Lactalis,

00:47:29 l'une des plus grosses de France.

00:47:32 Bonjour, Jean-Jacques Michard.

00:47:34 Vous serez donc tout à l'heure à 11h à Pontivy, avec d'autres producteurs de lait.

00:47:37 Vous pouvez nous expliquer un petit peu le bras de fer actuel avec le géant de la Mayenne ?

00:47:42 Oui, bonjour.

00:47:44 Le bras de fer, en fait, c'est que les organisations de producteurs ont voulu faire des négociations

00:47:52 depuis quelques mois avec Lactalis.

00:47:54 Et en fait, Lactalis, ces femmes non recevoirs, ne veut pas rien négocier et impose, entre guillemets, leur prix.

00:48:00 Et en fait, ce qu'ils veulent les organisations, et ce que nous on demande aussi,

00:48:06 c'est qu'il y ait un respect de la loi EGalim qui a été votée il y a déjà deux ans par le gouvernement.

00:48:13 Et qu'impose la loi EGalim, d'après vous, à Lactalis ?

00:48:18 En fait, la loi EGalim a été faite en sorte que le prix va en marche en avant.

00:48:24 On part du producteur pour finir à la grande distribution.

00:48:28 Et là, c'est l'inverse qui essaye de vous imposer Lactalis ?

00:48:33 Là, c'est un peu l'inverse.

00:48:34 Lactalis ne prend pas en considération nos demandes d'évolution de charges

00:48:40 et ne veut pas augmenter un peu le prix au producteur.

00:48:45 Alors, si on rentre dans le détail, je crois que Lactalis propose en gros 405 euros pour 1000 litres de lait.

00:48:51 Vous vous demandez 484 euros minimum, à cause, vous l'avez dit, de l'inflation

00:48:55 et de vos prix de revient qui ont augmenté de 5%.

00:48:59 Comment on sort de ce blocage ?

00:49:02 Alors, en fait, les 484 euros que les organisations producteurs demandent,

00:49:08 c'est sur la partie valorisée en France.

00:49:11 Donc, il y a 50% du lait qui est livré à Lactalis qui est valorisé à partie France.

00:49:17 Et donc, là, ils demandent à peu près 485 euros les 1000 litres.

00:49:23 Et au global, avec tout le lait qui est vendu,

00:49:28 parce que Lactalis en vend un peu dans le marché extérieur et dans les produits industriels,

00:49:33 là, il veut nous payer 405.

00:49:36 Et je pense qu'il nous manque au moins 20, 30 euros 1000 litres.

00:49:40 Alors, ce qu'il faut avoir en tête, c'est que Lactalis est le premier collecteur mondial de lait,

00:49:45 le premier en France aussi, évidemment.

00:49:47 Ça concerne à peu près, vous le savez, peut-être combien de producteurs en Bretagne ?

00:49:51 Alors, sur le site de Pontivy, Lactalis collecte à peu près 730 producteurs.

00:49:57 Donc, le site de Pontivy, c'est Pontivy et Châteaulin, en fait.

00:50:02 Châteaulin, le ministère, parce que Châteaulin, c'est un point de collecte pour Lactalis

00:50:06 et après, ils ramènent tout le lait sur Pontivy pour être transformés.

00:50:09 Donc, voilà.

00:50:11 Donc, ça veut dire pour vous, Lactalis est incontournable.

00:50:13 Vous ne pouvez pas faire sans lui.

00:50:15 Ah ben, c'est quand même un acteur majeur de notre bassin en Bretagne.

00:50:22 Après, il y en a d'autres acteurs majeurs, mais c'est quand même un des gros acteurs majeurs.

00:50:26 Et puis après, voilà.

00:50:29 Moi, j'ai toujours été fier de travailler pour Lactalis.

00:50:32 Je suis toujours fier.

00:50:34 Après, voilà, c'est des soucis qu'il y a en ce moment.

00:50:37 Il faut, j'espère qu'ils vont revenir à la raison et que ça ira mieux après.

00:50:44 Jean-Jacques Michard, président de la section laitière de la FDSEA du Morbihan, avec nous.

00:50:50 Alors, vous appelez à l'instant Lactalis à revenir à la raison.

00:50:54 C'est ce qu'ils disent également de leur côté.

00:50:56 Ils avancent comme argument un bénéfice en baisse de 14% en 2022,

00:51:04 pénalisé aussi par la forte inflation des coûts.

00:51:07 C'est un argument que vous recevez ou pas du tout ?

00:51:10 Après, ils peuvent dire ce qu'ils veulent avec leurs chiffres.

00:51:17 Après, on ne sait vraiment pas combien ils font de chiffres d'affaires,

00:51:23 parce que c'est tellement opaque l'entreprise que ce n'est pas facile d'avoir les vrais chiffres.

00:51:28 Après, il faut dire aussi que nous aussi, on a eu une augmentation des charges.

00:51:32 Tout ce qui est électricité, engrais, ça a diminué un peu,

00:51:36 mais il y a encore autre chose qui augmente.

00:51:39 Toutes nos prestations de services à côté, nos matériels,

00:51:43 tout en train d'augmenter l'aliment, ça continue d'augmenter un peu.

00:51:46 Donc, il faut qu'ils prennent en considération que chez nous aussi, ça monte.

00:51:51 Donc là, vous êtes étranglé, en quelque sorte ?

00:51:55 En quelque sorte, oui. On peut dire ça, oui.

00:51:59 Vous parliez tout à l'heure, Jean-Jacques Michard, de la loi Egalim.

00:52:03 Elle prévoit que les producteurs peuvent demander une médiation.

00:52:05 Est-ce que vous avez l'intention d'utiliser cet outil ?

00:52:09 Après, je ne suis pas dans les organisations producteurs.

00:52:13 C'est aux dernières nouvelles que les organisations producteurs ont demandé une médiation.

00:52:19 Ils attendent la réponse de l'actalis. Je ne sais pas s'ils vont l'accepter ou pas.

00:52:25 Merci beaucoup, Jean-Jacques Michard, d'avoir été en direct ce matin sur France Bleu Brésilier.

00:52:29 Je rappelle que vous êtes le président de la section Laitière de la FDSEA du Morbihan.

00:52:33 Et que vous serez aux côtés d'autres producteurs de lait, tout à l'heure à 11h à Pontivy.

00:52:37 Merci beaucoup. C'est l'heure 52 ce matin. On parle de toute autre chose.

00:52:41 Cette fois, de l'uniforme. Parce que je crois qu'Emmanuel Macron en a parlé, de cette uniforme.

00:52:45 Oui, vous avez peut-être suivi sa conférence de presse Fleuve, mardi soir.

00:52:49 Il a effectivement annoncé, le chef de l'État, que ça allait être testé dans 100 établissements à travers la France.

00:52:56 Et un seul en Bretagne, c'est à Pouilly, c'est à côté de Guingamp.

00:52:59 Oui, voilà, dans les côtes d'Armor. Alors, qu'en pensez-vous ? Racontez-nous tout ça.

00:53:02 Au 02.98.53.65.65. Est-ce que l'uniforme, pour vous, permet de réduire les inégalités ?

00:53:08 Est-ce que vous avez peut-être porté de la blouse ? Vous aussi, fut un temps.

00:53:11 On attend vos témoignages. C'est Maxime qui vous accueille. 02.98.53.65.

00:53:16 Deux fois, nous sommes à Brièques. On est près de Quimper, dans le Finistère, avec Odette qui est avec nous. Bonjour Odette.

00:53:22 Bonjour. Oui, bonjour.

00:53:24 Je vous souhaitais témoigner aujourd'hui, concernant l'uniforme.

00:53:26 Oui, oui, moi j'ai des petits-enfants qui sont en Martinique, ils sont en uniforme.

00:53:30 Chaque établissement a une couleur différente de polo. Et je trouve ça très bien.

00:53:36 J'ai deux, trois petites-filles qui sont à Bois, à l'école. Elles ont toujours eu l'uniforme.

00:53:42 Je trouve ça normal. Et mon fils, ça ne le dérange pas.

00:53:46 Je ne comprends pas pourquoi j'ai eu la blouse à l'école.

00:53:50 J'ai trouvé ça très bien.

00:53:52 Ma petite-fille m'a dit l'autre jour qu'elle avait un très joli cardigan, un petit chemisier, et qu'elle avait un petit blouson bleu marine.

00:53:59 Vous pensez, Odette, que ça empêche un petit peu le harcèlement de certains élèves ?

00:54:06 Oui, certainement.

00:54:08 Autour de la question des marques ?

00:54:10 J'ai travaillé dans une école pendant 30 ans, ça me choquait. Je l'ai dit plusieurs fois à la directrice.

00:54:17 Quand je voyais des petites-filles venir avec des petits trucs à bretelles, non, ce n'était pas logique, c'est une école.

00:54:24 Et ça permet aussi pour vous d'effacer un peu les différences sociales ?

00:54:29 Ah, sûrement, même, sûrement.

00:54:32 Donc vous y êtes tout à fait favorable, et vous dites effectivement que c'est...

00:54:37 C'est vrai qu'on a connu en France cette période avec les uniformes.

00:54:43 Ça a été abandonné il y a comme même plusieurs années.

00:54:46 On sait que dans certains pays, par exemple les pays anglo-saxons, de l'autre côté de la Manche, chez nos voisins britanniques,

00:54:54 tout le monde porte un uniforme sans se poser de questions.

00:54:57 Non, ici, ma petite-fille m'a dit l'autre jour, moi je savais qu'à l'école en 6ème, je fais uniforme, ça n'allait pas déranger.

00:55:06 Oui, mais alors est-ce que peut-être qu'on peut penser qu'avec tout ce qui se passe aujourd'hui,

00:55:10 les enfants ont des marques, sont habillés différemment, il y a la mode aussi qui joue énormément, les réseaux sociaux,

00:55:17 je pense que ça risque d'être compliqué, peut-être aujourd'hui, je ne sais pas ce que vous en pensez, de remettre tout le monde à l'uniforme ?

00:55:24 Oui, au moins des tenues respectables, parce que quand j'étais à l'école, ça me choquait les tenues qu'il y avait les enfants.

00:55:30 Bon, en tous les cas, merci pour votre témoignage, Odette.

00:55:33 Abrièque, merci à vous, on va partir à Plouinec, dans le Morbihan, pas très loin d'Étel, avec Annick qui est avec nous.

00:55:40 Bonjour Annick.

00:55:41 Oui, bonjour, c'était pour vous dire que c'est bien l'uniforme pour les enfants, surtout les petits, vous savez, du primaire.

00:55:49 Pourquoi, qu'est-ce que ça apporte ?

00:55:52 Ayant vécu à l'étranger, quand les enfants sortent des écoles, on voit tout de suite que c'est des écoliers.

00:56:01 Et quand ils traversent et tout, en plus ils ont des couleurs vives, voyez, c'est même une sécurité pour eux.

00:56:08 Parce que dans beaucoup d'endroits, les enfants rentrent chez eux tout seuls.

00:56:13 Et en plus, quand ils font le trajet sur la route, si vous voulez, les gens savent que c'est un écolier.

00:56:19 Il y a toujours un regard mignon, si vous voulez, sur eux.

00:56:24 Et selon vous, pourquoi d'établissements, aujourd'hui, d'établissements scolaires, peut-être refusent de revenir à l'uniforme ?

00:56:34 Moi je pense qu'il faut en parler aux parents d'élèves.

00:56:37 Il faut que les parents d'élèves comprennent que l'école, en fin de compte, c'est pas un lieu où on a envie d'être écrasé par les autres,

00:56:45 ceux qui ont de l'argent, ceux qui savent mieux étudier.

00:56:48 C'est un lieu où, en fin de compte, quand on arrive, on est égaux.

00:56:52 Comme on dit, c'est l'égalité.

00:56:54 Donc à la limite, vous vous asseyez, tout le monde est pareil.

00:56:58 Et tout le monde a envie. On n'est pas à se regarder comme les cahiers, comme tout ça.

00:57:02 Faudrait même que les profs, ils commencent à arrêter de commander autant de cahiers.

00:57:07 Pour vous, l'uniforme permet de remettre de l'égalité entre tous les élèves ?

00:57:12 Et puis une sécurité à l'extérieur des lycées. Enfin, surtout en primaire.

00:57:16 Vous avez connu vous-même, je ne sais pas quel âge vous avez, mais vous avez connu vous-même...

00:57:21 Oui, à l'étranger, partout à l'étranger, toutes les écoles, elles ont des uniformes.

00:57:28 Que ce soit dans le privé ou dans le public.

00:57:31 Et vous-même, est-ce que vous avez porté une blouse ?

00:57:34 Oui, bien sûr. On avait le choix de la blouse. Il fallait juste une blouse à deux poches pour un bar.

00:57:41 Ah oui, d'accord. Donc vous l'avez bien vécu, ça ?

00:57:45 Bah, écoutez, pourquoi se mettre des contraintes ? C'était comme ça, c'était comme ça.

00:57:51 Les gens, il faut toujours expliquer le pourquoi de la chose.

00:57:55 Nous, on nous mettait la blouse, on arrive à l'école, on a vu.

00:57:58 Et puis on n'a pas de questions à se poser, on avait des poches pour mettre son bouchoir.

00:58:02 Et puis voilà, quoi.

00:58:04 Merci Annick, en tous les cas, pour votre témoignage ce matin.

00:58:07 Voilà, très bonne journée à vous.

00:58:09 Bonne journée, au revoir.

00:58:10 Voilà, pour le rappeler quand même Delphine, il y a une centaine d'établissements qui vont tester ça.

00:58:15 Voilà, c'est ça. À partir de la rentrée 2024, et puis en fonction de l'expérimentation,

00:58:20 Emmanuel Macron envisage de généraliser le port de l'uniforme dès 2026.

00:58:25 2026, donc il y a encore le temps de le revenir.

00:58:27 Et une seule commune, pour le moment, volontaire, en Bretagne.

00:58:30 C'est Plouisie, donc dans les Côtes d'Armor.

00:58:33 Vous restez avec nous, l'info arrive à 8h ce matin.

00:58:37 Excellent réveil, à tout de suite.

00:58:39 Ici Matin, revient dans un instant.

00:58:42 Sur l'île de la Réunion, une enquête, c'est d'abord un travail d'équipe.

00:58:49 Zacharia Belhem, officier de police judiciaire.

00:58:53 Mais faire équipe avec Catherine Jacob, ce n'est pas donné à tout le monde.

00:58:56 On va à l'institut médico-légal.

00:58:59 Il faut avoir les nerfs solides.

00:59:01 Il est rentré dans le bain trop tôt.

00:59:04 Et surtout, faire respecter la hiérarchie.

00:59:06 T'es vraiment obligé de me faire chapeler par ce mec ?

00:59:08 Juliette qui poule, ok ?

00:59:09 Je n'aime pas votre ton condescendant.

00:59:11 Je suis votre supérieur, merci de ne pas l'oublier.

00:59:13 Qui aura le dernier mot ?

00:59:14 Moi je disais ça pour toi.

00:59:16 Un duo qui s'annonce volcanique, ce soir à 21h10 sur France 3,

00:59:21 et déjà sur la plateforme France.tv.

00:59:24 Ce programme est disponible en audio description.

00:59:28 (Générique)

00:59:33 France Bleu, connecté à notre région.

00:59:37 Ici c'est France Bleu Breizh Izel.

00:59:40 Nous sommes le 18 janvier, merci de nous rejoindre.

00:59:44 N'oubliez pas tout à l'heure aussi un invité de marque sera avec nous dans Côté Culture,

00:59:49 dans Pierre de Marbretagne, pardon si je me trompe, ça va pas le faire.

00:59:52 A 16h20 ce sera le chanteur Pierre de Marre qui sera avec nous en direct.

00:59:57 Il évoquera notamment sa deuxième vie bretonne,

01:00:00 puisque Pierre de Marre sera en concert d'ici quelques jours du côté de la Carhaîne à Brest.

01:00:04 Non, même demain je peux vous dire, parce que c'est vendredi soir.

01:00:06 A la Carhaîne à Brest on en parlera.

01:00:08 Donc tout à l'heure au micro d'Axel Perret.

01:00:11 Vous restez avec nous, on vous souhaite une bonne journée en ce 18 janvier.

01:00:15 Bon réveil, bon courage si vous bossez, il est 8h ce matin.

01:00:18 [Musique]

01:00:23 Avec la météo il fait beau, il fait beau aujourd'hui, dès ce matin, il fera beau cet après-midi aussi.

01:00:27 Même si ce matin on a un petit peu de ciel voilé de temps en temps, rien de bien méchant.

01:00:32 1 à 4 degrés pour les températures, pas plus de 7 degrés dans le sud Finistère.

01:00:36 Le dit Météo France pour aujourd'hui.

01:00:38 Et dans le sud du Morbihan on est toujours accompagné d'un grand soleil.

01:00:41 Ça va nous faire du bien, on en parle après l'info.

01:00:44 Et c'est donc avec vous Delphine Gauthier, toute l'information de ce 18 janvier.

01:00:50 Il a délaissé les broderies pour les pains au chocolat.

01:00:53 Pascade Jahouen, le célèbre styliste quimperroi en broderie d'art, a pris sa retraite il y a quasiment un an.

01:01:00 Il est obligé de travailler quelques mois supplémentaires à cause de la réforme des retraites.

01:01:06 Alors il a repris le chemin non pas de son école de broderie d'art à Quimper,

01:01:10 mais de la boulangerie Kennec de Plone-Hourlon-Verne.

01:01:13 C'est là qu'Océan Zitouni l'a rencontré.

01:01:16 Petite moustache bien taillée, lunettes aux montures carrées arrondies et large sourire,

01:01:21 Pascade Jahouen se tient derrière le comptoir. Il est parti de zéro.

01:01:24 Il faut s'habituer aux clients, aux produits, les variantes de sortes de pains, de viennoiseries, de pâtisseries,

01:01:31 les boîtes qui vont avec, la caisse, enfin bon, je crois que ça a été un retardement d'Alzheimer.

01:01:36 Ça fait travailler la tête.

01:01:38 Et face aux clients, au début, ça n'a pas été évident.

01:01:40 Il se demandait si c'était un seusie et puis il y a même une dame qui m'a un jour demandé,

01:01:45 non mais c'est pas possible, je lui ai dit vous voulez que je sorte ma carte d'identité ?

01:01:48 Oui, oui, mais est-ce que c'est ça ? C'est pas possible.

01:01:50 Donc j'ai sorti ma carte d'identité pour prouver que j'étais bien Pascade Jahouen.

01:01:53 En plus d'être très drôle et avenant, c'est aussi un parfait employé,

01:01:57 assure le patron de la boulangerie Alain Kennec.

01:01:59 Il est ponctuel, il est là à l'heure, il n'y a pas de souci avec lui.

01:02:03 Il parle breton, il y a des clients qui aiment bien parler breton.

01:02:05 A l'image de Jean-Denis, un habitué.

01:02:07 C'est l'occasion de parler breton parce qu'on se parle tout le temps en breton.

01:02:11 Il n'y a pas tellement de monde qui parle breton autrement.

01:02:13 Il va peut-être partir bientôt, je vais le regretter, je ne le verrai plus.

01:02:16 J'aurais une petite larme pour lui.

01:02:17 Un métier taillé sur mesure pour le styliste star du Finistère.

01:02:21 Le contrat de Pascal Jahouen se termine à la fin du mois.

01:02:24 Pour la retraite, il faudra attendre jusqu'au 1er avril.

01:02:27 Oui, mais même à la retraite, Pascal Jahouen va continuer sa passion

01:02:31 avec son projet notamment de fève boucle d'oreille.

01:02:34 Ce sera pour l'Epiphanie 2025.

01:02:37 Et puis sa robe, faite à partir de déchets récupérés dans l'océan

01:02:40 comme les filets de pêche, le plastique.

01:02:43 Elle sera présentée bientôt à Oceanopolis à Brest.

01:02:46 C'est un reportage à retrouver aussi en image sur francebleu.fr.

01:02:49 Chez nous, tout va bien, mais plus de 700 km de bouchons en France

01:02:52 à cause de la neige ce matin.

01:02:54 Condition de circulation très difficile dans toute la moitié nord du pays.

01:02:58 Aucun bus de la RATP ne circule par exemple en Ile-de-France.

01:03:02 Ce matin, encore 25 départements en vigilance orange, neige et verglas.

01:03:07 La préfecture des Côtes-d'Armor interdit jusqu'à Nouvelle-Or

01:03:10 le ramassage et la commercialisation de tous les coquillages à Ploubalanek.

01:03:15 Il y a eu des rejets d'hydrocarbures dans le port de Port-Sévennes

01:03:18 à cause de l'enlisement d'un engin de manutention.

01:03:21 L'arrêté préfectoral demande également le retrait du marché

01:03:24 de tous les coquillages issus de cette zone depuis mardi.

01:03:27 On en parlait juste avant le journal.

01:03:30 C'est une décision qui ne fait pas encore l'unanimité à Plouisy.

01:03:33 Prêt-Guingamp, le maire de la commune des Côtes-d'Armor a dit oui

01:03:36 à l'expérimentation de la tenue unique à l'école.

01:03:38 C'est la seule ville bretonne à avoir répondu favorablement

01:03:42 à la mesure portée par le chef de l'État.

01:03:46 Emmanuel Macron a annoncé avant-hier soir

01:03:49 que son établissement scolaire allait tenter l'expérience à la rentrée prochaine.

01:03:53 - Donc journée blanche sur les routes de la moitié nord de la France

01:03:56 et jeudi noir dans la police.

01:03:58 C'est le mot d'ordre des deux syndicats majoritaires de Guardiens de la Paix.

01:04:01 À six mois des Jeux Olympiques, un coup de pression face à l'organisation

01:04:05 ou plutôt selon eux, le manque d'organisation du ministère de l'Intérieur.

01:04:09 Des policiers qui savent qu'ils seront interdits de vacances

01:04:12 pendant trois semaines cet été et qui demandent des compensations.

01:04:16 - Deux semaines de vacances entre le 15 juin et le 15 septembre

01:04:19 et 100% de policiers mobilisés sur la période des Jeux.

01:04:22 Tout cela a été annoncé le mois dernier par Gérald Darmanin

01:04:25 mais les primes qui y rêtent avec sont jugées insuffisantes.

01:04:28 Voilà pourquoi les syndicats Alliance et Unesapoli

01:04:30 s'appellent à une sorte de service minimum aujourd'hui.

01:04:33 Pas de travail d'initiative et des rassemblements entre midi et deux

01:04:36 partout en France face à ce qui est un manque criant d'anticipation

01:04:39 pour Arnaud Butelier, responsable de l'Alliance dans les Hauts-de-France.

01:04:42 - Quand on sait que ça fait près de huit ans

01:04:44 que la date a été donnée pour l'organisation des JO,

01:04:46 là aujourd'hui on est dans l'incertitude, dans le doute, dans l'inquiétude.

01:04:50 Les collègues se disent "mais qui va pouvoir garder mes enfants

01:04:53 si ces deux couples de fonctionnaires… comment on fait ?".

01:04:56 Il nous faut des mesures sociales et financières

01:04:58 pour que le policier ou le gendarme, les forces de l'ordre,

01:05:01 puissent assurer la mission en toute tranquillité

01:05:04 et qu'il n'y ait pas la tête ailleurs.

01:05:06 Les syndicats réclament jusqu'à 2000 euros de primes par agent

01:05:09 pour un engagement qu'ils jugent exceptionnel.

01:05:11 Et n'oublie pas les policiers qui, dans les commissariats de province,

01:05:13 devront compenser l'absence de leurs collègues

01:05:15 partis en région parisienne pendant les Jeux.

01:05:17 En début de semaine, Gérald Darmanin a reçu les syndicats.

01:05:20 L'entourage du ministre évoque des discussions constructives

01:05:23 avec l'espoir de boucler le dossier d'ici la fin du mois.

01:05:26 Et en Bretagne, des rassemblements sont prévus ce matin à 11h15

01:05:30 précisément devant les commissariats,

01:05:32 notamment à Lagnon, Saint-Brieuc, Rennes, Brest ou encore Lorient.

01:05:37 Pris en flagrant délit de conduite en état d'ébriété,

01:05:40 le député des Côtes d'Armor, Michael Causson,

01:05:42 contrôlait positif samedi dernier cet état plaidrant

01:05:46 à la sortie d'une cérémonie de vœux.

01:05:48 Son permis de conduire est suspendu pendant deux mois.

01:05:51 Il va devoir également réaliser un stage payant

01:05:55 de sensibilisation à la sécurité routière.

01:05:58 L'élu contacté par France Bleu Armorique

01:06:00 reconnaît le demi-vers de trop.

01:06:03 Et puis à Brest, une femme de 32 ans placée en détention provisoire

01:06:08 en attendant son procès en comparution immédiate.

01:06:11 Ce sera demain.

01:06:12 Elle est soupçonnée d'avoir frappé son ancien conjoint

01:06:14 à Landernot dans la nuit de lundi à mardi,

01:06:16 malgré une interdiction d'entrée en contact avec lui

01:06:19 à cause d'une précédente condamnation déjà pour violence.

01:06:22 Elle l'hébergait parfois dans sa cave

01:06:24 quand les forces de l'ordre sont arrêtées.

01:06:26 Ils ont trouvé l'ex-concubin avec le visage ensanglanté.

01:06:30 Elle démarre aujourd'hui en Bretagne.

01:06:32 La campagne de recensement 2024 de l'INSEE,

01:06:35 le recensement qui est annualisé depuis 2004

01:06:38 pour mieux prendre en compte et refléter la réalité.

01:06:41 Mais il n'est plus exhaustif.

01:06:43 Un cinquième seulement des communes de moins de 10 000 habitants

01:06:46 sont concernées cette année.

01:06:48 Ça fait 232 communes bretonnes.

01:06:51 Parmi elles, Brièque, 5 900 habitants au nord de Quimper.

01:06:56 Alors comment ça fonctionne une campagne de recensement ?

01:06:59 Reportage de Thomas Biais.

01:07:00 Ça commence tôt.

01:07:01 La réflexion débute à partir de septembre.

01:07:03 Patricia Gézékel, la responsable du pôle citoyenneté

01:07:06 de la ville de Brièque.

01:07:07 L'INSEE préconisait 12 agents.

01:07:09 J'en ai que 9.

01:07:10 Oui c'est assez compliqué de trouver des personnes intéressées

01:07:13 par ces opérations.

01:07:14 Chaque agent visitera entre 250 et 300 logements

01:07:17 pour y déposer les lettres d'explication.

01:07:19 Dès aujourd'hui, ça dépendra du taux de réponse par internet

01:07:22 des habitants.

01:07:23 On souhaiterait atteindre au minimum

01:07:25 50% de réponse par internet.

01:07:27 À partir de la semaine prochaine,

01:07:28 les agents feront du porte-à-porte pour remplir les questionnaires.

01:07:31 Maxime en a potentiellement 370 à visiter.

01:07:35 Le Brièqueois de 24 ans remplit le lieu

01:07:37 après avoir déjà participé en 2018.

01:07:39 Ça s'est très bien passé.

01:07:40 C'est le contact avec les gens, l'accueil,

01:07:43 qui m'a permis de mourir aux autres.

01:07:45 Le jeune homme y voit aussi un moyen de connaître

01:07:47 la diversité de sa commune.

01:07:48 Du fait d'avoir fait le premier recensement,

01:07:50 ça m'a permis de connaître mon secteur.

01:07:53 Pour celui-ci, c'est beaucoup plus la campagne.

01:07:55 Donc maintenant, je vais connaître beaucoup plus Brièque.

01:07:57 L'adressage a été totalement refait.

01:07:59 À Brièque, ce sera donc beaucoup plus simple de s'y retrouver.

01:08:02 Mais ça n'empêche pas le jeune homme d'avoir quelques craintes.

01:08:05 Au niveau de tout ce qui est fermes, des animaux, les chiens,

01:08:08 j'ai pu approcher les chiens.

01:08:10 Donc, plus de peur que de mal.

01:08:12 Vous voilà prévenu si vous avez un chien de garde.

01:08:14 Soyez gentil, répondez au questionnaire par internet.

01:08:18 Reportage Thomas Bié.

01:08:20 Le choc annoncé a bien eu lieu.

01:08:22 Ce sont les handballeuses brestoises qui ont pris le dessus.

01:08:25 Le BBH est imposé hier soir contre le leader,

01:08:27 la ligue féminine Metz.

01:08:29 Invaincu en championnat depuis mai 2022.

01:08:32 23 à 22 au terme d'un match fou.

01:08:35 Et grâce à la gardienne brestoise

01:08:37 qui a repoussé un pénalty à la dernière seconde,

01:08:39 le BBH n'est plus qu'à un point des Messines au classement.

01:08:42 Et puis on vient d'apprendre des remous

01:08:45 sur l'Arkea Ultimate Challenge de Brest.

01:08:48 Le navigateur Tom Laperche,

01:08:50 qui était au coude à coude en tête de la course

01:08:53 en solitaire autour du monde sur son maxi trimaran,

01:08:56 a contacté sa cellule technique.

01:08:59 Il a une avarie sur la dérive

01:09:01 à cause d'une collision survenue cette nuit.

01:09:04 Sans doute donc devoir faire une escale technique.

01:09:07 Ils étaient dans l'Atlantique Sud

01:09:09 et faisaient route vers le cap de Bonne Espérance.

01:09:12 C'est donc Charles Caudrelier

01:09:14 qui est en tête ce matin de l'Arkea Ultimate Challenge.

01:09:16 Un beau soleil nous attend aujourd'hui.

01:09:20 Oui, un soleil radieux sur la Bretagne.

01:09:22 Les températures en baissent.

01:09:23 C'est vrai que ça a fait yo-yo avec les températures,

01:09:25 notamment hier, on n'a pas du tout les mêmes températures

01:09:27 à l'Orient qu'à Quimper par exemple.

01:09:28 C'est assez incroyable.

01:09:29 Et là, ce sera un peu plus, on va dire, homogène,

01:09:33 côté température sur la Bretagne.

01:09:35 Mais frais quand même,

01:09:36 avec des températures annoncées ce matin

01:09:38 entre 1 et 4 degrés.

01:09:39 4 degrés à Lorient et Hennebon.

01:09:41 4 à Paimpol ce matin, 3 degrés à Morlaix.

01:09:44 7 degrés cet après-midi à Trégastel

01:09:47 si vous êtes dans les Côtes d'Armor.

01:09:49 Même chose à Lagnon, 6 à Saint-Brieuc,

01:09:51 4 à Rostrenin, 5 degrés au Favette,

01:09:53 ainsi que Plouet, Lorient et Guémenet.

01:09:55 7 degrés à Lorient et 7 aussi sur Quimper

01:09:57 et Pont-l'Abbé, pas plus de 5 degrés sur Carré.

01:10:00 - Le dit donc Météo France pour cet après-midi

01:10:03 où le soleil échute des températures.

01:10:05 Ou il chute demain, la nuit prochaine,

01:10:07 entre -1 et -3 degrés,

01:10:09 d'annoncés pour demain matin.

01:10:11 Donc est-ce qu'il faudra gratter les pare-brises ?

01:10:13 Réponse, demain matin, tout simplement.

01:10:15 - Mais sans doute.

01:10:16 - Peut-être, comme peut-être pas.

01:10:18 On n'a pas eu encore beaucoup de grattage de pare-brises

01:10:22 et de verglas pour le moment.

01:10:24 Mais bon, c'est mieux comme ça, on va dire.

01:10:27 C'est 8h10, vous restez avec nous.

01:10:29 - Ce matin, un plaisir de continuer avec vous.

01:10:32 Et puis, bien sûr, deux belles invitations

01:10:34 à vous offrir avant 9h.

01:10:36 Ce sera, on va dire, aux alentours de 8h50.

01:10:38 Vous aussi, vous voulez applaudir une artiste

01:10:40 de la chanson française.

01:10:42 Ce qu'on ne présente plus, c'est Véronique Sanson.

01:10:44 Véronique Sanson sera donc en concert

01:10:54 à la Brest Arena d'ici quelques jours,

01:10:56 le 2 février, pour l'Asta-Luego Tour.

01:10:58 - Si je te pose des questions, qu'est-ce que tu diras ?

01:11:01 Et si je te réponds, qu'est-ce que tu diras ?

01:11:03 Si on parle d'amour, qu'est-ce que tu diras ?

01:11:07 Si je sais que tu m'aimes, la vie que tu aimes

01:11:10 au fond de moi, me donne tout.

01:11:12 - C'est une tournée France Bleu.

01:11:14 Le concert est complet et seul France Bleu.

01:11:16 Bré Gisèle vous offre donc vos invitations

01:11:19 tout à l'heure aux alentours de 8h50.

01:11:21 Donc restez là et vous allez pouvoir nous appeler.

01:11:23 Petite question de sélection, comme d'habitude,

01:11:25 au 02 98 53 65 65.

01:11:29 Direction Guimné-sur-Scorphe, on sera dans le bourg de Guimné,

01:11:31 à côté de Plouet dans quelques instants,

01:11:33 avec Robin Aubry qui sera avec nous.

01:11:37 Mais avant, on va retrouver Nicolas Olivier

01:11:40 qui nous fait visiter Thalès du côté de Brest.

01:11:42 Voici Robert Palma.

01:11:43 - ♪ Johnny is running around ♪

01:11:45 ♪ Trying to find certainty ♪

01:11:49 ♪ He needs all the world to confirm ♪

01:11:51 ♪ That he ain't lonely ♪

01:11:55 ♪ Mary counts the walls ♪

01:11:58 ♪ Knows he tires easily ♪

01:12:01 ♪ Johnny thinks the world would be right ♪

01:12:04 ♪ If he could buy the truth from you ♪

01:12:08 ♪ Mary says he changes his mind ♪

01:12:10 ♪ He's running around ♪

01:12:14 ♪ But she made a bet ♪

01:12:17 ♪ Even when the chance was slim ♪

01:12:20 ♪ ♪

01:12:39 ♪ Johnny says he's willing to learn ♪

01:12:41 ♪ When he decides he's a fool ♪

01:12:45 ♪ Johnny says he'll live anywhere ♪

01:12:47 ♪ When he owns time ♪

01:12:51 ♪ Mary combs her hair ♪

01:12:54 ♪ Says she should be used to it ♪

01:12:57 ♪ Mary always hates her the best ♪

01:13:00 ♪ She never knows what to think ♪

01:13:04 ♪ She says that he still acts like he's ♪

01:13:06 ♪ A new undiscovered ♪

01:13:10 ♪ Scared that he'll be caught ♪

01:13:13 ♪ Without a second thought ♪

01:13:17 ♪ Running around ♪

01:13:19 ♪ ♪

01:13:35 ♪ Johnny feels he's wasting his breath ♪

01:13:37 ♪ Trying to talk his sense to her ♪

01:13:41 ♪ Mary says he's lacking a real ♪

01:13:43 ♪ Sense of proportion ♪

01:13:47 ♪ So she combs her hair ♪

01:13:50 ♪ Knows he tires easily ♪

01:13:53 ♪ Johnny's always running around ♪

01:13:56 ♪ Trying to find certainty ♪

01:14:00 ♪ He needs all the world to confirm ♪

01:14:02 ♪ That he ain't lonely ♪

01:14:06 ♪ Mary kills the wolves ♪

01:14:09 ♪ Says she should be used to it ♪

01:14:12 ♪ Johnny's always running around ♪

01:14:15 ♪ ♪

01:14:20 ♪ Running around ♪

01:14:21 8h14, Robert Palmer nous accompagne ce jeudi matin, ce 18 janvier.

01:14:28 Vous vous réveillez, merci d'être là.

01:14:30 On part faire une petite visite ce matin avec le géant français de l'industrie, de l'armement.

01:14:36 Et l'un des plus grands employeurs de Brest aussi, il faut le dire Delphine.

01:14:39 Oui c'est à l'aise, 77 000 salariés dans 68 pays, 1800 sur le site Brestois,

01:14:45 spécialisé depuis 60 ans dans la recherche et le développement de systèmes électroniques de défense.

01:14:50 Deux tiers des salariés de Brest sont des ingénieurs,

01:14:53 et parmi les 80 programmes menés, la conception de sonars de lutte anti-sous-marine

01:14:58 et d'équipements de protection pour les rafales, des activités en forte croissance.

01:15:03 Nicolas a pu visiter le site, on écoute son reportage.

01:15:08 Alors nous sommes dans le hall d'intégration des CAPTAS, qui sont des sonars à immersion variable.

01:15:14 Destiné aux frégates militaires, le CAPTAS 4 est un concentré de technologie,

01:15:18 avec ses quatre anneaux de céramique, il est capable de détecter un sous-marin à près de 150 km.

01:15:24 Et ça c'est des années et des années de travail, parce que c'est impressionnant de complexité.

01:15:28 Un sonar ultra performant et qui connaît un grand succès à l'export,

01:15:32 Emmanuel Michaud, vice-président du secteur sous-marin chez Thalès à Brest.

01:15:37 On a une grande fierté d'équiper 14 marines dans le monde entier,

01:15:40 et en particulier la marine américaine qui a décidé de nous faire confiance sur ce produit.

01:15:45 Le site Thalès DMS de Brest profite aussi du succès du Rafale,

01:15:49 l'avion de combat de son actionnaire d'assaut, dont il conçoit le bouclier de protection, le Spectra,

01:15:55 une vingtaine d'équipements embarqués de haute technologie.

01:15:58 Il y a des équipements de détection, des équipements de brouillage, des équipements de l'orage,

01:16:03 dans le domaine radar, dans le domaine infrarouge, dans le domaine laser.

01:16:07 Ici, 200 personnes y travaillent et la cadence augmente,

01:16:10 explique Stéphane Periot, directeur de l'ingénierie matérielle.

01:16:13 Les dernières années, on produisait à peu près un Spectra par mois.

01:16:17 A début 2024, on a déjà doublé, on passe à deux équipements par mois,

01:16:20 et dans un peu plus d'un an, on aura triplé.

01:16:22 Ça nécessite des moyens en plus, des mètres carrés en plus, et puis surtout des ressources humaines en plus.

01:16:27 Pour accompagner cette croissance, le site brestois a encore recruté 173 personnes en 2023.

01:16:33 Il n'a jamais compté autant de salariés.

01:16:35 Myriam Chevreuil est la responsable recrutement chez Thalès dans le Grand Ouest.

01:16:39 On atteint les 1800 collaborateurs sur le site.

01:16:41 Les effectifs ont augmenté de 25% en cinq ans, donc 6% l'année dernière,

01:16:47 et on va continuer avec encore de belles perspectives.

01:16:49 Des effectifs qui augmentent en continu et un turnover particulièrement faible,

01:16:54 ici, les salariés sont fidèles.

01:16:55 On a la chance de travailler sur des systèmes très innovants,

01:16:59 qui font briller les yeux de nos collaborateurs,

01:17:01 ce qui fait qu'ils restent avec nous et qu'ils sont très contents également de leurs conditions de travail.

01:17:05 L'entreprise table encore sur plus d'une centaine de recrutements cette année.

01:17:09 Thalès qui a dû construire deux bâtiments pour accueillir ses nouveaux collaborateurs.

01:17:13 Et il y a encore de la place sur son immense parcelle de 28 hectares à l'ouest de Brest.

01:17:17 C'est un reportage à retrouver sur francebleu.fr.

01:17:21 Merci beaucoup. On prend la direction de GameLessure Scores.

01:17:24 C'est à suivre d'ici une minute. A tout de suite.

01:17:26 [Musique]

01:17:36 Inédit.

01:17:38 Le soir c'est comme l'emblème du toucher, l'emblème du contact.

01:17:43 On y va en se rencontrant petit à petit, avec l'envie effectivement que ça se passe et que ça se passe bien.

01:17:50 C'est-à-dire qu'il y a une vraie rencontre.

01:17:52 [Musique]

01:17:54 Sur ces trois à sept minutes, on a ressenti tout un tas d'émotions qui peuvent aller de la crainte, du désir.

01:18:03 Les choses elles venaient naturellement, puis après on s'en ballait. Et c'est ça qui était génial.

01:18:09 Et puis ensuite dans les années 90, début 2000, il y a manifestement un déclin du slow.

01:18:15 Est-ce que le slow est mort ?

01:18:17 Exploration sensitive unique. Slow, une histoire d'amour.

01:18:21 Inédit ce soir à 22h50 sur France 3 Bretagne.

01:18:25 [Musique]

01:18:30 Vous êtes bien sur France 3 Bretagne.

01:18:33 [Musique]

01:18:39 A 7h18, on n'est pas très loin de Beau, pas très loin de Pontivy ou encore de Bubry.

01:18:43 On est dans le Morbihan, à Guemnay, en direct, toujours avec vous Robin.

01:18:47 - Oui, est-ce que vous m'entendez bien ? - Oui, je vous entends.

01:18:51 - Allô, allô Baptiste, je ne vous entends plus.

01:18:54 - Bon, bah essayez de régler votre problème et puis on se retrouve dans un instant.

01:18:57 Comment ça se passe ? Vous nous entendez pas ?

01:18:59 - Vous nous entendez pas ?

01:19:01 - Non, bon c'est pas grave. On va essayer de le retrouver d'ici quelques instants.

01:19:04 On écoute Patrick Bruel.

01:19:05 - France Bleu Brésil, mais t'es où ? Pas là ?

01:19:08 - Bah oui, il est pas là. Pour le coup, là, il est pas là.

01:19:11 Mais on va essayer de le retrouver dans un instant.

01:19:13 Patrick Bruel, Icar, c'est ton duo. Origami.

01:19:16 Et on se retrouve depuis Guemnay. On croise les doigts.

01:19:19 On va voir si ça marche. Bon réveil. Merci d'avoir choisi France Bleu Brésil.

01:19:23 Je fais des pliages de papier pour avoir la grâce d'un signe

01:19:26 À quoi faudrait-il ressembler pour être digne de toi ?

01:19:29 Les amours, l'indulgence, j'suis sûr, comme à la pêche à la ligne

01:19:33 La sirène, moi, à l'usure, elle est maligne comme toi

01:19:36 Ma plus précieuse compagnie

01:19:40 Je cherche votre étoile dans la nuit

01:19:44 Sans ta précieuse compagnie, je cherche

01:19:49 Je veux profiter de mes 20 ans jusqu'au moins 120 ans

01:19:54 Des cheveux bruns, des cheveux gris, des cheveux blancs

01:19:57 Aimer à me niquer le cœur jusqu'à aimer mon corps

01:20:01 Et puis m'endormir aux aurores

01:20:03 Je veux profiter de mes 20 ans jusqu'au moins 120 ans

01:20:07 Des cheveux bruns, des cheveux gris, des cheveux blancs

01:20:10 Une fois essoré la douleur, quelle couleur prendra mon cœur ?

01:20:14 Quelle couleur prendra mon cœur ?

01:20:16 Et les secondes se comptent en heures, je sais pourtant qu'on manque de temps

01:20:19 À quel âge a-t-on moins peur ? Dis-moi, maman

01:20:22 Dois-je rire à mon lit, mêler, dans hurler, à me plier

01:20:25 En cas de voir mille amis, voir mille amants

01:20:27 Le cœur brisé me rend mal à l'aise

01:20:29 Ma plus précieuse compagnie

01:20:33 Je cherche votre étoile dans la nuit

01:20:36 Sans ta précieuse compagnie

01:20:39 Je cherche...

01:20:41 Je veux profiter de mes 20 ans jusqu'au moins 120 ans

01:20:46 Des cheveux bruns, des cheveux gris, des cheveux blancs

01:20:49 Aimer à me niquer le cœur jusqu'à aimer mon corps

01:20:53 Et puis m'endormir aux aurores

01:20:55 Je veux profiter de mes 20 ans jusqu'au moins 120 ans

01:20:59 Des cheveux bruns, des cheveux gris, des cheveux blancs

01:21:02 Une fois essoré la douleur, quelle couleur prendra mon cœur ?

01:21:06 Quelle couleur prendra mon cœur ?

01:21:08 Je fais des pliages de papier, je me plie en mille origamis

01:21:11 Sauf que la feuille est en acier, et toi tu veux qu'on reste amis

01:21:15 Je veux profiter de mes 20 ans jusqu'au moins 120 ans

01:21:21 Des cheveux bruns, des cheveux gris, des cheveux blancs

01:21:24 Aimer à me niquer le cœur jusqu'à aimer mon corps

01:21:28 Et puis m'endormir aux aurores

01:21:30 Je veux profiter de mes 20 ans jusqu'au moins 120 ans

01:21:34 Des cheveux bruns, des cheveux gris, des cheveux blancs

01:21:37 Une fois essoré la douleur, quelle couleur prendra mon cœur ?

01:21:41 Quelle couleur prendra mon cœur ?

01:21:43 Ils sont très actifs sur les réseaux sociaux, notamment le chanteur Icare

01:21:47 qui s'est entouré de Patrick Bruel, ou encore même de Patrick Fiori

01:21:50 assez récemment, le duo Bruel-Icare, à 8h21

01:21:54 Nous retournons à Gemné cette fois, normalement ça marche, il y a du réseau, on va voir ça tout de suite

01:21:59 France Bleu Brésil, Robin Aubry, Météo

01:22:03 Robin, alors est-ce que vous m'entendez depuis Gemné tout simplement ?

01:22:10 Oui, je vous entends enfin, qu'est-ce que ça réchauffe le cœur de vous entendre

01:22:15 Je me sentais perdu sans vous

01:22:17 Ah, donc je vais rougir, faites gaffe !

01:22:20 Je suis à Gemné, je suis au Clonawen, un bar du coin qui a ouvert il y a presque un an

01:22:27 Je suis avec Émilie, bonjour Émilie, comment est-ce que vous allez ce matin ?

01:22:30 Eh bien, fraîchement

01:22:32 Fraîchement, c'est le cas de le dire, il fait 3 degrés

01:22:34 Vous êtes habillée avec une petite doudoune quand même, une polaire

01:22:37 Ça va vous réchauffer, moi j'ai mis un petit pull en coton, j'ai très froid moi ce matin

01:22:41 Oui, mais moi aussi, je vais me réchauffer, le travail va me réchauffer

01:22:45 Et le petit café qui m'a été offert, il y a un client qui est arrivé, Baptiste

01:22:48 Il a acheté des choses à gratter et il m'a dit, pour le monsieur, offrez-lui un café

01:22:52 Donc j'ai eu un café, Baptiste, que je n'ai pas encore bu

01:22:54 Mais vraiment, ça me fait très plaisir d'être ici dans cette salle à Guémenet

01:22:57 Où une cliente rentre, bonjour

01:22:59 Ah, ce n'est pas une cliente, c'est le fameux moment "picure, picure"

01:23:03 Bon, alors maintenant, comment je fais ? Qu'est-ce que je fais moi maintenant ?

01:23:05 Eh bien, je ne sais pas

01:23:07 Je vais décrire le lieu moi-même, déjà je vais dire bonjour à la dame qui est rentrée

01:23:11 Je m'appelle Robin Aubry, je travaille pour France Bleu, vous vous appelez comment ?

01:23:13 Lénaïque

01:23:15 Vous ne vous attendiez pas à vous faire interviewer ce matin

01:23:17 Vous vous êtes levée

01:23:19 Eh bien, écoutez, moi ça me fait très plaisir de pouvoir vous voir

01:23:21 Vous vous connaissez depuis longtemps avec Emeline ? Oh, pardon, Emilie

01:23:24 Quelques années quand même, oui

01:23:26 Quelques années, donc vous venez souvent ici ?

01:23:28 Oui, oui

01:23:30 Comment vous trouvez Guémenet en ce moment avec le froid et les décorations de Noël qui sont encore ?

01:23:33 Quand est-ce que vous voulez enlever ces décorations de Noël ? Il serait temps quand même

01:23:36 Ah, ben là, il faut voir ça avec la commune

01:23:38 La commune, où est-ce que je la trouve ? La mairie d'ailleurs à Guémenet, elle est dans le centre, je suppose près de l'église ?

01:23:43 Bon, alors j'ai juste à aller et à demander à attirer les guirlandes

01:23:47 On va prendre quand même une petite minute pour parler de ce bar

01:23:49 Ça ne vous prend pas beaucoup de temps, une minute, je sais que là vous êtes peut-être pressée par le temps

01:23:52 Oui, oui, mais bon, allez-y

01:23:54 On peut y aller ? Ce bar, vous vous êtes installée il y a un an, vous avez tout rénové

01:23:58 C'était quoi le plus dur dans cette rénovation ?

01:24:00 Ben les travaux, tous les travaux, tout le carrelage, la peinture, la déco

01:24:05 Et le baby-foot derrière ? Comment ça se fait que vous ayez un baby-foot un an avant, vous n'en aviez pas ?

01:24:09 Ah, ben le baby-foot nous a été demandé par des gens d'une quarantaine d'années

01:24:13 Je regarde ma copine parce que...

01:24:15 Oh, vous étiez dans le lot ! L'infirmière était dans le lot !

01:24:19 Non, mais elle arrive dans la quarantaine...

01:24:22 On ne dit pas les âges, vous savez, moi je ne dis pas, on va dire que j'ai presque 50 ans, ça passe aussi

01:24:26 Oui, moi aussi

01:24:28 Donc beaucoup de footeux qui viennent ici dans votre bar, c'est ça ?

01:24:31 Voilà, c'est ça, et monsieur vient d'entendre sa petite femme à la radio

01:24:35 Oh, en direct, monsieur écoute France Bleu

01:24:38 Oh, c'est génial, en tout cas c'est très marrant ces moments-là, Baptiste

01:24:41 On vous fait un grand bisou, salut le Roumain !

01:24:43 On vous embrasse, moi aussi je vous fais un bisou de loin, je ne sais pas qui vous êtes

01:24:46 Je ne sais pas à quoi vous ressemblez, mais on est en direct du Clonawayn

01:24:50 Nouveau bar au centre de Gemnay avec un petit baby-foot

01:24:53 Baptiste, on va pouvoir jouer au baby-foot, on va pouvoir faire des fléchettes aussi

01:24:56 Vous avez des fléchettes, et regardez le foot, évidemment, le match de Brest qui arrive samedi, c'est ça ?

01:25:00 Si, je peux le diffuser, voilà, exactement, si ça marche

01:25:03 Ici, on supporte quelle équipe à Gemnay ?

01:25:06 Ben les Guillemots Noirs !

01:25:08 Ben évidemment !

01:25:10 Mais en Ligue 1, on est où maintenant ?

01:25:12 Ben moi, Lorient, je suis très Lorient, sinon le reste je ne regarde pas, je ne suis pas très foot

01:25:16 Bon, de toute façon, Lorient et Brest, on est très amis, c'est une fausse rivalité, on est très amis, c'est la passion du sport

01:25:22 Baptiste, d'ailleurs, dès que vous reviendrez, on peut se faire un petit foot volé dans les studios

01:25:26 Oui, ben avec plaisir, on va vous ramener un ballon et puis on va voir qui gagne de nos deux, en tous les cas, ou qui marque des buts

01:25:32 Merci beaucoup, merci à vous, on revient dans quelques instants sur France Bleu

01:25:36 Brest Giselle, on était à Gemnay, on continue en musique avec...

01:25:42 Ce qui arrive tout de suite, là, c'est ça, on y va ?

01:25:44 Ouais, allez, c'est parti, en musique

01:25:46 Le dernier Michel Berger, ça s'appelle "Vivre" pour vous réveiller, excellent réveil

01:25:50 Et l'info arrive à 8h30, à tout de suite

01:25:53 Comme on s'endort, calme et sans penser à rien

01:26:00 En fermant les yeux très fort, vivre

01:26:08 Il fait beau, je sors, je trouverai le bon chemin

01:26:17 Et je me sens mieux dehors, vivre

01:26:24 Les fleurs et les animaux sont tous un peu de ma famille

01:26:33 On est tous partis le rien, vivre

01:26:43 On sort en ruisseau, fête, fête, fête, couler l'eau

01:26:50 Regarder comme on est beaux, on va vivre

01:26:57 Plantes, plantes, grimpez, sèvres, rentre dans nos corps

01:27:06 Venez lancer sur la mort, et vivre

01:27:13 Soleil, terre, forêt, les plaines, rentrez dans le sang de nos veines

01:27:22 Nous devons devenir forts, nous devons vivre

01:27:31 Din, din, dina, les tambours et les drapeaux

01:27:38 Il ne nous reste qu'un mot, vivre

01:27:45 Petit caillou dedans ma main, pleure ton pauvre destin

01:27:54 Tu pleures parce que tu voudrais bien

01:27:59 Vivre

01:28:01 Dieu, Dieu, écoutez-nous, nous relouons votre défi

01:28:10 Et nous lançons notre cri, vivre

01:28:17 Danette, dilavité, grand caillou de l'univers

01:28:26 Ecoutez la folie de notre terre, vivre

01:28:33 Vivre

01:28:51 Vivre

01:28:53 Vivre

01:28:57 Vivre

01:29:01 Vivre

01:29:05 8h28 sur votre radio Michel Berger, vivre

01:29:09 Alors ce qui est incroyable avec cette chanson c'est qu'elle avait été enregistrée à une certaine époque

01:29:13 C'était en 1980 mais elle est sortie que le 7 octobre 2022

01:29:17 A l'occasion des 30 ans de sa disparition, elle cartonne à cause d'une pub

01:29:20 Vivre, voilà c'est le dernier Michel Berger, vous restez avec nous

01:29:24 On s'informe ce qu'il faut retenir de l'actualité ce matin, ça arrive juste après ceci

01:29:27 Ici matin, revient dans un instant

01:29:31 7h30, le 7 octobre, la dernière chanson de Michel Berger

01:29:33 Cette semaine dans l'littoral, le navigateur Arthur Levaillant nous emmène dans la baie d'Audiernes

01:29:42 A la rencontre de Bruno André, un sportif tout chatou adepte du wingfoil

01:29:47 Le wingfoil, sa force, c'est justement, ça vient d'un petit peu 30 années d'expérience de tous les autres sports de glisse

01:29:53 Une discipline nautique récente qui a le vent en poupe le long des côtes bretonnes

01:29:58 La sensation de voler elle est quand même excellente, le fait que ça fasse pas du tout de bruit sur l'eau

01:30:03 Allez on gonfle les wings, on se met à l'eau

01:30:05 Littoral, dimanche à 12h55, sur France 3 Bretagne

01:30:09 Vous êtes bien, sur France 3 Bretagne

01:30:18 Quand vous écoutez France Bleu, vous n'êtes pas n'importe où, vous êtes chez vous

01:30:27 France Bleu, au coeur de nos régions, de nos villes, de nos villages

01:30:31 France Bleu Breizizel, ici, on parle d'ici

01:30:35 A 8h30 votre météo, c'est une bonne nouvelle et ça va nous faire du bien

01:30:38 Il y aura du soleil sur la Bretagne dès ce matin, cet après-midi

01:30:42 Même si on a un petit ciel voilé quand même dans le Finistère notamment

01:30:45 Ce matin, beau soleil radieux qui va nous accompagner jusqu'à 7° en Sud-Finistère

01:30:49 Et en Sud-Morbihan, c'est le menu du jour avant de retrouver les températures

01:30:53 Mais ne de rien, c'est négatif pour la nuit prochaine

01:30:56 On aura jusqu'à -3° de la nuit, donc voilà, ce sera la nuit prochaine

01:31:00 On va détailler tout ça après l'info

01:31:02 A 8h30 avec vous, Johanne Bizien

01:31:05 Une école de Plouisie dans les Côtes d'Armor prête à expérimenter la tenue unique à l'école

01:31:10 Deux grandes présidentes de la République Asienne, la 4ème émeuse d'Iliade, Evidar Vugali, Barsko Ljou

01:31:15 Vous comptez à peine 10 minutes, les Brésonnecs

01:31:18 Mais avant avarie majeure sur le trimaran SVR Lazartig

01:31:23 Le skipper Tom Laperche la signale ce matin suite à une collision survenue à 5h30 heure française dans l'Atlantique Sud

01:31:30 Une voie d'eau importante, pour le moment stabilisée, dit-il

01:31:34 Tom Laperche était jusqu'alors en tête de l'Arkea Ultimate Challenge Brest

01:31:38 Le Tour du Monde à la voile en solitaire avec Charles Caudrelier

01:31:43 Les filles du BBH victorieuses du match des Invincus hier soir, Léon Balus-Brestoise

01:31:48 sont allées gagner sur le terrain de Metz 23 à 22 grâce notamment à leur gardienne

01:31:53 qui a stoppé un pénalty dans la toute dernière seconde du match

01:31:56 Les Brestoises reviennent donc à un point seulement des Messines, leur entraîneur Pablo Morel

01:32:01 C'est sûr que le scénario était un peu fou, un peu dur pour les nerfs, je pense pour les deux coaches, les deux équipes

01:32:06 agréable peut-être à regarder dans des tribunes

01:32:09 mais oui, il y a eu un gros début de match de Metz, on savait, ils sont chez eux

01:32:13 c'est une équipe qui met énormément de rythme et nous on a perdu un peu trop de ballons en attaque

01:32:17 Metz s'en est nourri, avec les rotations on a changé un petit peu les articulations défensives

01:32:22 et les filles ont fait beaucoup d'efforts sur ce secteur-là et ça nous a permis de les user je pense

01:32:27 et aussi les forcer à attaquer longtemps alors que c'est une équipe qui a besoin d'avoir du rythme

01:32:34 d'être capable de venir gagner ici, ça montre qu'on travaille aussi, qu'on a des arguments

01:32:40 après la pièce elle est tombée de notre côté aujourd'hui, on prend, franchement on est flatté

01:32:45 on est fier de ce qu'on a réalisé, mais je pense que c'est surtout un beau spectacle et un beau visage du championnat français

01:32:52 Le coach Bresto à Pablo Morel qui part en Pologne la saison prochaine entraîner le club de Gloria Buzo

01:32:58 Début du tour principal du championnat d'Europe de Handball en Allemagne pour l'équipe de France masculine

01:33:03 elle affronte ce soir la Croatie à partir de 18h

01:33:07 Une femme de 32 ans soupçonnée d'avoir frappé son ex-conjoint en détention provisoire à Brest

01:33:13 Elle sera jugée en comparution immédiate demain pour des faits qui se seraient déroulés à Landerneau

01:33:18 dans la nuit de lundi à mardi, malgré une interdiction d'entrée en contact avec cet homme en raison de condamnation

01:33:24 pour les mêmes raisons la femme l'hébergait parfois dans sa cave, l'ancien concubin avait le visage ensanglanté

01:33:29 à l'arrivée des forces de l'ordre. Un homme de 36 ans placé en garde à vue mardi par les gendarmes de Saint-Paul-de-Léon

01:33:35 il avait été retrouvé par son père dans un cimetière où selon le procureur de la République de Brest

01:33:40 il s'adressait aux morts disant qu'il avait été violé par son oncle plusieurs années auparavant

01:33:45 l'homme s'était ensuite rendu au domicile de cet oncle muni d'un marteau et proférant des menaces

01:33:50 il a insulté les gendarmes venus le chercher, l'un d'entre eux a d'ailleurs été blessé en tentant de le maîtriser

01:33:55 l'homme sera jugé en juin prochain devant le tribunal de Brest

01:33:59 le permis de conduire du député costar-morécain Mikaël Cosson, suspendu pendant deux mois

01:34:04 l'élu a été contrôlé au volant de sa voiture, positif à l'alcool, samedi dernier vers 22h

01:34:09 c'était après une cérémonie de vœux de plaidran dans les côtes d'Armor près de Saint-Brieuc

01:34:15 excellent bilan du Noël à Trévarès, et ce malgré le report de l'ouverture à cause de la tempête Kiran

01:34:20 110 000 personnes ont visité le parc de Saint-Goizec et admiré un son et lumière sur les côtes de fées

01:34:26 sur le château pendant près d'un mois et demi

01:34:28 et Christophe Mioszek a l'affiche de la soirée concert en hommage à Jane Birkin

01:34:32 le 3 février prochain à l'Olympia à Paris, 23 artistes pour 23 chansons

01:34:36 le chanteur brestois avait annoncé en octobre dernier devoir annuler sa tournée 2024

01:34:41 après avoir déjà renoncé à celle de l'an passé

01:34:44 Mioszek a soigné son concert sans cancer des cordes vocales

01:34:47 mais elle le faisait toujours souffrir

01:34:50 8h34 à Réliard et Brézon, on a qu'avec vous Johanne Bizien des enseignants

01:34:55 vent debout contre l'expérimentation de l'uniforme à l'école voulu par Emmanuel Macron

01:35:00 (...)

01:35:25 Mais M. Emmanuel Macron n'est que d'un discours mais vite guélot en douare et d'auberts

01:35:29 vers droit à l'école, dit A.G.S.S.

01:35:39 (...)

01:36:08 (...)

01:36:34 (...)

01:37:03 (...)

01:37:23 (...)

01:37:52 (...)

01:38:14 (...)

01:38:29 Chansonneuse Bob Bray, "Nesquay"

01:38:31 (...)

01:38:37 Un très beau soleil, ça va nous faire du bien

01:38:40 (...)

01:39:09 (...)

01:39:16 (...)

01:39:19 (...)

01:39:23 (...)

01:39:26 (...)

01:39:29 (...)

01:39:39 (...)

01:39:42 (...)

01:39:57 (...)

01:40:07 Pierre Demare au micro d'Axel Perret en direct aux alentours de 16h20

01:40:12 Il viendra aussi se confier sur sa deuxième vie bretonne

01:40:16 car il est un peu breton, mine de rien, pas que belge

01:40:19 On l'entendra donc tout à l'heure au micro d'Axel Perret

01:40:24 et vous le retrouverez en concert demain, vendredi, depuis la Carhaîne à Brest

01:40:29 Un petit cours de breton, si vous le voulez bien

01:40:32 On va parler des noms de famille avec Clément Sobigou

01:40:35 et puis les conseils de notre docteur Gérald Tierzek

01:40:39 On aura un médecin généraliste, comme chaque matin,

01:40:41 qui va nous dire qu'à pire hurle, il y a des hypochondrias

01:40:44 qui vivent cinq ans de moins que les autres

01:40:46 Ah quand même ! C'est pas bon de se préoccuper trop, d'être trop inquiet

01:40:50 Ah voilà, c'est pas compliqué, pardon

01:40:52 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:40:55 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:40:57 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:40:59 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:41:02 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

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01:42:54 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:42:56 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:42:58 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:00 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:02 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:04 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:06 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:08 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:10 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:12 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:14 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:16 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:18 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:20 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:22 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:24 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:26 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:28 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:30 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:32 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:34 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:36 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:38 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:40 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:42 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:44 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:46 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:48 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:50 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:52 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:54 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:56 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:43:58 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:00 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:02 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:04 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:06 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:08 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:10 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:12 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:14 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:16 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:18 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:20 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:22 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:24 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:26 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:28 C'est pas compliqué, c'est pas compliqué

01:44:30 On va d'ailleurs se désuer janvier à 8h44

01:44:33 Un petit cours de breton, une minute pour l'apprendre

01:44:35 C'est avec vous encore ce matin

01:44:37 Clément Soubigou, on va dire que c'est animalier

01:44:39 votre petit cours du matin

01:44:41 Pour changer un peu, j'ai décidé d'utiliser vos noms de famille

01:44:44 pour vous apprendre quelques noms d'animaux en breton

01:44:47 Comme le nom louarne par exemple

01:44:50 Le louarne, un patronyme assez répandu

01:44:53 Et pour le traduire, c'est facile, louarne

01:44:56 Alors louarne, c'est le renard

01:44:58 Et donc ce nom louarne a été donné à des ancêtres à vous

01:45:02 qui faisaient preuve de ruse

01:45:04 ou qui étaient de bons chasseurs de renards

01:45:07 Louarne, alors louarne

01:45:09 Et le pluriel de louarne, c'est l'erne

01:45:11 Voilà, comme ça vous connaîtrez la signification de louarne

01:45:14 Et les mots pour parler des animaux

01:45:16 quand on les voit dans les champs ou traverser la route en pleine nuit

01:45:19 Autre nom assez répandu, issu de la faune sauvage armoricaine

01:45:23 c'est bléis, le bléis, parfois même bléz

01:45:27 Ça viendrait d'un autre animal

01:45:31 moins courant que le renard

01:45:33 et qui avait disparu de nos contrées depuis plus de 100 ans d'ailleurs

01:45:36 C'est le loup, bléis, harbléis

01:45:39 Donc encore une fois, si vous avez ce nom de famille

01:45:42 vous aviez sûrement un ancêtre qui s'était fait remarquer au combat

01:45:45 contre les fronts bien souvent

01:45:47 ou alors dont le comportement faisait penser au loup

01:45:50 Bléis, et puis il y a aussi un autre nom de famille

01:45:52 c'est lasbléis, un petit peu moins courant

01:45:55 mais on en entend quand même de temps en temps

01:45:57 Là, aucun doute par contre, votre aïeul était lui très doué

01:46:00 pour la traque et la chasse aux loups

01:46:03 Las, bléis, vient de las, laha

01:46:06 le verbe tuer en breton, et bléis, le loup

01:46:09 Donc le tueur de loups

01:46:10 Voilà, deux noms de famille et quelques mots de plus à retenir aujourd'hui

01:46:13 Louarne, le renard

01:46:15 Lernes, des renards

01:46:17 Bléis, le loup

01:46:18 Bléisie, des loups

01:46:20 Et las, ou lasa, laha si vous voulez, pour tuer

01:46:23 A demain, qu'un va roas, et une timor va être juste

01:46:26 Merci Clément Sobigou, ça fait penser à un groupe des années 70 de Fesnoz

01:46:30 Vous avez peut-être connu les Blaisierus

01:46:32 Les loups rouges, pour ceux qui connaissent un peu les groupes de Fesnoz

01:46:37 Il est 8h46, vous restez avec nous

01:46:39 Le Dr Kierzek arrive dans un instant

01:46:42 Ici matin, revient dans un instant

01:46:49 Sur l'île de la Réunion, une enquête, c'est d'abord un travail d'équipe

01:46:53 Zacharia Belhem, officier de police judiciaire

01:46:56 Mais faire équipe avec Catherine Jacob, ce n'est pas donné à tout le monde

01:47:00 On va à l'institut médico-légal

01:47:02 Il faut avoir les nerfs solides

01:47:04 Il est rentré dans le bain trop tôt

01:47:07 Et surtout, faire respecter la hiérarchie

01:47:10 T'es vraiment obligé de me faire chaponner par ce mec

01:47:12 La Juliette qui poule, ok ?

01:47:13 Je n'aime pas votre ton condescendant, je suis votre supérieur, merci de ne pas l'oublier

01:47:16 Qui aura le dernier mot ?

01:47:18 Moi je disais ça pour toi

01:47:20 Un duo qui s'annonce volcanique

01:47:23 Ce soir à 21h10 sur France 3

01:47:25 Et déjà sur la plateforme France.tv

01:47:27 Ce programme est disponible en audio description

01:47:31 8h40, c'est le Dr Kierzek avec nous ce matin

01:47:38 On s'intéresse aux hypochondriacs

01:47:40 Il y en a sûrement beaucoup peut-être qui nous écoutent ce matin

01:47:43 Alors à priori, ils vivraient 5 ans de moins que les autres docteurs

01:47:46 Bonjour à toutes et à tous

01:47:48 Si des hypochondriacs vivent 5 ans de moins que les autres

01:47:51 Ils ont raison d'être hypochondriacs et de consulter

01:47:53 Mais pas de panique à nos auditeurs et nos auditrices

01:47:55 En effet, il y a une étude qui vient de sortir

01:47:57 Une étude suédoise qui a suivi 42 000 personnes

01:48:00 Il y avait des hypochondriacs et des non-hypochondriacs

01:48:03 Figurez-vous que ceux qui étaient hypochondriacs

01:48:05 Vivaient jusqu'à 70 ans

01:48:07 Alors que les autres vivaient 5 ans de plus, 75 ans

01:48:10 Vous allez me dire, mais de quoi meurent-ils ?

01:48:12 Ils meurent de choses qui sont en rapport ou pas avec leur hypochondrie

01:48:15 Ils meurent de suicides

01:48:17 On peut dire, bah oui, ils sont plus anxieux

01:48:19 Donc c'est normal, ils ont un terrain anxio-dépressif

01:48:21 Mais ils meurent aussi plus de maladies respiratoires

01:48:23 Ou même de maladies infectieuses

01:48:25 De complications de la grippe ou du Covid

01:48:27 Ou même de problèmes neurologiques

01:48:29 Et il n'y a pas de lien, et ça les chercheurs l'ont bien discuté dans leur étude

01:48:33 Il n'y a pas de lien avec la peur de l'apprendre

01:48:35 Parce qu'on pourrait se dire que les gens qui ont réellement peur de tomber malade

01:48:37 Évitent d'aller chez le médecin et donc ils retardent le diagnostic

01:48:40 Non, c'est pas ça

01:48:41 C'est pas non plus le médecin qui dit

01:48:43 "Ah c'est encore la même chose, donc je ne fais pas d'examen complémentaire"

01:48:46 Non, en fait c'est le stress et l'anxiété

01:48:48 Qui libèrent finalement des produits chimiques

01:48:50 Qui entraînent une augmentation de l'inflammation à l'intérieur du corps

01:48:54 Et on sait que l'inflammation, c'est le lit de beaucoup de maladies

01:48:57 Maladies cardiovasculaires, de maladies auto-immunes aussi

01:49:00 C'est un système immunitaire qui est affaibli

01:49:02 Et donc ça rend le corps moins capable de lutter

01:49:05 Contre les infections et contre les maladies

01:49:07 Il n'y a pas de lien avec le cancer, ça c'est important de le préciser aussi

01:49:10 Et moi je dis souvent à mes patients, la peur n'évite pas le danger

01:49:13 Mais là au contraire, la peur va même créer le danger

01:49:16 Et ça faisait ceux qui s'inquiètent, peut-être pour leur santé

01:49:18 Qu'est-ce qu'on fait alors docteur ?

01:49:19 Alors déjà on parle d'hypochondrie au sens psychiatrique du terme

01:49:22 Quand on est un peu inquiet pour sa santé

01:49:24 On a l'impression d'avoir quelque chose de grave

01:49:26 Mais globalement c'est juste une petite anxiété

01:49:28 Et que ça ne déborde pas sur notre vie

01:49:30 Ce n'est pas de l'hypochondrie

01:49:31 Les hypochondriacs, c'est vraiment un trouble anxieux

01:49:34 Qui va les empêcher de vivre

01:49:36 Le moindre symptôme va envahir complètement leur vie quotidienne

01:49:39 Ils vont tout interpréter comme étant des sensations corporelles graves

01:49:43 Et ce trouble anxieux, finalement l'hypochondrie, c'est très peu de personnes

01:49:46 C'est 0,1% de la population

01:49:50 En revanche, pour les 99,9% autres

01:49:53 Qui ne sont pas hypochondriacs, mais juste un peu inquiets

01:49:55 Il y a quand même le message à retenir

01:49:57 Vaut mieux être zen, vaut mieux être zen

01:49:58 Pour diminuer ce niveau d'inflammation

01:50:00 Le stress c'est mauvais pour la santé

01:50:02 Et donc dans les bonnes résolutions, vous le savez

01:50:04 C'est méditation, zenitude, auto-hypnose, cohérence cardiaque

01:50:07 Faites tout ce que vous voulez, il y a même des petites boxes de méditation

01:50:10 Si vous l'avez reçue avec le Père Noël, faites-en

01:50:13 Et ça c'est une bonne résolution à garder

01:50:15 Et d'ici là, portez-vous bien

01:50:16 Merci beaucoup Docteur 8h50

01:50:18 Nous jouons ensemble tout de suite dans les médias

01:50:20 Pour un concert très attendu

01:50:22 Le 2 février prochain

01:50:24 Vous allez applaudir grâce à France Bleu

01:50:26 La chanteuse Véronique Sanson sur scène

01:50:36 Deux places pour son Nasta Luego Tour

01:50:39 Pour Véronique Sanson, concert complet

01:50:41 Seule France Bleu vous offre deux invitations

01:50:43 C'est à la Brest Arena, le 2 février

01:50:45 Et on va souhaiter un bel anniversaire à la chanteuse Ely Medeiros

01:50:49 Aussi qui est célèbre, c'est 68 ans aujourd'hui

01:50:51 Alors la question du jour est la suivante

01:50:55 Ely Medeiros, c'est originaire de quel pays d'après vous ?

01:50:59 C'est la question qu'on vous pose si vous voulez aller voir Véronique Sanson

01:51:02 Est-ce que c'est l'Italie, l'Espagne, l'Uruguay ?

01:51:04 On vous attend, Italie, Espagne, Uruguay

01:51:06 02.98.53.65.65

01:51:09 On joue ensemble, 02.98.53.65.65

01:51:14 Ely aussi passera par la Brest Arena

01:51:17 D'ici quelques jours aussi pour sa nouvelle tournée

01:51:21 Une tournée pratiquement complète déjà dans toutes les salles

01:51:24 Je crois qu'il ne reste que quelques peu de place du côté de la Brest Arena

01:51:28 C'est le chanteur Grand Corps Malade qui viendra présenter son nouvel album d'ici quelques jours

01:51:31 Voici, on tient les rêves, c'est tout neuf et c'est sur France Bleu Brésil

01:51:35 J'ai rêvé, c'était une soirée d'hiver, j'étais rentré pas trop tard

01:51:39 J'ai regardé, l'atmosphère était légère, vous faisiez vos devoirs

01:51:44 J'ai aimé, vous m'avez regardé d'un air qui était content de me voir

01:51:49 Je vous ai trouvé plein de lumière, dehors il faisait tout noir

01:51:51 Je vous ai pas dit que j'étais fier, je vous ai souri sans le savoir

01:51:54 J'ai rêvé, c'était une soirée d'été, on revenait de votre entraînement

01:51:59 J'ai regardé, vous mine un peu fatigué, vos yeux bleus inspirants

01:52:04 J'ai aimé, dans la radio ça kiquait, vos rappeurs du moment

01:52:08 Dans la voiture on chantait, comment serait-ce autrement

01:52:11 Le soleil voulait pas se coucher, profiter de notre instant

01:52:13 J'ai rêvé, est-ce que c'était un rêve ?

01:52:18 Éveillé, je veux pas que la nuit s'achève

01:52:23 Je veux garder, est-ce qu'on retient les rêves ?

01:52:28 Si on voulait, si on voulait

01:52:33 J'ai rêvé, est-ce que c'était un rêve ?

01:52:38 Éveillé, je veux pas que la nuit s'achève

01:52:43 Je veux garder, est-ce qu'on retient les rêves ?

01:52:47 Si on voulait, si on voulait

01:52:52 J'ai rêvé, c'était l'hiver tôt le matin, juste avant que le jour se lève

01:52:57 Je regardais, vos yeux endormis, sereins, autour de la table du petit-déj

01:53:02 J'ai aimé, y'avait l'odeur du gris peint, et vous me racontiez vos rêves

01:53:07 Notre route d'histoire de requins et de marins qu'on enlève

01:53:09 C'était un matin commun, mais comme un privilège

01:53:12 J'ai rêvé, c'était l'été à la campagne, y'avait de belles éclaircies

01:53:16 J'ai regardé, c'était peut-être à la montagne, les rêves c'est pas très précis

01:53:21 J'ai aimé, vous me disiez que c'était relou, cette crème solaire à s'enduire

01:53:26 Y'avait du bonheur partout et vous vouliez vous servir

01:53:28 J'restais tout le temps avec vous pour pas vous sentir grandir

01:53:31 J'ai rêvé, est-ce que c'était un rêve ?

01:53:35 J'ai aimé, j'veux pas que la nuit s'achève

01:53:40 J'veux garder, est-ce qu'on retient les rêves ?

01:53:45 Si on voulait, si on voulait

01:53:47 C'est le nouveau Grand Corps Malade, ce matin à 8h53

01:53:52 Nous jouons ensemble, ce matin au 02.98.53

01:53:56 65.65 avec Michèle qui est avec nous depuis Concarneau

01:53:59 Bonjour Michèle !

01:54:01 Bonjour !

01:54:02 Ça va bien ?

01:54:03 Très bien, avec ce beau ciel bleu

01:54:05 Ravie de vous retrouver et cette question avec l'anniversaire d'Elie Méderos

01:54:11 Qu'on connaît bien, 68 ans aujourd'hui

01:54:13 Elle est originaire de quel pays ?

01:54:14 De Louvres, ouais

01:54:16 Effectivement, c'est une bonne réponse et pour vous ces deux invitations

01:54:19 Pour aller applaudir Véronique Sanson

01:54:21 C'est cadeau, deux invitations pour son install Rigotour

01:54:26 Qui passera par la Brest Arena le 2 février

01:54:29 Et la veille ce sera le concert de Grand Corps Malade justement

01:54:31 Bon, première fois que vous allez voir Véronique

01:54:35 Comment vous dire, non, que ça doit être la septième

01:54:37 Septième fin, grande fan de Véron, dites donc

01:54:41 Ah si

01:54:42 Eh bah écoutez, vous allez passer un bon moment

01:54:44 C'est ton artiste

01:54:46 Ah ouais, c'est vrai qu'elle cartonne encore sur scène

01:54:49 Et elle a une énergie assez incroyable quand même Véronique Sanson

01:54:52 Oui, oui, oui, oui, oui

01:54:54 Elle est une grande artiste

01:54:58 Douée, très douée

01:55:02 Très douée, eh bah profitez-en avec la personne de votre choix

01:55:05 Et à très vite Michel depuis qu'on carneau

01:55:07 Merci

01:55:08 A très bientôt, au revoir

01:55:09 Il est 8h54, on continue avec vous ce Témoignage

01:55:13 On prend les nouvelles ce matin

01:55:15 D'une figure de la mode bretonne, c'est Pascal Jawen

01:55:18 Le célèbre brotteur et styliste est en ce moment vendeur en boulangerie

01:55:22 A plein nez en l'envers dans le pays Bigoudin

01:55:24 Il était censé être à la retraite l'an dernier

01:55:26 Mais à cause de la réforme entrée en vigueur en septembre

01:55:29 Lui qui est né en 1961, eh bah il est obligé de rajouter quelques mois de travail

01:55:33 Il s'est confié à Océane Zitouni

01:55:36 On a cotisé, on a nos trimestres

01:55:38 Mais on ne peut pas bénéficier de notre retraite telle qu'elle était prévue au départ

01:55:42 Elle est toute retardée de 6 mois

01:55:44 Donc en gros, nous payons actuellement une retraite qui ne devrait pas être due

01:55:49 Mais qu'on la doit

01:55:50 Vous le vivez comment ?

01:55:51 Oh, écoutez, je le prends pas mal, de toute façon je suis obligé de le prendre

01:55:56 Je regarde plus derrière parce que j'ai eu une petite rage

01:55:59 Mais la rage est passée

01:56:01 C'est quoi votre quotidien dans la boulangerie, on vous reconnaît ?

01:56:03 Les premières semaines, les gens se posaient la question

01:56:07 N'osaient pas me demander qui j'étais

01:56:09 Ou alors ils se demandaient si c'était un sosie

01:56:11 Et puis au fur et à mesure, les gens osaient me demander mon identité

01:56:15 Je disais Pascal Jaouen, il y a même une dame qui m'a un jour demandé

01:56:19 Non mais c'est pas possible

01:56:20 Je lui ai dit, vous voulez que je sorte ma carte d'identité ?

01:56:22 Oui, oui, oui, oui, parce que si c'est ça, c'est pas possible

01:56:24 Donc j'ai sorti ma carte d'identité pour prouver que j'étais bien Pascal Jaouen

01:56:27 C'est dans l'humour, donc moi ça me plaît

01:56:30 Mais moi j'aurais pu être Adolent Boulangerie comme j'aurais pu être derrière un camion poubelle

01:56:34 Moi ça m'est complètement égal

01:56:36 Parce que je trouve que les gens dont j'admire le travail

01:56:40 Ce sont les agriculteurs qui nous donnent à manger

01:56:42 C'est eux qui nous fournissent à manger

01:56:44 Et qui subissent des coûts économiques incroyables

01:56:47 Il y a des gens même qui n'ont même pas à vivre et qui nous font vivre

01:56:50 Je dirais agriculteurs et pêcheurs

01:56:52 Ensuite c'est les boulangers qui, grâce à la farine et à tout ce que les agriculteurs ont cultivé

01:56:57 Nous donnent à manger, ainsi que les restaurateurs

01:57:00 Et puis les derniers, je trouve que ceux qui sont mérites d'être cités

01:57:04 C'est aussi les éboueurs, qui sont derrière leurs bennes

01:57:07 Et qui, entre guillemets, nous débarrassent de nos merdes

01:57:10 On n'a pas suffisamment de reconnaissance pour ces gens-là

01:57:13 Je suis un être humain, créateur ou pas

01:57:15 Un non-connu aussi

01:57:17 Mais je ne suis pas plus haut que les autres, on est tous des humains

01:57:20 Être dans une boulangerie aujourd'hui

01:57:23 Ou être derrière un camion poubelle, moi ça m'est égal

01:57:25 C'est pas ça qui m'importe

01:57:27 C'est d'être bien en moi-même

01:57:29 D'être sincère et puis donner de la joie aux gens

01:57:32 Quand on rentre dans la boulangerie, il y a un soleil qui nous attend

01:57:35 C'est beau d'entendre ça, non ?

01:57:36 C'est gratuit en plus, donc c'est beau

01:57:38 Et donc Pascal Javanine, qui travaille dans cette boulangerie de Pleuny-aux-Landes-Vertes

01:57:41 Jusqu'à la fin de janvier

01:57:43 Il sera officiellement en retraite le 1er avril

01:57:45 Mais il fourmille déjà de nombreux projets artistiques

01:57:48 A retrouver sur notre site francebleu.fr brésilienne

01:57:51 Pascal, qu'on salue s'il nous écoute

01:57:53 On lui fait des bisous Pascal

01:57:54 Ce matin, peut-être qu'il nous écoute, peut-être qu'il nous annonce à boulangerie

01:57:58 Merci de nous avoir suivis, on se retrouve demain, dès 7h

01:58:01 8h en image sur France 3 Bretagne et dès 6h à la radio, passez une bonne journée, à demain.

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