_Au-delà du rêve_ _ le docu Impulstar [DOCUMENTAIRE]
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Transcript
00:00 Un Pulse Star, pour moi c'est un produit français.
00:08 C'est le foot et le rap.
00:16 C'est la rue frère, je peux rien dire d'autre.
00:21 Quoi qu'il arrive, il y aura un événement chaque année.
00:28 Quoi qu'il arrive, ce qu'on a dit qu'on allait délivrer, on le délivrera.
00:30 C'est vrai qu'il y a des endroits qui sont faits par nous pour nous, à Paris pas beaucoup.
00:39 L'idée pour nous, c'était d'aller chercher le talent à la source.
00:43 On parle de 300 millions de couvertures, on s'est retrouvé sur le compte Instagram
01:00 Monde, comme si le quartier se retrouvait sur Instagram Monde.
01:03 C'est bon là ?
01:13 Je regarde vite fait.
01:18 Moi vraiment ma vie c'était que le rap.
01:21 C'était que le rap.
01:22 Depuis la sixième, tu as vu jusqu'à ce que j'ai quoi.
01:27 En 20 ans c'était que le rap.
01:29 J'ai eu la chance d'avoir mon cousin Pit Bakardi, le grand frère de Dossé qui est
01:35 rentré dans le Taillebomb.
01:36 Et après forcément, quand tu vois ton zinc qui "perce" comme ça, ça t'inspire.
01:41 Tu dois y faire des choses.
01:42 Dossé est venu sur Paris, il était en Allianz chez sa mère.
01:47 Et donc forcément, nous on traînait déjà ensemble avant qu'il arrive.
01:50 Et voilà, vu qu'on était ensemble à Argenteuil, ça nous a rapprochés.
01:53 On est ensemble tous les jours.
01:55 Et après un jour, on a découvert qu'il rappait, c'est une longue histoire.
01:58 Et après tout de suite, j'ai dit "c'est bon, il faut que je m'occupe de lui".
02:01 Mes amis, c'est les gars du rap.
02:15 Je dormais chez Or El San, ou Skred Ablai.
02:18 Ça fait des 20 ans qu'on se connaît.
02:20 Je regarde Socrate, que j'ai connu quand j'avais 15 ans.
02:24 Je suis quand même ici du rap français.
02:25 Je pourrais jamais retourner ma veste et te dire le contraire.
02:28 Et par contre, ma passion, c'était le street football, le foot allégé.
02:32 Ça par contre, j'ai toujours été ouf.
02:34 Les gros joueurs, on était sur le côté, on les regardait.
02:36 Tout ce qui est autour, comment tout le monde est autour.
02:38 Regarder un peu comme dans une arène, ça crie, ça charrie.
02:41 Tu vois comment ça joue, ça joue sous tension, ça joue sous pression.
02:44 Tu vois, ça me parlait trop.
02:46 Et ça me parle toujours trop.
02:51 Quand un gamin il joue au foot, il ne fait pas de bêtises.
02:53 Alors que ce soit en club, que ce soit dehors, sur un city, que ce soit dans la cour d'une école primaire, parce que tu as des petits buts de handle.
03:01 Que ce soit avec ses potes sur un terrain à nez, un terrain à vagues, peu importe.
03:04 Il ne fait pas de bêtises, il joue au foot.
03:06 Tu es avec tes potes, donc tu développes aussi un réseau, des relations en communauté.
03:11 Du respect par rapport à l'autre.
03:13 Tu as une relation avec ton ami, tu es avec ton ami, tu es avec ton ami.
03:16 Tu développes aussi un réseau, des relations en communauté.
03:20 Du respect par rapport à l'autre, parce que des fois tu vas jouer avec un mec à deux ans de moins que toi, un mec à cinq ans, tu vas prendre un respect.
03:26 C'est le seul sport au monde où tout le monde peut jouer.
03:30 Il te faut juste un ballon.
03:31 Tu n'as pas besoin de but, tu mets deux paires de chaussures.
03:33 Tu veux jouer au basket, il te faut au moins un panier.
03:35 Sinon c'est compliqué, tu ne vas pas dribbler pendant cinq heures tout seul.
03:37 Et le football tu peux, tu te mets contre un mur, tu fais des passes, tu peux jongler tout seul pendant des heures.
03:43 Le San Siro, c'est le stade qui était à la Zup.
03:46 C'était un petit peu quand même un endroit mythique du Val d'Argenteuil, qui rassemblait tous les quartiers.
03:52 C'était en face de chez moi.
03:54 Et tous les dimanches, on avait le droit à un match de toutes les cités.
03:58 Donc tous les grands montaient et puis il y avait une seule fille qui avait le droit de jouer,
04:02 qui était Ela Kabashi, qui est joueuse professionnelle aujourd'hui.
04:05 Et j'étais en admiration en fait.
04:08 Tu avais les mamans qui cuisinaient, on avait toutes les fenêtres ouvertes.
04:12 Ça jouait, ça criait.
04:14 Puis après au final, ça pouvait finir avec un barbecue à côté.
04:17 Non, c'était vraiment, là tu m'as mis dans une nostalgie de dingue.
04:21 Aux alentours de 2010, c'est pendant le Ramadan.
04:26 Donc on jouait au foot un peu, voilà, tous les deux jours.
04:28 Et après il y a un petit frère du quartier, Boubou Sakou Al Ahmou,
04:31 voilà, il est décédé en 2010.
04:34 Le quartier Boubou Sakou Al Ahmou, voilà, il est décédé malheureusement d'un accident de moto.
04:41 Et après ça a bouleversé vraiment le quartier parce que c'est une famille qui est très appréciée.
04:45 C'est quelqu'un qui était aussi très apprécié, tu vois, vraiment un bon petit ref,
04:49 tu vois, on me faisait rire, tout ça, tu vois.
04:51 Et donc je me suis dit, voilà, on s'est dit, qu'est-ce qu'on peut faire pour soutenir la famille, tu vois.
04:55 Et donc à partir de là, j'ai demandé un peu l'autorisation pour faire un tournage.
04:59 C'est pour récolter un peu des fonds.
05:00 Tout le monde a participé et ça rassemble un peu, voilà, les différents...
05:03 Tout le monde un peu de la ville, tu vois, même d'autres d'ailleurs qui sont venus.
05:06 Voilà, tout le monde veut jouer dans un bon état d'esprit pour donner de l'argent, voilà, pour la famille.
05:10 Et après, voilà, c'est de là qu'après je me suis dit, quoi, juste après,
05:13 je vais continuer un peu à faire toujours des tournages de foot.
05:16 Et après, en tout cas, c'est clairement le déclencheur, en tout cas,
05:18 après qui m'a fait enquiller pour appeler ça.
05:20 J'ai un master en droit international des affaires, tenu à la Sorbonne.
05:28 Un master 2 en droit, économie et gestion du sport à Limoges.
05:31 Je m'occupe de 3 à 4 athlètes.
05:35 Narbé et moi-même, on est mis en relation par une connaissance en commun.
05:40 Et il a une idée d'un tournoi.
05:42 Apple Star.
05:43 Je te le dis vraiment, quand j'ai quitté le rap,
05:45 il fallait que j'ai une structure pour commencer à faire des tournois autre chose.
05:48 Et donc, je suis allé voir Salsa.
05:50 Et donc, il m'a offert ma structure.
05:52 Il m'a dit, il faut que je trouve un nom.
05:53 Moi, à la base, mon quartier, c'est la Zip.
05:55 À l'époque, on avait un groupe qui s'appelait Zip Star.
05:57 Et maintenant, aujourd'hui, c'est comme ça que dans mon quartier, tous les petits disent Zip Star.
06:00 Donc, moi, je l'appelais, entre guillemets, mon truc Zip Star.
06:02 Salsa m'a dit, non, laisse tomber, il faut un bon nom.
06:04 Il m'a dit, écoute, ta structure, je vais l'appeler Impulsia.
06:07 Donc, j'ai pris juste Impulsia, et Star, Zip Star, et ça fait Impulsia.
06:11 Voilà, j'ai tué le suspense.
06:13 Narbé, c'est quelqu'un, tu m'aimes, tu me crois, tu me suis,
06:16 mais si je t'expliquais, je ne vais pas t'expliquer en fait.
06:18 Et Narbé, c'est quelqu'un qui ne connaît pas la négation.
06:21 C'est-à-dire que quand tu lui parles, lorsque tu lui expliques quelque chose,
06:23 tu lui dis, non, mais ce n'est pas possible, etc. C'est comme s'il n'entendait pas ça en fait.
06:27 Très rapidement, ça match en termes de personnalité, d'ambition commune,
06:31 et de flexibilité, si tu veux.
06:35 Il ne vient pas avec une idée arrêtée, il a un schéma dans l'absolu,
06:39 et ensemble, on ajoute des pièces.
06:43 Après, moi, ce qui m'a convaincu directement, c'est qu'il m'a dit, écoute,
06:45 tu as vu le projet, moi, s'il faut que je m'investisse personnellement,
06:48 ou à titre financier, moi, je suis là.
06:50 Il était direct, il n'a pas bégué.
06:53 Et quand je lui ai dit, tu as vu comment il était déter,
06:55 je lui ai dit, vas-y, bah, go.
06:56 Je savais qu'en présentant Maïssa à Narbé, et Narbé à Maïssa,
06:59 que ça allait prendre ces deux mecs intelligents.
07:02 La preuve, Maïssa, c'est l'un des meilleurs agents aujourd'hui en France,
07:05 peut-être en Europe ou dans le monde, je ne sais pas,
07:08 et Narbé, le fondateur d'un projet, si ce n'est le projet le plus important
07:13 au niveau du foot, des quartiers en France.
07:17 Alors, on est là pour parler du tournoi 1+Star, juste avant Soprano.
07:21 Bravo pour les amies.
07:22 Merci beaucoup.
07:23 Je crois que quand toi, tu étais tout petit, tout gamin, ton rêve fou, c'était le foot.
07:28 J'adore ce slogan, parce que le pied, personne ne peut m'arrêter.
07:34 Ça me compte bien, tu vois.
07:35 Je ne sais pas pourquoi, mais on va essayer de faire,
07:38 peut-être on va faire une petite équipe, justement.
07:41 Je crois que tu oublies quelque chose.
07:43 Il n'y a rien où tu as défié.
07:44 S'il voulait, il m'aurait défié, mais j'ai évité ce passage.
07:47 Il y a beaucoup de mecs nerveux autour de nous, de caractère.
07:51 Lui, il était un peu plus calme, mais toujours speed pour un projet,
07:56 toujours avec des idées, depuis la musique ou autre,
08:00 il a toujours eu cette envie de faire des choses.
08:03 Quand je débarquais dans le foot, je suis allé arrêter les mecs,
08:05 je n'aime pas ce tiki, c'est-à-dire que limite, je suis arrivé,
08:07 j'ai eu des mecs en gamousse de ouf, je me suis dit,
08:08 "Wesh, ça paie comme ça le foot et tout."
08:10 À l'époque, il n'y avait pas Instagram, tu restes comme ça,
08:12 tu prends ton temps, tu fais ton taquette,
08:13 tu attends l'entraînement et il commence,
08:14 tu attends l'entraînement et il finit,
08:15 tu attends de voir celui qui va te calculer,
08:17 celui qui ne va pas te calculer.
08:18 Tu as vu, ce n'est pas un truc de fou,
08:19 mais un truc qui serait assez fou pour aller le faire.
08:21 Tu bouges comme ça, tu vas devant une tête d'engin,
08:23 tu restes du matin au soir à attendre que l'autre, il sort.
08:27 Un pote de Roblox, à l'époque, il me voyait devenir ouf.
08:29 Bonjour, repos.
08:31 À cette époque-là, j'étais en 3e, je cherchais un stage
08:34 et ils m'ont pris en stage.
08:36 Je regardais sur Internet les entraînements.
08:38 Je me disais, Narbé, demain il y a entraînement ouvert au public.
08:41 Et on y allait.
08:42 L'entraînement, ça devait être à 9h.
08:44 Les joueurs arrivaient peut-être à 8h30, 9h.
08:46 Nous, à 7h30 du matin, on était là.
08:49 Et il y avait un ami à nous, Yacine,
08:52 il avait un Mercedes Classé,
08:54 une belle voiture à cette époque-là.
08:56 Et quand on arrivait devant le portail,
08:58 les mecs de la C8, ils nous ouvraient le portail,
09:00 comme si on était des joueurs.
09:01 Karim.
09:02 Karim, ça va ou quoi, Karim ?
09:07 Tu fais un truc, tu fais ça, tu fais ça.
09:09 C'est pas très bon ce genre de truc.
09:11 Tu prends un nouveau, par exemple, un fichier de presse,
09:15 et tu organises ça, tu fais ça à 4-5 hommes.
09:17 Tu fais une demande, là, ça, ça, ça.
09:19 Et lui, il va te répandre.
09:21 C'est ce qu'il a fait.
09:22 Quand j'y vais, c'est professionnel.
09:24 À partir de là, c'est un truc qui est important dans mon subconscient.
09:27 Quand j'y vais, quand j'arrête un mec,
09:29 je ne demande pas de maillot de foot,
09:31 je demande juste que j'aille à un tournoi.
09:33 Est-ce que tu peux faire une photo pour aller au tournoi ?
09:35 Est-ce que tu peux venir booster les jeunes ?
09:37 C'est purement pour le projet.
09:38 C'est purement professionnel.
09:39 Il faut savoir redémarrer, c'est comme ça la vie.
09:41 Hier, tu étais là, aujourd'hui, je me suis retrouvé ici.
09:43 Eh ben, vas-y, je mange mon pain noir, je vais où que j'y vais.
09:45 Impulse-tar.
09:47 Impule-star.
09:48 Impule ?
09:49 Comme impulser, tu vois.
09:50 Impulse-tar.
09:51 Ah, impulse.
09:52 Impulse-tar, ah ok.
09:53 Impulse-tar, balle aux pieds, personne ne peut me stopper.
09:55 Ça va ou quoi ?
10:00 Bon, voilà, maintenant, on est en direct de l'île, ici.
10:04 Avec Eden.
10:05 Donc, voilà, on est là pour Impulse-tar.
10:08 Balle aux pieds, personne ne peut me stopper.
10:10 J'allais au culot, je leur disais, tiens, le t-shirt, tout ça.
10:13 Allez, on leur donnait, on revenait tous les jours.
10:15 Tous les jours, tous les jours.
10:16 Salut, c'est moi, Julien, pour Impulse-tar.
10:18 Balle aux pieds, personne ne peut me stopper.
10:20 Décidé, nene, balle aux pieds, personne ne peut me stopper.
10:23 Balle aux pieds, personne, pompe, stopper.
10:26 Pas mal, pas mal.
10:27 Merci beaucoup, Ivan.
10:30 Merci.
10:31 C'est SF et l'Arabie, pour Impulse-tar, balle aux pieds, personne ne peut me stopper, mec.
10:36 Il faut qu'on recommence à zéro, il faut qu'on reprenne, on va l'avoir avec les dents.
10:40 Tu vois ce que je veux dire ou pas ?
10:41 Et qu'en gros, à chaque fois qu'il faut recommencer, recommencer, recommencer,
10:44 quelqu'un va dire de tes nœuds, il va dire je lâche pas l'affaire.
10:47 Il est résilient.
10:48 Parce que de résilient, on ne va jamais nous donner ce qu'on mérite.
10:50 Voilà ce que j'ai compris.
10:51 C'est pour le tournoi Impulse-tar, balle aux pieds, personne ne peut me stopper.
10:54 OK, il faut que je regarde la caméra ?
10:56 Je pense que dans une journée, tu peux recevoir facilement 20 textos de Narbé.
11:01 Quand il veut quelque chose, il arrive à l'obtenir.
11:04 Il y a des artistes qu'il a dû contacter à l'époque, ils devaient dire putain, Narbé,
11:07 parce qu'il ne lâche pas l'affaire.
11:09 Je pense qu'il se lève le matin, sa mission c'est d'avoir un logo de FIFU,
11:13 il m'en parle, je crois que la semaine d'après, on fait le logo direct en fait.
11:16 Et c'est un logo qui a été fait je pense en 10 minutes, entre deux pochettes de tape.
11:20 Quand je fais ce logo-là à Narbé, deux semaines après, je vois des t-shirts partout déjà.
11:25 - T'es motivé ! - Ah oui !
11:29 C'est des bons trucs ça, c'est des bons trucs, c'est pas des histoires de gang ça.
11:33 Les petits, ils ont une vie après.
11:35 Il y a ma soeur qui jouait au club d'Argenteuil,
11:48 et donc j'allais la voir jouer et j'entendais parler du tournoi.
11:51 Moi, je faisais partie d'une association,
11:53 et en fait, il y avait un car qui venait au club justement le matin,
11:57 qui passait le matin pour récupérer quelques personnes,
12:00 que ce soit de l'association ou de la ville, et qui nous ramenait un poster.
12:04 Et en fait, ce car-là, il ne fallait pas le rater.
12:06 Un matin comme ça, je me suis levée, j'avais peut-être 6 ans, 7 ans,
12:09 et je courais et tout, vraiment, il ne fallait pas le rater.
12:13 C'était les deux tournois.
12:15 Dans le foot-salle, c'est un ballon qui est différent,
12:17 le sol, c'est acté, ça sera toujours le même, etc.
12:20 Donc ça favorise une technique, si je puis dire, un tout petit peu plus pure,
12:25 d'une certaine façon.
12:27 Il y a le coup de pied, c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:33 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:35 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:37 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:39 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:41 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:43 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:45 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:47 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:49 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:51 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:53 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:55 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:57 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
12:59 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:01 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:03 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:05 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:07 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:09 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:11 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:13 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:15 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:17 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:19 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:21 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:23 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:25 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:27 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:29 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:31 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:33 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:35 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:37 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:39 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:41 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:43 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:45 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:47 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:49 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:51 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:53 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:55 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:57 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
13:59 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:01 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:03 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:05 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:07 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:09 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:11 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:13 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:15 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:17 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:19 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:21 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:23 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:25 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:27 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:29 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:31 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:33 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:35 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:37 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:39 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:41 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:43 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:45 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:47 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:49 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:51 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:53 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:55 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
14:57 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
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15:03 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:05 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:07 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:09 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:11 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:13 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:15 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:17 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
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15:21 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:23 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:25 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:27 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:29 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:31 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:33 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:35 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:37 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:39 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:41 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:43 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:45 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:47 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:49 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:51 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:53 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:55 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:57 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
15:59 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
16:01 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
16:03 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
16:05 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
16:07 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
16:09 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
16:11 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
16:13 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
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16:21 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
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29:23 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:25 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:27 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:29 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:31 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:33 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:35 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:37 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:39 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:41 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:43 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:45 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:47 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:49 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:51 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:53 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:55 c'est un coup de pied qui est un peu plus,
29:57 notamment dans des événements aussi qui peuvent être culturels.
30:00 On a une première rencontre avec un représentant d'Instagram.
30:07 Ils ont un budget qu'ils vont pouvoir potentiellement allouer à la culture.
30:12 C'était une première, me semble-t-il, mondiale pour eux,
30:15 dans ces proportions-là.
30:17 On a eu une campagne d'affichage bus qui était incroyable,
30:21 tu voyais ça partout.
30:23 On a posé des affiches sur le périph'
30:25 les affiches les plus vues,
30:27 on se les était appropriées, tu vois.
30:29 La ville était prévenue que quelque chose allait se produire.
30:32 Il dit "écoute, il faut qu'on ait un gros monument, un gros lieu".
30:42 Donc moi on est comme ça, on a un mois pour avoir un lieu.
30:45 Il faut savoir qu'on a fait la décision en un mois et demi.
30:47 J'appelle Moussa Kamara, déterminé.
30:49 Il m'a dit "t'as vu, je te ramène à la tour Eiffel".
30:53 Il m'a dit "je te ramène à un lieu, tu vas voir ce que je vais faire pour ton tournoi".
30:56 J'appelle la mairie de Paris pour réserver.
30:58 Ils m'ont dit "M. Messi, ça va être compliqué je pense".
31:01 J'appelle Moussa, je dis "Moussa, je suis en galère, s'il te plaît bouge pas".
31:03 Il me dit "t'inquiète pas, je m'en occupe".
31:05 Même pas une semaine, il fait un rendez-vous avec Pierre Rabadon,
31:08 de la mairie de Paris,
31:10 et je reçois un mail "Tiens, M. Messi, tac tac, rencontre,
31:12 tour Eiffel bouclé".
31:14 Le tour Eiffel
31:16 La société des fois nous met un peu de côté,
31:34 mais on doit montrer que quand on est solidaire,
31:36 footballeur, chanteur, artiste,
31:39 aujourd'hui, tu peux regarder tout ça.
31:41 C'est que des mecs de bon lieu quasiment.
31:43 Ceux qui sont au top.
31:45 Dans le football, 80-90% sont des mecs de bon lieu,
31:47 les chanteurs sont des mecs de bon lieu,
31:49 les artistes comiques, c'est que des mecs de bon lieu.
31:51 Pourquoi ? Parce qu'il y a du talent, parce que tu grandis différemment,
31:53 parce que tu grandis en communauté, parce que tu as connu la galère
31:55 et que tu as envie de t'en sortir.
31:57 T'as envie de rêver, comme tu disais.
31:59 Laissez-nous rêver.
32:07 Le volet de la vie
32:09 C'est peut-être le volet inspirationnel.
32:15 Quand Tiakola vient chanter lors d'une finale,
32:19 et qu'on sait que Tiakola,
32:21 l'une des premières finales, il y a participé en tant que joueur,
32:24 on se dit que...
32:27 On n'a pas bouclé la boucle, mais en tout cas,
32:29 la boucle devient intéressante.
32:31 Il fait drôle, il fait drôle.
32:35 Le match de l'année 2015
32:37 C'était en 2015.
32:45 Qu'est-ce que ça te rappelle ?
32:47 Après, on a fait le match et on a été éliminés.
32:50 J'étais dégoûté déjà.
32:52 J'étais dégoûté, mais c'était un beau tournoi, un beau parcours.
32:55 Ça fait sortir, ça fait découvrir d'autres choses.
32:58 Tu peux te faire recruter, c'est un tout.
33:02 Le match de l'année 2016
33:04 Je ne savais pas que ça pouvait partir aussi vite dans ta carrière.
33:09 Que ça pouvait être lancé à par rapport à un peu plus tard.
33:11 Et moi, c'est ce qui s'est passé.
33:13 Si je me souviens bien, dans le tournoi,
33:15 il y avait souvent des joueurs professionnels qui venaient.
33:17 Par exemple, Hussam Benyader, etc.
33:20 Et c'est toujours des moments agréables à passer quand on est jeune.
33:30 Allez, comment vous vous en donnez par rapport à Dodo ?
33:32 C'est vos applaudissements ?
33:34 Bravo ! Merci à lui.
33:37 En voyant tout ça, je me dis que un peu plus tard, ça a bien évolué.
33:40 Franchement, ça fait plaisir de voir cette belle évolution.
33:44 Ça reflète bien le slogan "laissez-nous rêver".
33:46 Il a fait ses premiers pas à un peu plus tard.
33:49 Aujourd'hui, il est footballeur professionnel.
33:52 L'intérêt du infiré, papa !
33:55 Fais-toi ma ouestrade dans la maison !
33:58 Allez, allez, allez !
34:01 C'est incroyable, derrière la Tour Eiffel, je pense qu'il y aura des rêves ici l'année prochaine !
34:12 Je pense que faire ça en dessous de la Tour Eiffel,
34:14 ça peut leur inspirer à réaliser d'autres rêves dans la capitale.
34:19 Et je pense que c'est une bonne chose de venir ici pour s'ouvrir.
34:22 Un jour dans ton année, entre les cours, les vacances et les machins,
34:26 tu joues en bas de la Tour Eiffel devant des joueurs de Ligue 1 qui sont tes idoles,
34:29 que tu as en poster dans ta chambre, face à des médias, face à des recruteurs.
34:33 Je ne sais pas quel autre mot utiliser, mais c'est un rêve.
34:37 Il y a un truc particulier avec toi, c'est la question que j'ai envie de te poser.
34:41 C'est que tu as joué ici, tu as participé au tournant Impulse Start.
34:44 Tu étais comme eux là-bas, tu vois, ils se préparent pour les demi-finales.
34:48 Tu avais ce maillot avec le logo Impulse Start.
34:50 Aujourd'hui, tu es joueur professionnel à la Espionnato, tu es au corps de l'équipe de France.
34:54 Raconte-nous ces trucs.
34:56 Le truc, c'est quoi ? C'est qu'on est en 2014, je crois, 2015.
35:01 On participe à la finale Impulse Start, comme de nombreux jeunes.
35:05 On est à Porte de Versailles.
35:07 On participe, moi, en tant que jeune footballeur qui aime le football,
35:12 qui est passionné et qui voit arriver certains joueurs,
35:16 dont Wissam, qui a eu l'occasion de lancer un de nos matchs.
35:22 Ça m'a fait plus plaisir que n'importe quoi.
35:27 C'est ça, on a besoin de se faire rêver quand tu es petit, quand tu es gamin.
35:30 Quand tu vois des joueurs comme Sofian Diop à côté du terrain,
35:33 Konate, Amine Gouiri, c'est le rêve.
35:36 C'est ça, pour moi, le slogan "Laissez-nous rêver", c'est que moi, je peux partir de n'importe où,
35:40 mais avec les rêves et avec l'ambition, avec le travail,
35:44 on peut arriver très très haut et c'est ça le plus important.
35:48 Paris, en général, pour les gens qui sont issus de banlieue, c'est toujours un endroit...
35:52 Quand on va à Paris, c'est un événement.
35:54 Quand on sort, c'est une sortie.
35:56 Et là, dire que tu ramènes la banlieue en bas de la Tour Eiffel,
35:59 la Tour Eiffel, c'est symbolique quand même, ça représente la France,
36:02 ça représente tout. Et là, quand tu vois tout le monde comme ça,
36:05 en bonne ambiance, réunis en bas de la Tour Eiffel,
36:08 le symbole, il est magnifique.
36:10 Il n'y a personne qui nous a dit "Vous allez venir en bas de la Tour Eiffel,
36:13 vous allez jouer devant 2000 personnes en folie,
36:16 ça va être relayé en direct sur Instagram toute la journée
36:20 et entre vos matchs, il y a Ninho et des artistes américains qui vont venir chanter.
36:24 Et Adidas va vous fournir les chaussures. Moi, on ne m'a jamais dit ça.
36:27 Arriver à déplacer, comme tu l'as dit, le street foot en bas de la Tour Eiffel,
36:31 c'est quelque chose d'énorme.
36:33 Ce n'est pas tous les jours qu'on fait ça, ça arrive une fois de l'année
36:37 et c'est le genre de tournoi que tout le monde a envie de jouer.
36:40 Même aujourd'hui, à l'heure actuelle, si je pourrais refaire le tournoi
36:43 en bas de la Tour Eiffel, je le referais 100 000 fois.
36:45 Internationel Espoir Frontier, il nous fait l'honneur d'être là aujourd'hui
36:51 pour donner le coup d'envoi. Je ne vous entends pas.
36:55 Vous avez tous eu mon rêve. C'est pour ça que je suis là aujourd'hui.
37:06 C'est pour ça que je suis arrivé à Pouy. Parce que vous, les jeunes,
37:09 vous avez tous eu mon rêve.
37:11 Il y a 8 ans, comme je disais, quand je l'ai fait, il n'y avait pas autant de moyens
37:15 ou pas autant de choses comme aujourd'hui.
37:18 Et c'est vrai que l'évolution, je l'ai vue. Pourquoi ?
37:21 Parce qu'il y a des joueurs avec qui je jouais en équipe de France Espoir
37:24 qui ont gagné ce tournoi.
37:26 Et je l'ai vue sur les réseaux sociaux, mais je ne faisais pas attention.
37:30 Et aujourd'hui, quand je suis là, je vois qu'on est devant la Tour Eiffel,
37:34 je suis que émerveillé et limite jaloux de ne pas pouvoir le faire maintenant.
37:40 Pour moi, mon premier rêve, il n'y a que personne qui a la même vision que moi derrière les lumières.
37:44 Merci les gars.
37:46 Il ne faut pas se mentir, tu as vu dans le foot, dans nos quartiers, il y a des talents de fou.
37:51 Tu le vois en équipe de France, regarde au final, ça vient tous.
37:54 Tous les 80, allez, 98% des joueurs en équipe de France,
37:59 ils ont tapé le foot dans la rue.
38:01 Je ne te parle même pas du Brésil, je ne te parle même pas dans les autres pays.
38:04 Je pense qu'il y a un piège aussi.
38:06 Il ne faut pas faire croire à tous ces jeunes-là que la seule porte de sortie, c'est le foot ou le rap.
38:13 Je trouve que c'est hyper réducteur et c'est surtout très dangereux.
38:16 C'est leur mentir.
38:17 Nous, on a bien vu nos générations sur un groupe de 100,
38:21 je ne suis même pas sûr qu'il y ait un gars qui vive aujourd'hui du foot ou de la musique.
38:24 Nous, on vient vous offrir un kiff, vous occuper aussi pendant une journée.
38:28 Au lieu que ce soit une journée que vous passez à ne pas faire grand-chose,
38:32 à jouer à la console ou à faire de la merde, nous, on va vous occuper.
38:35 On vous emmène à Paris, on vous met sous la tour Eiffel,
38:38 on vous fait jouer dans des conditions géniales,
38:41 vous repartez avec les chaussures, le maillot.
38:43 J'aimerais que ce soit la seule et unique ambition qu'on ait, même si tant mieux.
38:47 Il y a plusieurs joueurs, ce n'est pas un seul,
38:50 il y en a plusieurs qui sont passés par un plus tard et qui ensuite sont devenus pros.
38:53 Tant mieux, c'est la cerise sur le gâteau.
38:55 Mais on ne leur fait pas croire à tous ces mecs-là
38:59 que c'est grâce au foot et à la musique qu'ils auront un avenir à Dieu.
39:02 Ce n'est pas vrai.
39:03 Et ce n'est pas ce qu'on veut faire.
39:06 Vu l'ampleur du tournoi et les demandes qu'on a reçues,
39:24 c'était évident d'inclure le football féminin dans le tournoi 1+3.
39:27 C'est un plus-star.
39:28 Aujourd'hui, c'est une évidence.
39:41 Je ne sais pas si ça égalera un jour le football masculin,
39:44 mais elles ont leur place et aujourd'hui, il y a des meufs qui tapent des mecs.
39:47 Les gens ne comprennent pas qu'une passion fait vivre.
39:52 Si j'avais eu des enseignes comme un plus-star ou autre
39:57 qui mettent en avant le football féminin,
40:00 j'aurais eu des références à donner à mon père.
40:03 "Regarde, papa, il n'y a pas que moi qui vais faire du foot.
40:06 Les filles jouent, ce n'est pas qu'un sport de garçons."
40:09 Je pense que ça va prendre du temps, mais c'est bien parti.
40:14 Avant, on n'en parlait pas du tout.
40:16 Mais petit à petit, ça se bagarre.
40:18 Je sais que ça connaîtra une belle histoire et une belle fois.
40:22 La seule chose contre laquelle je suis,
40:28 c'est l'histoire du match de galas.
40:31 On a eu pas mal de questions qui nous ont été posées
40:34 par rapport aux influenceurs et certains
40:37 qui n'ont pas un lien organique avec le sport,
40:41 mais ils ont un lien organique avec l'événementiel.
40:44 Juste parce que tu es connu, viens faire un match.
40:47 J'aime bien ce côté divertissement, ça peut être marrant,
40:50 mais j'aime trop le foot pour cette partie-là.
40:53 Est-ce qu'on s'est éloigné de notre ADN sur les 3 vecteurs
40:57 que je t'ai présentés, à savoir événementiel, social et sportif ?
41:01 Non.
41:02 Je pense que là où on ne s'est pas raté,
41:05 c'est que des influenceurs sont venus constater l'influence.
41:09 On parle de 300 millions de couvertures,
41:11 on s'est retrouvé sur le compte Instagram Monde.
41:14 C'est comme si le quartier se retrouvait sur Instagram Monde.
41:17 C'est dingue.
41:18 Au-delà de toutes les espérances qu'on pouvait avoir,
41:21 ça a été game-changer.
41:23 C'est fait pour sublimer ce qui se passe
41:25 et non pas pour remplacer ce qui se passe.
41:27 Il y a un jeu d'équilibriste à tenir
41:29 qui va être mieux équilibré à l'avenir
41:34 au vu des expériences passées.
41:37 Il faut surveiller certaines choses
41:40 pour garder la crédibilité, c'est sûr.
41:42 Il ne faut pas que ça soit la porte ouverte à tout et n'importe quoi.
41:45 Je pense que ça reste un tournoi de football.
41:47 Le sport doit être le cœur de l'événement.
41:51 C'est important que les gens prennent du plaisir
41:54 à regarder un beau match de football.
41:56 Mais oui, tout comme un artiste musique qui vient performer,
41:59 on a eu des créateurs de contenu qui sont venus performer.
42:02 Le propos, c'est d'ouvrir le spectre.
42:04 Encore une fois, on est là pour démocratiser une discipline,
42:07 on est là pour donner la chance, laisser nous rêver.
42:10 Ce n'est pas un mantra qui est sorti du ciel.
42:13 On a envie de se vœu inspirant.
42:16 Quand tu viens jouer au football lors d'un événement
42:18 et que tu vois ton artiste préféré, ton joueur préféré,
42:22 peut-être ton athlète préféré d'une autre discipline
42:24 et/ou ton influenceur préféré,
42:27 l'inspiration est là.
42:30 Le lien et les connexions sont là.
42:33 On ne sait pas qui va devenir quoi demain.
42:35 On ne sait pas qui va l'inspirer.
42:37 On ne sait pas quelles rencontres tu vas faire.
42:39 Le but, c'est d'être une rencontre de la culture.
42:41 Happy birthday to you !
42:45 Happy birthday to you !
42:49 Merci beaucoup !
42:51 Happy birthday to you !
42:54 Merci beaucoup !
42:57 [Applaudissements]
43:01 On peut se pleurer, mais c'est pas grave.
43:04 Les gars, ça fait 10 ans, ça monte 10 ans d'énergie,
43:08 10 ans de sueur, 10 ans de confiance dans la réception.
43:12 On s'est tous vu grandir.
43:14 Merci à tous.
43:16 Bravo à l'équipe !
43:19 Moi, mon but, c'est d'arriver à la DCI.
43:21 Je dis, "Vas-y, viens !"
43:23 Je dis, "Je vais arriver à la DCI, on va sortir un doc,
43:25 on fait les 10 ans à Coubertin."
43:27 Je lui dis, "Remets ça, frérot, merci, tu m'as fait confiance
43:29 pendant ces années, t'es mon ref, tu m'as toujours suivi,
43:31 tu m'as jamais laissé tomber, mais je crois que t'as mieux à faire."
43:35 On est conscient d'avoir un format qui est duplicable.
43:38 En interrogation de demain, est-ce que tu vas faire ton Euro Impulstar ?
43:41 En interrogation de demain, est-ce que tu vas faire ta Coupe du Monde Impulstar ?
43:45 Ça a toujours été ça.
43:47 En Europe, il y a un travail à faire, et puis même, ça peut être mondial.
43:50 Tu fais un Impulstar au Brésil, même en France,
43:54 tu fais venir des équipes du Brésil, des équipes de Londres,
43:57 des équipes du Portugal, des équipes d'Italie.
44:00 Les équipes du Brésil sont en train de se renouveler.
44:04 Les équipes du Brésil sont en train de se renouveler.
44:07 Les équipes du Brésil sont en train de se renouveler.
44:10 Les équipes du Brésil sont en train de se renouveler.
44:13 Les équipes du Brésil sont en train de se renouveler.
44:16 Les équipes du Brésil sont en train de se renouveler.
44:19 Les équipes du Brésil sont en train de se renouveler.
44:22 À plus tard, on s'est toujours renouvelé.
44:24 Je pense que si on ne se renouvelle pas demain,
44:26 de toute façon, on ne pourra pas faire du sur place.
44:28 Ce n'est pas notre habitude.
44:30 C'est quand même historique pour un tournoi
44:33 qui est né dans les quartiers d'Argenteuil
44:36 de finir au Tate Museum.
44:38 C'est un lieu emblématique en Angleterre.
44:41 C'est pour moi l'édition test qui va permettre
44:44 aux prochaines de confirmer l'implantation
44:47 et le virage international qui est en train de prendre un pulsar.
44:53 L'Angleterre, c'est là qu'il y a la passion.
44:55 C'est là que le football a été inventé.
44:57 Quand on voit la première ligue, on voit la passion qui est autour des stades.
45:00 Quand on voit le nombre de jeunes qui jouent au foot,
45:03 c'est la passion tout simplement.
45:05 Je pense que venir ici en Angleterre,
45:07 c'est quelque chose de positif, c'est quelque chose de bien.
45:10 Je pense que vous allez avoir énormément de succès
45:13 avec le street football.
45:15 Ça va être un grand plaisir de venir ici.
45:17 Je pense que vous allez avoir énormément de succès
45:20 avec le street football.
45:22 On est ici avec les gars, Impulse Star.
45:26 Je suis né à Stone's Throw, loin d'où nous sommes.
45:30 Je suis à Peckham et je pense que c'est important
45:33 de revenir et nourrir les jeunes qui viennent avec l'encouragement.
45:38 On a réussi à grandir, à sortir de là-bas
45:41 en tant qu'acteur, en tant que personne, en tant que musique.
45:45 Mais il y a plein de gens talentueux ici
45:49 qui n'ont pas toujours les opportunités
45:51 dont ils ont besoin pour réussir.
45:53 Avec la voie que vous avez mis,
45:55 avec votre participation,
45:57 ça donne de l'encouragement aux jeunes
45:59 et ça leur donne un rayon
46:01 et une chance de montrer au monde le reste de leurs compétences.
46:04 Par les influences, par les plateformes,
46:07 par les gens comme moi qui sont ici.
46:09 Ça leur donne l'opportunité
46:11 de montrer au monde ce qu'ils ont.
46:13 Ils sont la prochaine génération à venir.
46:15 Et le futur sera leur.
46:17 On doit les encourager et les instiller
46:20 avec tout ce qu'ils ont besoin pour nous pousser.
46:23 C'est pour ça que je serai ici,
46:25 sur un jour comme celui-ci,
46:27 surtout dans ma ville de maison où je suis né,
46:29 pour soutenir les enfants.
46:31 Après l'ONU, une fois qu'on avait mis les capes sur l'international,
46:33 on a été obligé de continuer et d'aller jusqu'au bout.
46:36 C'est pour ça qu'on a élargi à l'Afrique.
46:39 Ça a commencé par des petits tournois de carriers.
46:43 Aujourd'hui, ça se fait au Maroc,
46:45 ça fait des grands événements comme ça.
46:47 Mais que ça parte à l'étranger,
46:49 je pense que c'est quelque chose de fort.
46:51 Il faut continuer dans ce sens-là
46:53 pour ouvrir les yeux,
46:56 ouvrir la voix à des personnes
46:58 qui n'ont pas forcément la capacité.
47:01 Franchement, ça m'a fait du bien.
47:03 Ça fait du bien au cœur de voir
47:05 qu'avec peu, ils sont heureux.
47:07 C'est la détermination de tout le temps s'élever,
47:09 de tout le temps aller plus haut,
47:11 de tout le temps aller plus loin.
47:13 On n'a qu'à voir juste leur sourire
47:15 et leur détermination pour voir ça.
47:17 Pour moi, un Plus-Star,
47:19 c'est vraiment un échange de partage
47:21 avec la jeunesse, de montrer son talent.
47:23 C'est une journée remplie d'émotions aussi.
47:25 Il y a du rire, des pleurs quand les équipes perdent.
47:29 Mais tout ça, ça reste en famille.
47:32 On est très heureux de partager ça partout dans le monde.
47:35 Et surtout d'aller en Amérique du Sud,
47:37 d'aller en Argentine,
47:39 qui est le pays champion du monde.
47:41 C'était un objectif, c'était un rêve.
47:43 Quel lieu de rêve pour la prochaine édition ?
47:57 On en a un tout trouvé, sur lequel on a pu
47:59 commencer à échanger avec Narbeem Hissa, évidemment.
48:01 L'Adidas Arena à Porte de la Chapelle,
48:03 parce que le lieu va ouvrir ses portes
48:05 début d'année 2024.
48:07 On rêverait de pouvoir organiser la finale ensemble là-bas.
48:10 On trouve que ça fait sens.
48:12 Et qu'on revient sur une dimension si indoor,
48:14 qui était les racines d'un Plus-Star,
48:17 que la localisation de l'Arena n'est pas anodine
48:21 à la frontière entre le quartier nord de Paris, le 93,
48:25 qui a des gros aficionnaux, des gros fans
48:28 de street football dans toute cette zone-là.
48:31 C'est une enceinte qui peut accueillir des concerts, évidemment.
48:34 Bref, tout est sonorisé pour.
48:36 On se dit que ça coche plein de cases,
48:38 donc on rêverait de le faire là-bas.
48:40 Je pense qu'un Plus-Star, ça n'a pas de limites.
48:42 Mettre une date de fin à ça, je pense que tu ne peux pas,
48:46 parce qu'ils sont déterminés
48:48 et je pense qu'ils veulent amener ça le plus loin possible.
48:50 Déjà, ce que je peux souhaiter,
48:52 c'est que le tournoi continue à grandir
48:55 comme il grandit depuis toutes ces années.
48:57 J'étais là au début, et aujourd'hui je vois ça.
48:59 Je leur dis tout le temps, mais il ne faut pas que cela pète.
49:02 Je suis trop fier.
49:03 On y croyait déjà, parce qu'ils étaient déterminés depuis longtemps.
49:08 Du coup, ça pousse les jeunes à rêver.
49:11 C'est ça le slogan, non ?
49:12 Je nous souhaite de continuer de rêver,
49:14 de continuer de grandir,
49:16 de continuer d'inspirer.
49:18 Je nous souhaite de continuer d'être accompagné
49:22 par les personnes extraordinaires
49:24 qui nous donnent de la force,
49:26 pour certains ponctuellement,
49:28 pour d'autres continuellement.
49:30 Le tournoi est un moment de réconciliation
49:32 pour les jeunes de l'Asie.
49:34 Les jeunes de l'Asie sont les plus vulnérables.
49:36 Ils sont les plus vulnérables.
49:38 Ils sont les plus vulnérables.
49:40 Ils sont les plus vulnérables.
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