• il y a 11 mois
Après avoir fait un point sur l'état de forme de son effectif, en particulier l'incertitude planant sur la présence de Geoffrey Kondogbia contre Rennes dimanche (21h05), Gennaro Gattuso, l'entraîneur de l'OM, a assuré que Ruben Blanco, le gardien de but espagnol, serait titulaire en Bretagne pour ce 16e de finale de la Coupe de France.

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Transcription
00:00 Oui, vous avez vu bien, il nous manquait Condoblia, qui n'est pas encore à 100%.
00:07 Demain, nous le validerons, les autres, bien.
00:10 Ulisse a commencé la semaine avec nous, nous sommes contents.
00:17 Tuku, lui aussi, a commencé la semaine avec nous, bien.
00:25 Il manque un peu de rythme de match, mais nous sommes contents.
00:28 Nous avons travaillé, nous avons fait deux jours de repos après Strasbourg.
00:35 Beaucoup d'amour après Strasbourg, car il nous manque peu de porter la maison.
00:42 Une partie de souffrance, mais nous pouvions la porter à la fin.
00:49 Je suis désolé, mais nous avons travaillé avec enthousiasme, comme Jean.
00:58 J'espère, non, je ne l'espère pas, je pense que demain nous finirons par préparer la partie avec Ren.
01:05 Mais la squadre, je l'ai vu normalement chargée, avec un peu d'énergie, un peu de dégât les premiers jours.
01:15 Et petit à petit, nous nous sommes repris.
01:18 Vous avez bien vu, il manquait Kondogbia, qui n'est pas encore à 100%,
01:22 donc demain, on évaluera la situation.
01:25 Ulisse a commencé la semaine avec nous, nous sommes contents.
01:28 Tuku aussi, il a commencé la semaine, il a bien travaillé.
01:31 C'est sûr qu'il manque encore un peu de rythme de match.
01:34 Mais c'est vrai qu'on a bien pu travailler, on a pris deux jours de repos après Strasbourg.
01:39 Je pense que c'était une scène où on avait beaucoup d'amertume après le match.
01:43 C'est vraiment joueurien, on aurait pu l'emporter, c'est un match de souffrance.
01:46 C'était vraiment rageant de ne pas pouvoir le gagner.
01:50 Mais je pense qu'on a bien travaillé, Jean aussi a beaucoup travaillé.
01:53 Demain, j'espère, je veux vraiment qu'on réussisse à conclure, à remporter ce match contre Rennes.
01:58 C'est vrai qu'il y a eu une petite baisse de régime et d'humeur les premiers jours de la semaine.
02:05 Et là, après, le groupe s'est repris.
02:06 Rubén va jouer, parce qu'il est un garçon valide, un garçon pour bien.
02:13 Un athlète à 360°, avec une grande mentalité, un grand professionniste.
02:17 C'est un garçon qui, dans le spoilatoire et au terrain, se fait aimer.
02:22 Et sûrement, Corren va partir à lui d'un premier moment.
02:29 Oui, Rubén jouera, parce que c'est vraiment une bonne personne, c'est quelqu'un de bien.
02:37 Un athlète à 360°, c'est un joueur qui sait se faire apprécier de ses coéquipiers,
02:42 tant sur qu'en dehors du terrain.
02:44 Il commencera dès le début du match.
02:46 Mais ça va, avec Tom Ville, ça va.
02:48 Parce que je pense que les charges de travail que nous avons fait ont été importantes.
02:52 Nous savions que nous devions laisser quelque chose sur la route,
02:56 en travaillant sur ce que sont les deux semaines que nous avons travaillé intensément.
03:05 Et le travail que nous avons fait, il faut le quitter.
03:07 Mais je pense que les matchs peuvent être un moment de souffrance.
03:13 Je vous parle d'un numéro que j'avais parlé l'autre fois,
03:19 quand c'est arrivé avec Strasbourg.
03:21 Je pense que c'est la mentalité,
03:23 c'est la façon dont nous voulons nous apprécier,
03:26 la façon dont nous voulons faire les choses.
03:27 Avec Strasbourg, au premier temps, 63 mètres de baricentre,
03:33 au second temps, 43 mètres.
03:35 Les balles jouées dans l'arrière-plan, au premier temps,
03:38 même si elles n'étaient pas brillantes, 33 balles,
03:41 au second temps, 13 balles.
03:43 Je pense que ce n'est pas la stanck.
03:46 C'est une question de faire les choses en équipe.
03:51 Je pense que quand nous ne faisons pas les choses en équipe,
03:53 nous avons beaucoup de défauts.
03:56 Je pense que nous devons améliorer nos concepts,
03:59 ce que nous travaillons, ce que nous voulons faire.
04:02 Et ne pas penser que si nous nous baissons,
04:04 nous sommes à 20 mètres, nous résolvons nos problèmes.
04:07 Nous avons vu que nous ne résolvons pas nos problèmes.
04:10 Ce n'est pas une coïncidence que cette équipe,
04:13 Metz, Nantes, Panathinaikos, Lens, Nizza, Brighton,
04:26 et je pense que je veux parler de mon côté.
04:30 L'autre jour, j'ai dit que la responsabilité était de moi
04:34 et que je n'ai pas réussi à m'améliorer dans ce domaine.
04:36 Je le pense vraiment.
04:38 Je ferai de tout pour améliorer ce domaine.
04:41 Mais ce n'est pas seulement une question de personnalité.
04:45 C'est une question de mentalité.
04:47 La mentalité et de réussir à faire les choses que nous voulons faire.
04:52 Je pense que nous devons améliorer dans ce domaine.
04:54 Je pense que c'est normal le match contre Thionville.
04:57 Ce qui s'est passé, c'est vrai qu'on avait travaillé avec une charge importante
05:01 les deux semaines qui précédaient le match.
05:03 Donc voilà, ça peut arriver qu'on perde quelque chose un peu en cours de route.
05:07 Ça a été une période un peu de souffrance, mais ça arrive.
05:11 Et je veux vous parler d'un chiffre, de certains chiffres
05:14 dont j'avais parlé déjà après le match contre Strasbourg.
05:16 Je pense que ce qui est important, c'est vraiment la mentalité,
05:18 la façon dont on presse.
05:20 Par exemple, on se trouvait en moyenne à 63 mètres sur le terrain la première mi-temps.
05:26 Et la deuxième mi-temps, on était à 43 mètres.
05:28 Au niveau des ballons, des passes, etc., même si c'était pas très bon,
05:32 on était à 33 ballons.
05:33 Sur la deuxième mi-temps, on était à 13.
05:35 Donc voilà, je pense que ça démontre vraiment qu'il y a quelque chose.
05:39 Il faut qu'on travaille en tant qu'équipe, que l'équipe joue en tant qu'équipe.
05:43 Sinon, les défauts ressortent tout de suite très vite.
05:45 Donc il faut qu'on travaille sur ces concepts.
05:48 Si on pense qu'on va se replier dans nos derniers mètres,
05:52 ça va changer quelque chose.
05:53 Au final, on voit que ça ne change rien,
05:55 que ce n'est pas la manière de s'en sortir.
05:58 On le voit avec ces chiffres et ces données.
06:00 Je pense que c'est par hasard.
06:01 On l'a déjà dit, il y a eu le match contre Strasbourg,
06:04 il y avait le match contre Metz, Nantes, Lens, Nice, Panathinaikos, Brighton.
06:08 Ce qui est important, quand je dis que c'est ma responsabilité après le match,
06:13 parce que je n'ai pas réussi à l'améliorer,
06:14 améliorer cela, c'est vrai, c'est la vérité.
06:17 Mais vraiment, il faut qu'on travaille de plus sur ça.
06:20 Je pense que ce n'est pas une question de personnalité,
06:22 mais vraiment de mentalité,
06:23 réussir à changer et à améliorer cet aspect.

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