• il y a 11 mois
Transcription
00:00 Il ne faut pas exagérer les choses, je suis très heureux effectivement que les engagés
00:09 se portent bien, on le voit en poupe, ont un capital confiance de plus en plus fort
00:12 de la part des citoyens, des belles personnalités qui nous ont rejoints aussi, qui crédibilisent
00:16 aussi notre projet.
00:17 Alors c'est toujours agréable évidemment d'être sollicité, maintenant le seul bulletin
00:21 qui va compter, ce n'est pas celui des plateaux TV, ça va être celui des urnes et donc j'espère
00:25 que les centristes que nous sommes seront renforcés pour pouvoir donner effectivement
00:30 à ce pays et à cette région des gouvernements plus crédibles de ce qu'on connaît aujourd'hui.
00:34 Il y aura encore des beaux parcours qui vont nous rejoindre, vous l'avez vu il y a quelques
00:42 jours, Valentin Grandjean nous a rejoint pour le combat européen avec tous les enjeux du
00:47 sport et du handicap.
00:48 Nous allons avoir encore dans quelques jours la présentation de la liste européenne avec
00:53 des personnalités aussi qui vont nous rejoindre.
00:55 Alors ce ne sont pas toujours des personnes qui vont médiatiquement casser la baraque
00:58 mais ce sont des personnes qui ont des parcours de vie extraordinaires.
01:01 Moi je ne cherche pas à avoir des candidats plic bloc télé-réalité ou que sais-je,
01:05 je veux quelqu'un qui effectivement a une histoire à conter, un projet à défendre
01:09 et c'est ce que nous avons toujours veillé à faire avec les personnalités qui nous
01:13 ont rejoints.
01:14 Oui, non, mon propos ne l'a visé pas particulièrement, j'ai déjà tenu ce propos de manière publique
01:23 avant même de savoir qu'elle allait se lancer en politique.
01:26 J'ai du respect pour elle, je la connais de longue date comme Namurroa.
01:29 De toute manière, elle décide de s'engager pour les questions de santé.
01:32 Vous savez que nous qui sommes le parti de la santé, au plus nous avons d'alliés
01:35 pour cette matière, au mieux ce sera.
01:37 Et c'est vrai que son papa est mon chauffeur depuis maintenant une douzaine d'années.
01:40 Ça n'a rien changé à notre capacité de travailler ensemble.
01:42 Il faut savoir qu'en Belgique, on ne peut pas contraindre légalement quelqu'un à
01:52 accepter de l'aide.
01:53 Et donc l'aide sociale doit toujours être acceptée par la personne qui est vulnérable.
01:57 On ne peut pas lui forcer la main.
01:59 Mais il est vrai que quand les températures deviennent à ce point dangereuses pour la
02:03 vie même de ces personnes qui dorment dehors, depuis déjà quelques fois, j'ai pris la
02:08 décision quand on annonce des températures au-delà de -10 degrés ressentis, d'ordonner
02:13 aux forces de police de prêter main forte aux travailleurs sociaux pour pouvoir effectivement
02:17 trouver des solutions pour que les gens ne restent pas à la rue, même si parfois ils
02:21 le veulent, même si parfois ils rejettent les mains qui leur sont tendues, parce qu'ils
02:24 ne se rendent pas toujours compte qu'ils mettent leur propre vie en danger.
02:26 Vous savez, quand vous êtes à la rue, les profils sont divers.
02:29 Vous avez parfois des troubles de santé mentale, vous avez des addictions, des problèmes de
02:32 drogue, des problèmes d'alcool.
02:33 Et donc pour éviter finalement de retrouver le lendemain quelqu'un mort en n'ayant pas
02:37 pris conscience qu'il se mettait en danger, et là dans ces cas extrêmes, effectivement,
02:40 je considère qu'il est de mon devoir de venir en assistance à la personne en danger
02:45 en créant cette obligation de prise en charge.
02:48 Si les températures s'annoncent encore au-delà de -10°C, on refera la même chose, et si
02:52 pas, on restera évidemment dans les balises de la loi.
02:55 [Musique]

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